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Institut des Politiques publiques - La mixité sociale et scolaire en Ile de F... - 1 views

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    Les établissements fabriquent-ils eux-mêmes de la ségrégation ? Comment expliquer les inégalités sociales entre établissements de la même commune ? Et entre classes du même établissement ? Son Thierry Ly, Éric Maurin et Arnaud Riegert ont travaillé sur des données académiques jamais consultées jusque là. Ils en ont tiré une étude réalisée à la demande de la région Ile-de-France. Elle accuse les politiques d'établissement qui en jouant des options ou des groupes de niveaux, organisent la séparation à l'intérieur du collège ou du lycée. Cette nouvelle étude, menée par Eric Maurin, Son Thierry Ly et Arnaud Regert, travaille sur l'impact des politiques d'établissement sur la ségrégation. Plusieurs facteurs s'additionnent pour atteindre le haut niveau de ségrégation. Le premier c'est bien sur la ségrégation géographique. Elle est réelle quand on compare les communes. Mais l'étude montre aussi que la ségrégation existe entre établissements d'une même commune et entre classes dans le même établissement. Il faut donc faire entrer d'autres critères. Les auteurs montrent que la politique de constitution des classes est un vecteur ségrégatif. Déjà l'absence de toute politique anti ségrégation en fait nourrit la ségrégation. C'est même sa source principale. Mais il y a aussi les politiques d'établissement. Son moteur principal c'est le regroupement des élèves en fonction des options. L'allemand LV1, le latin sont utilisés pour marquer la ségrégation comme d'autres enseignements optionnels. On compte ainsi 51% de privilégiés dans les classes de latin en 5ème, 54% en allemand. La concurrence des établissements privés est aussi un autre vecteur important. Les établissements qui ont une politique active ségrégative sont généralement soumis à cette concurrence.
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Université d'automne du Snuipp : J.-Y. Rochex : Les trois âges des politiques... - 0 views

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    "En juillet 2016, les Zones d'Education Prioritaires en France compteront 35 ans… L'occasion de faire un bilan sur les différentes politiques d'éducation prioritaire mises en œuvre par les différents gouvernements depuis. Qui peut mieux le faire que Jean-Yves Rochex, professeur en Sciences de l'Education (ESCOL-Paris 8) qui suit cette question depuis des années ? Pour ce faire, il s'appuie sur une recherche comparative européenne mais centre néanmoins son propos sur le cas français. Pour lui, ces politiques d'éducation prioritaire ont connu des alternances entre soutien politique et mises en sommeil. Il dégage trois « âges » ou trois modèles des politiques d'éducation prioritaire en France et en Europe. 35 ans après, il est possible de tirer des conclusions sur ce qui a fonctionné ou moins bien fonctionné et de se poser la question de ces politiques au sein de la Refondation de l'école : quelles perspectives pour les politiques d'éducation prioritaire ?"
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Observatoire national de la politique de la ville - Rapport 2016 - 0 views

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    Le rapport 2016 de l'Observatoire national de la politique de la ville (ONPV) est le premier rendu dans le format de la nouvelle politique de la ville. Ce rapport, publié le 6 avril 2017, se veut fidèle à la dynamique dictée par les grandes orientations de l'ONPV, visant à présenter davantage de travaux évaluatifs tout en continuant à mettre à jour les données concernant les quartiers de la politique de la ville et leurs habitants, de même qu'à rendre compte des principales politiques mises en œuvre dans ces quartiers. Il s'articule donc en deux parties. La première partie est un recueil de trois études approfondies, en écho à la loi de programmation de 2014 et porte sur une connaissance approfondie de la nouvelle géographie de la politique de la ville, sur l'évaluation du programme national de rénovation urbaine (PNRU) et sur l'évaluation de la participation des habitants via les conseils citoyens. La seconde partie rassemble des fiches synthétiques sur chacun des trois piliers de la politique de la ville, ainsi que sur les moyens financiers qui y sont afférents.
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France Stratégie - Document de travail - Quand la scolarisation à 2 ans n'a p... - 0 views

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    La politique d'accueil des enfants de moins de 3 ans en école maternelle fait partie des outils souvent mis en avant pour prévenir les difficultés scolaires et les inégalités de réussite liées aux origines sociales. Après une décennie de recul, la scolarisation à 2 ans a été encouragée lors du quinquennat précédent ; mais la part d'élèves de moins de 3 ans préscolarisés n'a augmenté que d'un point entre 2012 et 2016, passant de 11 % à 12 %, avec de fortes disparités entre territoires. Loin d'atteindre les niveaux de la fin des années 1990, où plus d'un enfant sur trois était scolarisé avant ses 3 ans, cette augmentation a principalement concerné les enfants issus de territoires défavorisés (avec un taux de 21 % en 2016). La France est, avec la Belgique francophone, le seul pays de l'OCDE à scolariser les enfants aussi tôt. L'accueil des jeunes enfants dans notre pays repose en effet sur un système « dual », partagé entre l'accueil en école maternelle d'un côté, sous la responsabilité du ministère de l'Éducation nationale, et la politique d'accueil des plus jeunes enfants de l'autre, qui relève de la sphère des politiques sociales, lesquelles sont partiellement décentralisées. Cette dualité est source de critiques, tout comme la scolarisation précoce fait - ou a pu faire - débat. Les premières expérimentations de dispositifs spécifiques sont apparues en 1999 avec les classes passerelles, mais sans qu'une réflexion systématique sur le sens de la scolarisation à 2 ans n'accompagne cette politique de préscolarisation. On a donc cherché ici à mesurer si entrer plus tôt et rester plus longtemps en maternelle permet d'améliorer la réussite scolaire des élèves. Pour y parvenir, on exploite les données du panel d'élèves entrés pour la première fois en 6e en 2007 (MENESR-DEPP). Cette enquête longitudinale suit le parcours d'un échantillon de 35 000 élèves pour lesq
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France Stratégie - Synthèse - Quand la scolarisation à 2 ans n'a pas les effe... - 0 views

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    La politique d'accueil des enfants de moins de 3 ans en école maternelle fait partie des outils souvent mis en avant pour prévenir les difficultés scolaires et les inégalités de réussite liées aux origines sociales. Après une décennie de recul, la scolarisation à 2 ans a été encouragée lors du quinquennat précédent ; mais la part d'élèves de moins de 3 ans préscolarisés n'a augmenté que d'un point entre 2012 et 2016, passant de 11 % à 12 %, avec de fortes disparités entre territoires. Loin d'atteindre les niveaux de la fin des années 1990, où plus d'un enfant sur trois était scolarisé avant ses 3 ans, cette augmentation a principalement concerné les enfants issus de territoires défavorisés (avec un taux de 21 % en 2016). La France est, avec la Belgique francophone, le seul pays de l'OCDE à scolariser les enfants aussi tôt. L'accueil des jeunes enfants dans notre pays repose en effet sur un système « dual », partagé entre l'accueil en école maternelle d'un côté, sous la responsabilité du ministère de l'Éducation nationale, et la politique d'accueil des plus jeunes enfants de l'autre, qui relève de la sphère des politiques sociales, lesquelles sont partiellement décentralisées. Cette dualité est source de critiques, tout comme la scolarisation précoce fait - ou a pu faire - débat. Les premières expérimentations de dispositifs spécifiques sont apparues en 1999 avec les classes passerelles, mais sans qu'une réflexion systématique sur le sens de la scolarisation à 2 ans n'accompagne cette politique de préscolarisation. On a donc cherché ici à mesurer si entrer plus tôt et rester plus longtemps en maternelle permet d'améliorer la réussite scolaire des élèves. Pour y parvenir, on exploite les données du panel d'élèves entrés pour la première fois en 6e en 2007 (MENESR-DEPP). Cette enquête longitudinale suit le parcours d'un échantillon de 35 000 élèves pour lesq
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Institut des Politiques publiques - La taille des classes influence-t-elle la... - 0 views

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    Cette note présente les résultats des recherches les plus robustes méthodologiquement, qui estiment l'impact d'une réduction de la taille des classes sur les performances scolaires des élèves et sur leur destin à plus long terme. Contrairement à une idée qui a longtemps perduré, ces effets sont élevés, si on les compare à d'autres politiques scolaires menées à grande échelle et rigoureusement évaluées. Le coût absolu du doublement des classes de CP et de CE1 justifie de cibler cette politique sur les élèves les moins favorisés, mais l'investissement est rentable dès qu'il existe des effets in fine sur la situation professionnelle des bénéficiaires aussi petits que 1 %. Il reste cependant beaucoup d'inconnues, notamment sur l'articulation entre la réduction de la taille des classes et les pratiques pédagogiques. Points clés : - Un certain nombre de travaux de recherche internationaux, pour la plupart récents, estiment les effets d'une réduction de la taille des classes sur les progressions des élèves en neutralisant de façon convaincante les biais de sélection. - Ces travaux montrent que le dédoublement d'une classe de 24 élèves améliore les performances moyennes des élèves de façon significative, et il est même possible d'en voir les effets à long terme sur les trajectoires scolaires et l'insertion professionnelle. - Ces effets sont observés alors même que les enseignants ne sont pas spécifiquement accompagnés au plan pédagogique. - Le coût élevé d'une telle politique justifie de la cibler sur les élèves les moins favorisés socialement, ce qui répond à un objectif de réduction des inégalités. - Le calcul coût-bénéfice indique qu'une telle politique est rentable dès qu'elle permet d'augmenter le salaire futur de ses bénéficiaires de 1 %, via ses bénéfices sur la trajectoire scolaire.
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Sénat - Synthèse - Mission d'information "Les nouveaux territoires de l'éduca... - 0 views

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    La mission d'information, créée à l'initiative de la commission de la culture, de l'éducation et de la communication du Sénat au printemps dernier, a évalué au cours des derniers mois la dimension territoriale de l'enseignement scolaire. Souvent interpellés par les élus locaux, qui craignent que leur école ne disparaisse et avec elle une partie de l'attractivité de leur territoire et de la qualité de vie, la mission d'information a souhaité s'intéresser à la prise en compte par l'éducation nationale des spécificités territoriales, et notamment de la scolarité en milieu rural qui représente 36 pourcents des écoles métropolitaines et accueille 20 pourcents des élèves. Or, absente des statistiques, la ruralité scolaire fait l'objet d'une politique éducative par défaut. Ce constat est à comparer à la mobilisation nationale en faveur de la politique de la ville. En outre, la politique de l'éducation nationale reste trop centrée sur une dichotomie entre établissements en REP-REP et établissements hors REP, créant ainsi des effets de seuil. Aussi, la mission d'information appelle la mise en place d'une politique de priorisation académique, impliquant l'ensemble des acteurs territoriaux. Dans cette perspective, le renforcement du dialogue entre les collectivités territoriales et l'institution scolaire est urgent. Les témoignages des quelque 1 700 élus ayant participé à la consultation lancée par la mission d'information font en effet état de relations tendues, vécues comme trop unilatérales. A l'issue de ses travaux, la mission d'information formule 15 recommandations. Ces dernières visent à prendre en compte les inégalités territoriales, à décliner la politique éducative au plus près des territoires par la déconcentration des moyens de l'éducation nationale et à renforcer le dialogue entre les collectivités territoriales et l'institution scolaire.
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Sénat - Rapport - Mission d'information "Les nouveaux territoires de l'éducat... - 0 views

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    La mission d'information, créée à l'initiative de la commission de la culture, de l'éducation et de la communication du Sénat au printemps dernier, a évalué au cours des derniers mois la dimension territoriale de l'enseignement scolaire. Souvent interpellés par les élus locaux, qui craignent que leur école ne disparaisse et avec elle une partie de l'attractivité de leur territoire et de la qualité de vie, la mission d'information a souhaité s'intéresser à la prise en compte par l'éducation nationale des spécificités territoriales, et notamment de la scolarité en milieu rural qui représente 36 pourcents des écoles métropolitaines et accueille 20 pourcents des élèves. Or, absente des statistiques, la ruralité scolaire fait l'objet d'une politique éducative par défaut. Ce constat est à comparer à la mobilisation nationale en faveur de la politique de la ville. En outre, la politique de l'éducation nationale reste trop centrée sur une dichotomie entre établissements en REP-REP et établissements hors REP, créant ainsi des effets de seuil. Aussi, la mission d'information appelle la mise en place d'une politique de priorisation académique, impliquant l'ensemble des acteurs territoriaux. Dans cette perspective, le renforcement du dialogue entre les collectivités territoriales et l'institution scolaire est urgent. Les témoignages des quelque 1 700 élus ayant participé à la consultation lancée par la mission d'information font en effet état de relations tendues, vécues comme trop unilatérales. A l'issue de ses travaux, la mission d'information formule 15 recommandations. Ces dernières visent à prendre en compte les inégalités territoriales, à décliner la politique éducative au plus près des territoires par la déconcentration des moyens de l'éducation nationale et à renforcer le dialogue entre les collectivités territoriales et l'institution scolaire.
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FCPE - Le décrochage scolaire : une question politique - 0 views

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    Face au désenchantement actuel sur les politiques publiques et sur leurs effets dans la lutte contre les inégalités, il est un domaine où malgré tout les autorités semblent pouvoir se targuer de résultats positifs : c'est celui de la lutte contre le décrochage scolaire. Si on se réfère à l'indicateur du « taux de sortants précoces » publié par l'Union européenne, la part des jeunes de 18 à 24 ans en situation de décrochage est passée en France de 12,8 % en 2007 à 8,8 % en 2016. D'ailleurs, cette évolution peut être constatée pratiquement partout en Europe, et notamment là où ce taux était très élevé au début des années 2000 : en Espagne, en Italie ou au Portugal. Dans de très nombreux pays, la lutte contre le décrochage scolaire a été placée en haut de l'agenda politique. C'est le cas aux Etats-Unis depuis longtemps. C'est là qu'est née l'expression décrochage scolaire (dropping out), et le taux de décrochage scolaire y est considéré comme un indicateur sensible depuis les années 1960. La préoccupation est plus récente en Europe. Elle s'est pleinement affirmée avec le sommet de Lisbonne en mars 2000, et l'objectif de réduire la part des sortants précoces de l'école a été relancé en 2009 dans le cadre stratégique « Education et formation 2020 ». Il y a là une forme de paradoxe. Les responsables des politiques publiques désignent aujourd'hui le décrochage scolaire comme un problème majeur, alors qu'il concerne bien moins de sortants du système éducatif que par le passé. En 1980, ce sont 41 % des jeunes de 18 à 24 ans qui sont sortis de l'école avec au mieux un brevet, soit près de cinq fois plus qu'aujourd'hui. Et à l'époque, en France, l'expression même « décrochage scolaire » est totalement inconnue. Pourquoi le décrochage scolaire n'était-il pas un problème dans les années 1980 ? En quoi est-il aujourd'hui un problème ? Que nous dit cette évolution
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Opinion Way / Vers le Haut - Baromètre Jeunesse et confiance 2018 - 0 views

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    1. La confiance en soi et dans l'avenir 1.a. la vie des jeunes au regard de leurs attentes 1.b. les jeunes et leur vision de l'avenir 1.c. les parents et l'avenir de leurs enfants 1.d. le soutien de la famille en cas de difficultés 1.e. l'opportunité de quitter la France pour avoir de meilleures perspectives d'avenir 2. La confiance dans le système éducatif et l'école 2.a. la confiance dans le système éducatif français 2.b. l'adéquation entre l'enseignement et les réalités du monde du travail 2.c. les liens entre la réussite scolaire et la réussite professionnelle 3. La confiance dans le monde du travail 3.a. la confiance des entreprises à l'égard des jeunes 3.b. la confiance à l'égard des jeunes comme valeur de l'entreprise 3.c. les risques à embaucher un jeune à un poste à responsabilité 3.d. la confiance des dirigeants d'entreprises à l'égard des jeunes 3.e. les relations dans l'entreprise 4. Le ressenti vis-à-vis de l'environnement social et politique 4.a. la facilité d'accès aux soins et aux activités sportives et culturelles 4.b. la confiance accordée aux hommes et aux femmes politiques pour défendre les intérêts de la jeunesse 4.c. l'accès au monde politique 5. Les métiers de l'enseignement 5.a. l'image des métier de l'enseignement 5.b. le souhait d'exercer une activité professionnelle dans le domaine de l'éducation 5.c. les métiers dans l'éducation que souhaitent exercer les jeunes 5.d.e. le soutien au choix d'exercer une activité professionnelle dans l'éducation 5.f.g. le soutien au choix d'exercer le métier d'enseignant 5.h. les éléments déterminants dans le choix d'une activité dans le domaine de l'éducation 5.i. les inconvénients à travailler dans l'éducation 5.j. les sentiments provoqués par les enseignants 5.k. la reconnaissance envers les métiers de l'éducation 5.l. les moyens dont disposent les professionnels de l'éducation pour assurer leurs missions 5.m. la difficulté des métiers de l'éduc
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OCDE - Résultat PISA 2015 - Résumée en français - 1 views

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    Le Programme international de l'OCDE pour le suivi des acquis des élèves (PISA) cherche non seulement à évaluer ce que les élèves savent en sciences, en compréhension de l'écrit et en mathématiques, mais aussi à déterminer ce qu'ils sont capables de faire avec ces connaissances. Les résultats de l'enquête PISA révèlent la qualité et l'équité de l'apprentissage dans le monde entier, et offrent aux professionnels de l'éducation et aux responsables politiques la possibilité de découvrir les politiques et pratiques d'autres pays et de s'en inspirer. Vous avez entre les mains l'un des cinq volumes qui présentent les résultats de l'évaluation PISA 2015, la sixième édition de cette enquête triennale. Le volume I, L'excellence et l'équité dans l'éducation, résume la performance des élèves en sciences, en compréhension de l'écrit et en mathématiques, et définit et mesure l'équité dans l'éducation. Il se concentre sur les attitudes des élèves à l'égard de l'apprentissage en sciences et analyse leur aspiration à embrasser une carrière scientifique. Il examine aussi l'évolution de la performance et de l'équité ces dernières années dans les pays et économies participant à l'enquête PISA. Le volume II, Politiques et pratiques pour des établissements performants, examine les liens entre la performance des élèves et diverses caractéristiques des établissements et des systèmes d'éducation, notamment les ressources affectées à l'éducation, l'environnement d'apprentissage et les critères de sélection des élèves entre les établissements, les filières d'enseignement et les classes. Le volume III, Le bien-être des élèves, décrit la relation entre les résultats scolaires des élèves de 15 ans et leur vie sociale et leurs attitudes à l'égard de l'apprentissage. Le volume IV, La culture financière des élèves, analyse les connaissances et l'expérience
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France Stratégie - La Géographie de l'ascension sociale - 0 views

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    Les chances des enfants de classes populaires d'accéder à des postes qualifiés varient aujourd'hui du simple au double selon le département de naissance. La note analyse ces écarts entre les territoires et esquisse les politiques publiques à mettre en œuvre pour les réduire. Note d'analyse 36 - La géographie de l'ascension sociale (PDF - 2.35 Mo ) Document de travail - La géographie de l'ascenseur social français (PDF - 2.9 Mo ) Auteur(s) Clément Dherbecourt Les chances d'ascension sociale des individus d'origine populaire (soit les enfants d'ouvriers et d'employés) varient du simple au double selon leur département de naissance. L'ascenseur social fonctionne bien dans certaines régions - Île-de-France, Bretagne, Midi-Pyrénées - et mal dans d'autres - Poitou-Charentes, Picardie, Nord-Pas-de-Calais. Pour les individus d'origine populaire, la mobilité ascendante apparaît faiblement liée au dynamisme économique des territoires. Elle est en revanche fortement liée à l'éducation - en particulier à l'obtention d'un diplôme du supérieur. La massification de l'enseignement secondaire puis supérieur a certes favorisé globalement la mobilité sociale ascendante qui a augmenté au cours des dernières décennies, mais sans faire disparaître les « trous noirs » de l'éducation et de la promotion sociale. L'analyse économétrique tend à montrer qu'il ne s'agit pas d'un problème de rendement de l'éducation mais plutôt d'accès à l'éducation. Or les inégalités territoriales d'accès au supérieur sont restées inchangées jusqu'à aujourd'hui. Augmenter les chances de mobilité ascendante dans les territoires défavorisés suppose donc une démocratisation réelle de l'accès à l'enseignement supérieur là où celui-ci est le plus difficile. Au-delà des politiques visant une meilleure égalité des chances face à l'éducation en amont de l'université, cela peut passer
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Unesco - Rapport complet - Rapport mondial de suivi sur l'éducation 2019 : Mi... - 0 views

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    L'édition 2019 du Rapport GEM poursuivra l'évaluation des progrès accomplis en vue de la réalisation de l'Objectif de développement durable relatif à l'éducation (ODD 4) et des 10 cibles correspondantes, ainsi que d'autres cibles en rapport avec l'éducation parmi l'ensemble des ODD. Le rapport donnera également des éléments concrets sur l'ampleur et les caractéristiques des différents types de migrations, ainsi que sur les distinctions entre les pays en matière de politiques et schémas migratoires pour ce qui est de l'éducation. De nouvelles données seront présentées concernant les disparités en termes de possibilités éducatives et de résultats entre les élèves immigrés et leurs camarades du pays d'accueil. Par ailleurs, le rapport visera à expliquer l'influence de l'éducation sur les migrations, ainsi que les défis distincts mais complexes que représentent les mouvements de populations pour les systèmes éducatifs et l'acquisition des compétences. Les analyses empiriques s'appuieront sur un large éventail de nouvelles séries de données provenant aussi bien de sources nationales qu'internationales. L'analyse et les études mettront en exergue des exemples de politiques et programmes favorisant l'inclusion tout en valorisant l'héritage culturel et les expériences des apprenants immigrés. Le rapport présentera en conclusion des recommandations pour des politiques adaptées aux différents contextes s'adressant à la fois aux pays d'accueil et aux pays d'origine.
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Unesco - Résumé - Rapport mondial de suivi sur l'éducation 2019 : Migration, ... - 0 views

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    L'édition 2019 du Rapport GEM poursuivra l'évaluation des progrès accomplis en vue de la réalisation de l'Objectif de développement durable relatif à l'éducation (ODD 4) et des 10 cibles correspondantes, ainsi que d'autres cibles en rapport avec l'éducation parmi l'ensemble des ODD. Le rapport donnera également des éléments concrets sur l'ampleur et les caractéristiques des différents types de migrations, ainsi que sur les distinctions entre les pays en matière de politiques et schémas migratoires pour ce qui est de l'éducation. De nouvelles données seront présentées concernant les disparités en termes de possibilités éducatives et de résultats entre les élèves immigrés et leurs camarades du pays d'accueil. Par ailleurs, le rapport visera à expliquer l'influence de l'éducation sur les migrations, ainsi que les défis distincts mais complexes que représentent les mouvements de populations pour les systèmes éducatifs et l'acquisition des compétences. Les analyses empiriques s'appuieront sur un large éventail de nouvelles séries de données provenant aussi bien de sources nationales qu'internationales. L'analyse et les études mettront en exergue des exemples de politiques et programmes favorisant l'inclusion tout en valorisant l'héritage culturel et les expériences des apprenants immigrés. Le rapport présentera en conclusion des recommandations pour des politiques adaptées aux différents contextes s'adressant à la fois aux pays d'accueil et aux pays d'origine.
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Le Monde - La déclaration de politique générale de Jean Castex : « ressouder ... - 0 views

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    "Face aux députés, qui lui ont accordé leur confiance, le premier ministre a détaillé la politique qu'il compte mener : indépendance économique, lutte contre le chômage et répression des « incivilités du quotidien »." [RDP du 16 juillet 2020]
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L'Express - "Je déteste l'idéologie" : Vianney d'Alançon, le président très p... - 0 views

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    "En rassemblant le tour de table le plus faramineux du moment, le jeune entrepreneur rachète l'Ecole supérieure de journalisme de Paris. Portrait d'un homme pressé, cultivant un carnet d'adresses imposant, et jurant n'avoir aucun projet politique."
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Bilan et perspectives d'avenir dans l'enseignement catholique - Liberté polit... - 0 views

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    Autres sources AFSP - Liberté politique Vidéo de C. Berruer (SGEC) sur l'enseignement catholique CS - Vu le 03/02/2012
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Au sommaire du dernier "Liberté politique" : L'école catholique, malade de la... - 0 views

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    "La rédaction de la revue "Liberté politique" vient de faire paraître son dernier numéro. Au sommaire, le problème soulevé par le soutien du Secrétariat général de l'enseignement catholique à la réforme du collège annoncée par le ministère de l'Éducation nationale."
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"Transmettre la culture, le savoir, nos valeurs civilisationnelles ne peut se... - 0 views

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    "Marion Maréchal lance une école alternative de Sciences politiques : L'institut de sciences sociales, économiques et politiques (l'ISSEP). Dans un entretien exclusif, elle explique à Boulevard Voltaire pourquoi ce projet est essentiel et lui tient tant à cœur."
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Terra Nova - Investissons dans la petite enfance : l'égalité des chances se j... - 0 views

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    Ce rapport de Terra Nova ambitionne de renouveler la politique de la petite enfance. Elle doit viser autant l'égalité des chances que l'appui aux parents qui travaillent ; elle doit être envisagée autant du point de vue du développement de l'enfant que de celui des parents ; on doit y parler autant d'éducation que de modes de garde. Ce travail défend un objectif principal : orienter la politique de la petite enfance vers les enfants et les parents qui en ont le plus besoin - en donnant la priorité au développement des crèches dans les quartiers populaires et les territoires ruraux, en imposant la transparence dans l'attribution des places, en améliorant la qualité pédagogique dans les crèches et en développant fortement le soutien aux parents.
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