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"La meilleure définition du smart me semble pourtant passer par son système de valeurs associées. Voici une liste de dix valeurs associées au smart, qui peuvent contribuer à la conversation indispensable sur notre gestion des technologies. Le domaine de test de ces critères est constitué par le Web et la téléphonie 3G/4G. - Disponibilité totale : à tout moment en tout lieu accéder à toute information, avec une attente de service illimitée - ce qui n'est pas accessible en ligne aujourd'hui apparaît comme une anomalie, presque une faute. - Transparence : nous ne voulons pas savoir quels sont les intermédiaires du service rendu, nous acceptons l'idée qu'il s'agit d'un mixte de technologies et d'acteurs publics ou marchands qui restent non-identifiés. - Facilité : aucun effort ni aucun apprentissage, même pas un numéro à retenir, pour commencer une vidéo-conversation qui traverse la planète. - Immédiateté : tout doit être à moins d'une seconde, les 10 secondes d'attente au téléphone avant qu'un correspondant décroche sont devenues une torture - d'où le bref message écrit qui s'envoie en 5 secondes et se lit en 1 seconde. - Autonomie : pas de fil qui rattache l'objet smart, sinon pour le recharger (vrai souci), mais aussi autonomie du système qui prend des initiatives. - Personnalisation : les profils utilisateurs entrant dans tous les détails (apparence et fonctionnalités) sont essentiels à l'impression de smart. - Neutralité : question brûlante, car si les réseaux sont captés par des détournements marchands monopolistiques le smart retombera dans l'attrape-nigaud publicitaire. - Optimisation des coûts, des dépenses énergétiques, ou de tout paramètres choisis : le smart doit être un pur outil qui peut se paramétrer en fonction des objectifs de vie de l'utilisateur, qu'il s'agisse de gagner du temps ou de marcher au moins une heure par jour. - Réseau collaboratif et partage : qui apportent la production c

Résumé Chronos : Ce guide ne s'avèrera peut être pas très utile pour des touristes de passage à Copenhague : fruit d'un travail collaboratif entre un think-tank local, des architectes et entreprises, le "Guide pour Copenhague 2025" propose un futur souhaitable de la ville en s'appuyant sur 3 pilliers : tous les citadins doivent avoir accès à un espace vert en maximum 10 min de marche, les espaces entre les immeubles doivent être attrayants pour favoriser les interactions, les décideurs doivent envisager le développement durable comme un moteur d'innovation, de créativité et de prospérité.

Accessibilité des villes, des enjeux de trouver un équilibre entre action classique, projets citoyens et collaboratifs et acteurs numériques privés, pour la production et la gestion des données urbaines.

"La plate-forme en ligne lancée en mai par TransformCity met l'imagination au pouvoir en vue de dynamiser un quartier de la métropole néérlandaise, dont un tiers des bureaux sont vacants."

"Le GPS collaboratif fournit à la métropole lilloise des informations sur le trafic en temps réel en échange de données municipales sur les travaux de voirie."

"La ville d'Amsterdam a décidé de s'inspirer de cette démarche d'« open planification » pour construire un nouveau modèle de planification qui fait la part belle, tout au long des projets, aux initiatives citoyennes. Autrement dit, un processus davantage « bottom-up ». C'est ainsi qu'est né le concept de WikiCity, dont le nom est inspiré de la célèbre encyclopédie en ligne" (...)

"Le collectif, qui organise son festival annuel sur le thème de la ville, analyse notamment les relations qui se forment au sein des villes mais aussi entre elles. Samuel Roumeau, directeur du programme du OuiShare Fest, répond aux questions de La Tribune."

"Développée par des chercheurs du CNRS et de l'IFSTTAR, l'application NoiseCapture permet de cartographier le bruit de manière participative. Un futur outil possible pour comprendre d'où vient le bruit et s'attaquer à ce facteur de stress reconnu."