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N° 3084 - Proposition de loi de M. Bruno Le Roux relative à la modification d... - 0 views

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    "Aujourd'hui, en France, plusieurs dizaines de milliers de personnes éprouvent la conviction d'être nées dans le mauvais corps, le sexe leur ayant été biologiquement assigné à la naissance ne correspondant pas à l'expérience intime de leur propre identité sexuelle. Le décalage entre le sexe biologique et l'identité ressentie conduit la majorité de ces personnes à souhaiter vivre socialement dans le genre du sexe opposé à leur sexe biologique et à en adopter l'apparence grâce à un parcours médical, fait notamment d'hormonothérapies et d'opérations chirurgicales, en tout état de cause variable en fonction des individus. On estime entre dix mille et quinze mille personnes actuellement engagées ou ayant accompli un parcours de transition. Le plus souvent profondément ancrée dès l'enfance, la transidentité peut s'affirmer à tout âge et génère dans la plupart des cas de profondes souffrances psychologiques, notamment traduites par un taux de tentatives de suicide estimé à 34 % par une enquête associative en France. À la difficulté d'accepter sa transidentité s'ajoute le malaise social, la personne concernée ne pouvant se reconnaître dans les rôles et apparences culturellement attribués aux hommes et aux femmes. Dans bien des cas, enfin, elle subit l'isolement et le rejet par son entourage, ainsi que de nombreuses discriminations, violences physiques ou sexuelles. Le 8 février 2010, le ministère de la santé établit le décret n° 2010-125 dans lequel les troubles de l'identité de genre (ou transsexualisme) sont supprimés des critères d'admission des affections longue durée (A.L.D. n° 23), dites psychiatriques. Le 6 août 2012, conformément aux engagements du Président de la République, la France a officiellement reconnu la transphobie en ajoutant « l'identité sexuelle » parmi les motifs de discrimination inscrits à l'article 225-1 du code pénal à l'occasion de la loi sur le harcèlement sexuel. La
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Rapport de l'Observatoire du suicide | Alliance Vita - 0 views

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    "L'Observatoire national du suicide (ONS), créé le 9 septembre 2013, a rendu public son premier rapport en décembre 2014, intitulé "Suicide, état des lieux des connaissances et perspectives de recherche". Les deux premières missions de l'ONS ont été de recenser les outils et les données disponibles sur les suicides et les tentatives de suicide, en vue d'améliorer le système de surveillance existant et rendre la prévention plus efficace."
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Résolution IVG : VITA dénonce la banalisation | Alliance Vita - 0 views

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    "40 ans après la première loi de dépénalisation, le débat sur l'IVG reste très sensible en France. La raison ne doit pas en être occultée : dans chaque IVG, c'est le destin de deux vies qui est en jeu. Aussi les tentatives de banaliser l'interruption volontaire de grossesse, ou de nier le caractère dramatique de l'expérience vécue par de nombreuses femmes, constituent une forme de violence psychique. Rappelons qu'au niveau européen, une résolution a été votée en 2013 proscrivant l'avortement selon le sexe. Plutôt que des déclarations de principe, il est urgent de considérer la réalité de l'avortement et de conduire une politique de prévention de l'IVG en cas de grossesse imprévue ou difficile."
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IVG : supprimer le délai de réflexion, c'est supprimer le libre-choix - 0 views

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    "e 19 mars dernier, les députés ont voté l'amendement au projet de loi santé qui demande la suppression des 7 jours de réflexion obligatoire jusque-là en vigueur pour les femmes demandant une Interruption Volontaire de Grossesse (IVG). Après le remboursement à 100% de l'IVG en 2013, la suppression de la condition de détresse et la prétendue reconnaissance d'un « droit fondamental » en 2014, ce rapport encourage à faire de l'IVG une réponse impulsive à une situation imprévue sans laisser aux femmes le temps de la réflexion et donc du libre choix. Il est plus que paradoxal, voire inquiétant, que la Loi Hamon de mars 2014 ait porté à 14 jours le délai de réflexion minimum pour des montants bien plus faibles qu'un achat immobilier, et que pour le devenir de l'être humain (celui de la mère comme celui de l'enfant), on veuille retirer cette prérogative... L'éthique et les droits de l'homme n'auraient-ils plus cours en France ? Par ailleurs, une fois encore, cet amendement a fait l'objet d'un vote nocturne. Est-ce le meilleur moment pour débattre, lorsque la vie d'êtres humains est en jeu ? Ou bien est-ce encore une stratégie gouvernementale pour faire passer « de force » une loi dont il sait qu'elle suscitera polémique et désapprobation ? Le procédé et les méthodes employées sont, une fois de plus, mesquins et condamnables. Ce vote reflète cette volonté mortifère qui prévaut dans notre pays, qui, avec 210 000 avortements annuels et des mesures répétées pour favoriser les IVG, se montre incapable de protéger la vie des plus faibles de ses membres et d'éviter le recours systématique à l'IVG. Les AFC appellent une nouvelle fois et avec insistance à une action politique qui mette tout en œuvre pour chercher des solutions de prévention, et proposer aussi des alternatives et d'aides efficaces afin de résoudre le drame de l'avortement, qui arrête la vie d'un enfant à naître et blesse profondément la femme. Elles inter
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Ecrire à son député | Alliance Vita - 0 views

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    "Quelle urgence ? Dans le cadre du projet de loi santé, les députés ont voté en Commission, par amendement et sans réel débat, la suppression du délai de réflexion d'une semaine prévu pour les femmes enceintes qui envisagent de recourir à l'IVG.Le projet de loi prévoit également d'habiliter les sages-femmes à pratiquer des IVG médicamenteuses.A partir du mardi 31 mars, le texte sera de nouveau débattu à l'Assemblée nationale. C'est pourquoi, Alliance VITA demande aux parlementaires de : 1. maintenir le délai de réflexion d'une semaine, 2. protéger la profession de sage-femme. 3. voter des mesures pour développer une véritable politique de prévention de l'IVG et d'accompagnement des femmes enceintes, en particulier en cas de grossesse non prévue. Donnons aux femmes plus de chances de ne pas avorter"
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Crise : 20% des Français ont déjà pensé sérieusement au suicide - 0 views

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    "Sur fond de crise, le moral des Français se détériore de façon alarmante, selon une enquête que nous révélons. Le psychiatre Michel Debout réclame plus de prévention."
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L'IVG remboursée à 100% introduit une discrimination avec le suivi de la gros... - 0 views

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    "Le Journal Officiel a publié aujourd'hui l'arrêté appliquant le remboursement à 100 % des démarches nécessaires autour de l'IVG (consultations, analyses, échographies). Cette mesure s'inscrit dans le cadre d'un plan national d'accès à l'avortement, lancé l'année dernière par la Ministre de la Santé Marisol Touraine. Les examens de biologie, les échographies ou la consultation de recueil de consentement dans le cadre d'un IVG seront donc à partir du 1er avril 2016, entièrement pris en charge par l'État. Cette mesure conduit à une discrimination troublante entre l'acte d'IVG et la poursuite de la grossesse, puisque par exemple les 2 premières échographies avant le 5ème mois de grossesse ne sont remboursés qu'à 70%. Alliance VITA rappelle avec insistance l'urgence d'une véritable politique de prévention de l'avortement. Or on assiste à une déresponsabilisation des pouvoirs publics et de la société. Informer les femmes dont la grossesse est imprévue ou difficile sur les aides auxquelles elles ont droit serait pourtant essentiel pour que l'avortement ne soit pas une fatalité."
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La violence contre les femmes reste un fléau mondialRadio Vatican - 1 views

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    "Entretien - Ce jeudi 25 novembre marque la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. Et le thème, cette année, est la prévention. L'objectif : sensibiliser la population, en lui faisant connaitre notamment ces chiffres."
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Défenseur des droits - Dossier de presse - De la naissance à 6 ans : au comm... - 0 views

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    De la naissance à 6 ans : au commencement des droits. Le Défenseur des droits vous présente son rapport enfant 2018. En voici les principaux enseignements : Nous avons voulu cette année nous intéresser aux tous jeunes enfants, de leur venue au monde à leurs six ans, afin d'explorer si et comment leurs droits étaient appréhendés et effectivement mis en œuvre. Quelle est la place réellement faite aux bébés et aux très jeunes enfants au sein de la société, des politiques publiques et des institutions ? Deux constats principaux : - Le petit enfant a des droits, dont il jouit dès la naissance sans attendre d'accéder au langage ou à la connaissance. - L'effectivité de ces droits est déterminante pour le développement de l'enfant. Il est déterminant que l'État et les acteurs institutionnels et professionnels se mobilisent pour la petite enfance, car elle est le temps des fondations du développement du petit humain. Bien que des évolutions positives sont à constater, les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants sont encore trop insuffisamment garantis dans notre société aujourd'hui. Les politiques publiques actuelles doivent s'adapter aux besoins individuels de chaque petit enfant. Le Défenseur des droits recommande de : - Réaliser des études impact avant l'élaboration de tout PJL - Protéger le petit enfant de toute forme de violence - Mettre fin à l'enfermement des enfants en centre de rétention administrative - Garantir les liens familiaux de l'enfant placé. L'évolution de la société et son impact sur les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants nécessite aujourd'hui de construire de nouvelles politiques dédiées et adaptées Le Défenseur des droits recommande de : - - Promouvoir l'égalité des sexes. - - Investir la question de l'exposition aux écrans. -Faire de l'accès à la culture un droit fondamental
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Défenseur des droits - Rapport complet - De la naissance à 6 ans : au commen... - 0 views

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    De la naissance à 6 ans : au commencement des droits. Le Défenseur des droits vous présente son rapport enfant 2018. En voici les principaux enseignements : Nous avons voulu cette année nous intéresser aux tous jeunes enfants, de leur venue au monde à leurs six ans, afin d'explorer si et comment leurs droits étaient appréhendés et effectivement mis en œuvre. Quelle est la place réellement faite aux bébés et aux très jeunes enfants au sein de la société, des politiques publiques et des institutions ? Deux constats principaux : - Le petit enfant a des droits, dont il jouit dès la naissance sans attendre d'accéder au langage ou à la connaissance. - L'effectivité de ces droits est déterminante pour le développement de l'enfant. Il est déterminant que l'État et les acteurs institutionnels et professionnels se mobilisent pour la petite enfance, car elle est le temps des fondations du développement du petit humain. Bien que des évolutions positives sont à constater, les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants sont encore trop insuffisamment garantis dans notre société aujourd'hui. Les politiques publiques actuelles doivent s'adapter aux besoins individuels de chaque petit enfant. Le Défenseur des droits recommande de : - Réaliser des études impact avant l'élaboration de tout PJL - Protéger le petit enfant de toute forme de violence - Mettre fin à l'enfermement des enfants en centre de rétention administrative - Garantir les liens familiaux de l'enfant placé. L'évolution de la société et son impact sur les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants nécessite aujourd'hui de construire de nouvelles politiques dédiées et adaptées Le Défenseur des droits recommande de : - - Promouvoir l'égalité des sexes. - - Investir la question de l'exposition aux écrans. -Faire de l'accès à la culture un droit fondamental
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Défenseur des droits - Synthèse - De la naissance à 6 ans : au commencement ... - 0 views

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    De la naissance à 6 ans : au commencement des droits. Le Défenseur des droits vous présente son rapport enfant 2018. En voici les principaux enseignements : Nous avons voulu cette année nous intéresser aux tous jeunes enfants, de leur venue au monde à leurs six ans, afin d'explorer si et comment leurs droits étaient appréhendés et effectivement mis en œuvre. Quelle est la place réellement faite aux bébés et aux très jeunes enfants au sein de la société, des politiques publiques et des institutions ? Deux constats principaux : - Le petit enfant a des droits, dont il jouit dès la naissance sans attendre d'accéder au langage ou à la connaissance. - L'effectivité de ces droits est déterminante pour le développement de l'enfant. Il est déterminant que l'État et les acteurs institutionnels et professionnels se mobilisent pour la petite enfance, car elle est le temps des fondations du développement du petit humain. Bien que des évolutions positives sont à constater, les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants sont encore trop insuffisamment garantis dans notre société aujourd'hui. Les politiques publiques actuelles doivent s'adapter aux besoins individuels de chaque petit enfant. Le Défenseur des droits recommande de : - Réaliser des études impact avant l'élaboration de tout PJL - Protéger le petit enfant de toute forme de violence - Mettre fin à l'enfermement des enfants en centre de rétention administrative - Garantir les liens familiaux de l'enfant placé. L'évolution de la société et son impact sur les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants nécessite aujourd'hui de construire de nouvelles politiques dédiées et adaptées Le Défenseur des droits recommande de : - - Promouvoir l'égalité des sexes. - - Investir la question de l'exposition aux écrans. -Faire de l'accès à la culture un droit fondamental
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HCFEA - Note de synthèse - Lutter contre la pauvreté des familles et des enfants - 0 views

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    l s'agit d'une part d'identifier les caractéristiques des familles pauvres ou en risque d'exclusion sociale, et les difficultés auxquelles elles sont confrontées ainsi que leurs enfants, et d'autre part d'interroger les politiques publiques conduites pour lutter contre la pauvreté et le risque d'exclusion sociale et contre leurs conséquences. Le Président de la République a décidé, le 17 octobre 2017, d'engager l'élaboration d'une stratégie nationale de lutte contre la pauvreté. Cette stratégie est actuellement portée Olivier NOBLECOURT, nommé Délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes. L'objectif des travaux du Conseil de la famille est d'apporter une contribution à cette stratégie et aux débats sur la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale et de soumettre des pistes pour améliorer la situation des familles pauvres ou en risque d'exclusion sociale. Deux raisons principales motivent le choix de ce thème de travail : d'abord l'importance du taux de pauvreté des enfants : si, en 2014, 14 % de la population métropolitaine, soit 8,6 millions de personnes, vit en dessous du seuil de pauvreté, la pauvreté des enfants est sensiblement supérieure à celle de l'ensemble de la population puisqu'elle atteint 19,8 % ; deux types de familles sont particulièrement concernés, les familles monoparentales et les familles nombreuses ; ensuite l'importance des phénomènes de reproduction sociale en la matière : l'enfant d'une famille pauvre a beaucoup plus de risques de se retrouver lui aussi dans une position disqualifiée socialement lorsqu'il atteint l'âge adulte, parce qu'il ne dispose pas des ressources économiques, sociales, ou relationnelles nécessaires ; lutter contre les conséquences de la pauvreté pour les enfants, en termes de risque accru d'exclusion sociale, est donc particulièrement important. Pour le H
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Harris Interactive - Résultats - Responsabilité numérique : de la prévention ... - 0 views

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    Quels principaux enseignements retirer de ce sondage portant sur la responsabilité numérique et réalisé auprès de parents d'enfants âgés de 8 à 15 ans ? 1 .Les enfants et surtout les jeunes adolescents ont très souvent accès, selon leurs parents, aux appareils connectés de leur foyer (pour une durée moyenne hebdomadaire estimée supérieure à 4 heures dans 2/3 de ces foyers), souvent une tablette numérique plus qu'un ordinateur. Les parents reconnaissent très nettement à Internet des vertus pédagogiques, notamment en matière d'information.Néanmoins, ces-derniers perçoivent également quasi unanimement des dangers associés à l'utilisation de ces technologies (images choquantes, cyberharcèlement…). Notons que les pratiques et l'attitude des parents évoluent assez logiquement avec l'âge des enfants : plus de réserves et de précautions à l'égard des plus jeunes, une latitude plus grande vis-à-vis des plus âgés (toutefois doublée d'une forme de vigilance). 2. Ces dangers identifiés peuvent s'avérer d'autant plus inquiétants que les parents reconnaissent à leurs enfants une maîtrise du numérique équivalente (37%) voire supérieure à la leur (39%, et même 49% des parents ayant uniquement des enfants âgés de 12 à 15 ans). De plus, une amélioration de la situation n'est pas nécessairement attendue au cours de la prochaine décennie (seuls 35% partagent cette opinion). 3. Dans ce contexte, les parents se montrent très majoritairement enclins à accompagner leurs enfants, privilégiant le dialogue (au sein du foyer ou dans les établissements scolaires), mais ayant également recours aux mesures davantage associées au contrôle strict. 4. Ainsi, près d'1 parent sur 2 affirme recourir aux systèmes de contrôle parental et souhaite le voir se développer encore plus.
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Harris Interactive - Infographie - Responsabilité numérique : de la préventio... - 0 views

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    Quels principaux enseignements retirer de ce sondage portant sur la responsabilité numérique et réalisé auprès de parents d'enfants âgés de 8 à 15 ans ? 1 .Les enfants et surtout les jeunes adolescents ont très souvent accès, selon leurs parents, aux appareils connectés de leur foyer (pour une durée moyenne hebdomadaire estimée supérieure à 4 heures dans 2/3 de ces foyers), souvent une tablette numérique plus qu'un ordinateur. Les parents reconnaissent très nettement à Internet des vertus pédagogiques, notamment en matière d'information.Néanmoins, ces-derniers perçoivent également quasi unanimement des dangers associés à l'utilisation de ces technologies (images choquantes, cyberharcèlement…). Notons que les pratiques et l'attitude des parents évoluent assez logiquement avec l'âge des enfants : plus de réserves et de précautions à l'égard des plus jeunes, une latitude plus grande vis-à-vis des plus âgés (toutefois doublée d'une forme de vigilance). 2. Ces dangers identifiés peuvent s'avérer d'autant plus inquiétants que les parents reconnaissent à leurs enfants une maîtrise du numérique équivalente (37%) voire supérieure à la leur (39%, et même 49% des parents ayant uniquement des enfants âgés de 12 à 15 ans). De plus, une amélioration de la situation n'est pas nécessairement attendue au cours de la prochaine décennie (seuls 35% partagent cette opinion). 3. Dans ce contexte, les parents se montrent très majoritairement enclins à accompagner leurs enfants, privilégiant le dialogue (au sein du foyer ou dans les établissements scolaires), mais ayant également recours aux mesures davantage associées au contrôle strict. 4. Ainsi, près d'1 parent sur 2 affirme recourir aux systèmes de contrôle parental et souhaite le voir se développer encore plus.
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Renaissance Numérique - Note - Cyberharcèlement : lecture académique de ce ph... - 0 views

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    Le cyberharcèlement est un problème de plus en plus courant, en particulier chez les jeunes, pour qui beaucoup de leurs interactions sociales se passent en ligne. Toutefois, bien que nous soyons conscients de ses nombreux dangers, la recherche de solutions efficaces reste un défi. Dans cette note, Renaissance Numérique s'intéresse à l'état de l'art de la littérature académique concernant le cyberharcèlement, afin d'en retirer des pistes de réflexions et d'actions concrètes. Plutôt que de se concentrer sur l'ampleur du problème en tant que telle, le think tank accorde une attention particulière aux domaines de l'intervention, en matière de prévention, de détection et de réponse. Cette note fournit ainsi des recommandations pour chaque partie prenante : les familles, les écoles, les autorités publiques, les plateformes, et les enfants eux-mêmes ayant tous un rôle à jouer dans la construction d'une réponse efficace.
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Aleteia - IVG : que devient le droit de la femme de ne pas avorter ? - 0 views

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    "Subrepticement, le projet de loi de financement de la Sécurité sociale adopté le 20 novembre a élargi encore l'accès à l'IVG. Aucune mesure n'est prise en faveur de la prévention et de l'aide aux femmes pour garder leur bébé."
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IFOP - Parents et transports scolaires - 0 views

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    La marche à pied comme mode de transport pour aller à l'école progresse légèrement par rapport à 2020 Si la voiture demeure toujours le premier mode de transport scolaire (citée par 31% des parents), la marche à pied fait désormais presque jeu égal et progresse en un an (28%, + 3 points). Viennent ensuite les transports collectifs : car scolaire (18%, stable par rapport à 2020) et bus ou tramway (15% contre 19%). Alors même que la pandémie de Covid 19 a accéléré l'usage du vélo au sein de la population française, ce mode de transport demeure en revanche ultra-minoritaire pour les trajets scolaires (2% contre 1% en 2020). Un an et demi après le début de la pandémie, les parents sont moins prompts à encourager leur enfant à utiliser les transports individuels Possible conséquence d'une inquiétude moins marquée à l'égard d'une contamination au Covid 19, les parents se déclarent moins prompts qu'il y a un an à encourager leur enfant à recourir aux transports individuels plutôt qu'aux transports collectifs (45% contre 55%). 55% des parents sont prêts à privilégier la mobilité active Ce résultat monte à 65% pour les parents dont le domicile est situé à moins de 2km. Cette opinion est motivée aussi bien par des raisons de santé (47%) que par des raisons écologiques (45%). Pour les parents, le bénéfice des mobilités actives sur la santé des enfants est globalement bien identifié. 80% d'entre eux estiment en effet qu'elles ont un impact positif sur la prévention à long terme des maladies cardiovasculaires et sur le contrôle du poids de l'enfant.
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Loi de protection de l'enfance, un retard qui inquiète les associations - 0 views

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    "e texte de loi, adopté en première lecture à l'Assemblée nationale le 7 juillet, n'est toujours pas inscrit à l'ordre du jour du Sénat, ce qui compromet son vote définitif d'ici à la fin de la mandature. Pourtant, il porte certains progrès, notamment en matière d'accompagnement à la majorité et de prévention des violences dans les foyers."
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ZENIT - Violences sexuelles faites aux enfants - 1 views

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    "L'Église de France veut poursuivre sa mobilisation et les actions de prévention"
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La Croix - Cannabis, cocaïne ou ecstasy : comment aider nos adolescents à se ... - 0 views

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    "Face au cannabis qui circule autour des collèges et des lycées, à la cocaïne et à l'ecstasy qui traînent dans les concerts électro, le rôle de prévention des parents est crucial. Savoir dire non s'apprend tôt."
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