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Chaque année, des séjours collectifs sont organisés par les collectivités territoriales, les associations d'éducation populaire ou de loisirs, les comités d'entreprise ou les clubs sportifs… Si la fréquentation de ces séjours collectifs fléchit de manière continue depuis 25 ans, l'expérience de la « colo » reste largement partagée par les jeunes vivant en France : en 2011, 40 % des jeunes de 18 ans sont partis au moins une fois en séjour collectif au cours de leur vie. Par-delà les chiffres de fréquentation, on connait peu l'effet biographique des colonies de vacances sur les jeunes qui partent et en quoi ces vacances encadrées sont distinctes des autres institutions d'encadrement juvénile (famille, école, groupe de pairs, loisirs). Qu'est-ce que la « colo » fait aux filles, aux garçons, aux enfants des classes moyennes-supérieures ou des classes populaires, aux descendants d'immigrés, aux jeunes ruraux, ou aux jeunes urbains ? Autant de questions que l'enquête « Ce que les colos font aux jeunes », menée par l'INJEP au cours de l'été 2019, a cherché à documenter. Cette recherche avait pour objectif d'explorer la socialisation juvénile en colonie de vacances. Elle a mis au jour la spécificité du cadre socialisateur de ces vacances encadrées, qui repose autant sur des normes explicites que sur les manières d'être (déjà) incorporées par les adolescents et les membres des équipes d'animation. On y constate que la colonie de vacances est une institution « enveloppante », qui vise à la fois à créer un collectif et à agir sur chaque jeune individuellement, pour le bien du groupe et pour leur bien personnel. Ses effets socialisateurs sont doubles. La « colo » renforce certaines dispositions - c'est-à-dire des manières d'être, de faire, de penser - acquises hors de cet espace, particulièrement liées à un apprentissage juvénile des rapports de pouvoir - liés à la classe social

"Les mois de mai et juin sont rythmés ordinairement par les célébrations de la foi : profession de foi, baptême d'adolescents, communion, confirmations. Mais cette année 2020, à cause du confinement et des contraintes que nous connaissons, n'aura pas permis de vivre ces moments importants de la vie de foi des jeunes. Nous sommes ainsi invités à inventer de nouvelles propositions à vivre au cours de l'année pastorale 2020-2021. Car si quelques reports au mois de juin 2021 sont possibles, il paraît difficile de reporter toutes les célébrations au même moment sans risque de rassemblements compliqués à gérer l'année prochaine. Mais l'année liturgique est peut-être à redécouvrir, pour penser différemment les célébrations au fil de l'année et en fonction de différentes fêtes et étapes des communautés chrétiennes. Voici quelques repères dont chacun pourra s'inspirer, travaillés par la Pastorale diocésaine des jeunes et les animateurs de jeunes réunis le 13 mai dernier."

"Entre 7 000 et 10  000 adolescents sont concernés par la prostitution en France. Suite à ce constat un groupe de travail a été chargé par le secrétaire d'Etat à la protection de l'enfance, de rédiger un rapport dressant « pour la première fois un état des lieux de la prostitution des mineurs en France sous toutes ses dimensions ». Le rapport estime que la prostitution concerne principalement les filles, avec une augmentation importante ces dernières années, notamment du nombre des victimes mineures du proxénétisme en hausse de plus de 340% entre 2016 et 2020. Les victimes sont issues de milieux défavorisés, notamment de villes touchées par la pauvreté. De plus, les réseaux sociaux et les sites d'annonces ont été fortement utilisés par les mineurs prostitués pour entrer en contact avec leur clientèle, les proxénètes utilisant également Internet et allant jusqu'à recruter des mineurs âgés de 14 ans. Le rapport préconise une meilleure formation des acteurs de la lutte contre la prostitution, ainsi qu'une meilleure coordination locale de ces acteurs, celle-ci pouvant également mener à une meilleure prise en charge des victimes mineures."

"Florence Robine, Directrice générale de l'enseignement scolaire au Ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche, publie un courrier pour enseigner non pas à lire, écrire, compter, mais les fameuses valeurs de la République : "Cette année a été placée par la ministre de l'éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, sous le signe d'une forte mobilisation de l'ensemble de l'institution scolaire pour les valeurs de la République. Un ensemble de ressources sont mises à votre disposition par le réseau Canopé au sein d'un portail intitulé "Valeurs de la République" : https://www.reseau-canope.fr/les-valeurs-de-la-republique. Ce portail a pour objectif de porter un double éclairage, à la fois historique et philosophique, sur l'ensemble des notions et des termes propres à la République et à ses concepts fondateurs. Ces ressources sont accompagnées de définitions et de textes de référence facilitant le travail pédagogique avec les élèves. "

"Un jeune sur trois accédant à l'enseignement supérieur abandonne ses études ou se réoriente en fin de première année de Licence1. De leur côté, les jeunes issus de l'enseignement professionnel sont nombreux à rencontrer des difficultés d'intégration professionnelle2. Ces constats amènent à s'interroger sur l'expérience des jeunes en matière d'orientation. Une enquête menée par le CREDOC pour le Cnesco révèle l'importance de mieux accompagner les jeunes dans l'identification de leurs goûts personnels, et la correspondance de ceux-ci avec les métiers et filières. La majorité des jeunes se disent aujourd'hui plutôt bien accompagnés à la fois par leurs parents, très investis, et par leurs établissements scolaires, qui apportent un complément d'information à leurs propres recherches. Mais alors que les jeunes placent en premier dans leurs critères de choix la définition de leurs goûts personnels, de leurs motivations profondes, ils s'estiment peu accompagnés sur ce point précis. Et au moment de choisir leur orientation, 43% n'avaient pas de projet professionnel. C'est pourtant un facteur qui augmente la satisfaction vis-à-vis des choix en matière d'orientation : 73% des jeunes qui avaient une idée du métier qu'ils souhaitaient exercer au moment de choisir leur orientation sont satisfaits de leurs choix, contre 66% en moyenne. Parallèlement à l'identification de leurs motivations et goûts personnels, les jeunes sont en prise avec d'autres contraintes et réalités : sept sur dix déclarent avoir d'eux-mêmes écarté une orientation qu'ils avaient envisagée, que ce soit en raison du coût des études, de leur durée, de l'éloignement géographique ou de leurs résultats scolaires."

"Pour sensibiliser les jeunes à la condition des plus pauvres et mettre en pratique la charité et le partage, les aumôneries de l'enseignement public et la pastorale de l'enseignement catholique ont choisi cette année des opérations de carême de proximité. Petit à petit les jeunes découvrent la dimension incarnée de leur foi dans l'attention au plus faible, à ce prochain que l'on ne soupçonne pas. Lors du carême 2020, pendant le premier confinement, ils ont été nombreux à participer à des opérations en faveur des plus âgés privés de visites : appels vidéos, cartes de Pâques, services à domicile. Cette année les efforts se concentrent sur l'aide matérielle aux plus démunis."

"Comme vous le savez, il est impératif de rester chez soi depuis quelques jours ; c'est pourquoi les rencontres habituelles de pastorale, que vous avez l'habitude de vivre dans vos groupes d'aumônerie, en établissement scolaire catholique ou en mouvements sont annulées jusqu'à nouvel ordre. Mais pour autant, il est essentiel de continuer à nous tourner vers le Seigneur et de faire grandir notre intériorité et notre intimité avec Lui. Il est essentiel de prier pour le personnel soignant, les personnes affectés par la maladie. Il est essentiel de continuer notre chemin de Carême, un temps particulier dans notre année liturgique, et sans doute encore plus particulier au regard de notre actualité nationale et internationale. Il est essentiel de nous préparer à vivre cette fête de Pâques et la résurrection du Christ, car c'est  bien le Christ ressuscité qui nous donne aujourd'hui des raisons d'espérer ! Vous trouverez sur cette page des idées pour continuer à faire grandir sa foi, seul, ou en famille ; cette page est évolutive :  de quelques liens aujourd'hui, elle s'enrichira au fil des semaines, n'hésitez pas à y venir régulièrement !"

"Mardi matin, la presse entière bruit de la rumeur de la rentrée. Sur BFM.TV, sourires heureux ou légèrement anxieux de bambins sur le chemin de l'école - et, en dessous, en tout petit, dans le flot des nouvelles tombées sur les téléscripteurs, l'annonce du suicide d'un prof de technologie (STI2D, comme on dit dans le jargon de l'Education Nationale) qui a préféré en finir plutôt que de participer encore une fois de plus, une année de plus, à cette grande mascarade qu'est devenue l'Ecole de la République. Il n'y aura pas de pré-rentrée pour lui."

"La Pastorale des Jeunes du diocèse de Reims organisait le 1er Mai dernier un rassemblement pour les collégiens à l'église du Sacré Coeur à Reims. Dans le cadre de "Diacona 2013" et de l'année de la foi, les jeunes ont pu réfléchir sur deux questions lors de ce rassemblement catéchique : - que signifie "servir son frère ?" - en quoi servir m'aide à grandir dans ma foi ? "

"Entretien - 80 ans et 50 ans de sacerdoce : c'est un double anniversaire qu'a fêté, ce vendredi matin, le père Guy Gilbert en la chapelle de la maison Sainte-Marthe, lors d'une messe avec le Pape François. À cette occasion, le « curé des Loubards » a ainsi rencontré pour la deuxième fois le Pape. Un Pape dont il se sent particulièrement proche en raison de son message sur les « périphéries ». Le père Guy Gilbert, qui vient d'une famille ouvrière de quinze enfants, est ainsi connu pour son action envers les jeunes en difficultés. Depuis le milieu des années 60, il œuvre pour la réinsertion des jeunes, drogués ou délinquants récidivistes, par le travail et le lien avec les animaux. Une mission à plein temps dans sa célèbre « Bergerie de Faucon », une maison qu'il a dédié à ces jeunes dans les Alpes de Haute-Provence. Il revient sur ses impressions, suite à sa rencontre avec le Pape François, ainsi que sur ses 50 ans de missions. Un entretien réalisé par Anne-Sophie Saint-Martin avec nos consœurs Virginie Riva d'Europe 1, ainsi que Mathilde Imberty de Radio France."

"Plus de 13 500 adolescents d'Île-de-France sont à Lourdes du 12 au 17 avril à l'occasion du Frat, un événement qui rassemble les lycéens catholiques des huit diocèses franciliens. Le nombre d'inscriptions record cette année indique un regain de foi chez les jeunes. Témoignages. "

"Service de l' AEP , 2, Place Cardinal Garrone - CS 10 107 - 73001 CHAMBERY Cé dex Tél. 04 79 33 98 78 - E - mail. aep@dioceses - savoie.org AU CŒUR DE LA FOI Réalisée par les aumôneries de l' Enseignement Public PROJET avec RCF Dans l 'anné e pastorale 201 6 - 201 7 , nous voulons approfondir avec les jeunes de l'aumônerie de l'Enseignement Public de Savoie le texte de l'Evangile selon St. Matthieu . Chaque jeune recevra un exemplaire de cet Evangile autour de la fête de st Matthieu ( 21 septembre ). Chaque aumônerie se ra invitée à tr availler un peu plus sur cet E vangile pendant les rencontres et surtout à préparer une émission à RCF Savoie ."

"En réponse à l'invitation de Mgr GRALLET invitant les mouvements à vivre l'Année de la FOI par des initiatives proposées aux jeunes, 400 guides et scouts d'Europe marcheront en pèlerinage aux sources de la FOI en Alsace le dimanche 7 avril 2013."

""Un souffle..." ... tout un programme! Du 4 au 7 juin 2017, sur ce thème, les jeunes chanteront, prieront, célébreront le Seigneur... au Frat de Jambville! A la Pentecôte 2017, les collégiens des huit diocèses de l'Ile de France se retrouveront au FRAT de Jambville. Un moment inoubliable pour ces jeunes chrétiens de 4e/3e qui se déroulera dans le parc du château de Jambville, propriété des scouts et guides d'Ile de France. Il a rassemblé, ces dernières années, près de 12 000 personnes : jeunes, animateurs, responsables de groupe, aumôniers, membres de l'équipe d'animation et témoins."

"A la Pentecôte 2017, les collégiens des huit diocèses de l'Ile de France se retrouveront au FRAT de Jambville. Un moment inoubliable pour ces jeunes chrétiens de 4e/3e qui se déroulera dans le parc du château de Jambville, propriété des scouts et guides d'Ile de France. Il a rassemblé, ces dernières années, près de 12 000 personnes : jeunes, animateurs, responsables de groupe, aumôniers, membres de l'équipe d'animation et témoins."

"3 jours pour avancer dans la Foi avec d'autres jeunes et célébrer ensemble la nouvelle année ! "Le réveillon à Paray, c'est trois jours de JOIE, de temps fraternels, de rencontres, d'enseignements, de louanges, de musique… Un moment fort, la louange puis la messe à minuit suivie d'une soirée le 31 décembre, c'était ouf !!" (Bénédicte)"

"Après une triste année 2021 sans Camp Ski & Foi, l'édition 2022 a pu avoir lieu, avec 44 lycéens du Val-d'Oise, du 26 février au 6 mars derniers, à Crest-Voland, en Savoie. Une semaine pleine de joie pour se rebooster et prendre de la hauteur !"

Diocèses Séez Programme du diocèse dans le cadre de l'Année de la Foi, de l'anniversaire de Vatican II et de Diaconia 2013 BL - Vu le 24/09/2012

"Chaque année, plus de 140 000 élèves de 16 à 25 ans quittent le système scolaire sans diplôme. Une population évidemment touchée de plein fouet par le risque de chômage, deux fois plus que la moyenne des jeunes de leur âge. Alerte rouge au ministère de l'Éducation nationale : comment remettre en selle ces dizaines de milliers de jeunes ?"

"Comme chaque année avec tous les 6es du diocèse qui se préparent à la profession de foi, nous partirons à Lourdes avec notre évêque pour vivre un temps de prière et de pèlerinage. Cette année ce sera du 17 au 21 Avril 2017."