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Fred L

Jérémy Dumont, directeur de Pourquoi tu Cours: Faire travailler les gens ense... - 0 views

  • Jérémy Dumont, directeur de Pourquoi tu Cours: Faire travailler les gens ensemble autour d'une idée
  • Le monde change plus vite que la pensée. Les dirigeants de marque, les agences de communication, les créatifs sont entrés dans une course folle pour concilier données divergentes et maîtriser la complexité.
  • Les dirigeants d'entreprises doivent réussir "ici et maintenant, avec chacun". C'est à eux de reprendre en main leurs marques et d'identifier LE projet de marque fédérateur des individus à l'interne et à l'externe qui permettra le développement de l'entreprise et de ses prestataires.
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  • Sans "big ideas transversales", la nécessaire maîtrise des coûts et la mesure de l'efficacité prendra le pas sur l'indispensable innovation.
  • Le consommateur tel que nous l'envisagions, n'existe plus. Un nouvel individu émerge en dehors des cadres conventionnels.
  • Le mass marketing semble lui aussi révolu
  • La communication est devenue bilatérale. Le Web 2.0 et les NTIC promeuvent une nouvelle "façon d'être": la liberté d'expression, le partage, l'autonomie, la transparence, le dialogue, le communautarisme, le volontarisme. La marque doit "s'ouvrir et entrer en relation"… mais qu'elles sont les nouvelles modalités et jusqu'ou aller et avec qui?
  • Les medias les plus qualitatifs, les mieux ciblés, qui permettent la plus grande interaction, sont les moins coûteux et le plus immédiats.
  • Tout est devenu media, même le hors media et les individus eux même.
  • C'est eux qui sont privilégiés : internet, téléphonie, évènementiel. Les autres doivent s'adapter et se repositionner "avec les autres".
  • Le monde de la création est sur le devant de la scène: - Toute l'industrie se tourne vers les créatifs (innovation à travers le design, differenciation par la communication...), beaucoup de monde se tourne vers ces métiers devenus plus séduisants - Les nouveaux moyens de communication, techniques, matériaux rouvrent de nouvelles perspectives à la création : interactivité, temporalité, virtualisation... - De nouveaux métiers émergent dans chaque branche pour faciliter la rencontre avec les meneurs de projets et les créatifs : des consultants, des agents, des coordinateurs - La frontière entre l'art et le commerce redevient plus fine mais les rapports restent tendus ("contre le démon marketing et le pouvoir de l'argent castrateur") - Les jeunes talents n'ont plus besoin de suivre un parcours obligé pour être reconnus, et tout est a leur portée de main - les créatifs s'organisent en petites équipes ou en collectifs, les grandes structures souffrent et ont du mal à s'adapter
Fred L

Un mot tout simple, presque oublié, émerge des conversations ..."le lien"... ... - 0 views

  • La grande digitalisation nous a fait perdre "le lien"
  • L'univers numérique est en expansion perpétuelle. L'homo numericus a créé en 2007 à l'échelle mondiale, 281 milliards de gigaoctets de données, donc 45 go par être humain, soit dix fois plus qu'en 2006 (source).
  • L'individu est désormais doté de supers pouvoirs dans le monde numérique : s'exprimer, se connecter, échanger et créer. Il peut utiliser ces nouveaux outils pour réaliser ses projets, accomplir de grandes choses avec d'autres ou au nom de l'intérêt général. Ainsi, nous sommes passés en quelques années de myspace, à facebook et maintenant arrivent les sites communautaires "pour les grandes causes" comme thepoint.
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  • Dans ce contexte dématérialisé, mondialisé, déshumanisé... le "lien" ça existe encore ?
  • On parle plutôt d'hyperlien de nos jours... (ce qui, dans un système hypertexte sur internet nous permet de passer d'une origine à une destination). Tout le monde cherche le moyen d'optimiser les moteurs de recherche de google...ils deviendraient inductifs, et non plus que déductifs, ils auraient une courbe d'expérience, bref...ils s'humanisent...surtout que derrière, à produire des contenus, il n'y a pas que des robots..
  • On parle de contexte. Le contexte de vie d'un coté, le contexte de production du contenu d'accomplissement recherché, de l'autre. On cherche à synchroniser les deux contextes et les aligner sur un même territoire d'accomplissement.
  • On parle plutôt d'accès...deux citations. - "C'est de l'accès plus que de la propriété que dépendra désormais notre statut social". Jérémy Rifkin - "Mon réseau social est bien plus intelligent que google" Luc Legay.
  • Et en effet, pour finir, on parle plutôt de ...métaverse... Le réel devient virtuel (flash mobs) et le virtuel devient réel (second life)... Nous passons prés de 20% de notre temps sur internet, et nous attendons que le réel nous offre une réalité augmentée équivalente (source) pour pouvoir "surfer"...glisser... on line et off line...de la même façon...
  • Quelles opportunités s'ouvrent aux marques?
  • Et le marché semble pourtant s'être stabilisé. Mais l'enjeu n'est pas de simplement digitaliser les contenus et de les répartir dans des formats plus ou moins payants... et la valeur ajoutée n'est pas que dans une meilleure interactivité pour satisfaire un consom'acteur de plus en plus exigeant, participant.
  • Dans un univers digitalisé, avec une multitude de contenus numériques disponibles dans le virtuel et dans le réel...la grande valeur ajoutée... celle qui n'a pas de prix...c'est l'accès performant aux données.
  • Les médias, marques, personnes qui sauront rendre facilement activables les contenus dans un contexte donné, de façon sensible, et non pas mécanique pour ne pas dire " humaine" gagneront.
Fred L

Interview de Jérémy Dumont, directeur du planning stratégique de Pourquoi tu ... - 0 views

  • Interview de Jérémy Dumont, directeur du planning stratégique de Pourquoi tu cours?
  • Interview de Jérémy Dumont, planneur stratégique et directeur de Pourquoi tu cours? (l'agence des idées) au sujet du design, et de l'innovation en génèral. Par Anne-Marie SARGUEIL, institut français du design.
  • Jérémy Dumont: Le design est la discipline qui aujourd'hui sert le mieux les idées: celles qui viennent de nulle part et qui se diffusent partout. En effet, le designer se place du côté de l'idée, de l'intention alors que les autres métiers de la création cherchent des idées applicables, et peu importe qu'elles soient utiles à l'utilisateur final... tant qu'elles répondent à des besoins stratégiques.
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  • De plus, les process des agences de design sont adaptés à la vie d'une idée depuis la phase d'observation préliminaire jusqu'à sa matérialisation concrète en passant par le prototypage.... Je viens du monde de la communication. Les responsables marketing, média ou communication mettent au centre de leur réflexion une même marque, parfois un même consommateur mais rarement une même idée centrale permettant de créer du lien entre le produit et son utilisateur quel que soit le point de contact.
  • IFD: Nous avons travaillé ensemble sur un rapport d'innovation sur le Luxe....tu fais souvent intervenir des experts dans tes structures? J.D.: P ourquoi tu cours est une structure à plusieurs niveaux, semi participative. courts circuits est un cercle d'innovation mensuel qui permet aux différents responsables de marque d'échanger leur expérience et de faire avancer la réflexion plus vite ensemble. Au mois de février le thème devait porter sur le luxe et j'ai souhaité l 'aborder sous trois angles que tu connais bien dans votre profession : identité, culture et expérience.
  • En savoir plus sur pourquoi tu cours (l'agence des idées et jeremy dumont, directeur du planning stratégique de Pourquoi tu cours?: http://levidepoches.fr/pourquoitucours/
Fred L

Rapport d'innovation de courts circuits: les nouvelles utopies d'aujourd'hui ... - 0 views

  • Rapport d'innovation de courts circuits: les nouvelles utopies d'aujourd'hui
Fred L

La socio performance : le lien social comme moteur.... - Obiwi - Nouveautés - 0 views

  • La socio performance : le lien social comme moteur....
  • La performance des entreprises dépend plus que jamais de leur capacité à mobiliser les personnes externes à l'entreprise autour du développement de leurs marques à chaque niveau d'interaction : corporate ou commercial, marketing ou communication, média ou RH....
  • On parle de socio-performance pour évaluer cette capacité à créer du lien social et culturel avec les parties prenantes et à faire fonctionner en mode participatif des communautés d'interets pourtant divergentes.
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  • Toute construction collective dépend de l'implication de chaque individu et n'est que la somme des actions engagées dans une même finalité. C'est pourquoi les entreprises "socio performantes" sont celles qui parviennent à donner un sens commun à leurs activités sans perdre de vue l' intéret personnel poursuivit par chacun, et qui réussissent à faire interagir l'ensemble de leurs parties prenantes autour d'un projet collectif, de valeurs communes, et de rêgles plus justes.
  • Les marques qui se développent sur des formats organisationnels 2.0 sur le web comme les nombreuses entreprises organisées de façon coopérative parviennent aujourd'hui à réaliser ce grand écart entre les besoins et les envies de chacun et l'intérêt de tous….
  • Jérémy dumont (directeur de Pourquoi tu cours) et Roger Nifle (président de l'institut Cohérence).
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    Concept de performance très intéressant => la nouvelle compétitivité
Fred L

BQF Innovation » Blog Archive » Creating a Culture of Innovation - 0 views

  • Creating a Culture of Innovation
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    Je me suis abonné à ce blog anglais
Fred L

Créer une culture de la communication - 0 views

  • Créer une culture de l’innovation
  • Quelles sont les principales caractéristiques d’une culture d’entreprise qui favorise l’innovation? Et celles qui inhibent l’innovation?
  • Selon un colloque qui a planché sur le sujet (aux Etats-Unis) les huit facteurs clés sont, dans l’ordre d’importance: La communication interne - Surmonter les réticences. Admettre le droit à l’échec et éliminer la culture du blâme. Permettre à quiconque de remettre en question quoi que ce soit. Le développement d’une attitude positive face au changement - surmonter la peur et la complaisance. Le développement d’une attitude positive pour la gestion des risques. Encourager les personnes à essayer de nouvelles voies même sans approbation explicite. Accueillir les idées venues de l’extérieur - refuser le prétexte du «pas inventé ici». Encourager les idées nouvelles.
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    8 facteurs clefs par ordre d'importance selon étude US
Fred L

La recherche partenariale au service de l'innovation dans les PME - 0 views

  • La recherche partenariale au service de l’innovation dans les PME
  • Seule l’innovation ouverte est de nature à assurer à notre tissu industriel un avantage concurrentiel et à garantir les emplois d’aujourd’hui et de demain.
  • Pour répondre au mieux à ces enjeux économiques et sociétaux, l’Assemblée des Chambres Françaises de Commerce et d’Industrie (ACFCI) et l’Association des instituts Carnot ont décidé d’unir leurs forces et leur action en faveur des PME/PMI.
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  • Grâce à la convention cadre, signée le 1er octobre entre les deux organismes, une série d’actions déclinables et adaptables au cas par cas au niveau local entre les partenaires de chaque réseau va s’engager au profit de la recherche partenariale entre laboratoires publics et PME/PMI.
  • Les partenaires se fixent comme objectifs de :promouvoir l’offre de recherche des instituts Carnot en assurant dans le réseau consulaire sa promotion auprès des PME et en relayant l’information sur leur offre de compétences au profit desentreprises (moyens de tests et d’essais, expertise, transfert de technologies...)valoriser les actions des C(R)CI : l’AiCarnot informera et sollicitera la participation des instituts Carnot aux actions et projets des C(R)CI dans les domaines de l’innovation, de la propriété industrielle, du montage de partenariats de recherche et du transfert de technologies,participer aux programmes européens de R&D. Pour ce qui concerne les C(R)CI, le Réseau « Enterprise Europe Network » d’appui à l’innovation permettra d’identifier les programmes les plus pertinents.
  • La recherche partenariale au service de l’innovation dans les PME
Marjolaine Grisard

Korea Is One: Les deux Corée se lancent lans la coopération économique - 0 views

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    Kaesong, article du Monde en 2006
Marjolaine Grisard

Diagrams - SkyscraperPage.com - 0 views

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    Les grattes-ciels du monde entier existants et en construction! Avec des diagrammes de la skyline par ville, étonnant! Il ne manque que la tour mégalo de Songdu.
Harscoet Fabrice

Renault.com - Renault en Corée du Sud - 0 views

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    description en qq lignes de la société Renault - samsung pour le cr d'entretien de Marjolaine
Marjolaine Grisard

South Korea's Songdo International Business District Sets Global Standard as 'Eco-City' - 0 views

  • Indeed, Songdo IBD was recently named a winner of the first annual Sustainable Cities Award from the Urban Land Institute, the only project in Asia so honored. The Sustainable Cities Award honors global examples of sustainable land use that have demonstrated financial viability, a capacity to inspire and an ability to be replicated. With more than 120 buildings registered for LEED certification, Songdo IBD also is one of the world's most ambitious LEED developments. Songdo IBD's extensive use of green materials, systems and planning principles includes such innovations as the following, which are being detailed this week for the first time: -- Water-cooled central air conditioning units were developed by Carrier and LG specifically for Songdo IBD, the first time such systems will be used in Korea. These custom-engineered units will provide a 20% energy savings over industry standard air-cooled units and will now be marketed
Fred L

Les clusters européens vont-ils se regrouper ? Actualité --- Silicon.fr --- - 0 views

  • Les pôles de compétitivité doivent ils devenir européens pour faire face à la crise? Enjeux et difficultés décelées lors de la rencontre "Paris région innovation", qui s’est tenue le 17 et 18 novembre à Paris
Fred L

Saclay : Christian Blanc avance son cluster - 0 views

  • Saclay : Christian Blanc avance son cluster L’aménagement du plateau de Saclay ne sera pas un long fleuve tranquille. En conseil des ministres du 12 novembre 2008, le secrétaire d’Etat chargé du développement de la région capitale, Christian Blanc a présenté une communication sur l’aménagement du plateau de Saclay qu’il définit comme un « cluster scientifique, technologique et d’innovation économique » qui serait « de rang mondial ».   
  • Une Silicon Valley à la française   « Concernant le seul plateau de Saclay, il est envisagé le développement de plusieurs campus capables de rassembler plus de 100 000 chercheurs, élèves ingénieurs et étudiants dans les dix ans », indique le communiqué du secrétaire d’Etat. Un Etablissement public « d’un type nouveau » englobant 49 communes doit être créé par l’Etat début 2009. « Sa gouvernance sera partagée entre l’Etat, les collectivités territoriales, la communauté scientifique et les entreprises, avec un exécutif désigné par l’Etat », est-il précisé.  
  • Mais ce grand chantier suscite des rivalités entre les deux ministres concernés au premier chef, Christian Blanc et Valérie Pécresse.
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  • Paris 11 : une université au milieu des tractationsDu côté de la communauté universitaire, le collectif Sauvons la recherche dénonce le plan Campus de Saclay comme « un coup de force du Président de la république et du gouvernement qui tentent dans l’urgence d’imposer à l’Université son avenir, avec le déménagement de la Fac d’Orsay et peut être d’autres centres, le tout pour réaliser une vaste opération immobilière et de prestige... ».
  • Le Snesup dénonce lui dans un communiqué du 13 novembre 2008 le projet présenté en conseil des ministres qui s’inscrit dans « une rentabilité plus économique que scientifique sur le court terme. Le déplacement, non concerté avec la communauté universitaire, de près de 100 000 étudiants, de milliers d’universitaires et chercheurs, répond à des ambitions politiciennes et ouvre une course au gigantisme (inspiré du classement de Shanghai) qui n’a rien à voir avec les missions de service public d’enseignement supérieur et de recherche »
Fred L

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  • Opération Campus : Aubervilliers sort gagnant du trio parisien
  • Opération Campus : Aubervilliers sort gagnant du trio parisien
  • Après les six lauréats du premier tour, trois projets sur quatre seulement ont été sélectionnés par l’opération campus 2 : le PRES d’Aix-Marseille, les campus de Saclay et de Condorcet-Paris Aubervilliers. Sans surprise. La surprise est venue des projets de Paris intra-muros, retoqués faute d’un rassemblement (toujours) insuffisant. Valérie Pécresse leur laisse une dernière chance pour présenter un ultime projet d’ici à l’automne 2008 s'ils parviennent à construire le « quartier latin du XXIème siècle ». Autre condition : « saisir les opportunités avec les départs des établissements vers Saclay et Aubervilliers ». Une mission d’audit sur le patrimoine urbain, financier et scientifique des établissements parisiens est lancé par les ministères de l’Enseignement supérieur, des Finances et de l’Equipement. Les établissements parisiens qui ont choisi des projets ultra-périphériques ont en revanche tiré leur épingle du jeu. Zoom sur le projet d'Aubervilliers qui pourrait inspirer des regrets ou donner des idées à certains.
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  • Seul site trans-périphérique et seul projet national centré sur les sciences humaines et sociales, le  projet de campus Condorcet Paris-Aubervilliers était en concurrence avec deux autres projets parisiens : celui du quartier latin et celui de Paris-centre. « C’est un signe fort envoyé aux sciences humaines et sociale. Le choix d’Aubervilliers est une marque très importante pour des disciplines qui se posent des questions », se réjouit Danièle Hervieu-Léger, la présidente de l’EHESS. Au-delà du choix du comité de sélection, ce campus avait depuis longtemps les faveurs de Valérie Pécresse.
  • Un campus sur deux sites L’un des sites, le plus grand avec 100 000 m2 sur 5 hectares, sera situé sur le territoire de la Plaine commune à Aubervilliers, près du Stade de France. A 900 mètres après le périphérique, l’autre site sera installé à la Porte de la Chapelle, côté Paris, autour de la Maison des sciences de l’Homme (MSH) de Paris Nord, fondés par Paris 8 et Paris 13.  
  • Jouer groupé Comme pour les autres dossiers franciliens, manquait dans le projet initial présenté au premier tour un regroupement de partenaires suffisamment nombreux. Autour d’institutions dédiées principalement à la recherche comme l’EHESS (Ecole des hautes études en sciences sociales) et l’EPHE (Ecole pratique des hautes études), le projet s’appuie désormais sur trois universités : Paris 1 à laquelle se sont rajoutées Paris 8 et Paris 13. Cette dernière université, pluridisciplinaire, a rejoint le projet entre les deux tours de l’Opération campus une fois son nouveau président, Jean-Loup Salzmann, élu. « Pour mon université pluridisciplinaire, il est très intéressant de voir comment nous allons réussir à faire le lien entre les SHS et les autres disciplines, notamment dans le domaine de la santé, avec les questions de nutrition, de dé-sociabilisation, de précarité, etc. », explique Jean-Loup Salzmann. Le Cnam, l’Ecole d’économie de Paris, l’école des Chartes ou l’INED (Institut national d’études démographiques) sont désormais aussi partenaires du projet. Cet organisme de recherche devrait même y déménager son siège. L’IRD et le CNRS – avec un millier de chercheurs - sont également associés.  
  • Délocalisation et restructuration   Outre l’EHESS qui déménagerait, dans un premier temps dans des locaux provisoires Porte de la Chapelle, Paris 1 a, entre les deux tours, rationaliser ses sites, sous la pression du ministère de l’Enseignement supérieur. Au final, sur 25 sites de Paris 1, une dizaine devrait être libérée et ses équipes rejoindre le campus Condorcet. La négociation en interne et avec le ministère risque d’être néanmoins serrée.
  • Les mutualisations inter-établissements « Ce qui a primé dans le choix, c’est la logique de site, pas la logique de réseau. Nous ne nous acheminons pas vers une fusion de nos établissements. Mais nous aurons des coopérations et des entreprises communes comme celle de faire une « université tout au long de la vie »", indique Danièle Hervieu-Léger. Un service de formation continu inter-établissement est en effet envisagé. Autres regroupement de services : une bibliothèque de 10 000 m2, l’édition universitaire et un campus numérique.
  • L’objectif est aussi de pouvoir faire montre d'une « masse critique » de chercheurs pour s’affirmer comme une référence internationale et comme le premier pôle scientifique français sur les SHS. Il rassemblera la quasi totalité des centres de recherche de l’EHESS et de l’EPHE. Au total, 2000 enseignants-chercheurs et chercheurs, 6200 étudiants de master et doctorants. Les 10 000 étudiants de Paris 1 (dont la moitié de ses licences) en sciences humaines et sociales, et en économie.  
  • Comment piloter l’ouvrage ?   Une fondation de coopération scientifique avec un conseil d’administration d’une vingtaine de membres a été retenue. De quoi ménager les statuts des différents établissements regroupés. Les porteurs du projet évalue à 429 millions d’euros le montant nécessaire à l'opération. Un quart viendrait de la région Ile-de-France, déjà acté dans les contrats de Plan Etat-Région (CPER). « Nous avons rêvé, maintenant il nous faudra rentrer dans le concret : lancer des appels d’offres, trouver un maître d’ouvrage. Nos préoccupations seront les suivantes : monter des partenariats publics-privés, acheter les terrains à des entreprises, des communautés de communes ou des municipalités, monter un plan financier », énumère Jean-Loup Salzmann.
  • L'opération campus : gagnants et perdantsL’Opération campus aura concerné sept régions et la moitié des universités françaises. Pour les lauréats, un projet affiné sur le financement et la gouvernance devra être présenté avant de savoir quelle part des cinq milliards d’euros sera réellement accordée à chacun d’eux. Le plus gros, celui de Saclay, est chiffré à 1,2 milliard d’euros.
  • Les universités parisiennes intra-muros auront leur part à une condition : mettre fin à une « situation immobilière inextricable », dixit Valérie Pécresse : « Parfois trois universités sont sur le même site et certains sites sont parfois mal valorisés ». Les projets devraient débuter en janvier 2009.
  • Pour les autres projets, les cinq milliards d’euros s’évanouissent. Les 7 « campus prometteurs » de Lille, Nancy-Metz, Paris Est, université européenne de Bretagne, Nantes, Nice et Clermond-Ferrand n'ont pour le moment droit qu'à un label de consolation. Valenciennes, Le Havre, Cergy et Dijon sont récompensés par le titre de « projets innovants »…  
Fred L

Saclay : un campus sous pression - 0 views

  • Saclay : un campus sous pression
  • Les six premiers dossiers finalisant les projets de campus sélectionnés devaient arriver sur le bureau de Valérie Pécresse à la date butoir du 3 novembre 2008. Ces notes d’intention détaillent les plans de financements et les partenariats avec les collectivités territoriales de chaque projet. Le comité de sélection de l’Opération campus se réunira mi-novembre 2008 pour définir les moyens qui leur seront alloués.
  • Sélectionné lors de la seconde vague, le plus grand des projets, celui du plateau de Saclay ne doit rendre sa copie qu’en février 2009, si tout va bien... Le pilote de ce projet, Philippe Lagayette, a en effet démissionné en octobre 2008 de ses fonctions. Il est remplacé par deux chargés de mission.
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  • Pour la partie campus, la ministre de l’enseignement supérieur a choisi fin octobre Jacques Glowinski, jusqu'alors membre du comité de sélection et professeur honoraire en neuropharmacologie au Collège de France. Il sera chargé de définir les priorités en mettant d’accord les 21 acteurs de ce projet chiffré initialement à 1,8 milliard d’euros. Un dossier plus que complexe. Sur l’aménagement du plateau, son co-pilote sera Vincent Pourquery de Boiserin, directeur régional et départemental de l’Equipement (Centre et Loiret), nommé lui par Christian Blanc, secrétaire d’Etat chargé du développement de la région capitale...
  • Définir des priorités. Après avoir difficilement obtenu l’agrément du comité de sélection de l’Opération campus (2), l’heure est à la définition des priorités. Faut-il privilégier la naissance de l’Institut de mathématiques ou de l’Institut de l’énergie ? Est-il plus urgent de rénover les locaux d’Orsay de Paris 11 ou de financer la venue de nouveaux établissements sur le plateau ? Les 21 établissements ont jusqu’à février 2009 pour finaliser la déclinaison opérationnelle du projet.
  • Gérer les conflits. Si les collaborations entre les 21 établissements signataires ne cessent de croître, la concurrence entre eux reste vive. RTRA, pôle de compétitivité, groupement d’intérêt scientifique… les structures s’empilent sans concertation. A l’image des deux PRES (Pôles de recherche et d’enseignement supérieur) qui auront chacun leur pôle en sciences de l’ingénieur. Alors que ParisTech regroupe déjà 11 écoles d’ingénieurs, Universud a prévu la constitution d’un collège des sciences de l’ingénieur avec Centrale Paris, Supélec et l’ENS Cachan. Un doublon qui en dit long…
  • Boucler le financement. Mais c’est avant tout du volet financier que dépend l’émergence du campus. Les 21 établissements ont vu grand. « Nous avons écrit une véritable lettre au Père Noël », confie l’un d’eux. Il leur faut trouver 1,8 milliard d’euros (dont 1 milliard d’euros d’ici à 2015). Bien plus que ce qu’ils peuvent espérer du gouvernement… Les dix lauréats de l’Opération campus devraient en effet se partager les fruits du placement d’un fonds de cinq milliards d’euros. Soit environ entre 150 et 250 millions d’euros par lauréat.
  • Arbitrages. Les établissements du plateau misent donc sur l’effet de levier du plan campus, sur les partenariats public-privé et sur les collectivités territoriales. Leur intention : financer 80% des opérations par des sources privées. Une gageure dans le paysage de l’enseignement supérieur français. Des arbitrages seront nécessaires.
  • Quelles que soient les dissenssions passées ou à venir, universités, grandes écoles et organismes de recherche savent qu’ils n’ont pas le choix. Nicolas Sarkozy, qui a fait de Saclay un chantier présidentiel, les a déjà prévenus lors de la cérémonie en l’honneur du prix Nobel de physique Albert Fert, le 28 janvier 2008 à Orsay : « A la fin 2008, cette opération aura un pilote et un projet qui associera toutes les institutions scientifiques, grandes écoles, universités et bien sûr les élus, pour aller de l’avant ».
  • (1) Parmi les membres de ParisTech, AgroParisTech, l’ENSAE et l’ENSTA ont prévu de déménager entièrement sur le plateau de Saclay, l’Institut Télécom et l’Ecole des mines de Paris partiellement. Autres volontaires : Centrale Paris et l’ENS Cachan.(2) Le dossier a été sélectionné lors du second appel à projets en juillet 2008. Lors du premier appel en mai, le jury avait jugé les projets « isolés et non structurants ».
François Bertrand

La Corée du sud pourrait être le pays le plus vieux au monde d'ici 2050 - 0 views

  • La Corée du sud pourrait être le pays le plus vieux au monde d'ici 2050
  • Comme dans tous les pays confrontés à la problématique du vieillissement, cette évolution démographique est due à une combinaison de plusieurs facteurs. Parmi les principales raisons de cette baisse, notons, une chute de la natalité, une augmentation de l’espérance de vie et une réduction du nombre des habitants.
  • Ainsi, jusqu’à l’année dernière, le pays comptait encore huit travailleurs pour une personne âgée de plus de 65 ans. Mais au milieu du siècle, ce chiffre devrait chuter à 1.4 actif pour un senior. Entre temps l’espérance de vie moyenne devrait augmenter de 77 ans à 86 ans.
Fred L

Opération campus : dernier oral avant financement pour les 6 premiers projets - 0 views

  • Opération campus : dernier oral avant financement pour les 6 premiers projets
  • Qui demande combien ? Quels sont les points clés des projets ? Voici une synthèse des réponses à ces questions, projet par projet.
  • Université de Bordeaux Coût du projet : 538 millions d’euros (hors collectivités). Porteur du projet : le PRES de Bordeaux et ses huit membres fondateurs (quatre universités, trois écoles d’ingénieurs, l’IEP de Bordeaux). Objectif : « Construire une université nouvelle, avec une forte lisibilité et attractivité nationale et internationale ». Points clés du projet : - Réorganisation de l’offre de formation (par exemple, mise en place d’une licence et d’un doctorat uniques de l’université de Bordeaux et création des collèges thématiques « graduate schools »). - Structuration de la recherche en trois départements (sciences et technologies, biologie santé et sciences humaines et sociales) divisés en 11 pôles thématiques d’excellence (par exemple, pôle neurosciences ou pôle technologies de l’information). - Développement d’un esprit de campus. Cela passe par exemple par la création de « maisons de campus » sur les domaines.  
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  • Grenoble Université de l’Innovation Coût du projet : 1,2 milliard d’euros au total dont 563 millions d’euros demandés au titre de l’opération Campus.  Porteurs du projet : le collège universitaire (universités, Grenoble INP, IEP de Grenoble) et le collège d’autres organismes (CEA, CNRS, CHU, Grenoble Ecole de Management, etc.). Objectif : le projet « vise un rayonnement international et un prolongement économique basé sur l’innovation dans toutes ses dimensions ». Points clés du projet : - Créer un campus unique (unité de lieu) à partir des deux sites (polygone scientifique et domaine universitaire de Saint-Martin-d’Hères), situés à moins de 25 minutes l’un de l’autre grâce au développement du tramway, des pistes cyclables et d’une rocade Nord. - Se concentrer sur quatre enjeux sociétaux : l’innovation, l’information, la planète et la santé. - Développer la vie de campus grâce à la création de pôles (restauration, logement, sportif, etc.) le long de la ligne de tramway qui relie les deux sites en traversant le centre-ville. 
  • Lyon Cité Campus Coût du projet : 1,2 milliard d’euros dont 700 millions d’euros demandés au titre de l’opération Campus.  Porteurs du projet : l’Université de Lyon au titre de l’ensemble des établissements membres du PRES impliqués dans l’opération (universités, ENS, INSA, IEP, etc.). Objectif : « Lancer la dynamique d’une nouvelle université » Points clés du projet : - Revisiter les campus pour avoir une logique thématique autour des pôles d’excellence (sciences et technologies, santé, sciences de la vie et sciences humaines et sociales). C’est-à-dire créer des quartiers « chimie », « physique », « sciences de l’information », etc. et tisser des liens entre les établissements pour favoriser leur complémentarité et leur lisibilité. - Créer une « Maison de l’innovation et de la compétitivité » et développer une zone privilégiée pour l’accueil d’entreprises sur le campus LyonTech. - Développer une vie de campus. Cela passe par exemple par la création de quatre restaurants universitaires et de 2000 logements. - Créer la Maison des langues et des cultures.  
  • Université Montpellier Sud de France Coût du projet : 440 millions d’euros dont deux tiers pour l’Etat et un tiers pour le conseil régional. Porteurs du projet : Montpellier 1, Montpellier 2, Montpellier 3, Montpellier SupAgro en partenariat avec l’ENSCM, le CROUS, les organismes de recherche et les principales entreprises de la région. Objectif : « Faire de l’Université de Montpellier une des cent premières mondiales » Points clés du projet : - Construction et renforcement de six pôles d’excellence : agronomie-environnement, biologie-santé, chimie, mathématique-informatique-physique-systèmes et structures, eau sciences de l’homme et de la société. Cela passe notamment par la rénovation et la réhabilitation de bâtiments dédiés à l’enseignement et la recherche ou la création de « Valeur-Sud » pour favoriser la valorisation de la recherche - Développement de la vie de campus avec, par exemple, la création de l’Atrium, un espace de vie étudiante, ou la restructuration du réseau des bibliothèques universitaires (amplitudes horaires plus larges, etc.).  
  • Université de Strasbourg Coût du projet : 288 millions d’euros auxquels s'ajoutent 240 millions d’euros des collectivités locales. Porteurs du projet : l’université de Strasbourg (résultat de la fusion des trois universités strasbourgeoises) et les établissements associés (CROUS, CNRS, INSA, ENGEES). Objectifs : « Faire de l’université de Strasbourg un campus de réputation mondiale, développer les interfaces et les synergies entre disciplines, favoriser les coopérations scientifiques nationales, internationales et transfrontalières ».  Points clés du projet : - Parachèvement des fondements de l’université de Strasbourg. - Développement de structures comme la maison des arts et sciences, la maison de l’étudiant ou la maison de l’accueil international. - Réaménagement de la tour de chimie, la rénovation du centre sportif, restructuration de l’INSA, etc.  
  • Toulouse Campus Coût du projet : 1,4 milliard d’euros dont 500 millions au titre de l'opération Campus. Porteurs du projet : le PRES « Université de Toulouse » en association avec des établissements publics à caractère scientifique et technologique et les établissements membres associés (CNRS, INRA, INSERM) ou rattachés au PRES (IEP, ENIT, ENAC, etc.). Objectifs : « Recherche, formation, vie étudiante ; Ouverture sur le monde économique et la société ; Refondation de l’Université de Toulouse sur une base fédérale ». Points clés du projet : - Renforcement et valorisation de trois pôles d’excellence (aéronautique et espace, économie et mathématiques) et développement de la transdisciplinarité autour de thématiques de recherche (nanotechnologies, vivant, etc.). Cela passe notamment par l’installation du PRES dans des locaux rénovés en centre-ville et la création d’une cité internationale des chercheurs dans le nouveau « quartier des sciences » - Réintégrer le campus dans la ville en créant une cité internationale étudiante, des installations sportives de haut niveau, une bibliothèque numérique mutualisée de 1500 places…  
François Bertrand

PIP_Tech_Failure.pdf (Objet application/pdf) - 0 views

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    pour la page 3 sur les cycles de vie des technologies
François Bertrand

Far Eastern Economic Review | Taming Korea's Wild Wild Web - 0 views

  • Live Web-casts of political rallies and street protests, like those this summer against U.S. beef imports, are common. And “netizens” are vigilant in their monitoring of politicians and the press.
  • But there is a downside. Internet bullying is a major problem. In 2005, netizens so harassed a girl who had not cleaned up after her dog that one newspaper called it “a kind of nationwide cyber lynching.” Today, many Koreans believe that Internet bullying caused the recent suicide of the famous actress, Choe Jin Sil
  • new legislation to increase Internet regulation
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  • Advocates believe eliminating anonymity will discourage cyber-bullying and cyber-terrorism, while critics argue that the legislation threatens freedom of speech and privacy.
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    pour illsutrer ce que nous disait LEE ce matin.
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