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François Bertrand

Les Echos : Marques : le classement 2008 d'Interbrand rebat les cartes - 0 views

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    La première marque française est Louis Vuitton (16ème place). Les huit marques françaises du Top 100 appartiennent à l'industrie du luxe (Chanel, Hermès, Louis Vuitton), l'agroalimentaire (Danone, Moët et Chandon, Hennesy), la cosmétiques (L'Oréal) et l'assurance (AXA).
Fred L

Jérémy Dumont, directeur de Pourquoi tu Cours: Faire travailler les gens ense... - 0 views

  • Jérémy Dumont, directeur de Pourquoi tu Cours: Faire travailler les gens ensemble autour d'une idée
  • Le monde change plus vite que la pensée. Les dirigeants de marque, les agences de communication, les créatifs sont entrés dans une course folle pour concilier données divergentes et maîtriser la complexité.
  • Les dirigeants d'entreprises doivent réussir "ici et maintenant, avec chacun". C'est à eux de reprendre en main leurs marques et d'identifier LE projet de marque fédérateur des individus à l'interne et à l'externe qui permettra le développement de l'entreprise et de ses prestataires.
  • ...8 more annotations...
  • Sans "big ideas transversales", la nécessaire maîtrise des coûts et la mesure de l'efficacité prendra le pas sur l'indispensable innovation.
  • Le consommateur tel que nous l'envisagions, n'existe plus. Un nouvel individu émerge en dehors des cadres conventionnels.
  • Le mass marketing semble lui aussi révolu
  • La communication est devenue bilatérale. Le Web 2.0 et les NTIC promeuvent une nouvelle "façon d'être": la liberté d'expression, le partage, l'autonomie, la transparence, le dialogue, le communautarisme, le volontarisme. La marque doit "s'ouvrir et entrer en relation"… mais qu'elles sont les nouvelles modalités et jusqu'ou aller et avec qui?
  • Les medias les plus qualitatifs, les mieux ciblés, qui permettent la plus grande interaction, sont les moins coûteux et le plus immédiats.
  • Tout est devenu media, même le hors media et les individus eux même.
  • C'est eux qui sont privilégiés : internet, téléphonie, évènementiel. Les autres doivent s'adapter et se repositionner "avec les autres".
  • Le monde de la création est sur le devant de la scène: - Toute l'industrie se tourne vers les créatifs (innovation à travers le design, differenciation par la communication...), beaucoup de monde se tourne vers ces métiers devenus plus séduisants - Les nouveaux moyens de communication, techniques, matériaux rouvrent de nouvelles perspectives à la création : interactivité, temporalité, virtualisation... - De nouveaux métiers émergent dans chaque branche pour faciliter la rencontre avec les meneurs de projets et les créatifs : des consultants, des agents, des coordinateurs - La frontière entre l'art et le commerce redevient plus fine mais les rapports restent tendus ("contre le démon marketing et le pouvoir de l'argent castrateur") - Les jeunes talents n'ont plus besoin de suivre un parcours obligé pour être reconnus, et tout est a leur portée de main - les créatifs s'organisent en petites équipes ou en collectifs, les grandes structures souffrent et ont du mal à s'adapter
François Bertrand

gfk : augmentatioin de la consommation de biens technologiques - 0 views

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    Les dépenses mondiales des ménages consacrées aux biens de consommation technologiques augmentent de 12,5% entre 2006 et 2007 --- Importance des marques Les dix premières marques représenteront presque 50% du marché total en valeur en 2007.
Fred L

Un mot tout simple, presque oublié, émerge des conversations ..."le lien"... ... - 0 views

  • La grande digitalisation nous a fait perdre "le lien"
  • L'univers numérique est en expansion perpétuelle. L'homo numericus a créé en 2007 à l'échelle mondiale, 281 milliards de gigaoctets de données, donc 45 go par être humain, soit dix fois plus qu'en 2006 (source).
  • L'individu est désormais doté de supers pouvoirs dans le monde numérique : s'exprimer, se connecter, échanger et créer. Il peut utiliser ces nouveaux outils pour réaliser ses projets, accomplir de grandes choses avec d'autres ou au nom de l'intérêt général. Ainsi, nous sommes passés en quelques années de myspace, à facebook et maintenant arrivent les sites communautaires "pour les grandes causes" comme thepoint.
  • ...9 more annotations...
  • Dans ce contexte dématérialisé, mondialisé, déshumanisé... le "lien" ça existe encore ?
  • On parle plutôt d'hyperlien de nos jours... (ce qui, dans un système hypertexte sur internet nous permet de passer d'une origine à une destination). Tout le monde cherche le moyen d'optimiser les moteurs de recherche de google...ils deviendraient inductifs, et non plus que déductifs, ils auraient une courbe d'expérience, bref...ils s'humanisent...surtout que derrière, à produire des contenus, il n'y a pas que des robots..
  • On parle de contexte. Le contexte de vie d'un coté, le contexte de production du contenu d'accomplissement recherché, de l'autre. On cherche à synchroniser les deux contextes et les aligner sur un même territoire d'accomplissement.
  • On parle plutôt d'accès...deux citations. - "C'est de l'accès plus que de la propriété que dépendra désormais notre statut social". Jérémy Rifkin - "Mon réseau social est bien plus intelligent que google" Luc Legay.
  • Et en effet, pour finir, on parle plutôt de ...métaverse... Le réel devient virtuel (flash mobs) et le virtuel devient réel (second life)... Nous passons prés de 20% de notre temps sur internet, et nous attendons que le réel nous offre une réalité augmentée équivalente (source) pour pouvoir "surfer"...glisser... on line et off line...de la même façon...
  • Quelles opportunités s'ouvrent aux marques?
  • Et le marché semble pourtant s'être stabilisé. Mais l'enjeu n'est pas de simplement digitaliser les contenus et de les répartir dans des formats plus ou moins payants... et la valeur ajoutée n'est pas que dans une meilleure interactivité pour satisfaire un consom'acteur de plus en plus exigeant, participant.
  • Dans un univers digitalisé, avec une multitude de contenus numériques disponibles dans le virtuel et dans le réel...la grande valeur ajoutée... celle qui n'a pas de prix...c'est l'accès performant aux données.
  • Les médias, marques, personnes qui sauront rendre facilement activables les contenus dans un contexte donné, de façon sensible, et non pas mécanique pour ne pas dire " humaine" gagneront.
Fred L

Interview de Jérémy Dumont, directeur du planning stratégique de Pourquoi tu ... - 0 views

  • Interview de Jérémy Dumont, directeur du planning stratégique de Pourquoi tu cours?
  • Interview de Jérémy Dumont, planneur stratégique et directeur de Pourquoi tu cours? (l'agence des idées) au sujet du design, et de l'innovation en génèral. Par Anne-Marie SARGUEIL, institut français du design.
  • Jérémy Dumont: Le design est la discipline qui aujourd'hui sert le mieux les idées: celles qui viennent de nulle part et qui se diffusent partout. En effet, le designer se place du côté de l'idée, de l'intention alors que les autres métiers de la création cherchent des idées applicables, et peu importe qu'elles soient utiles à l'utilisateur final... tant qu'elles répondent à des besoins stratégiques.
  • ...3 more annotations...
  • De plus, les process des agences de design sont adaptés à la vie d'une idée depuis la phase d'observation préliminaire jusqu'à sa matérialisation concrète en passant par le prototypage.... Je viens du monde de la communication. Les responsables marketing, média ou communication mettent au centre de leur réflexion une même marque, parfois un même consommateur mais rarement une même idée centrale permettant de créer du lien entre le produit et son utilisateur quel que soit le point de contact.
  • IFD: Nous avons travaillé ensemble sur un rapport d'innovation sur le Luxe....tu fais souvent intervenir des experts dans tes structures? J.D.: P ourquoi tu cours est une structure à plusieurs niveaux, semi participative. courts circuits est un cercle d'innovation mensuel qui permet aux différents responsables de marque d'échanger leur expérience et de faire avancer la réflexion plus vite ensemble. Au mois de février le thème devait porter sur le luxe et j'ai souhaité l 'aborder sous trois angles que tu connais bien dans votre profession : identité, culture et expérience.
  • En savoir plus sur pourquoi tu cours (l'agence des idées et jeremy dumont, directeur du planning stratégique de Pourquoi tu cours?: http://levidepoches.fr/pourquoitucours/
Fred L

La socio performance : le lien social comme moteur.... - Obiwi - Nouveautés - 0 views

  • La socio performance : le lien social comme moteur....
  • La performance des entreprises dépend plus que jamais de leur capacité à mobiliser les personnes externes à l'entreprise autour du développement de leurs marques à chaque niveau d'interaction : corporate ou commercial, marketing ou communication, média ou RH....
  • On parle de socio-performance pour évaluer cette capacité à créer du lien social et culturel avec les parties prenantes et à faire fonctionner en mode participatif des communautés d'interets pourtant divergentes.
  • ...3 more annotations...
  • Toute construction collective dépend de l'implication de chaque individu et n'est que la somme des actions engagées dans une même finalité. C'est pourquoi les entreprises "socio performantes" sont celles qui parviennent à donner un sens commun à leurs activités sans perdre de vue l' intéret personnel poursuivit par chacun, et qui réussissent à faire interagir l'ensemble de leurs parties prenantes autour d'un projet collectif, de valeurs communes, et de rêgles plus justes.
  • Les marques qui se développent sur des formats organisationnels 2.0 sur le web comme les nombreuses entreprises organisées de façon coopérative parviennent aujourd'hui à réaliser ce grand écart entre les besoins et les envies de chacun et l'intérêt de tous….
  • Jérémy dumont (directeur de Pourquoi tu cours) et Roger Nifle (président de l'institut Cohérence).
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    Concept de performance très intéressant => la nouvelle compétitivité
Fred L

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  • Opération Campus : Aubervilliers sort gagnant du trio parisien
  • Opération Campus : Aubervilliers sort gagnant du trio parisien
  • Après les six lauréats du premier tour, trois projets sur quatre seulement ont été sélectionnés par l’opération campus 2 : le PRES d’Aix-Marseille, les campus de Saclay et de Condorcet-Paris Aubervilliers. Sans surprise. La surprise est venue des projets de Paris intra-muros, retoqués faute d’un rassemblement (toujours) insuffisant. Valérie Pécresse leur laisse une dernière chance pour présenter un ultime projet d’ici à l’automne 2008 s'ils parviennent à construire le « quartier latin du XXIème siècle ». Autre condition : « saisir les opportunités avec les départs des établissements vers Saclay et Aubervilliers ». Une mission d’audit sur le patrimoine urbain, financier et scientifique des établissements parisiens est lancé par les ministères de l’Enseignement supérieur, des Finances et de l’Equipement. Les établissements parisiens qui ont choisi des projets ultra-périphériques ont en revanche tiré leur épingle du jeu. Zoom sur le projet d'Aubervilliers qui pourrait inspirer des regrets ou donner des idées à certains.
  • ...10 more annotations...
  • Seul site trans-périphérique et seul projet national centré sur les sciences humaines et sociales, le  projet de campus Condorcet Paris-Aubervilliers était en concurrence avec deux autres projets parisiens : celui du quartier latin et celui de Paris-centre. « C’est un signe fort envoyé aux sciences humaines et sociale. Le choix d’Aubervilliers est une marque très importante pour des disciplines qui se posent des questions », se réjouit Danièle Hervieu-Léger, la présidente de l’EHESS. Au-delà du choix du comité de sélection, ce campus avait depuis longtemps les faveurs de Valérie Pécresse.
  • Un campus sur deux sites L’un des sites, le plus grand avec 100 000 m2 sur 5 hectares, sera situé sur le territoire de la Plaine commune à Aubervilliers, près du Stade de France. A 900 mètres après le périphérique, l’autre site sera installé à la Porte de la Chapelle, côté Paris, autour de la Maison des sciences de l’Homme (MSH) de Paris Nord, fondés par Paris 8 et Paris 13.  
  • Jouer groupé Comme pour les autres dossiers franciliens, manquait dans le projet initial présenté au premier tour un regroupement de partenaires suffisamment nombreux. Autour d’institutions dédiées principalement à la recherche comme l’EHESS (Ecole des hautes études en sciences sociales) et l’EPHE (Ecole pratique des hautes études), le projet s’appuie désormais sur trois universités : Paris 1 à laquelle se sont rajoutées Paris 8 et Paris 13. Cette dernière université, pluridisciplinaire, a rejoint le projet entre les deux tours de l’Opération campus une fois son nouveau président, Jean-Loup Salzmann, élu. « Pour mon université pluridisciplinaire, il est très intéressant de voir comment nous allons réussir à faire le lien entre les SHS et les autres disciplines, notamment dans le domaine de la santé, avec les questions de nutrition, de dé-sociabilisation, de précarité, etc. », explique Jean-Loup Salzmann. Le Cnam, l’Ecole d’économie de Paris, l’école des Chartes ou l’INED (Institut national d’études démographiques) sont désormais aussi partenaires du projet. Cet organisme de recherche devrait même y déménager son siège. L’IRD et le CNRS – avec un millier de chercheurs - sont également associés.  
  • Délocalisation et restructuration   Outre l’EHESS qui déménagerait, dans un premier temps dans des locaux provisoires Porte de la Chapelle, Paris 1 a, entre les deux tours, rationaliser ses sites, sous la pression du ministère de l’Enseignement supérieur. Au final, sur 25 sites de Paris 1, une dizaine devrait être libérée et ses équipes rejoindre le campus Condorcet. La négociation en interne et avec le ministère risque d’être néanmoins serrée.
  • Les mutualisations inter-établissements « Ce qui a primé dans le choix, c’est la logique de site, pas la logique de réseau. Nous ne nous acheminons pas vers une fusion de nos établissements. Mais nous aurons des coopérations et des entreprises communes comme celle de faire une « université tout au long de la vie »", indique Danièle Hervieu-Léger. Un service de formation continu inter-établissement est en effet envisagé. Autres regroupement de services : une bibliothèque de 10 000 m2, l’édition universitaire et un campus numérique.
  • L’objectif est aussi de pouvoir faire montre d'une « masse critique » de chercheurs pour s’affirmer comme une référence internationale et comme le premier pôle scientifique français sur les SHS. Il rassemblera la quasi totalité des centres de recherche de l’EHESS et de l’EPHE. Au total, 2000 enseignants-chercheurs et chercheurs, 6200 étudiants de master et doctorants. Les 10 000 étudiants de Paris 1 (dont la moitié de ses licences) en sciences humaines et sociales, et en économie.  
  • Comment piloter l’ouvrage ?   Une fondation de coopération scientifique avec un conseil d’administration d’une vingtaine de membres a été retenue. De quoi ménager les statuts des différents établissements regroupés. Les porteurs du projet évalue à 429 millions d’euros le montant nécessaire à l'opération. Un quart viendrait de la région Ile-de-France, déjà acté dans les contrats de Plan Etat-Région (CPER). « Nous avons rêvé, maintenant il nous faudra rentrer dans le concret : lancer des appels d’offres, trouver un maître d’ouvrage. Nos préoccupations seront les suivantes : monter des partenariats publics-privés, acheter les terrains à des entreprises, des communautés de communes ou des municipalités, monter un plan financier », énumère Jean-Loup Salzmann.
  • L'opération campus : gagnants et perdantsL’Opération campus aura concerné sept régions et la moitié des universités françaises. Pour les lauréats, un projet affiné sur le financement et la gouvernance devra être présenté avant de savoir quelle part des cinq milliards d’euros sera réellement accordée à chacun d’eux. Le plus gros, celui de Saclay, est chiffré à 1,2 milliard d’euros.
  • Les universités parisiennes intra-muros auront leur part à une condition : mettre fin à une « situation immobilière inextricable », dixit Valérie Pécresse : « Parfois trois universités sont sur le même site et certains sites sont parfois mal valorisés ». Les projets devraient débuter en janvier 2009.
  • Pour les autres projets, les cinq milliards d’euros s’évanouissent. Les 7 « campus prometteurs » de Lille, Nancy-Metz, Paris Est, université européenne de Bretagne, Nantes, Nice et Clermond-Ferrand n'ont pour le moment droit qu'à un label de consolation. Valenciennes, Le Havre, Cergy et Dijon sont récompensés par le titre de « projets innovants »…  
François Bertrand

Le Figaro - Economie : Bercy veut mobiliser les ambassadeurs sur l'économie - 0 views

  • Déficit d'image
  • Elle compte également insister sur le rôle qu'ils doivent jouer pour améliorer la réputation des produits français. Dans de nombreux pays, l'Allemagne jouit d'un excellent crédit pour ce qui concerne les produits technologiques de qualité. «Notre industrie est l'une des meilleures au monde, faisons le savoir !», souligne la secrétaire d'État, qui insiste sur le déficit d'image dont la France souffre parfois. Bref, la «diplomatie d'influence» chère au Quai d'Orsay doit aussi concerner les affaires !
François Bertrand

L'art d'entreprendre - 1 - Avoir « une » idée excellente - Les Echos.fr - 0 views

  • RÉSUMÉL'auteur a suivi des dizaines de projets de création d'entreprise au cours de sa carrière. Il a remarqué que les entrepreneurs affrontent les mêmes problèmes lors de la période précédant le lancement du projet et pendant les premières années de son développement. Entre autres conseils, il rappelle qu'il vaut mieux commencer modestement, qu'il est vital de créer de la valeur rapridement ou encore qu'il est essentielde trouver un compromis intelligent entrele contrôle du capitalet l'ouverture aux actionnaires.
  • Avoir « une » idée excellente, « un » produit remarquable ou « un » marché porteur ne suffisent pas.
  • Comme rien ne se construit sans la volonté d'un entrepreneur, et rien de grand ne se construit seul, il est essentiel de trouver un compromis intelligent entre le contrôle du capital - au besoin, au travers d'un pacte - et la constitution d'une équipe d'actionnaires fondateurs responsables et soudés.
  • ...5 more annotations...
  • Défendre son indépendance passe également par la protection intellectuelle de la créativité : brevet, marques, modèles, copyrights et sites Internet.
  • La création de « captives d'investissement », chargées de mettre en valeur l'intelligence d'une équipe entrepreneuriale, et une partie des ressources disponibles, dans des projets extérieurs - quelquefois à l'autre bout du monde - offre une réelle opportunité de diversification des sources de la performance et, sans conteste, une autonomie stratégique accrue.
  • Afin de susciter l'émergence et le développement d'une telle culture de la performance, il est souvent utile de lier les éléments variables de la rémunération des principaux collaborateurs à la croissance du résultat opérationnel, de la rentabilité nette ou, mieux encore, de la rentabilité nette par action (en tenant compte du fait que le nombre d'actions pourrait être amené à varier dans le temps). L'ouverture du capital aux collaborateurs qui le souhaitent, au travers d'un programme de stock-options - et non d'actions gratuites - attribuées en fonction de la croissance de la rentabilité nette par action, associée à un éventuel programme de rachat d'actions par la société si elle n'est pas cotée, constitue un puissant facteur de cohésion et de motivation. Enfin, la participation à des programmes de formation adaptés peut également contribuer à une évolution favorable des attitudes et des comportements.
  • La réalité est que le modèle économique sur lequel a reposé le développement de notre société européenne durant près d'un siècle semble avoir atteint sa pleine maturité. Nous sommes aujourd'hui à la croisée des chemins. Les nombreuses expériences faites en matière d'économie dirigée ne semblant pas avoir donné les résultats escomptés en termes de croissance, d'innovation et de prospérité, nous sommes condamnés à remettre en question un certain nombre d'hypothèses considérées comme étant établies. « Je me suis trompé, l'économie de marché fonctionne », me disait récemment un collègue universitaire qui a passé sa vie à enseigner les fondements de l'économie dirigée, et qui, manifestement, avait choisi d'ignorer « Capitalism and Freedom » et « Free to Choose » de Milton Friedman. Un constat que ne rejetteraient pas aujourd'hui de nombreux responsables politiques qualifiés comme étant de gauche.
  • Même si nous ne nous rapprochons que très lentement d'une telle société de responsabilité et d'entreprise, il n'est pas interdit d'en décrire, comme je le fis il y a dix ans déjà, quelques dimensions :- la réhabilitation du rêve, de la créativité, du goût du risque, du sens de l'effort et de l'éthique à tous les niveaux du système éducatif et chez ses principaux acteurs ;- l'absence de toute forme d'aide et d'assistance à la création d'activités et d'entreprises, les aides publiques les plus efficaces étant celles qui n'ont pas lieu d'être ;- un environnement fiscal favorable à la constitution et au développement des fonds propres des entreprises, notamment au cours des phases de création et de développement ;- une législation sociale empreinte de souplesse, ouverte aux objectifs et au mode de fonctionnement de l'entreprise en tant qu'instrument de création et de distribution de richesse ;- une incitation à la réussite individuelle et à la prise de risque se traduisant par une fiscalité du revenu et un système de protection sociale respectueux de l'effort consenti par chacun ;- la professionnalisation de la gestion des entreprises dans l'intérêt des divers partenaires impliqués - clients, collaborateurs, Etat, actionnaires - et l'équité des mécanismes de partage du surplus de valeur créé ;- le sens du concret, le pragmatisme, le refus des idéologies, le respect de la liberté et de l'intégrité des projets personnels, compatibles avec l'évolution démocratique du monde moderne ·
Fred L

Le Figaro - Economie : Les entreprises réinventent l'innovation à La Baule - 0 views

  • Les entreprises réinventent l'innovation à La Baule
  • La World Investment Conference a insisté sur le rôle central du partage de la connaissance dans le développement économique.
  • C'est le message adressé par le président de la République en clôture de la World Investment Conference, qui s'est tenue jeudi et vendredi à La Baule. Nicolas Sarkozy concluait ainsi le thème sur lequel plus de 1 000 participants ont planché, arrivant au diagnostic que non seulement l'innovation, mais aussi «l'énergie créative» feront de l'Europe un territoire plus attractif et plus compétitif.
  • ...7 more annotations...
  • «Le capital humain créateur de valeur est la future priorité de l'Europe.»
  • Les entreprises l'ont anticipé. Mark Lloyd (département design chez Citroën) compare son métier à celui de jardinier : «L'idée n'est pas de créer de nouveaux produits, mais de les fertiliser. Aujourd'hui, on innove pour créer une image de marque : c'est beaucoup plus complexe que ce que nous faisions il y a dix ans !»«L'industrie de la connaissance est l'avenir de l'Europe», lâche aussi Jaques Guers, président de Xerox France, entreprise spécialisée dans la bureautique et l'imprimerie. Ainsi, son centre de recherche et développement de Grenoble travaille sur «le sens des mots, pas sur la forme. Nos clients ont besoin de ce nouveau savoir».
  • Une idée largement partagée par Ashok Narasimhan, fondateur de Wipro Technologies : «90 % de la valeur ajoutée se trouve dans la résolution des problèmes du client, pas dans la technologie.
  • t ce ne sont pas les investissements étrangers qui créent de l'emploi, ce sont les réseaux et l'intelligence.» Ce n'est pas Gigi Wang, en charge du MIT Stanford Venture Lab, qui le contredira. Selon elle, la clé du succès est aussi dans «la mise en réseau». Dans son laboratoire, où se croisent entrepreneurs en herbe, entreprises matures ou encore chercheurs, elle dit «éduquer la communauté à l'innovation et la productivité, en profitant de toutes les intelligences».
  • Un Facebook pour entreprises
  • Le réseau, c'est ce que compte bien exploiter François Barrault, PDG de BT Services. Selon lui, ce sont les évolutions de ces dernières années qui rendent une nouvelle forme d'innovation indispensable. «En un an, les connexions à Internet ont été multipliées par 14 en Asie. Désormais, la connaissance est distribuée.» Pour transformer cette connaissance en innovation, BT Services lance un produit qu'il qualifie de «révolutionnaire : un Facebook pour les entreprises». Sur ce réseau, «des idées et des expériences pourront être partagées, des solutions trouvées : on passe d'un modèle : je sais donc je suis à un modèle je sais donc je donne . Ce partage de la connaissance crée de l'innovation. Alors qu'il y a quelques années, on mettait des barbelés autour des centres de R & D».
  • «Attention quand même à la propriété intellectuelle», met en garde Francis Bailly (General Electric). Et de rappeler que le développement d'une molécule prend vingt ans et coûte 1 milliard de dollar. «Si la recette se trouve sur Internet, plus personne ne voudra investir en développement. Les entreprises doivent certes se réinventer, mais surtout dans leur façon de travailler. C'est une autre forme d'innovation.» .
Fred L

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  • La première ressource aide les leaders à motiver l'innovation au bénéfice de l'entreprise
  • Harvard Business Publishing lance le centre de l'innovation Harvard Business Publishing, première source en matière de pratiques, de programmes et de contenus de management, a aujourd'hui présenté son Centre de l'innovation, une collection complète de ressources visant à offrir aux leaders des entreprises de nouvelles stratégies, des concepts efficaces et des tactiques éprouvées pour leur permettre d'encourager les pratiques en matière d'innovation au sein de leurs organisations.
  • xperts leaders en innovation Le centre de l'innovation explique aux managers et aux leaders comment maitriser les aspects clés de l'innovation, de la stratégie au management, en passant par le processus. D'éminents experts incluant notamment Scott Anthony, Clay Christensen, Gary Hamel, Dorothy Leonard, et Stefan Thomke, partagent leurs idées par le biais de vidéos, d'articles, de modules d'apprentissage, de séminaires universitaires, d'alimentation en nouvelles Usenet et d'autres ressources de grande qualité d'Harvard Business Publishing. "Une innovation réussie se traduit par d'excellents retours en termes de valeur durable. Pourtant, de nombreuses entreprises hésitent lourdement à faire des efforts pour développer de nouveaux produits, services et manières de faire des affaires.," a déclaré Peter McAteer, directeur et vice-président de la division d'apprentissage d'entreprise d'Harvard Business Publishing. "Les meilleurs innovateurs profitent d'une augmentation des revenus et des parts de marchés, attirent les meilleurs talents, génèrent des retours élevés pour leurs actionnaires et établissent des marques puissantes. A l'ère d'une concurrence de plus en plus rude, aucune entreprise ne peut se permettre de manquer de tels avantages." En utilisant le Centre de l'innovation, les managers apprendront à : Développer une solide stratégie d'innovation Motiver et gérer les forces créatives qui alimentent les innovations réussies Etablir un processus méthodique pour la mise en oeuvre d'une stratégie d'innovation
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