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vec le mouvement de données ouvertes associé au courant plus large du gouvernement ouvert, nous assistons à une libéralisation des données de différentes natures à une échelle inégalée, qu'elle soit administrative, scientifique ou géographique. En fait, ce courant d'ouverture de données publiques ne datent pas des récents partenariats du tandem Brésil / États-Unis dans la démocratie ouverte, il a été initié avant même l'ère du web 2.0. Dès 1966, le gouvernements des États-Unis a adopté la loi sur le libre accès à l'information, le gouvernement du Québec en 1982 initiait la Loi sur l'accès aux documents des organismes publics et sur la protection des renseignements personnels tandisque la France dispose d'une loi similaire depuis 1978 par la création de la Commission d'accès aux documents administratifs. Ces lois étaient utiles dans le contexte du temps, soit celui des médias traditionnels et des groupes d'intérêt ayant des requêtes précises en terme d'information publique. Les administrations ne diffusaient pas d'information publique de leur propre initiative et ne suscitait aucune participation ou collaboration venant de l'extérieur. L'ère d'Internet a changé la donne, puisque non seulement les médias, les groupes d'intérêt, mais aussi les citoyens ont pu demander plus d'information publique, car leurs moyens de traiter cette donnée étaient beaucoup plus grands.

il faut que les organisations qui ouvrent leur donnée développent un environnement ouvert (combinant autant que possible logiciels libres, données ouvertes et standards ouverts) permettant également aux citoyens de participer à l'amélioration de la qualité des données afin d'aboutir sur une collaboration complète entre la société civile et les producteurs de données. Cela permettrait à long terme d'améliorer l'efficacité des administrations publiques en stimulant la participation, l'innovation, le croisement de données, la collaboration constructive et l'amélioration de la qualité des données géographiques.

This paper analyses the role of "disruptive" innovative technologies in higher education. In this country and elsewhere, Higher Education Institutions (HEIs) have invested significant sums in learning technologies, with Virtual Learning Environments (VLEs) being more or less universal, but these technologies have not been universally adopted and used by students and staff. Instead, other technologies not owned or controlled by HEIs are widely used to support learning and teaching. According to Christensen's theory of Disruptive Innovation, these disruptive technologies are not designed explicitly to support learning and teaching in higher education, but have educational potential. This study uses Activity Theory and Expansive Learning to analyse data regarding the impact of disruptive technologies. The data were obtained through a questionnaire survey about awareness and use of technologies, and through observation and interviews, exploring participants' actual practice. The survey answers tended to endorse Disruptive Innovation theory, with participants establishing meanings for technologies through their use of them, rather than in keeping with a designer's intentions. Observation revealed that learners use a narrow range of technologies to support learning, but with a tendency to use resources other than those supplied by their HEIs. Interviews showed that participants use simple and convenient technologies to support their learning and teaching. This study identifies a contradiction between learning technologies made available by HEIs, and technologies used in practice. There is no evidence to suggest that a wide range of technologies is being used to support learning and teaching. Instead, a small range of technologies is being used for a wide range of tasks. Students and lecturers are not dependent on their HEIs to support learning and teaching. Instead, they self-select technologies, with use weighted towards established brands. The use of technologies

ous avez peut-être déjà vu Us Now. Ce long documentaire (60′) a été réalisé par Ivo Gormley, vidéaste et anthropologue qui travaille notamment au cabinet Think Public. A l'approche des vacances, il nous a semblé qu'il y avait là un documentaire passionnant à laisser à votre sagacité. Plus qu'un documentaire sur le web 2.0, le film est surtout une réflexion sur la confiance qui s'instaure entre les internautes, et comment celle-ci transforme les relations entre le gens. Un film qui regarde la collaboration de masse non pas sous l'angle d'une simple participation agrégative, mais sous celle de collaborations profondes et transformatives. Les institutions sont-elles déjà entrées en concurrence avec les groupes de citoyens organisés ? Le web abaisse-t-il vraiment le coût de la participation ?…

One of the defining characteristics of digital media is interaction. It enables us to be active, make choices, build connections, express ourselves and exercise a new level of control over our media experiences. But how active is the UK online population really? And how might this change in years to come? With these questions in mind, my team and I conducted a large-scale, long-term investigation into how the UK online population participates using digital media today - from sharing links, to writing blogs and uploading photos. And it revealed a fascinating, and at times, surprising picture.

Many business and IT leaders tasked with executing on social-media-based efforts do not place enough emphasis on the "social" aspect of community participation, according to Gartner, Inc. Although numerous organizations have achieved social media success, failure rates are very high because leaders and managers rely too heavily on social technology functionality and often miss the critical design concerns. "Far too many social media endeavors are failing because the managers leading the efforts lack knowledge of the fundamental principles of mass collaboration," said Anthony Bradley, group vice president at Gartner. "Business and IT leaders must understand the basic nature of mass collaboration and how to deliver on its unique value. Like never before, millions of people can simultaneously create content, share experiences, build relationships, and engage in other forms of productive work and meaningful activities."

"e laboratoire VTÉ sur le manuel numérique est maintenant lancé. Et c'est les mains sur les touches que les participants pourront découvrir, au fil des prochaines semaines, comment convertir leurs documents en manuels numériques. Lors de notre première rencontre, Réjean Payette, enseignant et chercheur dans le domaine, a dressé la table. Il a d'abord exposé les attentes des enseignants et des étudiants en matière de manuel numérique pour ensuite étayer ce qui était maintenant à leur portée pour les satisfaire… autant que possible."

Très intéressant ce reportage de Daniel Carrière et Pier Gagné à Découverte sur le remplacement des tableaux verts par des écrans tactiles dans les classes du Québec. Le gouvernement a en effet annoncé l'an dernier que les profs allaient abandonner leurs ardoises pour les remplacer par des tableaux blancs interactifs d'ici cinq ans. Investissement: 240 millions$ pour 43 000 tableaux. On souhaite ainsi rattraper le retard technologique dans nos écoles. Des spécialistes remettent en question cette solution, ne la jugeant pas suffisamment participative; selon eux, les élèves restent observateurs passifs sans être directement sollicités. L'alternative qu'a choisie la commission scolaire Eastern Townships est révélatrice: l'institution a plutôt décidé il y a neuf ans de fournir un ordinateur portable à chacun de ses élèves, ce qui a coûté 15 millions$. L'institution est passée de la 67e à la 23e position dans le classement des écoles, et le taux de décrochage a fondu de moitié, passant de 42% à 22%, ce qui n'est pas rien. À ce titre, l'école Les Compagnons-de-Cartier de Ste-Foy a fait figure de précurseur, optant pour les ordinateurs portables il y a déjà 15 ans.

JEU - Le studio français Lexis Numérique lance ce lundi une fiction entre jeu vidéo, feuilleton romanesque et Web-série... L'avenir des Web-séries se joue peut-être ici. Avec l'expérience «Alt-Minds» lancée ce lundi en Europe dans quatre langues, ses participants vont être plongés «en temps réel» pendant huit semaines dans un thriller interactif. Une tentative de «fiction totale», selon les termes d'Eric Viennot, qui a développé ce projet avec son studio français Lexis Numérique.

Les activités de l'Institut Technologies de l'information et Sociétés (ITIS) répondent à quatre grandes priorités : Valorisation et diffusion des connaissances Diffuseur de connaissances, l'ITIS met en valeur les travaux de recherche menés sur le campus de l'Université Laval, auprès de clientèles ciblées autant que du grand public. Convergence et accessibilité Agent de liaison et carrefour de convergence, l'ITIS favorise les interactions entre les chercheurs de l'Université Laval, l'industrie des TI et la communauté. Il encourage et développe la mise en commun des expertises internes et externes dans la mise en place et le développement de projets innovants en technologies de l'information. Développement des occasions d'affaires Levier stratégique, l'ITIS cherche à créer des occasions d'affaires et des partenariats dans les domaines de la formation et de la recherche en TI. Il utilise donc ses ressources à des fins de conseil, de vigie, d'accompagnement et de développement. Relève et formation Ressource de référence, l'ITIS organise des activités visant à attirer de nouveaux étudiants ou professionnels dans les domaines liés aux technologies de l'information et participe à la création de programmes de formation rattachés à la sphère des TI.

In many countries across the world, discussions, policies and developments are actively emerging around open access to government data. It is believed that opening up government data to citizens is critical for enforcing transparency and accountability within the government. Open data is also seen as holding the potential to bring about greater citizens' participation, empowering citizens to ask questions of their governments via not only the data that is made openly available but also through the interpretations that different stakeholders make of the open data. Besides advocacy for open data on grounds of democracy, it is also argued that opening government data can have significant economic potential, generating new industries and innovations.

En pleine tourmente, le géant montréalais de l'ingénierie SNC-Lavalin a lancé un appel par courriel, le 12 avril dernier, qui invitait les destinataires à participer à un sondage sur LaPresse.ca.

Le Congrès mondial sur les technologies de l'information (WCIT 2012) est une conférence de trois jours autour du thème « UNE vision pour une société numérique mondiale ». Il mettra en vedette plus de 100 conférenciers de renom et attirera jusqu'à 3 000 délégués de plus de 80 pays, y compris des représentants de l'industrie, de gouvernements, du monde universitaire et de la société civile. Les volets suivants en feront partie : Un World Tech Jam où des milliers de délégués du congrès et de participants en ligne collaboreront et partageront leurs idées, leur passion et leurs points de vue dans une véritable approche ascendante de création d'un plan d'action pour une société numérique mondiale. Un panorama avant-gardiste sur les promesses de la révolution numérique, présenté par un éventail de conférenciers d'honneur inspirants, de véritables gourous dans le domaine numérique. Des tables rondes d'experts composés de maîtres à penser de renommée internationale des secteurs gouvernemental, industriel et universitaire discuteront de ce que font les innovateurs de premier rang et les pays les plus avant-gardistes, puis réfléchiront à la façon dont la collaboration numérique entre les parties intéressées permettrait de réaliser les promesses de l'ère numérique. Des séances intensives en ateliers, où les délégués, les modérateurs, les représentants de l'industrie des TIC et les parties intéressées classeront par ordre de priorités les suggestions du World Tech Jam. Des vitrines de présentations où des innovateurs canadiens et de jeunes innovateurs de la planète exposeront leurs idées qui transforment le monde et répondront aux questions de l'auditoire. Des séances de réunion interentreprises structurées (B2B) visant à renouveler des contacts ou établir des partenariats multinationaux et intersectoriels avec des cadres supérieurs d'entreprises provenant de pays développés et d'éco

le Regroupement des intervenants francophones en santé et services sociaux de l'Ontario (RIFSSSO) développe et soutient le leadership professionnel de ses membres. Il vient de lancer, le lundi 17 octobre, « esante-ontario », un réseau virtuel de collaboration. Ce nouveau réseau très moderne devrait permettre d'apporter une réponse, ou au moins, une partie de réponse aux problèmes des intervenants francophones en matière de santé. L'un des principaux défis pour ses acteurs, qui souhaitent souvent participer à des formations ou des ateliers, est la distance qui les sépare de ces activités. Une distance, coûteuse en temps, et en argent. Jusqu'ici, de nombreux intervenants se passaient de ces formations.

Le musée participatif : dimensions sociales, collaboratives et participatives de la médiation culturelle à travers les outils numériques

Ce rapport présente l'analyse des questions relatives à la diffusion, à l'usage et à l'image des technologies de l'information et de la communication en France. Ces questions ont été insérées, par le CGIET et par l'ARCEP, dans la vague de juin  2011 de l'enquête du CREDOC sur les « Conditions de vie et les Aspirations ». C'est la onzième année de participation du CGIET à ce baromètre, et la neuvième année pour l'ARCEP.  Ce document se présente en trois parties : la première concerne la téléphonie fixe et mobile ; la deuxième a trait à l'ordinateur et à Internet ; la troisièmes'intéresse aux différents modes d'accès à la télévision.

Pour comprendre la mutation numérique en cours, on peut l'étudier à la lumière de celles qui, avant elle, ont bouleversé nos façons de penser, de voir le monde, de discuter. L'émergence d'une technologie cognitive bouleverse et réagence les processus de délibération qui régissent les pratiques d'une communauté ou d'une société. Le bouleversement peut concerner l'architecture du réseau de délibération, les organisations et individus qui participent à la délibération, les normes et conventions qui la structurent. Ou tout cela à la fois.

C'est sans doute dans l'espoir de mettre la main sur les 10 astuces du parfait animateur de communauté que les participants au Printemps des réseaux sociaux de Québec (#PRSQC, 3 et 4 avril 2012) se sont dirigés vers la conférence de Kim Auclair, présidente et animatrice de communauté Web chez niviti.

A report calling for more government transparency and citizen participation through the use of technology made 32 recommendations to make Quebec an open administration. Here are selected highlights.

COLUMBUS - Connect Ohio is pleased to have Gallia County Economic Development in conjunction with Gallia County Jobs and Family Services (JFS) as partners in the statewide Every Citizen Online (ECO) broadband training project and has already trained 198 adults throughout the county. Classes are forming now at the Gallia County JFS center, located at 848 Third Avenue, in Gallipolis. Participants can register by calling (740) 446-4612 ext. 257. The free computer and Internet basics course is helping area adults connect and communicate in ways many people take for granted. The coursework, geared toward first-time computer and broadband users, includes computer basics, an introduction to the Internet, and how broadband can be helpful in daily life.

Le Fonds des médias du Canada (FMC) commencera aujourd'hui sa tournée de rencontres d'information pour répondre aux questions des requérants concernant les principes directeurs 2012-2013, les résultats de financement pour l'exercice 2011-2012, et le processus de demande de financement. Ces rencontres seront animées par Nathalie Clermont, directrice de la gestion des programmes du Fonds des médias du Canada. Elle sera accompagnée par deux représentantes de l'Administrateur des programmes du FMC|Téléfilm Canada, à savoir Roxane Girard et Dominique Lapierre qui seront présente pour le marché francophone, et Roxane Girard et Francesca Accinelli qui seront présentes pour le marché anglophone. Les intervenants de l'industrie sont invités à participer à ces rencontres.  Des invitations individuelles ont été ou seront envoyées, Cependant, vous pouvez aussi nous contacter pour confirmer votre présence. Pour toute information concernant les programmes du FMC, visitez notre site www.cmf-fmc.ca.