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Jean-Marie Cognet

Inversons la Classe ! La classe inversée - du face-à-face au côte à côte - 0 views

  • Notre Actualité Le prochain Tweetchat #classeinversee aura lieu le mercredi 4 novembre, de 21h à 22h (heure française) Où trouver des formations à la classe inversée ? La semaine de la classe inversée (CLISE 2016) aura lieu du 25 au 29 janvier, le Congrès de la classe inversée (CLIC 2016) est prévu pour les 1 et 2 juillet 2016 (3 juillet : journée de formation aux outils) Le CLIC2015, 1er congrès national sur la classe inversée a eu lieu les 3 et 4 juillet au lycée Montaigne à Paris. Bientôt disponible : les comptes rendus d’atelier et les captations effectuées. Cliquez ici pour retrouver la couverture médiatique et des retours de participants.  Merci à tous pour ces deux jours d’échange intenses et fructueux !
Jean-Marie Cognet

Classes inversées et MOOC, quand la révolution numérique s'invite dans le cha... - 1 views

  • En revanche, la "flipped class" semble avoir davantage le caractère d'une révolution copernicienne. Tous ceux qui la mettent en œuvre se plaisent à souligner son aspect "disruptif". Elle introduit en effet un changement majeur dans l'organisation du double travail d'enseignement et d'apprentissage. Au niveau de chaque processus s'opère un dédoublement.Le travail de l'enseignant se dédouble en travail a priori d'élaboration d'un contenu qui, sous la forme de "capsules vidéo", de documents numérisés, de textes illustrés, de PowerPoint, sera mis à la disposition des apprenants, lesquels en prendront connaissance sur leur ordinateur, tablette ou smartphone. Et travail a posteriori d'accompagnement des élèves se livrant en classe à des activités encadrées : révisions, exercices, discussions, travaux en équipe.
  • La classe inversée peut être la porte d'entrée dans une "SmartEcole", utilisant de façon intelligente les outils apportés par la révolution numérique. Mais sans doute reste-t-il une dernière étape à franchir pour que s'accomplisse une véritable révolution pédagogique, que la révolution numérique pourra au mieux faciliter, mais qu'elle ne déterminera jamais à elle seule, et que la classe inversée, en l'état, ne réalise pas. Car elle reste à l'intérieur d'une dichotomie qu'il nous paraît nécessaire de remettre en question.En effet, l'inversion concerne ce qui se fait traditionnellement à l'école (confrontation au contenu d'un cours), et ce qui se fait traditionnellement à la maison (exercices pratiques d'application et de consolidation). Le temps scolaire, et le temps familial. Mais pourquoi accepter cette dichotomie classe/maison ? On réintroduit l'activité personnelle en classe, ce qui est une excellente chose ; mais pour laisser l'élève seul, et livré aux seules ressources de son environnement social, au moment décisif de l'appropriation d'un contenu
  • Que dirait-on d'une entreprise qui contraindrait ses employés à emporter tous les soirs à la maison le plus dur du travail à faire ?Pour une "révolution" permettant à l'école de jouer pleinement son rôleTout doit se faire à l'école, pour une raison simple. On ne peut pas abandonner ceux qui ont la difficile tâche d'apprendre aux seules conditions et forces de leur milieu d'origine, en ce moment décisif que constitue l'assimilation d'un contenu et la construction d'un savoir. Pour une "révolution" permettant à l'école de jouer pleinement son rôle Tout doit se faire à l'école, pour une raison simple. On ne peut pas abandonner ceux qui ont la difficile tâche d'apprendre aux seules conditions et forces de leur milieu d'origine, en ce moment décisif que constitue l'assimilation d'un contenu et la construction d'un savoir.
Jean-Marie Cognet

Quand les nouvelles pédagogies bousculent l'enseignement supérieur | Il y a u... - 1 views

  • Si la pédagogie devient peu à peu un enjeu majeur c’est notamment parce qu’il faut bien imaginer comment les 350 000 nouveaux étudiants qui doivent rejoindre l’enseignement supérieur dans les dix ans vont pouvoir y réussir. 300 millions d’euros vont ainsi être consacrés au développement des pédagogies dans l’enseignement supérieur dans le cadre des « Nouveaux cursus à l’université ».
  •  En école de management nous individualisons déjà les parcours pour renforcer les étudiants dans leurs manques identifiés suite à des tests de langue, informatique, gestion, etc. », établit Jean-Christophe Hauguel dont les étudiants peuvent aussi compter sur des contenus multimédias dans le cadre de son programme grande école qui est l’un des seuls à être 100% en ligne.
  • L’Ecole de management Léonard de Vinci (EMLV) recourt quant à elle largement à la « classe inversée » : pour plus de la moitié de nos cours l’acquisition des connaissances doit se faire en dehors de la salle de cours. « En amont, nous demandons à nos étudiants de lire tel ou tel chapitre d’un livre sur la finance (nous sommes abonnés à Scholarvox par exemple), de regarder des vidéos, des Moocs, etc. Autant de connaissances dont nous vérifions la bonne acquisition dès le début du cours par une séquence de test de 5 à 10 minutes. Cela correspond à la fois à une demande de nos étudiants, qui ont de plus en plus de mal à suivre des cours magistraux, et des professeurs qui peuvent mettre en application les données acquises au travers d’exercices », explique le directeur de l’EMLV, Sébastien Tran.
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  • « La classe inversée rend du temps aux étudiants qui font plus appel au collectif. A contrario les plus égocentrés souffrent car ils n’apprécient pas de voir leur travail dilué », établit Albéric Tellier, responsable du master Management de l’innovation de l’IAE Caen.
  • L’introduction de ces nouvelles pédagogies est facilitée par l’utilisation de nouveaux espaces, de nouveaux matériels. Essca EM (Angers-Paris) a ainsi créé des salles de classe dite intelligentes appelées PECT (Pédagogie en Environnement Collaboratif et Technologique) aménagées et équipées de façon à renforcer l’interactivité entre le professeur et les élèves mais aussi entre les élèves et à vérifier, en temps réel, la bonne acquisition des connaissances. Des vidéoprojecteurs et des écrans blancs installés offrent une vision à 360° pour tous les îlots de travail collaboratif qui sont eux-mêmes de forme ronde. Des « mini-quiz » réguliers envoyés sur tous les ordinateurs des étudiants donnent la possibilité aux professeurs d’obtenir des statistiques anonymes et immédiates. « Ces outils permettent à l’enseignant de passer facilement d’un registre pédagogique à un autre (cours magistral, exercices individuels, mini-travaux de groupe, etc.) et de relancer ainsi l’attention des étudiants », confie Stéphane Justeau, le directeur de valorisation de l’enseignement de l’école.
  • Du côté de Sciences Po, qui vient de créer un laboratoire de « pédagogie active », on ne nie pas les difficultés mais on positive. « C’est clair que c’est plus facile de trouver des professeurs volontaires quand il existe des financements. Mais beaucoup sont également volontaires quand nous réussissons à faire la démonstration de l’utilité des pédagogies innovantes. Il règne une vraie émulation collective dès lors qu’on peut montrer à ses pairs ces réalisations et que nous pouvons les accompagner », a
Jean-Marie Cognet

Pour vous les MOOC, c'est ? - 1 views

  • Pour 47% des professionnels de formation  qui ont répondu au sondage, les MOOC sont un phénomène de mode.
  • 22% considèrent que les MOOC sont une évolution prévisible du Blended Learning. Ils ont raison : les MOOC composent diverses modalités de formation (médias), à distance, voire en présentiel (par exemple quand les MOOC interviennent dans des dispositifs de classe inversée, même si certains différencient classe inversée et Blended Learning), auto-formation accompagnée ou non, etc. Evolution aussi, car les MOOC mettent du social au coeur du Blended Learning, ce qui n’est guère le cas des dispositifs habituels ; évolution dans les formats, de plus, avec une prééminence de la vidéo
  • 9% seulement des professionnels de formation interrogés pensent que les MOOC sont plutôt réservés aux particuliers.
Florent Thiery

L'école de demain vue par Marcel Lebrun - 0 views

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    "L'entrée de l'école dans l'ère du numérique soulève de nombreuses interrogations sur l'évolution des pratiques éducatives. De nouvelles formes de pédagogies actives s'appuient ainsi sur les MOOC et les dispositifs de classe inversée... Que faut-il réellement en attendre ?", interroge Marcel Lebrun dans le numéro 156 de Economie & management.
Jean-Marie Cognet

John Hennessy (Stanford) : "Les Mooc ne fonctionnent pas comme prévu initiale... - 0 views

  • En 2012, vous aviez prédit un tsunami pour l’enseignement supérieur avec l’arrivée des Mooc. Quatre ans plus tard, qu’en pensez-vous ? Nous avons compris quelque chose de vraiment important au sujet des Mooc : il est très difficile de construire un cours pour des milliers d'étudiants n'ayant pas les mêmes acquis et le même parcours. Si vous regardez les retours des étudiants sur les Mooc, ils sont partagés. Pour certains, le cours va trop vite, pour d'autres, il est trop dur, ou trop simple ou encore trop lent. Le résultat est qu'il y a un taux d'abandon très élevé. Les Mooc ne fonctionnent pas comme prévu initialement. Mais il y a des alternatives qui sont tout à fait prometteuses dans toutes les disciplines. La classe inversée en est une, les Spoc [small private online courses] fonctionnent bien avec des étudiants qui ont le même type de parcours. Je pense que la demande pour ce genre de modèle va clairement augmenter.
  • À quoi ressembleront les universités en 2030 ? Je pense que les meilleures universités offriront encore beaucoup de possibilités aux étudiants. Aller à la fac est une expérience d'apprentissage qui est complètement différente de celle d'apprendre chez soi, seul, devant son ordinateur. L'apprentissage sera probablement plus expérimental et orienté vers les problèmes et les projets. Selon moi, les classes inversées se multiplieront et pourront se substituer au cours magistral classique.
  • Les progrès les plus attendus concernent le machine learning [ou adaptive learning], adapté à l'apprentissage en ligne. Le processus d'apprentissage n'est pas simple et monolithique. Certains étudiants apprennent mieux avec un manuel, d'autres avec des vidéos et d'autres encore dans un cours classique. Imaginez un cours en ligne qui vous guide et vous aide dans votre apprentissage quand vous butez sur une difficulté. Une machine qui analyse et diagnostique votre façon d'apprendre.
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  • Les technologies servent à amplifier ce que fait l'enseignant, pas à le remplacer...
Jean-Marie Cognet

Politique, numérique et éducation : qui décide pour les autres ? | Formation ... - 0 views

  • l'émergence de l'école "inversée". Les élèves regardent et écoutent le contenu d'eux-mêmes hors classe sur leur tablette et font plutôt des travaux en classe. Sûr, l'idée est séduisante : les profs préparent leurs cours comme autant de clips vidéos qu'ils enregistrent à l'avance. Et qu'ils "remettent" aux élèves afin que ceux-ci les visionnent  à la maison. En classe, les élèves travaillent plutôt en mode projet et en groupe, l'enseignant se déplaçant d'un groupe à l'autre, inspirant et motivant les élèves à la façon d'un efficace mentor ou d'un gestionnaire d'entreprise visionnaire. 
lauraschmitz1992

Le numérique transforme l'enseignement - 0 views

  • Dans le supérieur, on peut assister aux cours de professeurs renommés dans le monde entier, depuis chez soi, grâce aux MOOC, les « Massive Online Open Courses ». Mais également dans les collèges et lycées où le principe de la « classe inversée » gagne en popularité. La classe devient lieu d’échange et d’approfondissement de connaissances acquises à distance.
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    "haque élève ou étudiant s'organise comme il le veut durant les phases d'apprentissage à distance. Et sa marge de liberté s'est ­accrue sur les lieux d'ense"
lauraschmitz1992

Classes inversées et Mooc, révolution copernicienne dans l'enseignement... vr... - 1 views

  • C'est en classe qu'il faut inverser la classe. La véritable révolution copernicienne s'accomplira quand l'inversion entre les deux temps de travail s'effectuera au sein même de l'école, dans une rythmicité féconde. Il faut réintroduire à l'école le temps d'appropriation personnelle d'un contenu, qui relève de la mission de l'école. Il faut articuler en son sein même les deux temps d'acquisition et de consolidation.
Jean-Marie Cognet

L'école inversée ou comment la technologie produit sa disparition | InternetActu - 0 views

  • "Utiliser la technologie pour humaniser la classe",
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    "Utiliser la technologie pour humaniser la classe"
Jean-Marie Cognet

Les secrets de l'enseignement 2.0 : do it with others ! | UCLouvain - 1 views

  • « L’innovation, ce n’est pas un changement de méthode mais changer sa façon de travailler. » C’est aussi un autre mode de transmission : ‘il n’y a plus l’un qui sait et l’autre qui apprend. C’est la capacité à se mélanger et à réfléchir, ensemble. « Une sorte de mouvement perpétuel. »
  • Jean-Charles Cailliez est un infatigable innovateur. Vice-président innovation de l’Université catholique de Lille, il est toujours à la recherche de nouvelles approches d’enseignement. Mais attention, pas pour remplacer les bonnes vieilles méthodes d’apprentissage : « J’observe que les professeurs les plus innovants sont aussi les meilleurs en enseignement académique. »
  • Quand on pousse fort l’innovation, on transmet sans doute moins de connaissances, mais c’est plus durable. » D’où l’utilité d’alterner. Pour osciller entre quantité et qualité.
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  • Le secret de l’enseignement 2.0 ? Le DIY (do it yourself). Avec l’embarras du choix : les classes inversées ou même renversées : « Là, ce sont carrément les étudiants qui donnent cours au prof. Ils travaillent en équipe, confrontent leurs connaissances et créent ainsi le contenu. Soit le do it with others ». Les cartes mentales, l’apprentissage par projet, les web TV ou wiki radio, « une manière de remplacer les examens oraux par une émission à construire, soit 5 minutes de live pour montrer s’ils ont compris la matière ! »
  • « ces innovations ne remplacent pas l’enseignement académique, elles le renforcent. La bonne articulation ? 80 % de cours aca et 20 % d’innovations. » Une multitude d’expériences qui permettent « à chacun d’apprendre à son rythme et de s’approprier SA méthode d’apprentissage. »
  • Et, plus surprenant, entre employeur et jeunes diplômés aussi. Lorsqu’ils sortent de l’unif, ils veulent retrouver cet esprit collaboratif. « Si l’université a été capable d’évoluer, le monde de l’entreprise doit embrayer.
  • Qui sera l’étudiant en 2035 ? « La plupart auront de 18 à 23 ans, avec une proportion plus importante de personnes plus âgées. L’ âge est moins important que leurs besoins particuliers auxquels nos programmes d’étude ne pourront pas répondre. » Un agriculteur de 40 ans qui veut créer un projet en permaculture cherchera des éléments d’agronomie, de gestion, de droit mais pas un master en cinq ans. « Si on ne le fait pas, d’autres le feront, y compris des privés ».
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