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Le Figaro - Emploi : Ces recruteurs qui posent des énigmes impossibles - 0 views

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    Pour décrocher le job de ses rêves chez Google, Apple, ou d'autres grosses entreprises qui font rêver, il est nécessaire de répondre à des questions délirantes ou des énigmes parfois sans queue ni tête. Quand le vent souffle, est-ce qu'un vol aller-retour en avion prend plus de temps, moins de temps, ou le même temps? Exemples :  * D'après un sondage, 70% des gens aiment le café, et 80% aiment le thé. Quelles sont les limites supérieures et inférieures pour la proportion de gens qui aiment à la fois le café et le thé? * Utilisez un langage de programmation pour décrire un poulet. (énigme qui est fréquemment utilisée en entretien chez Google) * Vous êtes dans un couloir de pierre de 2,5 mètres de section. Le Prince des ténèbres apparaît devant vous. Que faites-vous? (question posée chez Microsoft)
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Licencié pour avoir envoyé des emails personnels au travail - Challenges - 0 views

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    Un employé de bureau d'études passait trop de temps à envoyer des mails douteux. La justice a validé son licenciement. Contrôle - surveillance du contenu des mails - évaluation de la productivité des travailleurs 
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Pourquoi travailler à la maison est le pire des deux mondes - Fast Company - 0 views

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    Karen Finerman livre une charge sans concession (et bourrée de mauvaise foi) contre le télétravail qui permet de réentendre les arguments des opposants.
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Pourquoi aucune grande ville américaine n'a de réseau local haut débit - The ... - 0 views

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    Aux Etats-Unis, l'Institute for Local Self-Reliance a cartographié les villes qui disposent de leur propre réseau local en haut débit. 340 disposent d'un réseau qu'elles gèrent elles-mêmes et la plus grande ville qui propose un réseau haut débit public est Lafayette en Louisane (120 000 hab.).
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Tout partager : pourquoi la façon dont nous consommons à changer pour toujour... - 0 views

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    Le développement de la consommation collaborative va avoir un impact majeur sur la façon dont on conçoit la ville et notamment l'espace public urbain, estime Emily Badger pour The Atlantic Cities. Le partage va changer notre façon de concevoir l'espace urbain et d'en résoudre les problèmes. Encore un étrange article sur la consommation collaborative qui explique que la principale motivation de l'économie collaborative c'est rendre plus efficace notre propriété.
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Calenda - De la « démocratie » en entreprise. Dialogue social et représentati... - 0 views

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    Appel à communication pour un numéro de la revue "Politiques de communication" prometteur (qui sortira en septembre) L'argumentaire est intéressant. "Le dossier apportera une série d'éclairages complémentaires pour savoir où en est réellement la représentation des salariés, comment les acteurs perçoivent et vivent la transposition de l'idéal démocratique dans leur vie professionnelle, pour cerner la réalité du dialogue social tel qu'il est pratiqué"
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"J'appelle un ami..." La mobilisation du réseau chez les entrepreneurs | Muti... - 0 views

  • marche la plus difficile est celle qui nous fait passer de 0 à 1 »
  • Aujourd’hui, l’explosion des plateformes de mises en  relation (professionnelles -Linkedin- ou non -Facebook-) a changé la donne pour ce qui est de faire appel à son réseau afin d’obtenir une ressource, et ce quelle que soit sa nature;
  • si la mobilisation du réseau a évolué dans sa forme, qu’en est-il du choix même de la mobilisation du réseau?
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  • A quel moment et pourquoi
  • dans la visée d’obtenir une ressource qui, dans l’immédiat, lui fait défaut?
  • phénomène de mobilisation des réseaux et des energies
  • l’entreprise est une réponse à des besoins économiques mais est également « construite par des individus dont l’action est à la fois facilitée et limitée par la structure et les ressources disponibles des réseaux sociaux où ils s’inscrivent ». Le cadre social de l’entreprise facilite l’accès aux ressources car il réunit un ensemble de connaissances et de compétences complémentaires. Mais il peut s’avérer limitant si la rigidité des structures et le manque de communication avec l’exterieur freinent l’entreprise dans son accès aux ressources manquantes.
  • lorsqu’on se lance dans la création d’entreprise, tout est à construire ou à trouver : on ne dispose pas encore de toutes les ressources nécessaires à la réalisation du projet
  • son joker : son réseau et ses amis.
  • ’importance de la mobilisation des relations sociales dans le processus de création d’entreprise
  • pour accéder à des ressources par rapport à l’usage d’autres voies d’accès à ces ressources que sont les dispositifs de médiation comme par exemple l’appel contractuel à un bureau d’architectes pour le design du lieu de travail.
  • Le mode d’accès par les dispositifs de médiation s’oppose à la mobilisation du réseau social dans le sens où il s’agit d’accéder à des ressources sans disposer de relation préalable
  • possible de faire directement appel à un professionnel dont le métier est précisément de jouer les intermédiaires
  • recrutement, la cooptation est pratiquée très largement
  • « au fil du processus de création, les médias et les organismes privés interviennent de plus en plus, alors que la présence des organismes publics et des médiateurs humains diminue avec la période initiale ».
  • place prépondérante des relations sociales pour des entreprises ayant moins de trois ans d’existence
  • Il existe également des moyens « matériels » qui permettent aux entrepreneurs d’accéder à un certain nombre de ressources. On pense notamment aux médias (presse, web),
  • moins que le réseau social privé, c’est le réseau professionnel qui joue à plus de 80%, amis de travail ou  connaissances ponctuelles
  • éseau professionnel n’est pas uniquement issu du milieu du travail, mais s’est également formé durant les études ou par le jeu de la sociabilité
  • l n’existe pas de corrélation entre l’efficacité et la pérennité du réseau mobilisé : autrement dit, les « liens forts » (amis, anciens collègues) n’apparaissent pas plus efficaces que les « liens faibles » (recommandations).
  • en relation les types de ressources et leur accès
  • «si tous les types de ressources sont susceptibles de mettre en jeu des relations sociales, celles-ci sont particulièrement sollicitées pour le montage de partenariats, le recrutement des employés ou le choix des fournisseurs, et relativement peu pour les informations ou idées permettant de monter le projet, et le financement ».
  • la mobilisation du réseau social reste prépondérante dans le processus de création d’entreprise, celle-ci est toujours en interaction (que ce soit par complémentarité ou concurrence) avec les autres formes d’accès aux ressources
  • question qui se pose pour l’entrepreneur est alors de savoir où placer le curseur; autrement dit quand s’avère-t-il plus sage, ou plus optimal, de faire appel à un dispositif de médiation?
  • C’est généralement la répartition de ressources et la confiance dans les autres acteurs qui dictera sa conduite.
  • « réseau social» auquel fait appel un entrepreneur
  • elativiser au cas par cas
  • De manière un peu caricaturale, on pourrait retenir un code de conduite : si c’est une histoire de qualité : conseils, partenaires, employés, faites confiance à vos amis, si c’est une histoire de quantité (fonds, locaux…) demandez à ceux qui en ont !
  • quelle place reste-il aux réseaux sociaux générateurs de liens “faibles” , dont l’éloignement peut faire douter de la capacité de mobilisation réelle du réseau.
  • les liens forts sont les seuls à permettre d’engager concrètement des collaborations et une aide importante nécessitant un niveau de confiance élevé
  • limite d’Internet, les liens faibles qu’il génère favorisent l’accès à l’information mais la collaboration réelle nécessite toujours une confiance et un sentiment d’engagement mutuel
  • l’accès aux connaissances et aux compétences utiles, ce n’est pas seulement savoir à qui s’adresser, c’est c’est aussi savoir s’insérer dans un environnement riche en sérendipité … 
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    "Aujourd'hui, l'explosion des plateformes de mises en  relation (professionnelles -Linkedin- ou non -Facebook-) a changé la donne pour ce qui est de faire appel à son réseau afin d'obtenir une ressource, et ce quelle que soit sa nature; conseils techniques, juridiques, fonds, locaux… Ce phénomène a clairement bouleversé les manières d'envisager l'entrepreneuriat : en plus de faciliter les démarches, il ouvre un champ des possibles infiniment plus large qu'il y a trente ans pour une même action entrepreneuriale." "De manière un peu caricaturale, on pourrait retenir un code de conduite : si c'est une histoire de qualité : conseils, partenaires, employés, faites confiance à vos amis, si c'est une histoire de quantité (fonds, locaux…) demandez à ceux qui en ont !"
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Vie au bureau: à chaque pays ses traditions et ses règles - Challenges - 0 views

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    "Une étude menée par Steelcase détaille les caractéristiques de l'espace de travail dans 11 pays. L'entreprise française offre-t-elle plus de chances de s'épanouir? Rien n'est moins sûr…"
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Multitasking : comment rester efficace au travail ? - Keljob.com - 0 views

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    quelques conseils pour gérer la multi-activité :  to-do-list / priorisation / réduire le nombre d'interruptions au travail / faire des pauses / 
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Robocolleague | The Economist - 1 views

  • As technology improves, Mr Autor writes, a pattern emerges. Machines take over routine tasks like repeated number-crunching or the welding of car parts. Such jobs can be programmed into machines using detailed, specific instructions. Displaced human workers are then reassigned to do more improvisational or intuitive work. At airline check-in counters, say, computers are displacing employees from mundane tasks like printing boarding passes. That makes it easier for the humans to respond to unexpected problems like cancelled flights or changed itineraries.
  • Machines serve as both a substitute for, and a complement to, labour in other industries.
  • Historically, technological advances have been relatively benign for workers. Labour-market trends through the 19th and 20th centuries show surprising continuity, according to Lawrence Katz of Harvard University and Robert Margo of Boston University. In recent decades, for example, computerisation and automation have displaced “middle-skilled” workers at the same time as employment among high- and low-skilled workers has increased.
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  • Firms may find it more attractive to invest in technologies that boost the productivity of less-skilled domestic labour, pushing up their wages. One day, clever robots may change this. But as long as humans retain the edge on cognitive flexibility, firms will keep putting willing workers to good use.
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    Robots are getting more powerful. That need not be bad news for workers
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Fin du télétravail chez Yahoo, Marissa Meyer s'explique - 0 views

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    "Les abus réguliers des employés de Yahoo auraient conduit Marissa Meyer à réduire certains privilèges et notamment interdire le télétravail. La vérification a été très simple, il a suffi de consulter les logs de connexions VPN..."
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Jean-François Marcotte: L'émergence de l'économie des biens communs - 1 views

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    article sur l'économie des biens communs Wikispeed / Sesamath / etc. 
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Peer Production Licence : une licence conçue pour les biens communs ? | :: S.... - 0 views

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    Un article de Lionel Maurel sur les licences, mais qui contient en son sein une référence intéressante d'entreprise produisant des biens communs, et rétribuant ses contributeurs. Ce fonctionnement est rendu possible grâce à un système d'Open Value Network : c'est-à-dire un système de traçabilité des actions, et d'évaluation des contributions par les pairs
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L'absurdité cachée du bien-être au travail - 0 views

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    Le « comblé » conjugue ainsi harmonieusement idéal du travail positif et conditions de travail satisfaisantes. Il aime son travail qui le lui rend bien. Le « gâté » n'a pas un idéal de travail fort, mais il dispose d'un emploi aux conditions favorables et satisfaisantes, ce dont il n'a pas -ou plus- conscience. Le « damné »,lui, cumule un idéal du travail négatif et une insatisfaction forte dans son emploi qui vient renforcer sa certitude que le travail n'est qu'une malédiction. C'est là que se concentrent potentiellement le plus de salariés susceptibles de souffrir du travail car ils ne trouvent que peu de protections, leur « logiciel de croyances positives » étant en piteux état. Enfin le profil de travailleur « frustré » a tellement idéalisé le travail qu'il a du mal à supporter les insatisfactions de son travail qu'il rencontre au quotidien chez son employeur, jusqu'à les vivre comme une frustration permanente. (...) Depuis Kant, on sait que les représentations sont centrales dans l'idée que l'on se fait du réel. Mieux : une représentation du réel qui active une réalité devient une réalité elle-même. Autrement dit, si l'on est persuadé que son travail est source de bien-être - à tort ou à raison, peu importe- on sera bien dans sa peau et donc plus performant, quelque soit la réalité objective de la situation. Si au contraire on est persuadé que ce même travail est source de mal-être, toutes choses étant égales par ailleurs, on sera mal dans sa peau et moins performant.
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Vers un pair à pair de l'innovation sociale ouverte ? - @ Brest - 1 views

  • Apprendre à collaborer entre des milliers de personnes à reconnaître le travail de chacun à organiser les apports contributifs est une révolution méthodologique dans une société habituée à gérer la rareté. C’est du fonctionnement des communautés de contributeurs du logiciel libre et de wikipédia que nous avons appris de nouvelles méthodologies qui crée de nouvelles richesses partagées. Ce sont de nouveaux rapport sociaux qui encouragent et valorisent le pouvoir d’agir des contributeurs et ne sont plus essentiellement basés sur la fonction, le titre ou la place hiérarchique.Dans un monde numérique où la copie ne coûte rien, les données ouvertes, les logiciels libres, les ressources éducatives libres, et nos pratiques de la musique ou des films copiés sont issus de ce changement de paradigme de la rareté vers l’abondance qui nous fait découvrir la richesse des échanges de pair à pair et du partage.
  • La coopération ouverte est un profond changement de culture dans une société où le travail est organisé de manière cloisonnée et hiérarchique. Apprendre à donner à voir, copier, réutiliser, partager demande du temps parce que ce n’est pas dans nos habitudes.L’expérience nous montre que la coopération qui partage et mutualise est une expérience souvent irréversible. Nous prenons goût à cette forme de co-production où chacun-e est invité-e à co-produire, où sont reconnus celles et ceux qui font plutôt que les responsables hiérarchiques.
  • Aujourd’hui l’innovation ouverte progresse dans les entreprises où elle stimule la créativité, dans les services où elle favorise l’implication des personnes, dans le tiers secteur où elle est facteur d’innovation sociale.
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    En donnant à voir des dizaines d'initiatives, nous nous rendons compte que l'innovation sociale ouverte est abondante sur le territoire du pays de Brest (et ailleurs si la même démarche est engagée). Les centaines de personnes concernées ont souvent en commun un souci de partage, de solidarité, de territoires en transition. En appliquant les méthodologies collaboratives issues du logiciel libre et des projets autour des biens communs numériques nous souhaitons explorer un pair à pair des acteur-ice-s de l'innovation sociale ouverte qui contribue au mieux vivre ensemble et à la transformation du territoire.
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Revenu de base ou salaire à vie ? - Réseau français pour le revenu de base - 1 views

  • Je pense qu’au-delà du nom de chaque proposition s’ouvrent des perspectives radicalement différentes, « radical » étant pris ici dans le sens de profond. En effet, le salaire à vie décrit par le réseau salariat, est pour moi un aménagement de la société de production au profit de l’une de ses composantes : les salariés. Il est une réaction à la prise de pouvoir excessive, sur ce point nous sommes d’accord, d’une autre partie prenante de la société de production : les actionnaires.
  • Loin de tirer la couverture, à droite ou à gauche, du lit de la société de production où nous nous sommes endormis à moitié, le revenu de base, lui, nous en sort… du lit ! Il nous appelle à nous réveiller et nous entraîne pas à pas vers une nouvelle société, celle de l’émancipation. Je pense, mais je peux me tromper, qu’il y aura autant de différences entre la social-démocratie, la civilisation actuelle, et l’ancien régime qu’il y aura de différences entre la social-démocratie et la société de l’émancipation.
  • Ils ont bien compris que l’évolution de la vie va vers l’individualisation des consciences, vers leur émancipation et que cette autonomie ne se gagnera pas contre les autres parties prenantes de notre société mais avec elles.
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  • C’est quand même hallucinant qu’au XXIème siècle, on ne puisse comparer les humains entre eux que comme exerçant, même potentiellement, une activité de production dans le but de vendre cette production contre de la monnaie sur un marché ! À cette réduction de l’humain, à sa qualité de travailleur à vie, pire de salarié à vie, le revenu de base oppose une vision émancipatrice. Le revenu de base n’est pas versé parce que nous avons des capacités à produire mais simplement parce que nous existons.
  • Le sujet du revenu de base est de créer un nouveau type de revenu pour tous les humains indépendamment de leur participation à une activité marchande. Un revenu d’existence qui donne le droit de choisir une activité grâce à ce revenu, et non pour en avoir un. Le sujet du revenu d’existence, qui un jour sera un revenu d’autonomie, c’est le pouvoir de chaque citoyen de dire « oui » ou « non » à une activité marchande. Son sujet, c’est le « JE » au cœur du « NOUS ». Nous pensons que l’on peut tout à fait vivre et se développer en relocalisant sa production voire en la démonétisant pour en user directement ou l’échanger gracieusement.
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    "Revenu de base ou salaire à vie ? Les désaccords entre les défenseurs des deux projets ne sont pas que d'ordre sémantique. En effet, c'est deux visions de la société qui s'affrontent. Frédéric Bosqué revient dans cette tribune sur ce qui sépare le revenu de base du salaire à vie de Bernard Friot, mais aussi sur ce qui rassemble les militants de chacune des propositions."
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24 heures de la vie d'une chômeuse : « Tu fais quoi de tes journées ? » | Rue... - 0 views

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    "Candidatures, rendez-vous foireux... L'agenda d'Eléonore est toujours plein à craquer mais son entourage s'inquiète : « Tu te fais des expos ? Tu vas te balader ? »" « Contrairement à ce qui est inscrit dans l'inconscient collectif, et dans le langage, être sans emploi n'est pas synonyme d'être sans activité, écrit-elle à Rue89. Mon agenda est toujours plein à craquer, je me réveille à une heure où nombre de mes amis chaudement protégés par un CDI roupillent tranquillement en rêvant à leurs prochaines vacances (le sans-emploi, lui, n'a jamais de vacances), et je me couche quand ces derniers trinquent à l'achat d'un appartement (le sans-emploi, même optimiste, a rarement des occasions pour trinquer). »
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"Il faut dire merci aux salariés qui font des erreurs" | Rue89 Eco - 0 views

  • « Une entreprise ne peut apprendre qu’en testant. Ce n’est pas possible de tomber juste du premier coup. Une entreprise qui dit qu’elle ne veut aucune erreur, c’est une entreprise qui ne veut pas d’apprentissage. »
  • « Dans les années 80-90, l’erreur était davantage récompensée. Le patron vous congratulait d’avoir testé. Aujourd’hui, les entreprises font de plus en plus du management à distance, par Excel. Elles reconnaissent le résultat, pas l’effort. Il est donc difficile, pour un salarié, de dire qu’il a fait une erreur. » Du coup, dans les organisations, « on triche de plus en plus », constate Matthieu Poirot. C’est embêtant, parce que l’erreur n’est pas seulement source de découvertes, mais également d’améliorations en termes de sécurité, de qualité, voire de coûts, quand elle est correctement décortiquée.
  • Prendre l’erreur comme un symptôme, c’est aussi ce que préconise Annie Weil-Fassina. Elle doit permettre de comprendre ce qui fonctionne mal dans l’entreprise. Est-ce par exemple : le bruit (« qui rétrécit le champ de conscience et fait courir le risque de ne pas voir ce qui se passe à côté ») ; la pression temporelle (« qui fait que les salariés sautent des étapes » ) ; une mauvaise communication entre différents services ; des consignes trop strictes ?
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    "Apprendre de ses erreurs ? Les patrons français rejettent cette vieille leçon. A tort : une méprise à l'hôpital ou une petite chute sur un chantier en disent beaucoup."
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Fichu travail ! - 1 views

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    Gérard Haddad nous entraîne dans les sillons de la glèbe, de l'inconscient et de son histoire singulière, pour dénouer les "liens mystérieux entre sexualité, agronomie et langage". Dans les rizières de Casamance, il voit se superposer trois types d'organisation : le chantier primaire, pour ne pas dire primitif, où le labour avec un instrument et des gestes ancestraux impose l'égalité entre travailleurs. Le chantier secondaire, où l'introduction de la traction animale installe une hiérarchie entre le bouvier et le laboureur et oblige à une division des tâches. Le chantier tertiaire, où l'emploi du tracteur condense les fonctions du joug, du timon et de la charrue, et son conducteur solitaire celles du bouvier et du laboureur. L'astuce de l'auteur est de superposer à ces trois structures celles que Freud a distinguées dans l'élaboration du rêve : le matériel de base du désir (chantier primaire), son déplacement (secondaire) et sa condensation (tertiaire). Le puzzle s'emboîte à merveille : le travail humain et le travail du rêve évoluent selon le même processus.
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Workshifting : la virtualisation au service du nomadisme - 0 views

  • En favorisant cette pratique, le principal objectif des entreprises (52 % des sondés) est de réduire les coûts en période de crise. Selon l'étude, c'est un excellent moyen pour réduire les coûts immobiliers (en réduisant la surface des bureaux) et les frais de déplacement. La mise en œuvre d'une stratégie de nomadisme s'accompagne en effet d'une réorganisation des espaces de travail dans l'entreprise, notamment en proposant des bureaux de passage plutôt que des bureaux attitrés. Au-delà de la réduction de coûts, les entreprises espèrent aussi fidéliser les jeunes salariés talentueux de la génération Y (génération internet) et les 42 %, en moyenne, de salariés nomades de l'entreprise. Elles comptent également doper la productivité de leurs salariés (54 %) tout en améliorant leurs conditions de travail (61 %) et la qualité du service fourni aux clients finaux (41%).
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    "L'objectif est de permettre aux collaborateurs d'adapter leur lieu de travail en fonction de leurs contraintes. Concrètement, un salarié doit pouvoir utiliser son smartphone personnel en déplacement pour accéder à ses e-mails professionnels et se connecter depuis tout type d'ordinateur (portable ou fixe, personnel ou professionnel) aussi bien chez lui que dans son bureau. La virtualisation du poste de travail et son extension sur les terminaux mobiles sont deux enjeux technologiques incontournables pour mettre en œuvre cette pratique. "
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