Contents contributed and discussions participated by Aurialie Jublin
Entretien Bernard Stiegler - Ariel Kyrou part.1 - Digital Society Forum - 0 views
Pourquoi les robots vont détruire des millions d'emplois - Capital.fr - 0 views
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Interview de Paul Jorion Déjà entendu chez un autre : "Les richesses doivent être mieux partagées. Actuellement, 20% de la population concentrent plus de 50% des richesses au monde. Les politiques doivent imposer une solidarité nationale et créer une allocation universelle, afin de rétribuer ceux qui ont perdu leur emploi pour être remplacés par un robot. Pour financer cette caisse commune, je suggère de créer une taxe "Sismondi" (ndlr, du nom de l'économiste Simonde de Sismondi) sur la productivité des machines. L'Homme doit pouvoir toucher une part importante des gains générés par la machine qui l'a remplacé.
Avec la Villa Bonne Nouvelle, Orange se penche sur la digitalisation du travail via @01... - 1 views
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Orange, c’est 170 000 collaborateurs à l’international et 100 000 en France. Diffuser le numérique dans l’entreprise sans oublier personne sur le bord de la route n’est pas une mince affaire. « Pour éviter toute crispation du corps social nous avons décidé d’anticiper et d’expérimenter. Le numérique a pour effet de dissoudre les définitions traditionnelles de lieu et de temps de travail qui sont deux concepts centraux du droit du travail français » ,continue Bruno Mettling. A la Villa Bonne Nouvelle, les équipes volontaires ne sont soumis à aucune obligation d’horaires ni de dress code.
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D’ici quelques mois, les équipes volontaires quitteront les locaux de la Villa et seront remplacées par d’autres équipes. « En restant plus longtemps, le retour dans leur cadre de travail classique risquerait de ne pas être évident » ajoute Bruno Mettling. Et, l’objectif est de diffuser les nouvelles pratiques de coopération et d’échange acquises à Bonne Nouvelle au reste de l’entreprise.
Philippe Askenazy : « Les nouvelles technologies sont peut-être moins destruc... - 0 views
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Avant il y avait d’un côté le travail manuel sans grande exigence psychologique et de l’autre un travail intellectuel sans, lui, grande exigence manuelle. Aujourd’hui il y a une convergence des deux. Si l’on est ouvrier ou conducteur de bus on subit une présence permanente des technologies, on vit une pression constante sur sa sphère psychologique qui se rajoute à la pression physique. De l’autre dans les métiers purement réflexifs se rajoute une dimension physique, le travail par exemple dans le numérique est un travail pénible avec un de plus en plus de pathologies liées. Et à cette augmentation des contraintes et des exigences avec les technologies, se rajoute désormais le mélange entre la vie privée et la vie professionnelle qui n’est pas en fait totalement nouveau
Les nouveaux travailleurs de la consommation collaborative - Digital Society Forum - 1 views
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Ils sont auto-entrepreneurs et exercent leurs activités comme un à-côté irrégulier ; ils ne sont ni salariés ni considérés comme employés et pourtant ils doivent se conformer aux règles de travail dictées par des sites web ; certains tentent même de gagner leur vie avec ce système mais peu d'entre eux y arrivent. « Ils », ce sont les travailleurs de la consommation collaborative.
Qui est vraiment menacé par l'automatisation ? La Fabrique de l'industrie - 0 views
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"Pour Autor, il y a donc deux types de tâches extrêmement difficiles à automatiser. Au-delà de celles qui réclament un haut niveau de connaissances, d'adaptabilité et de créativité, il faut aussi compter avec celles, très basiques, qui s'appuient sur la connaissance tacite, le « bon sens ». Seules les tâches de routine, répétitives, se prêtent bien à l'automatisation. Voilà donc de quoi expliquer la « polarisation ». Les travailleurs très qualifiés continuent de prospérer non seulement car ils sont dans le premier de cas de figure - haut niveau de connaissances - mais en plus parce qu'ils bénéficient à plein de l'automatisation « de complément » qui améliore significativement leurs performances. Comme, de surcroît, l'offre de leurs compétences est très peu élastique (il faut un temps significatif pour former de nouveaux travailleurs de ce type), ils voient leurs salaires se maintenir ou augmenter. A l'autre extrême, les travailleurs les moins qualifiés effectuant un travail basé sur la « connaissance tacite » ne peuvent être remplacés par un automatisme. Ils ne peuvent toutefois que rarement bénéficier de la complémentarité homme-machine. Leur activité ne craint rien mais, dans ce cas, l'abondance de main-d'œuvre conduit à une stagnation voire une régression de leurs salaires. Ce sont donc les autres, les travailleurs intermédiaires, effectuant des tâches de routine à faible valeur ajoutée, qui subissent et subiront de plein fouet automatisation et informatisation. A mesure que l'informatique progresse, leur travail devient de plus en plus facile à transformer en algorithme et les machines n'ont donc aucune peine à prendre leur place."
The Laborers Who Keep Dick Pics and Beheadings Out of Your Facebook Feed | WIRED - 0 views
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"So companies like Facebook and Twitter rely on an army of workers employed to soak up the worst of humanity in order to protect the rest of us. And there are legions of them-a vast, invisible pool of human labor. Hemanshu Nigam, the former chief security officer of MySpace who now runs online safety consultancy SSP Blue, estimates that the number of content moderators scrubbing the world's social media sites, mobile apps, and cloud storage services runs to "well over 100,000"-that is, about twice the total head count of Google and nearly 14 times that of Facebook."
Reconversion professionnelle dans l'artisanat: une aubaine pour les cadres et pour l'ar... - 0 views
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Au Hit-parade des bifurcations et chemins de traverse professionnels, l'artisanat arrive en bonne position, à juste titre ! Une fois qu'ils se sont suffisamment frottés à la vie professionnelle et à ses cahots et complications, nombreux sont les cadres qui mettent de côté les préjugés parentaux qui poussent plus souvent à devenir médecin, ingénieur ou avocat que plombier ou coiffeur et se décident à explorer les territoires inattendus d'un secteur dynamique et plein d'opportunités.
Travailler ensemble : ce que nous dit Richard Sennett - Metis - 1 views
Les limites de l'individualisation du travail « InternetActu.net - 1 views
Nouveaux rapports de travail et nomadisme coopératif - Metis - 1 views
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Universitaire reconnue et « branchée » sur les nouvelles questions du travail, Patricia Vendramin, directrice de recherche à la FTU et professeure à l'Université Catholique de Louvain en Belgique explique pour Metis ce qui caractérise selon elle les nouveaux comportements au travail en mode projets, à l'ère du numérique, des micro-travaux en ligne et des contrats courts.
Entreprise et "quantified work" : au secours, Taylor revient (plus fort) ? - 0 views
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L’enjeu est de taille car, au-delà de la question du “fliquage” (“l’employeur a le droit de contrôler et de surveiller ses salariés, mais seulement dans le cadre d’un contrôle de leur activité et à la condition de les avoir informés préalablement”, peut-on résumer à ce sujet), c’est la nature même du travail, de l’évaluation de la productivité à, en fait, toute la gestion d’un ensemble de données des salariés dans l’entreprise, qui est amenée à se réinventer. Et avec elle, de nouvelles politiques RH, “data-centrées”.
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Initialement, le taylorisme a en effet été salué comme une force qui “libèrerait les salariés des penchants autocratiques de leurs supérieurs”, rappelle Peter Cappelli, qui insiste pour que le quantified work, ce travail où les salariés mesurent eux-mêmes diverses facettes de leur activité, ne reste pas aux mains des économistes, ingénieurs IT et autres data miners. À la manière des outils d’évaluation dont les conséquences éthiques sont un sujet pris en compte à l’heure de leur élaboration, notamment en y associant la psychologie du travail, la workforce science ne peut se prémunir d’un équilibre entre “l’intérêt des employeurs à prendre des décisions [plus efficaces] et des préoccupations plus vastes sur l’équité et les conséquences inattendues [en matière de motivation, notamment]“.
Les robots vont-ils nous mettre au chômage ? - Libération - 0 views
Oubliez la génération Y, c'est sur la génération X qu'il faut miser professio... - 0 views
Après les «wash bars» et les «coffices», voici les espaces en temps partagé - 0 views
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A la demande de plusieurs propriétaires, son cabinet a défini un indice d'usage d'un bâtiment, ratio obtenu en rapportant le nombre de fonctions exercées par ce dernier et son poids. Plus ce rapport est mauvais, plus est élevé le potentiel de cet immeuble de proposer d'autres usages en son sein lorsqu'il est inutilisé.
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Après le Comptoir général qui a ouvert ses portes en 2011, le Pavillon des Canaux, charmante maison donnant sur le canal de l'Ourcq, a fait l'objet d'un appel à projets de la part de la ville de Paris. C'est désormais un «coffice» où chacun peut venir travailler à sa guise dans l'une des pièces de la maison, très cosy, salon, chambre ou la salle de bains - où la baignoire a été aménagée en bureau - tout en consommant au bar.
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