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Aurialie Jublin

Pays Bas : comment réinventer les soins de santé - Pays bas Management et emp... - 0 views

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    "Suite aux restrictions budgétaires, les soins de santé à domicile des Pays-Bas se sont industrialisés au profit de grandes entreprises privées. Face à la mauvaise qualité et à l'inefficacité de ces services conventionnels, Jos de Blok a décidé de les réinventer : en 2006, cet ancien professionnel de la santé crée Buurtzorg (en néerlandais « soins de proximité »), une entreprise visant à pallier à ces manques en mettant en place des petites équipes locales et autonomes, dédiées aux soins des clients du quartier et en interaction avec eux."
Aurialie Jublin

Définitions des composantes de la Qualité de Vie au Travail - Social Advisor - 0 views

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    Six grands secteurs : - égalité des chances - Relations de travail/climat social - Santé au travail - Contenu du travail - Employabilité/développement professionnel - Partage et création de valeur
Aurialie Jublin

The End of Higher Education's Golden Age - Clay Shirky - 0 views

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    Pour Clay Shirky, quand on parle d'études supérieures, on parle souvent de l'école des élites. Or, ce n'est pas la réalité de l'enseignement supérieur américain. La plupart des étudiants sont inscrits dans une école de banlieue, pas pour accumuler des connaissances, mais pour acquérir une formation et un certificat d'employabilité. Un sur trois ne finira pas ses études et deux sur trois finiront endettés par celles-ci. L'enjeu est donc bien d'améliorer la qualité de l'éducation sans en augmenter le prix, de parier sur une éducation à faible coût et à grande échelle.
Aurialie Jublin

40 ans d'évolution des conditions de travail - Vidéo Dailymotion - 1 views

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    "A l'occasion de son 40ème anniversaire, l'Anact revient en vidéo sur des évènements qui ont jalonné l'évolution des conditions de travail ces 4 dernières décennies : apparition de nouvelles formes d'organisation du travail, poids des politiques publiques et enrichissement du dispositif réglementaire, implication des acteurs dans le dialogue social (prise en compte du point de vue des salariés, rôle du CHSCT) et apparition de nouveaux thèmes telle que la qualité de vie au travail."
Aurialie Jublin

La mondialisation en France: qui est in, qui est out? | Slate - 1 views

  • «Ce n’est donc plus la division du travail qui est essentielle, mais son envers tellement oublié, la coopération. Ce qui fait la performance, dans tous les domaines, c’est la qualité de la relation entre les parties prenantes: concepteurs, exploitants, vendeurs, sous-traitants et bien sûr usagers, dont le retour d’expérience est crucial.»
  • On est donc passé d’un monde professionnel répétitif et routinier, mais prévisible, comme celui décrit par Orwell, à cette fluidité un peu désarmante où tout change tout le temps et où il faut faire preuve d’initiative. La fin d’un salariat «pépère»? En tout cas, une nouvelle attitude est attendue des travailleurs, qui ne sont plus seulement des bras et des cerveaux mais, dans un nombre croissant de métiers, des individus jugés sur leur comportement…
  • Ainsi, le travailleur se met désormais en jeu «en tant que personne» dans son travail: «Y compris pour des tâches banales, dès lors qu’elles sont mal cadrées, on n’entend plus: “Tel travail est bien ou mal fait” mais: “Untel est bon, mauvais ou nul”.»
  • ...1 more annotation...
  • A mesure que la coopération a pris de l’importance et que les compétences «relationnelles» sont devenues cruciales, l’apport de chaque employé est devenu plus difficile à évaluer individuellement, à quantifier. Un certain flou artistique dans les organisations, aggravé par le «zapping permanent des dernières modes de management qui font vivre l’industrie du consulting», déstabilise les collectifs de travail. Le syndrôme du bullshit job n’est pas loin... L’idée de faire de sa compétence, et même de sa personne, une marque sur un marché concurrentiel, avec ses atouts distinctifs, a pu éclore dans un tel contexte. Dans la postface du Nouveau monde industriel, Pierre Veltz écrivait: «Le besoin d’attirer le regard sur sa propre performance privilégie exagérément les qualités de séduction. Il alimente les guerres sourdes du ressentiment entre ceux qui pensent maîtriser mieux le savoir-faire que le faire-savoir et ceux qui, à l’inverse, savent mieux “se vendre”.»
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    "Comment la mondialisation a-t-elle changé la vie au travail? Internet détruit-il les emplois des classes moyennes? Mon coiffeur doit-il ouvrir un compte LinkedIn? Réponses du sociologue et économiste Pierre Veltz sur les grands bouleversements du travail."
hubert guillaud

Nos chefs sont nuls - Slate.fr - 1 views

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    En France, comme dans les autres pays méditerranéens, la majorité des managers envisagent la direction de manière coercitive, c'est-à-dire dans le but d'obtenir un acquiescement immédiat des salariés. Alors que dans les pays d'Europe du Nord, le chef est là pour faire émerger la décision collectivement. Pourquoi en sommes-nous là ? Les écoles de management ne forment pas à l'humain, mais aussi parce que les managers ne sont pas choisis pour leurs qualités humaines mais pour leurs compétences métiers. L'évolution du management avec le développement du reporting (les indicateurs de résultats) remet en cause les métiers, mais pas l'autocratie.
Aurialie Jublin

Toyota remplace les robots par... des hommes - 1 views

  • Aujourd'hui, l'idée des dirigeants de la firme japonaise est double. Tout d'abord, s'assurer que les travailleurs comprennent vraiment la tâche qu'ils sont en train d'accomplir plutôt que de nourrir la machine, à la manière des ouvriers dans le cinéma muet des années 1920, et n'être d'aucune utilité lorsqu'elle se brise ou s'emballe. Ensuite, ils veulent leur redonner l'initiative individuelle afin que le processus de production puisse sans cesse être amélioré.
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    "Toyota expérimente dans l'une de ses usines au Japon le remplacement de certaines machines par des hommes, pour gagner en efficience et en qualité. L'expérience semble concluante."
abrugiere

Exclusif : les propositions de Terra Nova sur les seuils sociaux - 0 views

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    La négociation qui doit s'ouvrir en octobre sur les seuils sociaux peut-elle renouveler le dialogue social ? Nous montrons dans notre rapport que la présence syndicale dans les entreprises est un levier de compétitivité. Si on veut s'inspirer des pays où la réussite économique est couplée avec un dialogue social fort, les pays scandinaves, l'Allemagne et dans une certaine mesure la Grande-Bretagne où le Labour garde un certain poids, nous devons revoir notre modèle Chacun a intérêt à ce que se développe un dialogue social de qualité. Le syndicalisme, on y prend goût en le pratiquant. 30 % des entreprises entre 50 et 100 salariés n'ont pas de comité d'entreprise, 75% des entreprises de 11 à 20 salariés n'ont pas de représentant du personnel et seuls 60% des établissements de 11 salariés ou plus disposent d'au moins une instance représentative du personnel (source : Dares, chiffres 2011, repris dans la note Terra Nova).
Aurialie Jublin

Les 5 grandes tendances de l'environnement de travail, Directions ressources humaines - 0 views

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    - éloignement des centres-villes - l'engouement pour les tiers-lieux - impacts de la connectique et du numérique - développement durable et RSE - qualité de vie et bien-être au travail
hubert guillaud

Peut-être est-ce une mauvaise idée de résoudre des désaccords par des textos ... - 0 views

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    Plus un couple s'échange de textos, plus il y a de chances qu'il ne soit pas très heureux. Une récente étude s'est intéressée à comment les couples utilisent les technologies numériques pour communiquer - http://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/15332691.2013.836051?journalCode=wcrt20 - et a constaté que quand on s'échange beaucoup de messages, c'est souvent que la relation est de mauvaise qualité. A l'inverse, les messages affectueux adoucissent les relations.
Aurialie Jublin

Nous sommes entrés dans l'économie des compétences ! | Jerome Introvigne | Li... - 0 views

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    "Apple fait travailler des milliers et des milliers d'individus et d'entreprises, chaque jour, gratuitement, pour alimenter ses stores ; Facebook et Google se nourrissent du contenu créé par la foule, Amazon de milliers de vendeurs indépendants, et Tesla ouvre ses brevets dans l'espoir que d'autres s'en emparent pour les améliorer ! Ces entreprises seraient entrées dans l'économie du savoir ! Elles attirent les meilleurs talents et proposent des produits d'une qualité exceptionnelle à leur écosystème, souvent gratuitement ! On parle de Talent Management… Mais dans les faits, elles font du  skills-management ! Elles gèrent un écosystème de compétences dont elles repoussent sans cesse les limites !"
Aurialie Jublin

L'obsolescence programmée des employés - Migros Magazine - 1 views

  • En fait, on demande à l’employé d’être adaptable, polyvalent, multitâche, connecté, infatigable, imperméable au stress et hyper-productif… Bref, d’être un vrai superman! Oui, c’est le nouveau super-héros, sauf qu’on ne le caractérise pas comme tel et c’est bien là le problème. Exiger de lui toutes ces qualités est devenu une normalité implicite qui n’est même pas intégrée dans les instruments d’évaluation. Il est toujours question de productivité, de rentabilité, de rendement, d’objectifs remplis, jamais de l’importance de la reconnaissance de l’engagement, de la qualité du travail, etc. Et en plus d’être corvéable à merci, ce superman est jetable aussi! Effectivement, on est aussi dans l’ère de la précarité. On parle d’obsolescence programmée pour les objets et on peut légitimement se demander – même si c’est un brin caricatural – si les travailleurs ne sont pas, eux aussi, victimes d’obsolescence programmée...
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    Interview de Sophie Le Garrec, sociologue
Aurialie Jublin

Quel travail, demain ? | Ecrivaine en Ressources Humaines - 0 views

  • Autre évolution: la personne, en tant qu’individu, envahit le monde du travail. « Avant, le travailleur s’adaptait au travail, maintenant, les travailleurs veulent que le travail s’adapte à eux : télétravail, rémunération variable,… Les jeunes, notamment, veulent des packages adaptés à leurs besoins. Ils n’ont pas nécessairement besoin de la voiture qu’on leur propose, mais veulent autre chose en échange »,
  • La relation de subordination est obsolète. Les managers doivent être des leaders qui fédèrent des talents et non plus des compétences. Les travailleurs viennent avec leurs qualités et défauts, ce qui implique plus d’émotion et de sensibilité. Le supérieur devient plus une sorte de coach. Il doit avoir du leadership, de l’expertise et de l’exemplarité. C’est en cumulant ses qualités qu’il sera respecté, et non plus par ce qu’il est le plus ancien
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    "Nous vivons une véritable révolution qui change notre façon de travailler. Notre modèle social doit s'y adapter. Place à l'individualisme !"
Aurialie Jublin

L'entreprise libérée, réalité ou imposture ? - 1 views

  • Première critique : l’entreprise libérée propose d’abattre un système qui n’existe presque plus ! Frederick Taylor est mort il y a un siècle (en 1915). Son modèle d’organisation scientifique du travail, fondé sur la division à l’extrême des tâches, le chronométrage, le salaire à la pièce, a fait l’objet de fortes critiques (dont par exemple, Le Travail en miettes de Georges Friedman, 1956). Dans le même temps, les relations humaines, les motivations et l’autonomie des employés commençaient à être prises en compte tant dans la théorie, comme le modèle Y de Douglas McGregor que dans la pratique.
  • Une nouvelle bureaucratie est apparue au cours des deux dernières décennies, liée à l’essor des modes de contrôle de gestion, des normes de qualité, des outils informatiques (5), mais ces nouvelles normes et directives sont imposées en large partie par des contraintes institutionnelles, comme les normes de qualité et les normes comptables. Leur suppression ne dépend pas de la seule bonne volonté de « leaders libérateurs ».
  • L’autre critique vient de François Geuze, directeur du master management des RH de Lille. Pour lui, l’entreprise libérée se situe à mi-chemin entre la « stratégie de communication et l’imposture (6) ». Il récuse l’idée que l’on puisse se débarrasser aussi aisément des « fonctions supports » comme les RH, envisagées par les hérauts de l’entreprise libérée comme de purs parasites. (« Les RH sont des parasites à l’état pur (…), ils font partie de ces sorciers devins qui sont autogénérés », affirme Jean-François Zobrist, ex-dirigeant de FAVI (7)). Mais si on supprime les DRH, jugés inutiles, qui va s’occuper de la gestion des carrières, de la formation, des conditions de travail ? Les chefs d’équipe sont-ils à même de traiter eux-mêmes les questions de formation ou d’évolution de carrière ? Pour F. Geuze, la vision caricaturale d’un encadrement qui ne sert « qu’à la prescription et au contrôle » est une façon de renforcer le pouvoir du leader « petit père des peuples ».
  • ...3 more annotations...
  • Car la suppression du contrôleur ne veut pas dire suppression du contrôle. « La logique pernicieuse de l’entreprise libérée est qu’elle prône l’autocontrôle (…). Mais celle-ci peut bien vite glisser vers le contrôle de tout le monde par tout le monde, chacun des membres d’une équipe étant en permanence sous le contrôle de l’ensemble de ses membres. »
  • L’autre visage de FAVI Mais il existe aussi une autre version de l’histoire. Certes, les ouvriers ne pointent plus ; ils règlent eux-mêmes leur machine. Mais est-ce vraiment aussi révolutionnaire ? J.F. Zobrist n’a fait qu’introduire un type de management à la japonaise des années 1970, très largement importé dans de nombreux secteurs, avec les équipes semi-autonomes. Mais la loyauté des salariés repose aussi sur l’existence d’une norme de groupe très forte, fondée sur l’autocontrôle des salariés entre eux. Tout dissident est mis au ban, et l’omniprésence du « leader libérateur » fait songer au gourou d’une secte…
  • Quand l’automobile a connu la crise de 2008, l’entreprise s’est réorganisée et est passée de 600 salariés à moins de 400 aujourd’hui. J.F. Zobrist a donc dû se séparer de 200 personnes. Dans le même temps, la productivité a progressé au rythme de 3 % l’an, ce qui impose un rythme de travail soutenu. Les ouvriers de chez Favi doivent façonner 1 800 pièces dans la journée, ce qui est un objectif très élevé dans le secteur. La peur du chômage aurait-elle remplacé la pointeuse ? Les récits stéréotypés du leader Favi ne le disent pas.
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    "Devant tant d'enthousiasme, il n'apparaît pas inutile d'écouter quelques voix discordantes. Dans Faut-il libérer l'entreprise ? (2016), Gilles Verrier et Nicolas Bourgeois, tout en partageant les buts et méthodes (on n'interroge que les dirigeants !), prennent un peu de distance et tentent une approche un peu plus mesurée de l'entreprise libérée. D'autres sont franchement plus critiques (4). On peut résumer les critiques à trois grandes catégories."
Aurialie Jublin

Revenu de base ou salaire à vie ? - Réseau français pour le revenu de base - 1 views

  • Je pense qu’au-delà du nom de chaque proposition s’ouvrent des perspectives radicalement différentes, « radical » étant pris ici dans le sens de profond. En effet, le salaire à vie décrit par le réseau salariat, est pour moi un aménagement de la société de production au profit de l’une de ses composantes : les salariés. Il est une réaction à la prise de pouvoir excessive, sur ce point nous sommes d’accord, d’une autre partie prenante de la société de production : les actionnaires.
  • Loin de tirer la couverture, à droite ou à gauche, du lit de la société de production où nous nous sommes endormis à moitié, le revenu de base, lui, nous en sort… du lit ! Il nous appelle à nous réveiller et nous entraîne pas à pas vers une nouvelle société, celle de l’émancipation. Je pense, mais je peux me tromper, qu’il y aura autant de différences entre la social-démocratie, la civilisation actuelle, et l’ancien régime qu’il y aura de différences entre la social-démocratie et la société de l’émancipation.
  • Ils ont bien compris que l’évolution de la vie va vers l’individualisation des consciences, vers leur émancipation et que cette autonomie ne se gagnera pas contre les autres parties prenantes de notre société mais avec elles.
  • ...2 more annotations...
  • C’est quand même hallucinant qu’au XXIème siècle, on ne puisse comparer les humains entre eux que comme exerçant, même potentiellement, une activité de production dans le but de vendre cette production contre de la monnaie sur un marché ! À cette réduction de l’humain, à sa qualité de travailleur à vie, pire de salarié à vie, le revenu de base oppose une vision émancipatrice. Le revenu de base n’est pas versé parce que nous avons des capacités à produire mais simplement parce que nous existons.
  • Le sujet du revenu de base est de créer un nouveau type de revenu pour tous les humains indépendamment de leur participation à une activité marchande. Un revenu d’existence qui donne le droit de choisir une activité grâce à ce revenu, et non pour en avoir un. Le sujet du revenu d’existence, qui un jour sera un revenu d’autonomie, c’est le pouvoir de chaque citoyen de dire « oui » ou « non » à une activité marchande. Son sujet, c’est le « JE » au cœur du « NOUS ». Nous pensons que l’on peut tout à fait vivre et se développer en relocalisant sa production voire en la démonétisant pour en user directement ou l’échanger gracieusement.
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    "Revenu de base ou salaire à vie ? Les désaccords entre les défenseurs des deux projets ne sont pas que d'ordre sémantique. En effet, c'est deux visions de la société qui s'affrontent. Frédéric Bosqué revient dans cette tribune sur ce qui sépare le revenu de base du salaire à vie de Bernard Friot, mais aussi sur ce qui rassemble les militants de chacune des propositions."
Aurialie Jublin

"Il faut dire merci aux salariés qui font des erreurs" | Rue89 Eco - 0 views

  • « Une entreprise ne peut apprendre qu’en testant. Ce n’est pas possible de tomber juste du premier coup. Une entreprise qui dit qu’elle ne veut aucune erreur, c’est une entreprise qui ne veut pas d’apprentissage. »
  • « Dans les années 80-90, l’erreur était davantage récompensée. Le patron vous congratulait d’avoir testé. Aujourd’hui, les entreprises font de plus en plus du management à distance, par Excel. Elles reconnaissent le résultat, pas l’effort. Il est donc difficile, pour un salarié, de dire qu’il a fait une erreur. » Du coup, dans les organisations, « on triche de plus en plus », constate Matthieu Poirot. C’est embêtant, parce que l’erreur n’est pas seulement source de découvertes, mais également d’améliorations en termes de sécurité, de qualité, voire de coûts, quand elle est correctement décortiquée.
  • Prendre l’erreur comme un symptôme, c’est aussi ce que préconise Annie Weil-Fassina. Elle doit permettre de comprendre ce qui fonctionne mal dans l’entreprise. Est-ce par exemple : le bruit (« qui rétrécit le champ de conscience et fait courir le risque de ne pas voir ce qui se passe à côté ») ; la pression temporelle (« qui fait que les salariés sautent des étapes » ) ; une mauvaise communication entre différents services ; des consignes trop strictes ?
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    "Apprendre de ses erreurs ? Les patrons français rejettent cette vieille leçon. A tort : une méprise à l'hôpital ou une petite chute sur un chantier en disent beaucoup."
Aurialie Jublin

Workshifting : la virtualisation au service du nomadisme - 0 views

  • En favorisant cette pratique, le principal objectif des entreprises (52 % des sondés) est de réduire les coûts en période de crise. Selon l'étude, c'est un excellent moyen pour réduire les coûts immobiliers (en réduisant la surface des bureaux) et les frais de déplacement. La mise en œuvre d'une stratégie de nomadisme s'accompagne en effet d'une réorganisation des espaces de travail dans l'entreprise, notamment en proposant des bureaux de passage plutôt que des bureaux attitrés. Au-delà de la réduction de coûts, les entreprises espèrent aussi fidéliser les jeunes salariés talentueux de la génération Y (génération internet) et les 42 %, en moyenne, de salariés nomades de l'entreprise. Elles comptent également doper la productivité de leurs salariés (54 %) tout en améliorant leurs conditions de travail (61 %) et la qualité du service fourni aux clients finaux (41%).
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    "L'objectif est de permettre aux collaborateurs d'adapter leur lieu de travail en fonction de leurs contraintes. Concrètement, un salarié doit pouvoir utiliser son smartphone personnel en déplacement pour accéder à ses e-mails professionnels et se connecter depuis tout type d'ordinateur (portable ou fixe, personnel ou professionnel) aussi bien chez lui que dans son bureau. La virtualisation du poste de travail et son extension sur les terminaux mobiles sont deux enjeux technologiques incontournables pour mettre en œuvre cette pratique. "
Aurialie Jublin

Travail : quand le miroir numérique se substitue au réel - Union europeenne C... - 0 views

  • Je prêche donc, après en avoir été un apôtre et un acteur, pour limiter la projection numérique, en particulier en ce qui concerne le temps réel. Cela ne veut pas dire qu'il faut renoncer aux bénéfices apportés par la numérisation, mais simplement qu'il faut savoir s'arrêter pour laisser la part de jeu indispensable au bon fonctionnement. Un peu de numérisation est bénéfique, beaucoup peut être efficace, mais la numérisation totale est contre-productive parce qu'elle enlève au système la flexibilité et la capacité de jugement apportées par l'humain.
  • L'expertise tend à se sédimenter dans les systèmes informatiques et les progiciels ; le professionnalisme consiste de plus en plus à bien savoir utiliser ces dispositifs. Seul ou en collaboration, le travail consiste à nourrir ces dispositifs, à les enrichir avec des données de qualité, à les maintenir aux conditions opérationnelles et à les faire évoluer. La tendance est déjà à la mise à jour automatique de cette image. Bientôt, partout, la position et l'état de ces objets seront actualisés en temps réel.
  • Avant, les données numériques étaient le miroir de la réalité, elles suivaient son évolution. Avec ce retournement, c'est la réalité qui doit suivre et se conformer aux prévisions et aux simulations réalisées dans l'image numérique de l'entreprise. C'est bien l'image numérique qui devient l'instrument de travail, de prévision, de décision, de pilotage du réel : on doit atteindre les objectifs calculés par le tableur..., et d'ailleurs on en rend compte sur le même tableur.
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    "D'ici une dizaine d'années au plus, presque tous les « objets » d'une organisation (les hommes, les machines, les transactions...) auront leur image dans le système d'information (SI), en temps réel. C'est déjà le cas pour la plupart des objets : chaque agent, chaque objet important « existe » dans nos SI sous forme de fichier ou dans une base de données."
Aurialie Jublin

L'intégration réussie de la génération Y en pratique - 0 views

  • C'est ce qu'a analysé Augustin Paluel-Marmont, cofondateur de Michel et Augustin, : “La mise en place des 35 heures a selon moi profondément modifié le rapport entre le salarié et son job : on ne travaille plus par devoir, mais par envie et par passion.”
  • “Je remarque également que mes salariés veulent et ont un très fort niveau d’autonomie et de responsabilisation. Chacun gère son propre chantier comme son propre patron”, soulève le cofondateur de Michel et Augustin.
  • Pour appliquer ce nouveau standard, Patrice Roussel identifie 4 clefs d'ingénierie managériale, dont 3 liées au sentiment de justice, à développer pour l'arrivée des Y en entreprise et le management du changement de l'entreprise : La justice distributive, par rapport à la rémunération et aux primes équivalentes au travail fourni.La justice procédurale, qui donne le sentiment d’être traité avec des méthodes équitables et que la mise en place des procédures et décisions est juste.La justice interactionnelle, à savoir celle qui naît de la qualité du rapport entre manager de proximité et collaborateur.La culture du feedback ou la communication positive de façon plus générale
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  • La relation au manager de proximité devient primordiale dans ce cas la mais pas seulement. La mise en scène du travail l'est tout autant. Lieux informels de rencontre, déjeuners en équipe à intervalles régulières, tutoiement,... sont des caractéristiques qui permettent d'identifier l'entreprise "Y friendly" et donc de créer un climat favorable à une histoire d'amour entre l'entreprise et ses jeunes collaborateurs.
  • Je considère que ce n’est pas forcément moi qui recrute, mais le collaborateur futur qui juge si ce que nous lui offrons correspond à ce qu’il recherche.” Autant de démarches destinées à assurer non seulement une bonne entente au moment de l’entrée en entreprise, mais également une coïncidence des attentes à la fois du salarié Y et de la structure qui l’embauche."
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    Bonne nouvelle pour les membres de la génération Y, la marque alimentaire Michel et Augustin spécialisée dans les biscuits et les yaourts à boire, ainsi que le site internet leetchi.com viennent d'affirmer leur engagement "Y friendly".
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