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hubert guillaud

Alerte au burn-out dans le digital - Stratégies - 1 views

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    Le burn-out, cette autre forme de détox. L'attachement à son job est souvent un facteur agravant...
Aurialie Jublin

Et si l'économie du partage annonçait la fin du salariat ? - 0 views

  • Bref, la société salariale serait dépassée. « N'oublions pas d'ailleurs que, jusqu'en 1930, en France mais également dans nombre de pays développés, la forme d'emploi dominante était le travail indépendant », souligne Denis Pennel. Un mode d'organisation compatible avec une grande diversité d'emplois : « Dès le XIXe siècle, il existait un grand nombre de catégories de travailleurs, mais les différences s'organisaient plus autour de métiers exercés qu'autour des statuts d'emplois.» Voilà donc le modèle défendu implicitement par les tenants de la «share eco-nomy» : une économie où chacun est son propre patron, une économie d'avant le salariat, ce mode d'organisation sociale qui semble soudain démodé.
  • Comme le relevait le sociologue Robert Castel dans son livre phare «Les métamorphoses de la question sociale, chronique du salariat», ce statut a longtemps été, jusqu'au début du XXe siècle, l'apanage d'une minorité. Et pas de la plus chanceuse : être salarié, au milieu du XIXe siècle, c'était faire partie de la lie de la société. On peine à imaginer aujourd'hui, dans notre société dominée par ce mode d'organisation sociale, tout ce que le statut de salarié pouvait avoir de dégradant, dans une France encore largement agricole, où les agriculteurs plus ou moins riches mais pour la plupart d'entre eux propriétaires, ou espérant le devenir, étaient les plus nombreux, aux côtés des artisans et bourgeois. Le salarié, c'était celui qui n'avait rien. Aucun patrimoine. Rien que ses bras. C'était donc, initialement, le prolétaire. Un prolétaire souvent en marge de la société, effrayant le bourgeois, relevant des classes dites alors «dangereuses».
  • Ce combat social-démocrate est passé surtout par la création progressive, durant la première moitié du XXe siècle, de ce que Robert Castel a appelé, après certains penseurs de la fin du XIXe siècle, la «propriété sociale». Quésaco ? Le fait d'accorder aux «travailleurs» à la situation toujours incertaine, faute de patrimoine, un certain nombre de garanties, sous forme d'assurances collectives, touchant les accidents du travail, la maladie et la vieillesse. Ces garanties constituent comme des droits de propriété acquis progressivement sur la société - on pense aux retraites, bien sûr.
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  • Comme le souligne Robert Castel, avec l'avènement de la propriété sociale, progressivement accordée aux salariés au début du XXe siècle, on assiste alors à la constitution d'un nouveau rapport salarial. Le salaire ne représentait jusqu'alors que la rétribution ponctuelle d'une tâche : la plupart des salariés étaient, en effet, payés à la tâche. La montée en puissance de la propriété sociale change cette situation. Le salaire, désormais, «assure des droits, donne accès à des prestations hors travail (maladies, accident, retraite) et permet une participation élargie à la vie sociale». En minant le salariat, devenu la caractéristique d'une économie industrielle qui serait dépassée, l'économie du partage sape les fondations de cet édifice patiemment bâti qu'est la propriété sociale.
  • en évitant toute contribution au système social, ou alors en y contribuant très faiblement, un adepte de l'économie du partage concourt à la dégradation de la situation financière des régimes sociaux. Lesquels, à force de mal se porter, finiront par être remis en cause, au détriment des salariés. La boucle sera alors bouclée.
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    "La logique de l'économie du partage, c'est celle de la fin du salariat, admettent même ses plus ardents défenseurs. Avec, pour conséquence, une impossibilité croissante de financer la protection sociale, et donc le risque de faire disparaître le modèle français de sécu"
Aurialie Jublin

affordance.info: Même pas peur : le salaire de l'Uber. - 0 views

  • Au-delà des avancées technologiques qui permettront l'automatisation d'un certain nombre de tâches, d'emplois ou de métiers, les critères d'une "uberisation" sont clairement posés dans cette interview d'Olivier Ezratty. En 1ère ligne des "uberisables" on trouve : "ceux qui génèrent de l'insatisfaction client" (des médecins aux plombiers pour - par exemple - raccourcir les délais d'attente et favoriser la mise en contact directe) "ceux susceptibles d'être désintermédiés par des plateformes d'évaluation", c'est à dire ceux qui nécessitent une forte évaluation client distribuée en pair à pair (ici les plateformes sont déjà en place pour l'hôtellerie et la restauration par exemple, mais pourraient s'étendre à d'autres "métiers) "ceux qui sont dans une situation de quasi-monopole" (les taxis donc, mais aussi, dans un tout autre registre ... l'éducation) "les métiers de service dans l'aide à la personne" (de la livraison à domicile en passant par la recherche de nounous ou de cours particuliers)
  • A l'aube du 21ème siècle, c'est la même question qu'il faut poser une fois acté le remplacement d'un certain nombre de tâches et de fonctions par des automates / algorithmes / robots, etc. Ces nouvelles formes de "travail journalier à la tâche", ce "salariat algorithmique" sera-t-il un privilège ou un droit ?  S'il doit devenir un privilège (c'est pour l'instant ce vers quoi nous nous dirigeons), alors il ne permettra qu'à quelques-uns d'accentuer leurs rentes en déployant une idéologie libérale devant laquelle notre actuel capitalisme dérégulé fera office de gentillet kolkhoze ; le modèle du Mechanical Turk d'Amazon deviendra la norme, on cotisera tous à la sécurité sociale de Google, nos points retraites seront chez Amazon, notre banque s'appellera Apple et Facebook fera office de mairie et d'état-civil. Fucking Brave New World. Pour qu'il puisse exister comme un droit, alors, plutôt que de lâcher 200 képis à la poursuite de pauvres auto-entrepreneurs ou d'interdire une application, c'est aujourd'hui que notre classe politique doit lire du Michel Bauwens (cf supra), c'est son rôle de faire en sorte que LE Droit puise offrir à chaque citoyen la possibilité de réinstaller au coeur d'un système outrancièrement individualiste l'horizon d'une représentation et d'une négociation collective possible. C'est aujourd'hui également que la question de savoir ce qui relève du bien commun inaliénable, dans nos usages sociaux comme dans nos ressources naturelles, doit être posée.  Bref, Candide avait raison : il nous faut cultiver notre jardin. Mais le cultiver en commun. Le cultiver comme un bien commun. Sinon on va tous se faire uberiser. A sec.
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    "Du côté de l'uberisation du monde et de nos amis les taxis, les derniers jours ont été riches d'enseignements et ont accessoirement permis à ma navritude (c'est un peu comme la bravitude) d'atteindre des niveaux jusqu'ici inégalés devant tant d'incurie politique."
Aurialie Jublin

La Finlande sera le premier pays européen à introduire un revenu de ba... - 3 views

  • Le Premier Sipilä considère que le revenu de base est un instrument approprié pour lutter contre la pauvreté. « Même pour les gens qui perdent leur emploi, le système leur permettrait de percevoir un revenu suffisant pour satisfaire leurs besoins fondamentaux », fait-il remarquer.
  • L’introduction d’un revenu de base permettrait de supprimer toutes les aides sociales existantes, y compris les pensions de retraite. Par conséquent, la fonction publique pourrait être sensiblement réduite, ce qui permettrait au pays de faire de substantielles économies. Le Premier Sipilä envisage de  débuter cette expérience dans des régions confrontées à un fort taux de chômage.
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    "Le gouvernement finlandais a l'intention d'implémenter un projet pilote de versement d'un revenu de base. Ce projet figure dans la déclaration de politique générale du nouveau gouvernement de centre droit dirigé par le Premier ministre Juha Sipilä, qui a pris les commandes du pays le mois dernier. La Finlande serait ainsi le premier pays européen à introduire un revenu de base inconditionnel."
Aurialie Jublin

Tout savoir (ou presque) du rapport Mettling en moins d'un quart d'heure - 3 views

  • Le premier volet des 36 propositions concerne justement le développement de l’éducation numérique par les moyens de la formation professionnelle. Le rapport demande que le numérique fasse partie des savoirs fondamentaux dès l’école et souhaite que dans les six prochains mois, les branches professionnelles "lancent une consultation […] pour mesurer leur besoin en formation".     Le rapport propose aussi de placer la transformation numérique au cœur des dispositifs de professionnalisation et de passerelles entre les métiers.
  • Dans la sixième proposition, il est ainsi proposer de développer les formations de reconversion, tandis que la huitième invite à "privilégier le management de proximité au sein de l’effort d’éducation numérique". Sans oublier de mobiliser la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) pour préparer l’adaptation (mesure n°5)
  • D’autres propositions visent à créer un cadre juridico fiscal, qui soit à la fois incitatif et protecteur. C’est le morceau le plus médiatique, puisqu’il concerne les questions de réglementation du temps de travail. Le rapport propose de sécuriser le forfait jours. Si ce mode d’organisation du travail semble adapté pour les entreprises et les salariés du numérique, les décisions de la Cour de cassation, qui a estimé hors la loi un certain nombre d’accords de branche, ont jeté le trouble.
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  • es auteurs proposent ainsi la création de nouveaux droits attachés à la personne, qui pourraient être transférés d’un statut à un autre. Par exemple, un salarié qui deviendrait indépendant pourrait conserver ses droits à la formation et continuerait à alimenter son compte. C’est l’idée implicite du compte personnel d’activité. Mais le rapport Mettling va plus loin en estimant que ces nouvelles formes de travail qui se sont développés avec le numérique doivent participer au financement de la protection sociale.
  • Et dans sa préconisation numéro 16, il va encore plus loin, puisqu’il indique qu’il est nécessaire d’instaurer "un devoir d’information des plateformes de services pour l’établissement des droits et cotisations". Le rapport estime, en effet, que pour les personnes qui ont développé une activité qui est une source de revenus significative sur une plateforme numérique, il n’est pas question que cela soit assimilé à du travail au noir.
  • Conséquemment, elle doit être "soumise à des obligations similaires en termes de cotisations et de taxes que les activités du secteur formel". Pour les plateformes de type Uber ou Airbnb, cela pourrait signifier de devoir déclarer toutes "les informations nécessaires à l’établissement des droits et des cotisations".
  • Le rapport propose également des mesures pour que le développement du numérique soit au service de la qualité de vie au travail. Cela suppose l’instauration d’un droit de déconnecter, complété par un devoir de déconnecter.
  • Parmi les autres préconisations, on notera encore la volonté de développer un dialogue social recourant davantage aux outils numériques et de favoriser "l’accès aux outils numériques des partenaires sociaux". Et pour aller encore plus loin à l’avenir, il souhaite qu’une partie des financements des investissements d’avenir aille vers la recherche en sciences sociales, notamment pour réfléchir à des notions comme le travail passif du client ou les relations sociales dans l’entreprise étendue.
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    "Le texte très complet débouche sur 36 préconisations allant loin dans les pratiques managériales des entreprises, puisqu'il évoque aussi bien la rémunération que la formation. L'ensemble est relativement créatif, proposant de nouveaux droits mais aussi de nouvelles obligations. Il propose notamment des mesures pour rapprocher le salarié et le travailleur indépendant. Pour qu'ils aient des droits plus proches et que les uns et les autres cotisent équitablement au système de protection sociale."
abrugiere

La transformation numérique, un bouleversement sociétal et territorial ? « Ve... - 0 views

  • La transformation digitale devrait se traduire par une concentration géographique des emplois autour de métropoles particulièrement denses en compétences. Le numérique s’accompagne d’une double tendance à la diffusion et à l’hyperlocalisation : pour le chercheur Antoine Picon[3], c’est une des contradictions majeures du système. Les nouvelles technologies nous permettent d’être moins dépendants du local mais – avec la logique de cluster, de pôle de compétitivité, de métropolisation - le besoin de proximité territoriale n’a jamais eu autant d’importance.
  • Pour Nicolas Colin, fondateur de TheFamily – un incubateur de start-ups digitales – «le numérique capte la valeur pour la concentrer en quelques points du territoire »[4]. Les métropoles, les clusters comme la Silicon Valley mais aussi - avec la généralisation de l'optimisation fiscale - les paradis fiscaux. L’économie numérique réduit les marges de manœuvres de l’État, lourdement endetté et désarmé pour lever efficacement l’impôt, et de nombreuses collectivités territoriales. On assistera sans aucun doute à « un affaiblissement de la redistribution de la valeur sur l’ensemble du territoire » selon Nicolas Colin. La fin du modèle d’égalité territoriale pour tendre de plus en plus vers le modèle de compétitivité territoriale ?
  • La dynamique actuelle et future des aires métropolitaines - qui s’explique avant tout par leur potentiel d’externalités incomparable (infrastructures, services, réseaux, potentiel humain) - cache des disparités internes sans cesse croissantes. Ainsi, en France, la pauvreté et les inégalités de niveaux de vie se concentrent principalement dans les grands pôles urbains. C’est à l’intérieur même des villes-centres que ces disparités sont les plus fortes : ménages très aisés et très pauvres se côtoient bien que n’habitant pas les mêmes quartiers ou arrondissements. Le numérique et ses villes intelligentes pourraient accentuer ce déséquilibre, l’investissement étant souvent concentré dans les secteurs les plus attractifs et rentables…
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    sur les inégalités de développement territorial  Une autre conséquence de l'économie digitale, la concentration inédite des richesses, risque de modifier en profondeur les équilibres sociaux et économiques. Réinventer notre modèle fiscal pour garantir une certaine redistribution parait dès lors primordial. Pour Nicolas Colin, fondateur de TheFamily - un incubateur de start-ups digitales - «le numérique capte la valeur pour la concentrer en quelques points du territoire »[4]. Les métropoles, les clusters comme la Silicon Valley mais aussi - avec la généralisation de l'optimisation fiscale - les paradis fiscaux. L'économie numérique réduit les marges de manœuvres de l'État, lourdement endetté et désarmé pour lever efficacement l'impôt, et de nombreuses collectivités territoriales. On assistera sans aucun doute à « un affaiblissement de la redistribution de la valeur sur l'ensemble du territoire » selon Nicolas Colin. La fin du modèle d'égalité territoriale pour tendre de plus en plus vers le modèle de compétitivité territoriale ?
Aurialie Jublin

Ces mutuelles santé qui remboursent les objets connectés - 0 views

  • Le groupe mutualiste à l'origine de cette initiative intervient auprès de 130.000 clients d'un type particulier. Il s'agit de professionnels de santé (infirmier, médecins, dentistes, pharmaciens) que la mutuelle souhaite inciter à utiliser des objets connectés comme dispositif de prévention.Mais, ces professionnels pourraient aussi devenir d'excellents prescripteurs de ces objets connectés auprès de leur propre clientèle, les patients.Soucieux de répondre aux inquiétudes de ses adhérents, le groupe mutualiste indique qu'il n'aura accès à aucune donnée de santé liée à l'utilisation de ces objets connectés. Donc, aucun contrat modulant ses tarifs en fonction du mode de vie ou de l'état de santé des adhérents n'est possible.
  • Aucun contrat de complémentaire santé ne peut prévoir donc encore d'appliquer une modulation tarifaire en fonction des habitudes de vie ou des paramètres individuels de santé. Mais l'assurance automobile vient néanmoins de franchir le Rubicon en modulant les tarifs selon la conduite au volant. Direct Assurance (Groupe Axa) propose une formule de contrat avec boîtier connecté qui applique un système de bonus-malus en fonction du comportement routier du conducteur.
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    "Pasteur Mutualité crée un forfait de prise en charge d'objets connectés dans ses complémentaires santé.  Les mutuelles jouent officiellement la carte de la prévention."
Aurialie Jublin

Et si les techno-optimistes avaient tort? | Slate.fr - 0 views

  • Tout semble plaider donc en faveur de la thèse d’une excitation démesurée de nos contemporains vis-à-vis du changement technologique, sauf que ce dernier aura néanmoins un impact très puissant sur un plan fondamental de l’organisation des sociétés, celui de l’emploi. La probabilité que les machines et algorithmes se substituent à l’emploi humain est à présent bien établie: en particulier, on sait que ces technologies détruisent de l’emploi de qualifications moyennes et faibles, quand les salariés très qualifiés ont plutôt tendance à en profiter, ce qu’on nomme le biais de compétence du changement technologique. Ce que l’investisseur de la Silicon Valley Marc Andreessen a résumé d’une formule lapidaire: le marché du travail va se scinder en deux parties, «les gens qui donnent des ordres aux ordinateurs et ceux à qui les ordinateurs donnent des ordres».
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    "En dépit d'une grande agitation autour du potentiel de rupture des nouvelles technologies, les gains de productivité sont-ils définitivement derrière nous?"
Aurialie Jublin

UberPOP : pourquoi taxis, VTC et internautes doivent s'unir contre Uber - 0 views

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    "Lorsque taxis, VTC ou prestataires UberPOP se font la guerre, Uber regarde ceux qui s'affrontent comme autant de proies qu'il entend abattre les unes après les autres. Plus qu'un conflit entre des professionnels, c'est un symptôme d'une société malade, qui doit choisir sa voie. Le capitalisme décomplexé qui fait de certaines plateformes les nouveaux seigneurs d'un monde féodal moderne, ou un autre modèle de société à inventer, en restant uni ?"
Aurialie Jublin

Et si le salariat disparaissait…, Editos & Analyses - 1 views

  • A l'échelle collective, toute la protection sociale est fondée en France sur le postulat d'une population employée à temps plein dans le même cadre. Le passage du privé au public, ou du salariat au travail indépendant, est, par exemple, sanctionné par une retraite sérieusement amputée. A condition d'être rééquilibré, le régime des intermittents du spectacle pourrait bien préfigurer l'avenir de l'assurance-chômage… Se pose aussi la capacité des entreprises et de leurs dirigeants à passer réellement au management par projet, à susciter la loyauté chez leurs salariés, à basculer d'une exigence de moyens (présence sur place) à une exigence de résultats (tâche réellement accomplie), à exprimer leur reconnaissance du travail. Il y a enfin un formidable défi pour les politiques, qui devront adapter le cadre légal et réglementaire au travail de demain, comme ils l'ont fait pour le travail d'hier
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    "Le salariat était parfaitement adapté à l'usine du XX e  siècle. Il correspond de moins en moins à l'organisation de la production du XXI e  siècle… et aux aspirations de ceux qui travaillent. Sommes-nous prêts à changer ?"
Aurialie Jublin

Emploi:Viadeo lance une nouvelle fonctionnalité - 2 views

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    "Viadeo, premier réseau social professionnel de France avec 8 millions de membres, lance une nouvelle fonctionnalité pour réunir autour d'un même métier recruteurs et salariés, afin d'aider ces derniers à mieux anticiper l'évolution de leur carrière. Lancée vendredi sur le site, après plusieurs jours en version bêta, la fonctionnalité "Face à Face" propose quelque 500 groupes de discussion autour d'un métier - d'artiste-plasticien à chef de projet informatique, en passant par directeur juridique ou kinésithérapeute."
Aurialie Jublin

Se faire recruter pour sa personnalité, telle est la promesse de MonkeyTie - ... - 0 views

  • Les candidats peuvent se valoriser sur 3 dimensions : CV (savoir-faire), personnalité, attentes en matière de culture d’entreprise. Les entreprises mettent en avant leurs atouts, et publient leurs offres d’emploi. La plate-forme met en correspondance les valeurs d’une entreprise et les traits de personnalité d’un candidat. Ainsi, en plus de la partie CV classique, un candidat remplit en 8 minutes un questionnaire qui rend compte de cinq grands traits de personnalité : extraversion, ouverture d’esprit, convivialité, conscience professionnelle, stabilité émotionnelle. Ce bilan de personnalité reconnu s’appelle le « Big 5 ». Il remplit ensuite un dernier questionnaire de 8 minutes qui permet de déterminer ses attentes et ses valeurs en termes de culture d’entreprise.
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    "La recherche d'emploi est la principale préoccupation en France. Il existe un panel de sites d'emploi mais aucun d'eux ne proposent de connaître notre personnalité. C'est en partant de ce constat que quatre amis ont décidé de lancer le projet MonkeyTie."
Aurialie Jublin

Qui est vraiment menacé par l'automatisation ? La Fabrique de l'industrie - 0 views

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    "Pour Autor, il y a donc deux types de tâches extrêmement difficiles à automatiser. Au-delà de celles qui réclament un haut niveau de connaissances, d'adaptabilité et de créativité, il faut aussi compter avec celles, très basiques, qui s'appuient sur la connaissance tacite, le « bon sens ». Seules les tâches de routine, répétitives, se prêtent bien à l'automatisation. Voilà donc de quoi expliquer la « polarisation ». Les travailleurs très qualifiés continuent de prospérer non seulement car ils sont dans le premier de cas de figure - haut niveau de connaissances - mais en plus parce qu'ils bénéficient à plein de l'automatisation « de complément » qui améliore significativement leurs performances. Comme, de surcroît, l'offre de leurs compétences est très peu élastique (il faut un temps significatif pour former de nouveaux travailleurs de ce type), ils voient leurs salaires se maintenir ou augmenter. A l'autre extrême, les travailleurs les moins qualifiés effectuant un travail basé sur la « connaissance tacite » ne peuvent être remplacés par un automatisme. Ils ne peuvent toutefois que rarement bénéficier de la complémentarité homme-machine. Leur activité ne craint rien mais, dans ce cas, l'abondance de main-d'œuvre conduit à une stagnation voire une régression de leurs salaires. Ce sont donc les autres, les travailleurs intermédiaires, effectuant des tâches de routine à faible valeur ajoutée, qui subissent et subiront de plein fouet automatisation et informatisation. A mesure que l'informatique progresse, leur travail devient de plus en plus facile à transformer en algorithme et les machines n'ont donc aucune peine à prendre leur place."
Aurialie Jublin

A quoi ressemblera le recrutement du futur ? - 0 views

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    Plate-forme de recrutement en ligne, forum de recrutement virtuel, concours pour gagner votre premier CDI, CV vidéo… La diversification des modes de recrutement par le jeu ou par la technologie s'affiche dans tous les salons professionnels comme sur les écrans d'ordinateurs des directions des ressources humaines. Le réseau LinkedIn vient ainsi de diffuser une carte interactive des compétences disponibles en Europe et aux Etats-Unis à destination des recruteurs. En outre, 75 % des DRH consultent désormais le profil des candidats sur Internet, indiquait en juillet une enquête du cabinet de recrutement Robert Half.
Aurialie Jublin

Les "invisibles", ces salariés qui s'épanouissent dans l'ombre - L'Express - 0 views

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    L'auteur américain David Zweig consacre un livre aux travailleurs très qualifiés qui se donnent corps et âme à leur métier sans en attendre de reconnaissance (fact checker, ingénieur en architecture, nez, ...) . Un contre-pied inspirant à l'ère de l'autopromotion. 
Aurialie Jublin

Why the Robots Might Not Take Our Jobs After All: They Lack Common Sense - NYTimes.com - 0 views

  • “Many of the middle-skill jobs that persist in the future will combine routine technical tasks with the set of non-routine tasks in which workers hold comparative advantage — interpersonal interaction, flexibility, adaptability and problem-solving,” Mr. Autor writes. He specifically mentions medical support jobs, building trades and some clerical jobs that require decision-making rather than typing and filing.In the paper, Mr. Autor presents data showing that these middle-skill jobs have indeed been under pressure over the last few decades, with much stronger growth in the number of both very basic low-paying jobs and the most advanced jobs for skilled professionals. It is a hollowing-out of the American work force, in effect, with fewer jobs for technicians and factory workers and the middle-class wages that come with them.
  • “I expect that a significant stratum of middle-skill, non-college jobs combining specific vocational skills with foundational middle skills — literacy, numeracy, adaptability, problem-solving and common sense — will persist in the coming decades.” He argues that it is hard to blame computerization for jobs that have disappeared over the last decade in that much of the shift happened after capital investment in information technology fell following the collapse of the dot-com bubble.
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    "So what does that mean for workers over the years and decades ahead? Mr. Autor says that this weakness leaves plenty of opportunities for humans to serve as intermediaries of sorts between increasingly intelligent computers that nonetheless lack that common sense. He invokes the idea of "Polanyi's Paradox," named for the Hungarian thinker Michael Polanyi, who observed that "we know more than we can tell," meaning humans can do immensely complicated things like drive a car or tell one species of bird from another without fully understanding the technical details. "Following Polanyi's observation," Mr. Autor writes, "the tasks that have proved most vexing to automate are those demanding flexibility, judgment, and common sense - skills that we understand only tacitly.""
Aurialie Jublin

Actualité > 8 domaines où les robots prennent de plus en plus de place - 0 views

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    "Qu'ils soient auto-stoppeurs sur les routes canadiennes ou en passe de participer à leurs premières Olympiades en 2020 à Tokyo, les robots et leurs cousins immatériels (applications, logiciels, OS, etc.) continuent d'envahir notre quotidien et notre planète, parfois dans les endroits les plus incongrus. Voici un scan des domaines où ils progressent. - Aide à la personne - environnement (robot pollinisateur) - social (humanoïde membre de la famille) - sexe (application pour vibrer de plaisir) - robotique (robots qui s'assemblent tout seuls) - défense (robot chien de l'armée américaine) - sport
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