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DREES - Suicide : quels liens avec le travail et le chômage ? Penser la préve... - 0 views

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    En 2016, la France comptabilise près de 9 300 décès par suicide, un chiffre qui s'inscrit à la baisse depuis les années 2000. La moitié de ces décès concerne des personnes en âge de travailler, entre 35 et 64 ans. Ainsi, il se peut que certains de ces suicides soient liés aux conditions de travail des personnes concernées ou à leur vécu d'une situation de chômage. Toutefois, le constat ne peut être que partiellement posé. Le processus suicidaire est en effet un phénomène multifactoriel dans lequel le rôle joué par le travail ou le chômage est difficile à isoler. De plus, le système d'information permettant de répondre à ces questions est perfectible. Centré sur les suicides liés au travail et au chômage, le quatrième rapport de l'Observatoire national du suicide est composé de deux dossiers et de 18 fiches. Ce rapport a été rédigé avant la crise sanitaire liée au Covid-19. Par conséquent, il ne propose pas d'analyse de l'impact psychologique de cette crise ni de ses effets sur les conduites suicidaires. Certains résultats du rapport peuvent néanmoins éclairer la question des effets de cette crise sanitaire sur les travailleurs selon leur situation professionnelle. Le premier dossier revient sur la mise en place de politiques spécifiques de prévention du suicide élaborées ces dernières années et sur l'évolution du cadre législatif de la santé au travail. Malgré ces avancées et tout en rappelant que le travail est protecteur, ce 4ème rapport souligne que certaines conditions de travail et certaines pratiques de management peuvent générer un climat anxiogène pour les travailleurs et créer des risques psycho-sociaux. Même si le lien de causalité avec les conduites suicidaires n'est pas direct, le travail peut ainsi être en cause dans le processus suicidaire. De même, l'impact de la perte d'emploi et l'inactivité forcée occasionnent des formes de souffrances psychiques susceptibles de cond
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Collectif Alerte - Propositions - Stratégie de prévention et de lutte contre ... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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Collectif Alerte - Intervention de François Soulage - Stratégie de prévention... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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Collectif Alerte - Communiqué de presse - Stratégie de prévention et de lutte... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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Ministère des solidarités - Résumé des 21 mesures - Stratégie nationale de pr... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Ministère des solidarités - Annexes - Stratégie nationale de prévention et de... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Ministère des solidarités - Document de référence - Stratégie nationale de pr... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Sondage CSA - Enquête sur le lien social de proximité - 0 views

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    Amenés à se prononcer sur l'état du lien social en France, le grand public et les Maires font part d'un constat plutôt mitigé . D'un côté, les relations entre les Français sont jugées plutôt bonnes par le grand public et encore davantage par les Maires . Dans le détail, les rapports au sein des familles enregistrent le plus de réponses positives ( 76 % des Français les jugent « bonnes », 80 % des Maires) suivies des relations entre hommes et femmes ( 75 % et 90 % ), celles entre les différentes générations ( 58 % et 73 % ) puis celles entre voisins ( 55 % et 65 % ) . Les relations au sein des entreprises semblent en revanche être le parent pauvre de la proximité puisque seuls 39 % du grand public et 49 % des Maires y jugent les relations bonnes . Notons par ailleurs qu'un certain nombre de clivages se font jour au sein des Français sur la perception de ces différentes relations . Les 18 - 24 ans se montrent moins optimistes sur l'état des relations au sein des familles ( 67 % les jugent « bonnes », au lieu de 76 % en moyenne) et entre les différentes générations ( 53 % au lieu de 58 % ), à l'inverse des personnes de 65 ans et plus qui sont elles légèrement plus optimistes sur ces deux points (respectivement 81 % et 64 % ) . D'autres phénomènes sont aussi à relever, comme le fait que les hommes soient un peu plus optimistes que les femmes sur l'état des relations hommes / femmes ( 78 % les jugent « bonnes », contre 72 % chez les femmes), signe sans doute d'une plus grande sensibilité des femmes aux problèmes persistants dans ce domaine . On peut aussi constater que les relations entre voisins sont plus favorablement perçus dans les communes rurales ( 56 % ) que dans l'agglomération parisienne ( 50 % ), écart logique tant l'intensité des relations de voisinage varie selon le type de commune . Il est enfin à noter que les relations au sein des entreprises sont vues de façon plus positive chez les salari
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Ifop - Regards franco-allemands sur les défis démographiques de l'Europe - 0 views

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    A quelques semaines des élections européennes du mai 2019, Alliance Vita a souhaité connaitre l'opinion des Français et des Allemands sur les grands enjeux démographiques. Cette enquête révèle des conceptions convergentes quant aux solutions à apporter au vieillissement des populations, mais divergentes sur les questions liées à la natalité. Face à la problématique de l'isolement des personnes âgées, les Français et les Allemands retiennent la même hiérarchie entre les solutions proposées dans l'enquête en privilégiant largement des logiques de solidarité (plus de 50% des citations pour « développer des modes d'accompagnement de la dépendance » et « valoriser la solidarité entre les générations »), à des logiques d'ajustement des équilibres démographiques (moins de 30% des citations pour « accroître le recours à l'euthanasie pour les personnes âgées qui le demandent » ; moins de 20% pour « favoriser la venue de populations extra-européennes plus jeunes » et « encourager la natalité »). Si le rapport des Français et des Allemands au vieillissement de la population est assez proche malgré quelques nuances, leurs regards respectifs sur les enjeux liés à la natalité sont en revanche très différents. Les Français retiennent ainsi à égalité « les conditions de vie difficiles pour les familles » (52% des citations) et « la peur de l'avenir » (52%) comme les principales raisons expliquant le décalage entre le désir d'enfant et les naissances effectives. Si les Allemands mettent également « les conditions de vie difficiles pour les familles » en haut de classement (46%), c'est cette fois-ci à égalité avec « la faiblesse des politiques familiales, l'insuffisance des aides accordées aux familles avec enfants » (46% contre 16% seulement en France). On observe enfin que, malgré des situations économiques et sociales très différentes (3,2% de chômage en Allemagne, 8,8% e
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Terra Nova - Lutte contre la précarité énergétique : en finir avec les demi-m... - 0 views

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    La précarité énergétique touche, selon les définitions, jusqu'à un Français sur cinq. Selon l'INSEE, 14,6 % (3,9 millions) des ménages sont ainsi en situation de vulnérabilité énergétique en ce qui concerne le logement, et 10,2% (2,7 millions) pour les déplacements. En outre, ces chiffres déjà élevés ne prennent pas en compte les éventuelles restrictions volontaires de chauffage ou de mobilité que peuvent s'imposer les ménages modestes. Sous l'effet de la volatilité des prix de l'énergie et de la nécessaire augmentation de la fiscalité carbone, et sans mesures appropriées, ce phénomène ne fera que croître dans les années à venir. Les politiques publiques mises en places en France n'ont jusqu'ici pas été à la mesure du problème : l'attention s'est principalement portée sur les politiques curatives, qui ne permettent pas d'apporter une réponse structurelle à la précarité énergétique. Les moyens des politiques préventives ont été dispersés sur plusieurs dispositifs, trop souvent complexes, méconnus et insuffisamment ciblés. Terra Nova formule cinq propositions concernant le logement et la mobilité, notamment pour réorienter la fiscalité et les dispositifs d'aides, mieux utiliser les outils réglementaires et tirer profit de l'innovation. - Proposition 1 : Instaurer pour tous les logements un standard minimum de performance énergétique, dont le non-respect interdirait la location du logement. - Proposition 2 : Changer d'échelle dans le financement de la lutte contre la précarité dans le logement, en créant un compte d'affectation spécial « Précarité énergétique » au sein du budget de l'Etat, qui assurera à la fois le financement des politiques préventives (en particulier le financement de l'Agence nationale de l'habitat), sur lesquelles l'accent devra être mis, et curatives (le financement du chèque énergie). - Proposition 3 : Renforcer et massifier le programme Habiter
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L'aide et l'action sociales en France - édition 2017 - Panoramas de la DREES ... - 0 views

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    "L'aide et l'action sociales représentent 10 % des dépenses de la protection sociale et 3,2 % du produit intérieur brut. Ces aides et actions sont délivrées principalement par les départements. Fin 2015, ces derniers octroient 4,3 millions de prestations d'aide sociale, pour une dépense annuelle nette de 33 milliards d'euros. Au cours des cinq dernières années, ces dépenses augmentent de 2 % par an en moyenne. Après un premier éclairage sur le périmètre de l'aide et de l'action sociales et sur le financement de l'aide sociale départementale, celle-ci est décrite dans le détail : pour les personnes âgées dépendantes, pour les personnes handicapées, pour la protection de l'enfance et pour l'insertion. L'ouvrage s'attache à exposer les caractéristiques des bénéficiaires de l'aide sociale et la répartition des dépenses associées. Des rétrospectives sont proposées, et les disparités territoriales de l'aide sociale sont analysées." Ouvrage complet ou fiches séparées à télécharger Analyses transversales Fiche 01 - Le périmètre et les acteurs de l'aide et de l'action sociales en France Fiche 02 - Le financement des dépenses départementales d'aide sociale Fiche 03 - L'opinion des Français envers les politiques publiques d'aide sociale L'aide sociale aux personnes âgées Fiche 04 - Les dispositifs d'aide sociale aux personnes âgées Fiche 05 - L'aide sociale départementale aux personnes âgées Fiche 06 - Les bénéficiaires et les dépenses de l'allocation personnalisée d'autonomie Fiche 07 - L'aide sociale à l'hébergement des personnes âgées Fiche 08 - Les caractéristiques des bénéficiaires d'une aide sociale aux personnes âgées L'aide sociale aux personnes handicapées Fiche 09 - Les dispositifs d'aide sociale aux personnes handicapées Fiche 10 - L'aide sociale départementale aux personnes handicapées Fiche 11 - La prestation de compensation du hand
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Secours Catholique - Notre « État de la pauvreté en France 2022 » - 0 views

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    "Le Secours Catholique-Caritas France publie jeudi 17 novembre son rapport statistique annuel "État de la pauvreté en France 2022". Constats et analyses sur la précarité issus de l'observation sur l'ensemble du territoire national de plus de 46 000 situations (sur les 938 000 personnes accueillies par l'association en 2021). Cette année, le rapport étudie l'impact de la crise du Covid sur les conditions de vie des ménages les plus fragiles. Après deux ans d'épreuves, leur pauvreté s'est aggravée, tandis qu'ils subissent désormais le choc de l'inflation. Paragraphes de contenu Texte Crise financière, crise sanitaire, guerre aux frontières de l'Europe, inflation, événements climatiques extrêmes… Nous sommes dans une ère d'incertitudes multiples. Pour celles et ceux qui n'ont aucun coussin d'amortissement, le choc peut être extrêmement douloureux. C'est le cas des personnes aux conditions de vie les plus précaires, qui ont été le plus durement affectées par la crise née du Covid-19. Tel est le principal enseignement du rapport statistique 2022 du Secours Catholique sur l'état de la pauvreté en France. À l'appui de ce constat, une étude dédiée à l'impact de la crise sur les budgets des plus précaires. Elle a été menée en partenariat avec des chercheurs de l'Institut de recherche pour le développement (IRD) et de l'université Paris-Saclay. Les données ont été recueillies auprès d'un échantillon de près de 9000 ménages accueillis par l'association, avant et durant la crise sanitaire. Cette analyse du budget des ménages met en évidence des profils de précarité diversement affectés. Les femmes seules, en particulier, ont vu leur budget, déjà très contraint, fortement déséquilibré par les pertes de revenus engendrées par la crise sanitaire. Autre population peu ou mal servie par les aides publiques mises en place pour compenser les effets de la crise, les étrangers au statut légal instable ont
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Insee - Revenus-Salaires - Une pauvreté très présente dans les villes-centres... - 0 views

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    "En France métropolitaine, en 2012, le taux de pauvreté est le plus élevé dans le Nord et le Sud-Est, ainsi qu'en Seine-Saint-Denis. Le taux de pauvreté est le plus important dans les villes-centres des grandes aires urbaines, où la pauvreté touche particulièrement les familles monoparentales, les familles nombreuses et les ménages jeunes, ainsi qu'en dehors de l'influence des villes. Les inégalités de niveaux de vie à l'intérieur des régions et des départements sont souvent fortes ; elles sont les plus prononcées à Paris, dans les Hauts-de-Seine, et en Haute-Savoie, du fait d'un niveau de vie particulièrement élevé de la partie aisée de la population qui y habite. Le niveau de vie médian est généralement plus élevé dans l'espace urbain, en particulier dans les couronnes des grands pôles urbains. Pour les personnes les plus pauvres, la part des prestations sociales dans le revenu disponible est importante et varie fortement selon les régions ; elle est la plus élevée dans les villes-centres où elle représente en moyenne 46 % du revenu disponible pour les 10 % de personnes les plus modestes. À l'inverse, pour les personnes les plus aisées, la part des revenus du patrimoine est alors prédominante : dans les villes-centres, qui concentrent souvent les plus fortes inégalités, elle représente en moyenne 30 % du revenu disponible pour les 10 % de personnes les plus aisées."
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France Stratégie - Nés sous la même étoile ? Origine sociale et niveau de vie - 0 views

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    L'origine sociale joue un rôle plus important sur le niveau de vie des individus que le sexe, l'âge ou l'origine migratoire. Ce poids de l'origine sociale s'explique principalement par l'influence qu'elle a en France sur la réussite scolaire des individus. France Stratégie propose une analyse inédite sur le poids de l'origine sociale sur les revenus, qui ne se borne pas à son influence sur les salaires, mais qui prend également en compte le contexte familial (revenu d'un éventuel conjoint, présence ou non d'enfant dans le ménage). Lorsque l'on classe entre 2011 et 2014 des individus nés entre 1970 et 1984 sur l'échelle des niveaux de vie, et que l'on parcourt cette échelle, c'est la proportion relative d'enfants de catégories populaires ou favorisées qui varie le plus fortement. Ainsi, parmi les 10 % d'individus les plus modestes, on plus de la moitié sont des enfants d'd'ouvriers et moins d'un sur dix est un enfant de cadre supérieur. À l'inverse, parmi les 10 % les plus aisés, un peu moins d'un sur cinq est enfant d'ouvrier et un peu plus d'un sur trois est enfant de cadre supérieur. Pour autant, l'origine sociale d'un individu n'assure pas un niveau de vie particulier : elle influe sur la probabilité d'atteindre une position plutôt qu'une autre. Si les enfants de la classe moyenne ont les mêmes chances d'accéder aux classes les plus modestes ou au aux classes les plus aisées, il en va autrement pour les autres. Un individu dont le père exerce une profession libérale a 50 % de chance de faire partie des 20 % les plus aisés, celui dont le père est professeur 40 %. Pour un enfant d'ouvrier agricole, la probabilité chute à moins de 10 %. L'origine sociale a un effet plus discriminant sur l'accès à un niveau de vie élevé que sur le probabilité de faire partie des ménages modestes. En outre, l'origine sociale beaucoup plus d'impact le niveau de vie des individus
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Unicef - 14e rapport Innocenti : Construire l'avenir : les enfants et les obj... - 0 views

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    Innocenti, le centre de recherche de l'Unicef basé à Florence, publie son quatorzième bilan intitulé "Construire l'avenir : les enfants et les objectifs de développement durable dans les pays riches". En effet, pour le rapport - qui porte sur 41 pays développés de l'Union européenne et de l'OCDE -, le signe le plus révélateur des progrès accomplis par une nation pour atteindre les objectifs de développement durable "est sans doute la façon dont elle répond aux besoins de ses enfants". L'étude s'appuie donc sur l'analyse de 9 objectifs et de 25 indicateurs de développement durable en lien avec la thématique des enfants. (...) La 19e place de la France sur les 41 pays étudiés recouvre bien sûr des écarts importants selon les objectifs de développement durable considérés. Côté positif : le 7e rang de la France sur l'objectif "Faim zéro" (éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire et améliorer la nutrition). De même, le classement apparaît correct avec le 14e rang sur l'objectif "Education de qualité" et le 15e rang sur l'objectif "Pas de pauvreté", voire avec le 17e rang sur l'objectif "Bonne santé et bien-être". Deux autres critères se situent juste dans la moyenne de l'échantillon : la France figure ainsi au 20e rang sur l'objectif "Travail décent et croissance économique" et au 21e rang sur "Paix, justice et institutions efficaces". En revanche, la situation sur les autres objectifs est nettement moins favorable et pèse sur le classement final. La France figure ainsi au 23e rang sur l'objectif "Villes et communautés durables" et au 25e sur "Consommation et production responsables". Mais le plus mauvais résultat concerne l'objectif "Inégalités réduites", sur lequel la France se classe au 34e rang, tout juste devant les Etats-Unis (35e). Sur ce critère, tous les autres grands pays développés se trouvent classés devant la France. Ce critère combine trois indicateurs portant respectivement sur l'inégalité (ind
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IFOP - Les Français et la pauvreté - 0 views

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    Invités à se prononcer sur la responsabilité du gouvernement dans le bien-être des individus, près de la moitié des Français (48%) estime que c'est aux gens eux-mêmes de se prendre en charge, 40% estimant au contraire que le gouvernement doit s'occuper des citoyens afin d'assurer leur bien-être. Si ces deux items atteignent des scores assez comparables (12% ne se prononçant pas), le résultat est beaucoup plus clivé aux Etats-Unis : là-bas, ce sont les deux tiers de la population (66%) qui estiment que la responsabilité du bien-être de tous repose sur les citoyens, contre moins d'un tiers pour le gouvernement (29%). Dans le détail des résultats, en France, le niveau de vie constitue une variable explicative de ces réponses : plus hauts sont les revenus et plus les interviewés se positionnent sur l'item « les individus sont responsables ». Et de manière symétrique, plus le niveau de vie est bas, plus les personnes interrogées estiment que le gouvernement doit s'occuper de tous. Le même type de contraste apparaît concernant les aides sociales. 48% des Français estiment qu'elles donnent aux pauvres la possibilité de se maintenir la tête hors de l'eau et de pouvoir rebondir et 41% pensent qu'elles rendent les pauvres dépendants et les incitent à rester dans la pauvreté (11% ne se prononcent pas). Aux Etats-Unis, le rapport de forces est inversé : seul un tiers croît dans l'utilité des aides sociales (35%) quand la majorité absolue (54%) dénonce l'assistanat. Au final, l'Etat est loin d'être le plus cité par les Français comme l'acteur le plus à même se sortir les gens de la pauvreté. Avec 15% de citations, il est devancé par les associations (30%) et les pauvres eux-mêmes (20%). Seules les entreprises privées (10%) suscitent moins de confiance pour sortir les gens de la pauvreté, tout en sachant qu'environ un quart des Français (24%) ne se positionne sur aucun de ces acteurs.
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Institut Montaigne - Seine-Saint-Denis : le Covid-19 exalte les inégalités - 0 views

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    "Le Covid-19 n'épargne aucun continent, aucun pays ni aucun territoire : "ce virus n'a pas de passeport", selon la formule consacrée du président de la République. Cependant, comme ses ancêtres auparavant, le Covid-19 est plus susceptible de se propager dans les populations qui vivent dans les conditions matérielles les plus désastreuses. Quelques jours après l'annonce du confinement, Paris s'était brusquement arrêté. Selon les données de géolocalisation contenues dans les téléphones, entre le 13 et le 20 mars, plus d'un million de Franciliens auraient déserté leur région pour rejoindre leurs résidences secondaires et supporter un confinement qui promettait d'être long. A quelques stations de métros, aux portes de Paris, les Séquano-Dionysiens (habitants de la Seine-Saint-Denis) ne sont pas ignorants des injonctions du gouvernement à rester chez soi, ni du bienfait qu'il y aurait de trouver un asile ailleurs pour mieux supporter l'enfermement, et moins encore à l'évidence de la nécessité de protéger les siens. Ils n'en ont simplement pas le privilège. Contraints par la nécessité économique qui impose, pour certains, le maintien de déplacements professionnels et happés par un irréfrénable besoin d'air frais pour fuir une promiscuité insupportable, les Séquanos-Dionysiens propagent de facto le virus. Entre le 28 mars et le 3 avril, la mortalité dans le département a augmenté de 47 % par rapport à la semaine précédente (la semaine du 21 au 27 mars ayant déjà révélé une augmentation de 63 % de la mortalité par rapport à la semaine précédente). Entre le mois de mars de l'année 2019 et le mois de mars de l'année 2020, le nombre de décès a augmenté de 61,6 %. Aucune classe d'âge n'est épargnée : entre mars 2019 et mars 2020, les analyses conduites par l'Insee révèlent une augmentation de la mortalité de 55,5 % chez les moins de 64 ans, de 67,8 % chez les 65-74 ans e
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France Stratégie - Le couple contribue-t-il encore à réduire les inégalités ? - 0 views

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    Entre 1996 et 2015, la hausse de l'activité des femmes a fait chuter les inégalités de revenus entre femmes et hommes. Pour autant, les inégalités de niveaux de vie - celles qui tiennent compte de la structure des ménages et de la redistribution socio-fiscale - sont restées relativement stables. Pour comprendre pourquoi, France Stratégie met en lumière que la France a été marquée non par une mais par trois transformations sociales qui ont modifié la répartition des revenus en France. La Note d'analyse souligne en particulier l'utilité qu'il y a à s'intéresser à un mécanisme trop souvent négligé lorsque l'on cherche à comprendre les évolutions des inégalités en France, celui de la mise en commun des ressources au sein d'un ménage, la « redistribution privée ». France Stratégie montre ainsi que la progression de l'activité féminine a bien réduit les inégalités. Mais, dans le même temps, deux autres évolutions sociales ont joué en sens contraire : La modification des structures familiales induite par les nouveaux modes de vie, avec une mise en couple plus tardive et une hausse des désunions. En 2015, 69 % des 25-60 ans étaient en couple alors qu'ils étaient 78 % en 1996. En particulier, les familles monoparentales sont devenues 1,6 fois plus nombreuses sur la période. Le renforcement de l' « homogamie de revenu » : les hommes et les femmes sont de plus en plus souvent en couple avec une personne qui perçoit un revenu proche du leur. Cela se traduit par une diminution des inégalités au sein des couples mais par une augmentation des inégalités entre couples. L'impact de ces deux dernières évolutions sociales s'observe lors de la mise en commun des ressources au sein des ménages - une étape qui permet de réduire les inégalités entre individus tant que les écarts de rémunérations entre conjoints persistent. De fait, des couples moins nombreux, c'est moins d'individus susceptibles de
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Opinion Way / France Volontaires - Les Français et les engagements volontaire... - 0 views

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    A l'occasion de la Journée Internationale des Volontaires, le 5 décembre, France Volontaires dévoile les résultats de l'enquête d'opinion réalisée par l'institut OpinionWay, en partenariat avec Courrier International, sur le thème : « Les Français et les engagements volontaires et solidaires à l'international ». Ce sondage révèle les désirs d'engagements des Français, les motivations et les freins, ainsi que la manière dont ils répondent aux enjeux sociétaux ici et là-bas. Parmi les principaux enseignements de cette étude : Les Français perçoivent les bénéfices de l'engagement volontaire à l'international, qui permet de créer une société plus solidaire et plus ouverte à autrui. Près d'une personne sur trois s'est d'ailleurs déj̀ engagée personnellement dans une mission de solidaríté, en France ou à l'international. S'ils en avaient l'opportunité, un tiers des Français seraient prêts à s'engager volontairement pour effectuer des missions à l'international, et en particulier les jeunes. Si tous ne sont pas prêts à partir, la majorité des personnes interrogées voient les bénéfices d'accueillir également en France des volontaires d'autres pays et considèrent ce principe de réciprocité dans le volontariat international comme un bon moyen de favoriser la cohésion sociale et l'ouverture de la société. Les personnes prêtes à partir en mission aspirent avant tout à se rendre utiles, et perçoivent les bénéfices sur le plan personnel que ces missions peuvent apporter : une ouverture sur le monde, des compétences professionnelles, un projet de vie... Les individus prêts à s'engager aimeraient avant tout participer à des missions concernant l'accès à l'éducation, les droits de l'homme ou la lutte contre la pauvreté et les inégalités. Le suivi des parcours d'engagement des individus est un élément important : les per
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BVA - Les Français et les liens entre les générations - 0 views

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    Des personnes âgées et des jeunes perçus comme solidaires avec les autres, et des jeunes également jugés individualistes Les Français jugent majoritairement que les personnes âgées et les jeunes sont plutôt solidaires avec les autres (72% concernant les personnes âgées et 57% en ce qui concerne les jeunes). 4 Français sur 10 (39%) estiment que les personnes âgées sont plutôt individualistes, alors que plus de 6 Français sur 10 (61%) ont le sentiment que les jeunes le sont. Si plus d'un Français sur deux estiment que les jeunes générations et les générations âgées s'entraident, la majorité pense qu'elles ne se comprennent pas bien Une courte majorité de Français ont le sentiment que les deux générations s'entraident (55%), ont des valeurs en commun (52%) et partagent leurs expériences (51%). En revanche, seuls 3 Français sur 10 (31%) pensent que les deux générations se comprennent bien. Aux yeux des Français, les jeunes devraient surtout apporter aux personnes âgées leur aide pour les tâches pénibles de la vie quotidienne Pour l'ensemble des Français, il faudrait que les jeunes apportent surtout aux générations âgées leur aide pour les tâches pénibles de la vie quotidienne (50%), puis leur connaissance du numérique (43%). En revanche, les personnes âgées de 65 ans et plus placent en 1ère position l'affection des jeunes (45%) L'organisation de visites au domicile des personnes âgées : la meilleure solution pour renforcer les liens intergénérationnels Pour permettre d'aller vers une société plus fraternelle à l'avenir, l'idée qui se positionne en tête du classement des Français est l'organisation de visites au domicile des personnes âgées par des jeunes, notamment au travers du bénévolat ou du service civique (52%).
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