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HCFEA - Note de synthèse - Lutter contre la pauvreté des familles et des enfants - 0 views

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    l s'agit d'une part d'identifier les caractéristiques des familles pauvres ou en risque d'exclusion sociale, et les difficultés auxquelles elles sont confrontées ainsi que leurs enfants, et d'autre part d'interroger les politiques publiques conduites pour lutter contre la pauvreté et le risque d'exclusion sociale et contre leurs conséquences. Le Président de la République a décidé, le 17 octobre 2017, d'engager l'élaboration d'une stratégie nationale de lutte contre la pauvreté. Cette stratégie est actuellement portée Olivier NOBLECOURT, nommé Délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes. L'objectif des travaux du Conseil de la famille est d'apporter une contribution à cette stratégie et aux débats sur la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale et de soumettre des pistes pour améliorer la situation des familles pauvres ou en risque d'exclusion sociale. Deux raisons principales motivent le choix de ce thème de travail : d'abord l'importance du taux de pauvreté des enfants : si, en 2014, 14 % de la population métropolitaine, soit 8,6 millions de personnes, vit en dessous du seuil de pauvreté, la pauvreté des enfants est sensiblement supérieure à celle de l'ensemble de la population puisqu'elle atteint 19,8 % ; deux types de familles sont particulièrement concernés, les familles monoparentales et les familles nombreuses ; ensuite l'importance des phénomènes de reproduction sociale en la matière : l'enfant d'une famille pauvre a beaucoup plus de risques de se retrouver lui aussi dans une position disqualifiée socialement lorsqu'il atteint l'âge adulte, parce qu'il ne dispose pas des ressources économiques, sociales, ou relationnelles nécessaires ; lutter contre les conséquences de la pauvreté pour les enfants, en termes de risque accru d'exclusion sociale, est donc particulièrement important. Pour le H
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Ministère des solidarités - Résumé des 21 mesures - Stratégie nationale de pr... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Ministère des solidarités - Document de référence - Stratégie nationale de pr... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Ministère des solidarités - Annexes - Stratégie nationale de prévention et de... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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CESE - Avis - Eradiquer la grande pauvreté à l'horizon 2030 - 0 views

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    Les préconisations de l'avis veulent servir d'abord l'objectif d'éradication de la grande pauvreté à l'horizon 2030, avec l'idée que résorber la grande pauvreté est le premier levier pour faire reculer la pauvreté dans notre pays. Pour déterminer le nombre de personnes en situation de pauvreté ou de grande pauvreté on utilise différentes méthodes comme la pauvreté en conditions de vie ou la pauvreté monétaire. Le seuil de pauvreté monétaire se situe à 60 % du revenu médian. En 2016, 9 millions de personnes vivaient en France avec moins de 1 026 euros par mois. 5 millions de personnes sont en situation de grande pauvreté avec moins de 855 euros par mois. Sur les 25 préconisations de l'avis, huit, parmi les plus structurantes, sont mises en avant dans cette synthèse, les unes à mettre en œuvre à court terme, les autres à moyen terme.
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CESE - Synthèse - Éradiquer la grande pauvreté à l'horizon 2030 - 0 views

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    Les préconisations de l'avis veulent servir d'abord l'objectif d'éradication de la grande pauvreté à l'horizon 2030, avec l'idée que résorber la grande pauvreté est le premier levier pour faire reculer la pauvreté dans notre pays. Pour déterminer le nombre de personnes en situation de pauvreté ou de grande pauvreté on utilise différentes méthodes comme la pauvreté en conditions de vie ou la pauvreté monétaire. Le seuil de pauvreté monétaire se situe à 60 % du revenu médian. En 2016, 9 millions de personnes vivaient en France avec moins de 1 026 euros par mois. 5 millions de personnes sont en situation de grande pauvreté avec moins de 855 euros par mois. Sur les 25 préconisations de l'avis, huit, parmi les plus structurantes, sont mises en avant dans cette synthèse, les unes à mettre en œuvre à court terme, les autres à moyen terme.
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INSEE - 70 % des personnes pauvres en 2016 le restent l'année suivante, une p... - 0 views

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    "En France métropolitaine, une personne sur sept vit sous le seuil de pauvreté monétaire. Ces situations sont souvent durables et la persistance d'une année sur l'autre a tendance à augmenter entre 2008 et 2017. 70 % des personnes pauvres en 2016 sont toujours dans cette situation l'année suivante, alors que 63 % des personnes pauvres en 2008 l'étaient toujours en 2009. Cette persistance de la pauvreté est particulièrement élevée pour les personnes peu ou pas diplômées, les enfants et les personnes âgées de plus de 65 ans. Si un tiers des individus pauvres une année ne le sont plus l'année d'après, leur sortie de la pauvreté n'est pas toujours durable. Sur quatre ans, seules 20 % des personnes pauvres la première année ne le sont plus au cours des trois années suivantes, 40 % restent, à l'inverse, durablement pauvres et 40 % alternent pauvreté et non-pauvreté. Cette répartition est stable entre 2008 et 2017. Le risque de basculer dans la pauvreté une année donnée pour les personnes vivant au-dessus du seuil de pauvreté monétaire les trois années précédentes est faible, 3 % en 2017. Ce risque s'accroît très sensiblement pour les personnes ayant déjà connu un épisode de pauvreté dans les trois années précédentes et avec le nombre d'années déjà passées dans la pauvreté."
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Ministère des solidarités et de la santé - Lancement de la concertation de la... - 0 views

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    Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé et Olivier Noblecourt, Délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, ont présenté aujourd'hui les principaux chantiers ainsi que l'organisation de la concertation qui aboutira à la remise officielle de la stratégie au Président de la République en avril 2018. Cette stratégie devra répondre à l'exigence du Président de la République de rompre le déterminisme de la pauvreté dans une logique de prévention et d'investissement social. Elle concernera en priorité les enfants et les jeunes, mais elle s'inscrira dans une approche plus globale, visant à prévenir les fragilités susceptibles de toucher toutes les personnes et à poursuivre les mesures de réduction de la pauvreté et de renforcement de l'inclusion sociale sur toute la durée du quinquennat. La ministre des Solidarités et de la Santé a identifié quatre principaux chantiers pour la concertation : - la construction d'une politique affirmée de prévention de la pauvreté mobilisant le droit commun. Il s'agit d'assurer une meilleure égalité des chances dès l'enfance, en favorisant par exemple l'accueil des enfants des familles les plus défavorisées en crèche ; - le repérage et l'accompagnement des personnes en situation de pauvreté, dans une logique d'intervention précoce et de parcours visant à préserver l'autonomie des personnes. Le non-recours aux aides sociales entretient la pauvreté et il convient donc de favoriser l'accès aux prestations et aux services auxquels les personnes ont droit ; - le recours à des dispositifs d'accompagnement spécifiques pour les personnes touchées par la grande pauvreté ; - le renouvellement de la gouvernance à la fois nationale et territoriale de la lutte contre la pauvreté pour permettre une bonne articulation des actions menées par les différents intervenants, adapter les efforts à la
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Fondapol | Les 10 mutations qui ont affecté la pauvreté en France depuis les ... - 0 views

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    "Objet d'une intervention publique toujours plus dense, la lutte contre la pauvreté gagnerait à se doter d'instruments d'action publique plus génériques, agissant sur les déterminants du phénomène : le travail, la famille et l'immigration. Parallèlement, la rationalisation des outils spécifiques alloués à cette fin en améliorera sans aucun doute l'efficacité, à l'heure où l'idée d'un « revenu universel » n'a jamais connu autant d'échos dans le débat public. L'auteur avance des propositions de réformes afin d'améliorer ce système à bout de souffle. Extrait de « Mesures de la pauvreté, mesure contre la pauvreté », de Julien Damon, pour Fondapol ½. Dix observations sur les évolutions de la pauvreté 1. Inscription sur l'agenda politique 2. Une politique publique prioritaire 3. Rajeunissement de la pauvreté 4. Urbanisation de la pauvreté 5. "Monoparentalisation" de la pauvreté 6. Féminisation 7. Problème de budgets contraints 8. Davantage de travailleurs pauvres 9. Dépendance accrue aux prestations 10. Une immigration disputée"
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France Stratégie - Evaluation de la stratégie nationale de prévention et de l... - 0 views

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    "Le comité d'évaluation de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, présidé par Louis Schweitzer, publie son premier rapport annuel. Il s'agit d'une note d'étape qui présente les grands axes de la démarche d'évaluation, les méthodes envisagées et le calendrier des travaux. Deux démarches participatives ont été engagées pour enrichir les travaux du comité : d'une part, la consultation du collège des personnes en situation de pauvreté du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale, d'autre part, la réunion d'un panel de trente citoyens représentatifs de la population française. Le comité a décidé que l'évaluation aurait une double dimension stratégique et analytique. Elle sera réalisée à deux niveaux : Une évaluation portant sur trente-cinq mesures et leurs effets Les trente-cinq mesures de la stratégie nationale regroupées autour de cinq thèmes : petite enfance et éducation ; santé ; accompagnement, formation et emploi ; logement et droits sociaux feront l'objet d'un suivi et leurs effets seront évalués au moyen d'indicateurs choisis en fonction des résultats attendus. L'appui sur la littérature scientifique permettra d'apporter un éclairage sur les effets attendus pour chacun des cinq grands thèmes. Certaines mesures feront l'objet d'une évaluation scientifique d'impact afin de déterminer leur effet causal. Une évaluation portant sur la stratégie nationale dans son ensemble La Stratégie vise deux grands objectifs : éviter la reproduction sociale de la pauvreté et permettre aux gens de sortir de la pauvreté. Le comité a décidé d'évaluer également au regard d'un troisième objectif : ne laisser personne en situation de grande pauvreté. L'évaluation prendra en considération les politiques qui partagent l'objectif de lutte contre la pauvreté comme celles qui poursuivent d'autres objectif
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Premier ministre - Dossier de presse - De nouvelles mesures pour prévenir et ... - 0 views

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    La crise frappe en premier lieu les personnes les plus précaires : perte de revenus entraînant des difficultés à faire face aux dépenses du quotidien, moindre perspective de retrouver un emploi et une activité pour assumer ces dépenses de tous les jours… Autant de difficultés du quotidien qui risquent d'entraîner ou de maintenir une partie de nos concitoyens dans la spirale de la précarité. Le gouvernement a fourni un effort sans précédent pour maintenir l'activité économique et les emplois qui lui sont liés : plan de relance irriguant l'ensemble de l'économie, activité partielle et divers dispositifs d'aides financières (prêts garantis par l'État, fonds de solidarité…) permettant aux entreprises en difficulté d'éviter de réduire les effectifs, plan Jeunes. Des mesures doivent être prises désormais afin de prévenir et lutter contre cette bascule dans la pauvreté et la grande pauvreté: c'est pourquoi le gouvernement déploie aujourd'hui un nouvel arsenal d'actions autour de trois grandes priorités : - Soutenir le pouvoir d'achat des personnes précaires et modestes et en leur apportant un accompagnement au quotidien. - Favoriser la sortie de la pauvreté en développant les solutions d'insertion et d'activité pour les personnes sans emploi. - Assurer des conditions de logement et d'hébergement adaptées et prévenir les impayés de loyers. Au total, plus de 1,8 Md d'euros seront mobilisés pour financer les nouvelles mesures de lutte contre la pauvreté, qui viennent s'ajouter au budget de la stratégie pauvreté (plus de 8 Mds d'euros), aux mesures de lutte contre la pauvreté prises pendant la crise (plus de 1,5 Md d'euros) et aux mesures de lutte contre la pauvreté du plan de relance (plus de 6 Mds d'euros).
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Près du quart de la population européenne est toujours en risque de pauvreté ... - 0 views

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    En 2016, 118 millions de personnes sont en situation de pauvreté ou d'exclusion sociale dans l'Union européenne (UE-28), soit 23,5 % de la population, selon un indicateur composite mesurant la pauvreté monétaire, la privation matérielle et l'exclusion, totale ou partielle, du marché du travail. Tous les ménages ne sont pas uniformément confrontés à la pauvreté. Les femmes, les jeunes et les personnes sans emploi ou en situation d'isolement sont généralement les plus concernés. La situation est très contrastée en Europe, où les écarts ont eu tendance à s'accentuer entre pays après la crise de 2008 et les politiques d'ajustement menées. Les pays du sud de l'Europe, les plus touchés, ont vu leur situation relative se dégrader, à l'inverse de la plupart des pays de l'Est. Quoiqu'en légère hausse depuis 2008, la pauvreté monétaire se situe en France à l'un des plus bas niveaux de l'UE-28 (14 % en 2016), grâce au système socio-fiscal. L'Union européenne à 27 (hors Croatie) a fixé un objectif de réduction de 20 millions du nombre de personnes en situation de pauvreté ou d'exclusion sociale entre 2008 et 2018. Pourtant, en 2016, on compte 1 million de personnes pauvres ou exclues de plus par rapport à 2008. Les hausses les plus prononcées concernent la pauvreté monétaire et la population vivant dans des ménages à très faible intensité de travail, tandis que la privation matérielle sévère recule.
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Collectif Alerte - Propositions - Stratégie de prévention et de lutte contre ... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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Collectif Alerte - Intervention de François Soulage - Stratégie de prévention... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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Collectif Alerte - Communiqué de presse - Stratégie de prévention et de lutte... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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INSEE - Un ménage francilien sur quatre concerné par une forme de pauvreté - 0 views

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    "En Île-de-France, la pauvreté monétaire touche 15,6 % de la population, soit 1,8 million de personnes au niveau de vie inférieur à 1 000 € par mois. Par ailleurs, la pauvreté administrative mesurée à travers le revenu de solidarité active (RSA) concerne 5,3 % de la population francilienne. La pauvreté peut également être appréhendée par les conditions de vie. Ainsi, 15,9 % des ménages franciliens déclarent des privations matérielles. Au global, un quart des ménages franciliens est touché par au moins une forme de pauvreté, et près de 2 % cumulent les trois formes. Les familles monoparentales, les personnes seules, en particulier les hommes, et les locataires font partie des ménages les plus concernés par la pauvreté. Depuis la fin des années 2000, la pauvreté a fortement augmenté dans la région. "
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INSEE - Les niveaux de vie en 2016 - 0 views

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    "En 2016, en France, le niveau de vie médian de la population s'élève à 20 520 euros annuels, soit un montant supérieur de 0,9 % à celui de 2015 en euros constants. Il retrouve son niveau d'avant-crise. Les 10 % de personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 11 040 euros annuels. Les 10 % les plus aisées ont un niveau de vie au moins 3,4 fois supérieur, au-delà de 37 570 euros. En 2016, les niveaux de vie augmentent davantage dans le bas et le milieu de la distribution. Les ménages les plus modestes ont notamment bénéficié de la mise en place de la prime d'activité en janvier 2016. Les niveaux de vie sont en revanche stables dans le haut de la distribution et diminuent même pour les 5 % les plus aisés. Après une stabilité en 2015, les inégalités globales diminuent légèrement en 2016. L'indice de Gini passe de 0,292 à 0,288. En 2016, 8,8 millions de personnes vivent au-dessous du seuil de pauvreté monétaire, qui s'élève à 1 026 euros par mois. Le taux de pauvreté s'établit à 14,0 % de la population, après 14,2 % en 2015. L'intensité de la pauvreté est stable à 19,7 %. La situation vis-à-vis de la pauvreté reste très liée au statut d'activité. En 2016, 38,3 % des chômeurs vivent au-dessous du seuil de pauvreté contre 6,4 % des salariés. Le taux de pauvreté varie également fortement selon la situation familiale : 34,8 % des personnes vivant dans une famille monoparentale sont pauvres en 2016. "
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INSEE - Les niveaux de vie en 2015 - 0 views

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    En 2015, en France, le niveau de vie médian de la population s'élève à 20 300 euros annuels, soit un montant légèrement plus élevé que celui de 2014 en euros constants. Dans le haut de la distribution, les niveaux de vie repartent à la hausse après plusieurs années de baisse, l'augmentation étant particulièrement marquée pour les plus aisés. Dans le bas de la distribution, les niveaux de vie stagnent à l'exception du premier décile dont l'augmentation compense le léger repli de l'année précédente. En 2015, les 10 % de personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 10 860 euros. Les 10 % les plus aisées ont un niveau de vie au moins 3,5 fois supérieur, au-delà de 37 510 euros. Après une forte baisse en 2013, les inégalités globales, mesurées par l'indice de Gini, restent stables depuis 2014. Le seuil de pauvreté monétaire, qui correspond à 60 % du niveau de vie médian de la population, s'établit à 1 015 euros mensuels. La pauvreté ainsi définie touche 14,2 % de la population, proportion stable par rapport à 2014 ; cependant, l'intensité de la pauvreté diminue. La situation vis-à-vis de la pauvreté est très liée au statut d'activité. En 2015, 37,6 % des chômeurs vivent au-dessous du seuil de pauvreté contre 6,5 % des salariés. Pour les actifs, occupés ou au chômage, le taux de pauvreté varie fortement selon la catégorie socioprofessionnelle : 15,3 % des ouvriers sont pauvres selon l'approche monétaire contre 3,1 % des cadres et professions intellectuelles supérieures. A télécharger
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Secours populaire - Rapport complet - Rapport d'activité 2016 - 0 views

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    Cela ne fait aucun doute. La pauvreté gagne du terrain. Aujourd'hui, on compte près de neuf millions de pauvres en France. C'est un million de plus qu'il y a dix ans. Derrière ces chiffres se cachent des enfants, des hommes et des femmes en détresse, des situations dramatiques au quotidien, des familles désespérées qui viennent pousser la porte de nos antennes. En l'espace d'un an, les demandes d'aide auprès de nos permanences ont explosé. Les bénévoles font face à une augmentation soudaine allant de 15 à 50 % dans certains départements, comme dans l'Hérault. La situation se détériore pour les travailleurs précaires, les personnes en fin de droit, les jeunes, les personnes âgées, celles déboutées du droit d'asile... La peur de sombrer dans la pauvreté aussi se répand dans notre société. Plus d'un Français sur deux (55%) craint que sa vie quotidienne soit menacée par la pauvreté. Ils étaient déjà 45% avant la crise économique de 2008. Ils ne sont pas plus optimistes pour les générations futures, puisque 83% des Français estiment que les risques de connaître une situation de pauvreté seront plus importants pour leurs enfants. La pauvreté et l'exclusion abîment les êtres. Les Français les plus pauvres se privent de tout, vacances, loisirs, culture, mais aussi alimentation. Ils en viennent à sacrifier leur santé. Ainsi, 50% d'entre eux ont déjà renoncé à effectuer une consultation chez le dentiste (+22% par rapport à 2008). C'est pourquoi les « Médecins du Secours populaire » s'efforcent d'aider à l'accès aux soins pour tous. N'oublions pas les personnes au-delà de nos frontières qui souffrent de la faim ou qui sont confrontées à la violence et aux catastrophes naturelles, comme en Equateur ou en Italie en 2016. Encore aujourd'hui, 10% de la population mondiale est confrontée à la pauvreté. Et comment rester insensible aux millions de personnes déplacées, qui fuient la vio
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Secours populaire - Essentiel - Rapport d'activité 2016 - 0 views

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    Cela ne fait aucun doute. La pauvreté gagne du terrain. Aujourd'hui, on compte près de neuf millions de pauvres en France. C'est un million de plus qu'il y a dix ans. Derrière ces chiffres se cachent des enfants, des hommes et des femmes en détresse, des situations dramatiques au quotidien, des familles désespérées qui viennent pousser la porte de nos antennes. En l'espace d'un an, les demandes d'aide auprès de nos permanences ont explosé. Les bénévoles font face à une augmentation soudaine allant de 15 à 50 % dans certains départements, comme dans l'Hérault. La situation se détériore pour les travailleurs précaires, les personnes en fin de droit, les jeunes, les personnes âgées, celles déboutées du droit d'asile... La peur de sombrer dans la pauvreté aussi se répand dans notre société. Plus d'un Français sur deux (55%) craint que sa vie quotidienne soit menacée par la pauvreté. Ils étaient déjà 45% avant la crise économique de 2008. Ils ne sont pas plus optimistes pour les générations futures, puisque 83% des Français estiment que les risques de connaître une situation de pauvreté seront plus importants pour leurs enfants. La pauvreté et l'exclusion abîment les êtres. Les Français les plus pauvres se privent de tout, vacances, loisirs, culture, mais aussi alimentation. Ils en viennent à sacrifier leur santé. Ainsi, 50% d'entre eux ont déjà renoncé à effectuer une consultation chez le dentiste (+22% par rapport à 2008). C'est pourquoi les « Médecins du Secours populaire » s'efforcent d'aider à l'accès aux soins pour tous. N'oublions pas les personnes au-delà de nos frontières qui souffrent de la faim ou qui sont confrontées à la violence et aux catastrophes naturelles, comme en Equateur ou en Italie en 2016. Encore aujourd'hui, 10% de la population mondiale est confrontée à la pauvreté. Et comment rester insensible aux millions de personnes déplacées, qui fuient la vio
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