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Home/ Solidarité & Précarité/ Group items tagged DREES

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Drees - Cartographie interactive sur les conditions de vie des enfants en Fra... - 0 views

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    "Accessibilité aux places en crèche, accès à l'éducation et aux services scolaires, résultats scolaires, pratique sportive, niveaux de vie des familles, logement, accès aux soins… la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) propose un nouvel outil de datavisualisation qui rassemble un grand nombre de données sur les conditions de vie des enfants en France métropolitaine au niveau communal : http://dataviz.drees.solidarites-sante.gouv.fr/conditions_de_vie_des_enfants/ À travers des cartographies interactives, l'utilisateur peut comparer des données aux niveaux communal, départemental et national. Plus de 65 indicateurs, construits à partir d'une douzaine de bases de données (recensement de la population, bases de données de l'éducation nationale, système national des données de santé…), sont rassemblés sur cette application, soit plus de 500 000 données localisées réparties en sept thématiques : accueil des jeunes enfants, démographie, économie, éducation, logement, loisirs et santé."
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DREES - Minima sociaux et prestations sociales - Ménages aux revenus modestes... - 0 views

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    La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie la nouvelle édition de « Minima sociaux et prestations sociales - Ménages aux revenus modestes et redistribution ». Cette édition 2017 rassemble les dernières données disponibles sur les effectifs, les trajectoires et les caractéristiques des bénéficiaires de prestations sociales. Elle comporte également de nouvelles fiches sur les conditions de vie et de logement, l'emploi, les revenus et le reste à vivre des bénéficiaires de minima sociaux. Fin 2015, 4,2 millions de personnes sont allocataires de l'un des dix minima sociaux en vigueur en France. Avec les conjoints et les personnes à charge, 11 % de la population est couverte par ces prestations. Ces résultats sont issus de l'édition 2017 des Minima sociaux et prestations sociales qui détaille les différents dispositifs permettant d'assurer la redistribution en faveur des ménages les plus modestes. Cette édition propose également des études sur les conditions de vie et de logement, l'emploi, les revenus et les trajectoires des bénéficiaires de minima sociaux. L'ouvrage présente, en outre, les barèmes en vigueur à ce jour et des données statistiques recueillies jusqu'en 2015 et analyse les effets des prestations sociales sur la réduction de la pauvreté. L'ensemble du système redistributif réduit ainsi nettement la pauvreté monétaire, abaissant de 7,9 points le taux de pauvreté en 2014, dont 1,8 point grâce aux minima sociaux.
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DREES - Entre revenu disponible et dépenses pré-engagées : combien reste-t-il... - 0 views

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    Les ménages ne disposent pas totalement librement de leur revenu disponible, une partie étant déjà pré-engagée pour certaines dépenses. En 2011, les ménages de France métropolitaine consacrent ainsi un peu plus du tiers de leur revenu disponible à des dépenses pré-engagées. Cette part est supérieure pour les ménages bénéfi ciaires de revenus minima garantis : elle s'élève à 42 % en 2012, selon l'enquête sur les bénéfi ciaires de minima sociaux menée par la DREES. Le poste principal des dépenses pré-engagées est le logement (y compris remboursements d'emprunts immobiliers), qui représente 29 % du revenu disponible des ménages bénéfi ciaires de revenus minima garantis et 19 % de celui de l'ensemble des ménages de France métropolitaine. Une fois les dépenses pré-engagées déduites du revenu disponible, la moitié des personnes vivant dans un ménage bénéfi ciaire de revenus minima garantis disposent d'un revenu arbitrable par unité de consommation mensuel inférieur à 500 euros. Si l'on déduit en outre de ce montant les dépenses alimentaires, un bénéfi ciaire sur deux se retrouve avec moins de 330 euros par mois et par unité de consommation.
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DREES - En 2014, huit communes sur dix mènent une action sociale - 0 views

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    En 2014, plus de huit communes sur dix, représentant 98 % de la population, mettent en place au moins une forme d'action sociale, d'après l'enquête sur l'action sociale des communes et intercommunalités (ASCO) effectuée par la DREES. En prenant en compte l'action sociale menée par les intercommunalités, seule une commune sur dix n'en développe aucune sur son territoire. La mise en place d'actions sociales est corrélée à la taille de la commune. La totalité des communes de plus de 5 000 habitants en mettent en oeuvre, alors que c'est le cas pour seulement 72 % des communes de moins de 500 habitants. Le domaine d'action sociale le plus répandu dans les communes concerne les personnes âgées : les deux tiers des communes françaises, couvrant 90 % de la population française, réalisent une action sociale spécifique en leur faveur. Des actions contre la pauvreté et les exclusions ainsi qu'auprès des jeunes et des familles sont menées dans environ 40 % des communes. Les communes peuvent attribuer quatre types de prestations. Près des trois quarts d'entre elles en offrent au moins une ; ce sont le plus souvent des prestations en nature (63 % des communes) et des aides financières non remboursables (54 %).
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Drees - Comment les seniors financent-ils leur maison de retraite ? - 0 views

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    Fin 2016, d'après l'enquête CARE-Institutions réalisée par la DREES, la moitié des résidents en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépensent au moins 1 850 euros mensuels pour financer leur prise en charge, après perception des allocations et des contributions des obligés alimentaires. Cette participation financière s'élève à au moins 2 420 euros pour la moitié des résidents des établissements privés à but lucratif, contre 1 800 euros pour les autres types d'établissements. Un tiers des résidents déclarent devoir puiser dans leur épargne pour financer les frais liés à la prise en charge de leur dépendance en institution, et 11 % devoir mobiliser leur entourage pour payer une partie de ces frais. Près d'un résident sur dix envisage, à l'avenir, de vendre du patrimoine pour couvrir ces dépenses.
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Drees - Les Français plus sensibles aux inégalités de revenus et plus attaché... - 0 views

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    Depuis 2000, le Baromètre d'opinion de la DREES est un outil de référence pour analyser l'évolution de l'opinion des Français sur leur santé, sur la protection sociale (assurance maladie, retraite, famille, handicap, dépendance, pauvreté et exclusion) ainsi que sur les inégalités et la cohésion sociale. Son échantillon est composé de plus de 3 000 personnes et représentatif de la population âgée de 18 ans ou plus résidant en France métropolitaine (méthode des quotas). Les données de la vague 2018 ont été collectées du 15 octobre au 1er décembre 2018, dans un contexte marqué par le début du mouvement des Gilets Jaunes et des projets de réformes touchant la fiscalité (bascule des cotisations sociales vers la CSG) et les prestations sociales (refonte du système de retraite, réforme de l'assurance chômage, nouveau mode de calcul des allocations logement…). Ce document présente les premiers résultats de l'édition 2018 de cette enquête, sous la forme d'une vue d'ensemble des faits les plus marquants et de trois focus thématiques.
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Drees - Hébergement d'urgence permanent : au cours des années 2010, davantage... - 0 views

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    Début 2017, 26 000 personnes sont hébergées en places d'urgence permanentes dans un centre d'hébergement, soit 17 000 de plus que début 2009, d'après l'enquête quadriennale de la DREES auprès des établissements et services pour adultes et familles en difficulté sociale (ES-DS). Cette hausse marquée s'est poursuivie depuis. Trois personnes hébergées sur dix sont mineures, leur part a augmenté de 8 points entre 2013 et 2017. Parmi les adultes hébergés, 46 % sont des hommes isolés, 17 % des femmes isolées et 12 % des femmes seules avec enfant(s). La part des hommes isolés baisse de 11 points, alors que celle des adultes avec enfant(s) augmente de 8 points par rapport à 2013. Cette hausse de la part des adultes avec enfant(s) est liée en partie à la hausse de la part des ressortissants de pays hors de l'Union européenne (UE). Ces derniers représentent deux tiers des personnes hébergées et leur part a augmenté de 6 points depuis 2013. Début 2017, une personne hébergée en place d'urgence permanente sur deux y est depuis au moins 4 mois et demi et une sur cinq depuis au moins 15 mois. L'ancienneté médiane a plus que doublé depuis 2013, elle était alors de 2 mois. Les familles et les ressortissants d'un pays hors de l'UE restent plus longtemps que les autres.
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Drees - L'isolement des bénéficiaires de minima sociaux et de la prime d'acti... - 0 views

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    Les bénéficiaires de l'allocation aux adultes handicapés et du minimum vieillesse sont particulièrement touchés par l'isolement social Fin 2018, les bénéficiaires de revenus minima garantis (c'est-à-dire de minima sociaux ou de la prime d'activité) fin 2017 sont plus concernés par l'isolement social que l'ensemble de la population. Ainsi, d'après l'enquête de la DREES auprès des bénéficiaires de minima sociaux (BMS) 2018, ils sont beaucoup plus nombreux à vivre dans un ménage composé d'une personne seule (38 % d'entre eux contre 20 % dans l'ensemble de la population). La fréquence des relations (rencontres de visu ou contacts dématérialisés) de ces bénéficiaires de revenus minima garantis avec la famille et les amis est plus faible que celle de l'ensemble de la population, notamment pour les bénéficiaires du minimum vieillesse (graphique A). Ces derniers sont 8 % à n'avoir des relations avec leur entou-rage que moins d'une fois par mois (ou à ne pas avoir d'entourage) tandis que cette part est de 3 % pour l'ensemble des bénéficiaires de revenus minima garantis et de 1 % pour l'ensemble de la population [1]. En approchant les liens avec la famille et les amis non plus en termes de fréquence, mais en termes de qualité des relations, les bénéficiaires de revenus minima garantis sont 19 % à être concernés par ce type d'isolement. Cela signifie qu'au moins une des trois conditions suivantes n'est pas vérifiée : compter pour quelqu'un, pouvoir compter sur quelqu'un pour recevoir un soutien moral, ou que quelqu'un puisse compter sur le bénéficiaire pour recevoir un soutien moral. Près de trois bénéficiaires du minimum vieillesse et de l'AAH sur dix sont isolés en termes de qualité des relations. Les bénéficiaires de la prime d'activité sont les moins concernés par l'isolement (13 %). Toutes choses (caractéristiques sociodémographiques, etc.) égales par ailleurs, les
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Drees - Sytnhèse - Le pouvoir d'achat, la pauvreté et les inégalités de reven... - 0 views

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    La DREES publie les résultats de son dernier Baromètre d'opinion, réalisé du 14 octobre au 27 novembre 2019 auprès d'un échantillon de 3 030 personnes représentatif de la population adulte vivant en France métropolitaine. Les résultats présentés reflètent donc l'état de l'opinion des Français sur leur système de protection sociale avant le déclenchement de la crise sanitaire.
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Drees - Communiqué de presse - Le pouvoir d'achat, la pauvreté et les inégali... - 0 views

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    La DREES publie les résultats de son dernier Baromètre d'opinion, réalisé du 14 octobre au 27 novembre 2019 auprès d'un échantillon de 3 030 personnes représentatif de la population adulte vivant en France métropolitaine. Les résultats présentés reflètent donc l'état de l'opinion des Français sur leur système de protection sociale avant le déclenchement de la crise sanitaire.
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Drees - En 2018, une personne sur quatre a souvent du mal à boucler ses fins ... - 0 views

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    En France, fin 2018, selon le Baromètre d'opinion de la DREES qui interroge plus de 3 000 personnes, une personne sur quatre a souvent du mal à boucler ses fins de mois. De même, une sur quatre aurait beaucoup de mal à faire face à une dépense imprévue de 500 euros. La moitié de ces personnes ont un emploi. Les situations d'insécurité financière touchent particulièrement les ouvriers et employés : un tiers d'entre eux affirment avoir souvent des difficultés pour boucler leurs fins de mois et un quart s'estime pauvre, alors que ces situations affectent moins d'une personne sur dix parmi les cadres et professions intermédiaires. Avoir des revenus variables d'un mois sur l'autre constitue un facteur aggravant du sentiment d'insécurité économique : c'est le cas d'un ouvrier et employé sur quatre pour à peine un cadre et profession intermédiaire sur six. Les retraités font un peu moins souvent part d'insécurité financière que les actifs (un sur six a souvent du mal à boucler ses fins de mois). Les écarts observés sur ces questions par rapport aux actifs restent toutefois globalement de faible ampleur. Parmi les retraités non propriétaires de leur résidence principale, deux personnes sur dix se disent très pessimistes pour leur avenir personnel (contre une personne sur dix chez les autres retraités).
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L'aide et l'action sociales en France - édition 2017 - Panoramas de la DREES ... - 0 views

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    "L'aide et l'action sociales représentent 10 % des dépenses de la protection sociale et 3,2 % du produit intérieur brut. Ces aides et actions sont délivrées principalement par les départements. Fin 2015, ces derniers octroient 4,3 millions de prestations d'aide sociale, pour une dépense annuelle nette de 33 milliards d'euros. Au cours des cinq dernières années, ces dépenses augmentent de 2 % par an en moyenne. Après un premier éclairage sur le périmètre de l'aide et de l'action sociales et sur le financement de l'aide sociale départementale, celle-ci est décrite dans le détail : pour les personnes âgées dépendantes, pour les personnes handicapées, pour la protection de l'enfance et pour l'insertion. L'ouvrage s'attache à exposer les caractéristiques des bénéficiaires de l'aide sociale et la répartition des dépenses associées. Des rétrospectives sont proposées, et les disparités territoriales de l'aide sociale sont analysées." Ouvrage complet ou fiches séparées à télécharger Analyses transversales Fiche 01 - Le périmètre et les acteurs de l'aide et de l'action sociales en France Fiche 02 - Le financement des dépenses départementales d'aide sociale Fiche 03 - L'opinion des Français envers les politiques publiques d'aide sociale L'aide sociale aux personnes âgées Fiche 04 - Les dispositifs d'aide sociale aux personnes âgées Fiche 05 - L'aide sociale départementale aux personnes âgées Fiche 06 - Les bénéficiaires et les dépenses de l'allocation personnalisée d'autonomie Fiche 07 - L'aide sociale à l'hébergement des personnes âgées Fiche 08 - Les caractéristiques des bénéficiaires d'une aide sociale aux personnes âgées L'aide sociale aux personnes handicapées Fiche 09 - Les dispositifs d'aide sociale aux personnes handicapées Fiche 10 - L'aide sociale départementale aux personnes handicapées Fiche 11 - La prestation de compensation du hand
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DREES - Suicide : quels liens avec le travail et le chômage ? Penser la préve... - 0 views

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    En 2016, la France comptabilise près de 9 300 décès par suicide, un chiffre qui s'inscrit à la baisse depuis les années 2000. La moitié de ces décès concerne des personnes en âge de travailler, entre 35 et 64 ans. Ainsi, il se peut que certains de ces suicides soient liés aux conditions de travail des personnes concernées ou à leur vécu d'une situation de chômage. Toutefois, le constat ne peut être que partiellement posé. Le processus suicidaire est en effet un phénomène multifactoriel dans lequel le rôle joué par le travail ou le chômage est difficile à isoler. De plus, le système d'information permettant de répondre à ces questions est perfectible. Centré sur les suicides liés au travail et au chômage, le quatrième rapport de l'Observatoire national du suicide est composé de deux dossiers et de 18 fiches. Ce rapport a été rédigé avant la crise sanitaire liée au Covid-19. Par conséquent, il ne propose pas d'analyse de l'impact psychologique de cette crise ni de ses effets sur les conduites suicidaires. Certains résultats du rapport peuvent néanmoins éclairer la question des effets de cette crise sanitaire sur les travailleurs selon leur situation professionnelle. Le premier dossier revient sur la mise en place de politiques spécifiques de prévention du suicide élaborées ces dernières années et sur l'évolution du cadre législatif de la santé au travail. Malgré ces avancées et tout en rappelant que le travail est protecteur, ce 4ème rapport souligne que certaines conditions de travail et certaines pratiques de management peuvent générer un climat anxiogène pour les travailleurs et créer des risques psycho-sociaux. Même si le lien de causalité avec les conduites suicidaires n'est pas direct, le travail peut ainsi être en cause dans le processus suicidaire. De même, l'impact de la perte d'emploi et l'inactivité forcée occasionnent des formes de souffrances psychiques susceptibles de cond
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Atlantico - Ces maladies qui touchent certaines catégories sociales de manièr... - 0 views

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    "Un nouveau dossier de la DREES pointe les différences concernant les pauvres. Un constat juste mais plus complexe qu'il n'y parait."
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La Tribune - En France, les aides sociales font reculer le taux de pauvreté d... - 0 views

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    "Les quelque 9,2 millions de personnes pauvres en France ont perçu en moyenne 335 euros par mois d'aides sociales en 2019, ce qui a permis de diminuer de 7,6 points le taux de pauvreté, selon une étude publiée ce jeudi par la Direction des statistiques des ministères sociaux (Drees). Autrement dit, les prestations sociales réduisent le taux de pauvreté d'un tiers."
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DREES - Fin 2015, les départements ont attribué 4.3 millions de prestations d... - 0 views

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    in 2015, 4,3 millions de prestations d'aide sociale aux personnes âgées, aux personnes handicapées, à l'enfance ou au titre de l'insertion ont été attribuées par les départements. Celles-ci ont augmenté de 2 % en un an, en raison, notamment, de l'accroissement du nombre d'aides aux personnes handicapées (+4 % entre 2014 et 2015) et à l'insertion (+3 %). Les aides consacrées aux personnes âgées progressent de 0,5 % par rapport à 2014, soit une croissance plus faible que celle observée en moyenne entre 2010 et 2014. Il en va de même des mesures d'aide sociale à l'enfance (+0,7 % entre 2014 et 2015). Au total, 2 millions de prestations d'aide sociale sont attribuées au titre de l'insertion. Elles couvrent essentiellement la composante socle du revenu de solidarité active (RSA). Les personnes âgées perçoivent 1,4 million de prestations, dont 1,3 million d'allocations personnalisées d'autonomie (APA). Les personnes handicapées reçoivent, elles, 501 000 prestations, dont plus de la moitié correspond à la prestation de compensation du handicap (PCH). Enfin, les 324 000 mesures d'aide sociale à l'enfance (ASE) concernent autant les enfants accueillis au titre de l'ASE que ceux suivis dans le cadre d'actions éducatives à domicile ou en milieu ouvert.
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DREES - Le fonds d'aide aux jeunes en 2015 - 0 views

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    Le fonds d'aide aux jeunes est une aide départementale de dernier recours destinée à l'insertion sociale et professionnelle des jeunes. Le fonds octroie principalement des aides financières individuelles, dont le montant moyen s'élève à 193 euros. En 2015, près de 91 000 jeunes de 18 à 25 ans en grande difficulté sociale ont bénéficié de ces aides individuelles. Versées à titre subsidiaire, la moitié des aides individuelles ont une finalité alimentaire. Le fonds est aussi sollicité pour des aides au transport ou à la formation. Par ailleurs, près d'une aide sur cinq est allouée en urgence. 67 % des aides sont accordés à des jeunes qui ne sont ni scolarisés, ni en emploi, ni en formation, 66 % à des jeunes sans ressources financières et 39 % à des jeunes en situation incertaine vis-à-vis du logement. Le fonds d'aide aux jeunes finance également des actions collectives dans une quarantaine de départements. Il s'agit principalement d'aides à l'insertion ou au logement. Enfin, les ressources du fonds alimentent, dans un quart des départements, d'autres fonds ou organismes oeuvrant pour les jeunes. En 2015, 36 millions d'euros ont été dépensés sur les 41 millions d'euros du budget global du fonds, financé pour l'essentiel par les conseils départementaux.
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DREES - Les principaux métiers des salariés bénéficiaires de minima sociaux - 0 views

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    Au 31 décembre 2013, 14 % des bénéficiaires de minima sociaux ont un emploi salarié. Parmi eux, deux sur cinq sont en contrat à durée indéterminée (CDI) et 8 % bénéficient d'un emploi aidé. Les salariés percevant l'allocation aux adultes handicapés (AAH) travaillent, pour deux tiers d'entre eux, à temps complet, principalement dans les établissements et services d'aide par le travail (ESAT). À l'inverse, seul un tiers des salariés bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) socle et de l'allocation de solidarité spécifique (ASS) travaillent à temps complet. Du fait notamment de la forte part des ouvriers et des employés (90 % au total) parmi les bénéficiaires de minima sociaux salariés, le salaire horaire médian des bénéficiaires de minima sociaux salariés en milieu ordinaire est inférieur de près de 3 euros à celui de l'ensemble des salariés (8 euros contre 11 euros net par heure). Les salariés bénéficiaires du RSA socle et de l'ASS sont surreprésentés parmi les salariés de particuliers employeurs et des associations. En revanche, ils exercent moins souvent dans la fonction publique. Ils sont ainsi plus souvent salariés en tant que personnels domestiques ou dans le secteur de la santé et de l'action sociale.
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DREES - Un tiers de seniors sans emploi ni retraite vivent en dessous du seui... - 0 views

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    En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d'âge, ne perçoivent ni revenu d'activité ni pension de retraite, qu'elle soit de droit direct ou de réversion. Ces seniors n'ayant ni emploi ni retraite (NER) sont en majorité des femmes. Ils sont en moins bonne santé et moins diplômés que les autres seniors. Ils sont aussi plus éloignés du marché du travail que les personnes de 25 à 52 ans sans emploi. Avec un niveau de vie médian de 1 270 euros par mois, le taux de pauvreté des seniors NER atteint 32 %, contre 7 % pour les seniors en emploi ou à la retraite. Si, quel que soit leur profil, les seniors NER sont plus souvent pauvres que les autres, des disparités apparaissent néanmoins. Parmi eux, ceux dont le conjoint travaille ou est à la retraite présentent un taux de pauvreté plus faible que ceux vivant seuls ou dont le conjoint est également NER. La composition du revenu disponible des ménages dans lesquels vivent les seniors NER varie notablement s'ils sont en situation de handicap ou pas, selon la présence ou non d'un conjoint et selon son statut d'activité. La redistribution réalisée par le système sociofiscal réduit le nombre de seniors NER pauvres de 30 %, comme pour les autres seniors. En l'absence de ces transferts sociaux et fiscaux, presque un senior sans emploi ni retraite sur deux serait pauvre.
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DREES - En Ile-de-France, les retraités perçoivent une pension supérieure de ... - 0 views

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    Fin 2012, les retraités de droit direct représentent 21,6 % de la population française. Ils sont proportionnellement plus nombreux dans l'ouest et le sud de la France, notamment en Nouvelle-Aquitaine et en Bretagne où plus d'une personne sur quatre est retraitée. A contrario, ils sont moins présents dans les DROM et en Île-de-France (respectivement 12 % et 16,4 %). Entre les régions de la Métropole hors Île-de-France, le montant moyen des retraites varie peu. Il est cependant très supérieur à la moyenne nationale en Île-de-France (+23 %) et très inférieur dans les DROM (-21 %). Les disparités des pensions reproduisent en partie celles des salaires. Le montant de la retraite des femmes est en moyenne inférieur de 31 % à celui des hommes. Hormis en Corse et dans les DROM où il est plus faible, cet écart s'observe dans toutes les régions. Les retraités de la fonction publique sont proportionnellement plus présents en Corse et dans les DROM. Les anciens exploitants agricoles sont, eux, relativement plus nombreux en Bretagne et dans les Pays de la Loire.
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