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Home/ Groups/ Cinéma et Philosophie
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Matrix Bug 1 - - 2 views

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    Comme le dit à peu près Thomas Nagel : Les machines ne savent rien du goût du chocolat et nous rien de la subjectivité des chauves-souris.
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Matrix Happening : les mécanismes narratifs dans la saga Matrix - 2 views

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    Une nouvelle vision de la saga Matrix. Ce site a été écrit par Rafik Djoumi, un des spécialistes français incontournables du cinéma fantastique. Ce site Matrix édité par Cadrage vous propose ainsi des informations et des anecdotes utiles et éclairantes sur la saga des frères Wachowski, mais, surtout, une étude référencée et incisive poussant peut-être plus loin que jamais le phénomène Matrix.
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La représentation des hallucinations dans les films de David Cronenberg - 2 views

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    Article de Nicolas Debarle - Depuis le début de sa carrière de cinéaste, David Cronenberg a toujours considéré le corps humain comme son centre d'intérêt capital, son principal objet. Dans chacun de ses films, le corps est toujours placé au centre des événements. Le réalisateur canadien, dans ses interviews, ne cesse de répéter par ailleurs que le corps est le fait primordial de l'existence, que le premier événement de la vie est précisément d'avoir un corps (D'après David Cronenberg, Entretiens avec Serge Grünberg, p.100) La condition humaine selon Cronenberg est avant tout corporelle. Bien que ses films s'inscrivent dans le genre fantastique et pour certains d'entre eux dans celui de l'horreur, ils ne proposent aucune histoire de fantômes et ne font jamais allusion à de quelconques esprits ou autres revenants. La seule horreur envisageable est celle qui provient de l'intérieur de soi : « Chez Cronenberg, il n'y a d'horreur vraie, réellement vécue, que dans le corps » (Charles Tesson, propos rapportés par Serge Grünberg, David Cronenberg, p. 85 n. 4).
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SA MAJESTE DES MOUCHES, de Peter Brook - De la civilisation à la barbarie - 2 views

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    Sa Majesté des mouches, le best-seller de William Golding, est sans doute l'un des livres de notre enfance qui gagne le plus à être relu aujourd'hui. On donne souvent ce roman à lire à des enfants d'une douzaine d'années et, la plupart du temps, moi le premier, ils n'en retiennent que l'aspect Robinson Crusoé. Cette adaptation réalisée par Peter Brook, Lord of Flies, qui respecte scrupuleusement le texte original, nous donne l'occasion de vérifier que, au-delà de la prédisposition éminemment visuelle de ce type de mythe que constituent les naufragés d'une île déserte (la photographie du film est excellente), l'histoire forme en fait un effroyable conte philosophique pour adulte.
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THE TRUMAN SHOW, de P. Weir - Existe-t-il un monde en dehors de la conscience ? - 2 views

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    Truman Burbank mène une vie calme et heureuse. Il habite dans un petit pavillon propret de la radieuse station balnéaire de Seahaven. Il part tous les matins à son bureau d'agent d'assurances dont il ressort huit heures plus tard pour regagner son foyer, savourer le confort de son habitat modèle, la bonne humeur inaltérable et le sourire mécanique de sa femme, Meryl. Mais parfois, Truman étouffe sous tant de bonheur et la nuit l'angoisse le submerge. Il se sent de plus en plus étranger, comme si son entourage jouait un rôle. Pis encore, il se sent observé. ...
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La colonisation au cinéma, Dossier - 2 views

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    à travers trois films, « La Bataille d'Alger », « Chocolat » et « Intervention Divine » Par Serge Abiaad Université de Montréal, Québec, Canada
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Dossier Derrida & Cinéma - 2 views

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    Même post mortem, le cinéma ne laissera pas en paix Jacques Derrida. A quelques mois d'intervalle, les sorties, d'abord fin février 2007, du dvd de Derrida [1] (Amy Ziering Kofman et Kirby Dick) puis en juin 2007, dans les salles, de Kings of the world (Valérie Mitteaux, Anna Pitoun et Rémi Rozié) présentent sous un nouveau jour les rapports étranges, presque fortuits du philosophe avec le Septième art. Contre son gré semble-t-il, le père de la Déconstruction a nourri plus de films de fiction et de documentaires qu'aucun autre penseur. Et ce, bien que le cinéma reste en marge de son œuvre, ne serait-ce le travail de refonte dans l'écriture qu'il entreprit après avoir participé à Jacques Derrida (Jean-Christophe Rosé) et D'ailleurs Derrida (Safaa Fathy) qui sortit en dvd ce mois de mars aux éditions Montparnasse - devenus sous sa plume Echographies de la télévision : entretiens filmés et Tourner les mots : au bord d'un tournage .
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Critique de Apocalypto - 2 views

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    Une grande civilisation n'est conquise de l'extérieur que si elle s'est détruite de l'intérieur...
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« Le cinéma face à l'histoire » - Dossier de présentation - 2 views

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    Une fascination immédiate De même que les mondes futurs ou imaginaires, les mondes passés ont toujours fasciné le cinéma. Avec leurs décors grandioses, leurs costumes chatoyants (on parle souvent de « films en costume » pour souligner leur importance), les films historiques offrent une promesse de grand spectacle et de dépaysement immédiat. A côté de son célèbre Voyage dans la lune et autres fantasmagories, George Méliès tourne ainsi une Cléôpatre et une Jeanne d'Arc. Mais ce sont deux films produits la même année qui par leur succès vont marquer leur temps et célébrer les noces du couple « cinéma et histoire ». L'Assassinat du duc de Guise (1908) d'André Calmettes est à la fois l'une des premières tentatives de reconstituer une scène historique, et le premier « film d'art », pour reprendre le nom de la société qui le produit : il a été écrit par un académicien, interprété par des comédiens de la Comédie Française, mis en musique par Camille Saint-Saëns. Son succès va sortir le « cinématographe » des baraques de foire et du mépris dans lequel le tiennent les intellectuels, et constituer le film historique comme un genre à part entière. Au même moment Luigi Maggi tourne en Italie Les Derniers Jours de Pompéi (1908), premier avatar d'un genre, le peplum, qui va faire les beaux jours du cinéma italien (Cabiria de Giovanni Pastrone, 1918) puis américain (voir les fresques bibliques de Cecil B. de Mille).
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LE CINEMA ET LE SURREALISME - 2 views

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    Très tôt le cinéma a fasciné André Breton et ses amis. Si la musique a toujours laissé indifférents les membres du groupe surréaliste, si la peinture s'est imposée presque tardivement, le cinéma s'est trouvé, avant même que le groupe ne soit constitué, l'objet d'un culte fervent.
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Alexandre Astruc : la théorie de la "caméra-stylo" - 2 views

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    L'Ecran français, n°144, 30 mars 1948
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Relativisme et critique de cinéma, par Laurent Jullier - 2 views

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    Olga Hazan, qui enseigne à l'Université de Montréal, a récemment écrit un livre d'histoire de l'art, fort érudit et intéressant, intitulé Le mythe du progrès artistique. Elle y pourfend un certain nombre de lieux communs à la validité douteuse, dont sont responsables les historiens d'art qui l'ont précédée. Or sa préfacière, qui est aussi sa collègue à l'Université de Montréal, après avoir souligné que le prototype de l'historien d'art du passé - celui qui a commis un certain nombre d'erreurs, donc - est "de peau blanche, de sexe masculin et d'origine européenne", nous précise : "Olga Hazan, elle, est originaire du Moyen-Orient ; on comprend qu'elle n'adopte pas d'emblée le point de vue des histoires générales de l'art". ...
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DAVID RODOWICK - La Vie virtuelle du film (2001) - 2 views

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    Imaginez que vous êtes un jeune sociologue travaillant aux environs de 1907. Lors de vos trajets quotidiens vers l'université, vous voyez les "nickelodéons" se multiplier sur la voie du trolley. Ils semblent fonctionner en continu, le jour et la nuit, et il est rare de ne pas voir une queue devant leurs portes. Parce que votre enfant dépense sans contrôle une quantité extravagante de temps et d'argent à l'intérieur de leurs murs, et montre une fascination extraordinaire, quelque peu incompréhensible, envers les personnages qu'ils présentent et les gens qui les incarnent, peut-être êtes-vous entré vous-même à l'intérieur de l'un d'entre eux pour voir une projection ou deux ? Comment vous serait-il possible de deviner, en dépit de l'ampleur et de la profondeur de vos connaissances, qu'un medium entièrement nouveau et une industrie importante étaient éclos là, qui, à beaucoup d'égards, viendraient déterminer la culture visuelle du XXème siècle ? ...
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Gilles Deleuze : L'image-mouvement et L'image-temps (1983-1985) - 2 views

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    L'image-mouvement est la manière de faire participer le spectateur au temps du film en excitant ses fonctions sensori-motrices. Dans un film fait d'une immense image-mouvement, on peut trouver six types d'image (l'image-perception, l'image-action, l'image-affection, l'image-pulsion, l'image-reflexion et l'image-relation), chacune d'elles possédant plusieurs signes de reconnaissance. En privilégiant, telle ou telle type de ces six images, on obtient trois grands types de cinéma : le cinéma réaliste avec ses trois types d'images-mouvements (perception, action, affection), le cinéma naturaliste avec l'image-pulsion et le cinéma moderne qui joue sur la rupture des liens sensori-moteurs pour proposer des images mentales dont Alfred Hitchcock est le précurseur. Celui-ci invente en effet l'image-relation et l'image-réflexion. Cette remarquable synthèse de l'oeuvre de Gilles Deleuze a été réalisée par l'équipe du ciné-club de Caen
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Fondements de la représentation cinématographique - 2 views

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    Ce cours magistral, qui s'appuie sur la projection de près de 70 extraits de films (classiques du cinéma, films de genre...), a pour vocation de fournir aux étudiants des outils méthodologiques leur permettant d'approcher les films (documentaires et fictions) tournés pour le cinéma par le biais des techniques de la mise en scène et des techniques narratives. Une attention particulière est apportée à la caractérisation des personnages, la construction du récit et de l'intrigue. Frédéric GIMELLO-MESPLOMB, Maître de conférences
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Les questions posées par la notion de genre - 2 views

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    Working paper, Jacques Araszkiewiez, 16 décembre 2003 La question des genres est une question transversale à de nombreux domaines (genres cinématographiques par exemple). On peut tenter de décrire le genre par sa forme intrinsèque : le film policier par exemple. Il présente par définition du suspense, son héros se rapproche généralement de l'Anti-sujet entendu au sens de la grammaire narrative proposée par Algirdas Julien Greimas (il ne progresse pas à la différence du sujet et n'est pas glorifié en fin de parcours). Mais cette définition intrinsèque du genre s'effondre devant le renvoi à de nouvelles définitions et sa tendance tautologique. Si le film policier, c'est le suspense, qu'est-ce alors que le suspense ? Et ne trouve-t-on pas du suspense dans des films non policiers ?
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Devant quel(s) film(s) ressentez-vous un plaisir coupable ? - 2 views

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    À Critikat, nous nous targuons d'être des critiques cinéphiles, des spectateurs avertis ayant une haute idée du cinéma en tant qu'art. Est-ce pour autant que nous n'avons pas nos petits plaisirs coupables, ces films que nous aimons malgré tout, et surtout malgré notre bonne conscience − pour laquelle nous nous devons de préférer a priori un film d'Orson Welles à un film de Luc Besson ? Pour montrer qu'un critique de cinéma est aussi faillible, les rédacteurs de Critikat ont accepté de dévoiler une fois pour toutes leurs amours adultères...
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Pelechian : Image et poésie - 2 views

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    La création d'images est nécessaire en poésie, voire primordiale. Le vocabulaire étant limité, ces images permettent au poète, en jouant sur les connotations, les sonorités, le rythme, de suggérer, et, paradoxalement, ainsi d'exprimer de la façon la plus juste possible ses idées, ses sensations, ses sentiments, ses émotions. Barthélemy Amengual compare cinéastes et poètes dans cette volonté d'expression : « Pelechian (et Paradjanov par d'autres voies) poursuivent une image, un fait polysignifiant, une épiphanie, un "zaoum" visuel. Ils sont en quête d'un indicible. Ce que peuvent les poètes, pourquoi les cinéastes ne le pourraient- ils pas ? ». Barthélemy Amengual, Sur cinq films d'Artavazd Pelechian, Cahiers de la cinémathèque, n°67/68, décembre 1997.
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