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Dossier: Dix ans de fin(s) du monde - 1 views

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    L'hystérie millénariste aurait-elle une décennie de retard ? Ces dernières années, les films qui traitent plus ou moins directement de la fin du monde se sont mis à pulluler sur nos écrans, un phénomène qui menace d'empiéter sur les années 2010 puisqu'on annonce d'ores et déjà - entre autres ! - un cinquième Terminator et une nouvelle version de 2012. La multiplication de ces œuvres et le succès public considérable qu'elles rencontrent sont trop rarement relevés ; on les regarde le plus souvent comme un phénomène de mode qui ne porte pas vraiment à conséquence. Elles sont pourtant, que leurs auteurs en soient ou non conscients, le reflet de la crise morale que traverse la civilisation occidentale, confrontée à des menaces globales sur lesquelles elle craint de ne pas avoir prise : dérèglement climatique, terrorisme international, pandémies. Et si les films de fin du monde n'exprimaient rien moins que notre sentiment d'impuissance collective ?
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"Antichrist" de Lars Von Trier analysé par Pacôme Thiellement - Vidéo - 1 views

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    Le cinéma de Lars von Trier est une expérience au cours de laquelle le spectateur passe par les pires tortures pour ressortir changé - encore faut-il qu'il tolère d'y passer et qu'il désire changer. Dans Antichrist, la forêt est le lieu de cette expérience, et le lieu de la rencontre avec l'élément diabolique, dans un espace où la réalité se fond avec le monde de l'âme. Pacôme Thiellement
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Jeux vidéos et cinéma : Filmer n'est pas jouer ? - Freakosophy - 0 views

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    On ne compte plus les films qui deviennent des jeux vidéos et les jeux vidéos qui deviennent des films. La circularité entre jeux vidéos et cinéma est claire pour tout le monde depuis un certain temps, au moins du point de vue économique. Mais elle est aussi factice.
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Seul au monde (Exposé CPES) - fredericgrolleau.com - 0 views

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    Se libérer du temps ?
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"L'Humanité" de Bruno Dumont analysé par Philippe Rouyer - 0 views

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    Philippe Rouyer, critique à Positif et Psychologies magazine, est chroniqueur régulier dans les émissions "Mauvais genres" sur France Culture et "Le Cercle" sur CANAL+ Cinéma. Il est l'auteur de "Initiation au cinéma" (Éd. Edilig, 1990) et de nombreux essais sur le cinéma de genre. Dans une petite ville du nord de la France, l'enquête sur le viol et le meurtre d'une fillette prend les allures d'une quête existentielle pour le policier qui en est chargé. Comment, par ses choix de mise en scène, Bruno Dumont filme frontalement la souffrance et la misère du monde pour interroger l'existence du Mal au coeur de la condition humaine ? (Philippe Rouyer)
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"Le Chant du styrène" d'Alain Resnais analysé par Gwenanële Rot - 1 views

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    Gwenaële Rot est maître de conférences en sociologie à l'université de Paris Ouest. Ses recherches portent sur les représentations du travail au cinéma ainsi que sur l'étude des transformations du travail dans différents mondes de production : automobile, pétrochimie, nucléaire et cinéma. Alain Resnais a réalisé ce court métrage sur les matières plastiques, suite à une commande de l'entreprise Pechiney. Gwenaële Rot en retrace l'histoire à travers les controverses qu'il a suscitées à l'occasion de sa fabrication et de sa diffusion, et explicite l'originalité des partis pris cinématographiques du cinéaste.
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"La Commune (Paris, 1871)" de Peter Watkins analysé par Sébastien Layerle - 0 views

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    Entièrement tourné en studio, le film de Peter Watkins, expérience cinématographique et télévisuelle hors norme, bouscule les codes de représentation de la fiction historique. Donnant à l'événement une forte résonance contemporaine, il s'impose en outre comme un modèle de création collective qui en appelle au sens critique et vise "l'éveil des consciences". (Sébastien Layerle) Maître de conférences à l'université Paris 3 Sorbonne Nouvelle, Sébastien Layerle a consacré plusieurs travaux à la question de l'engagement au cinéma. Il est l'auteur de "Caméras en lutte en mai 68" (Nouveau monde éd., 2008)
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Avatar de James Cameron analysé par Valérie Morignat - 2 views

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    Hanté par la nostalgie d'un Éden disparu et la figure du sauveur artificiel, Avatar cristallise les contradictions du monde contemporain. Promesse de retour à une nature terrestre détruite par l'humanité, la planète Pandora est façonnée par les signes du paradis perdu et le culte d'un monde artificiel où la technologie devient promesse de résurrection. (Valérie Morignat) Docteur en arts et sciences de l'art, maître de conférences en cinéma et chercheur en cyberculture, Valérie Morignat travaille actuellement sur les interactions numériques avancées dans les domaines de la réalité augmentée et du jeu vidéo.
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Autour du Sixième sens de M. Night Shyamalan + séquence - 1 views

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    Continuons notre exploration des mondes propres (point de vue de leur conscience) ou des perspectives possibles sur le monde extérieur (rapport de la perception à la chose en soi) qui s'ouvrent à des êtres réellement ou hypothétiquement dotés de sens extraordinaires (Spiderman, Microcosmos, Daredevil, la famille Addams, le seigneur des Anneaux...).
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Le naturalisme au cinéma - 1 views

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    En peinture, le réalisme naît avec Courbet en opposition au romantisme et va rapidement se transformer en naturalisme sans qu'il soit vraiment possible d'établir une distinction entre ces deux termes. Au cinéma, le réalisme renvoie à John Ford et plus généralement au cinéma d'action qui permet l'enchaînement attendu "action-réaction". Le naturalisme de Stroheim, Bunuel ou Brisseau exprime la lutte entre le monde apparent dérivé des mondes originels éternellement cachés sous lui. Le naturalisme est une notion d'autant plus difficile à cerner qu'elle se définit par rapport au réalisme, terme extrêmement problématique lui-même.
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Désublimation explosive, Marcuse au Fight Club (Frédéric Neyrat) - 0 views

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    Le cinéma produit un rapport au monde. En confrontant la figure de l'Homme unidimensionnel de Marcuse à celle de Tyler Durden, l'activiste hallucinématographique de Fight Club, Frédéric Neyrat montre comment les images peuvent alimenter la source du désir.
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Texte et analyse d'un texte de Clément Rosset sur le cinéma - 2 views

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    "La vision du monde chez l'homme du XXe siècle se rapproche insensiblement de celle que lui suggère le cinéma."
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La Grotte des rêves perdus un film de Werner Herzog - Dosier pédagogique - 3 views

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    C'est une grotte immense, protégée du monde depuis 20 000 ans parce que le plafond de son entrée s'est effondré. C'est un sanctuaire incrusté de cristaux et rempli de restes pétrifiés de mammifères géants de la période glaciaire. Pourtant, ce n'est pas le seul trésor que ce lieu unique au monde avait à nous offrir… En 1994, au sud de la France, les scientifiques qui ont découvert la grotte sont tombés, ébahis, face à des centaines de peintures rupestres, des œuvres d'art spectaculaires réalisées il y a plus de 30 000 ans - presque deux fois plus vieilles que les peintures rupestres les plus anciennes découvertes jusqu'alors. Ces dessins, ces œuvres, ces témoignages exceptionnels ont été créés à l'époque où les hommes de Neandertal parcouraient encore la terre, en un temps où les ours des cavernes, les mammouths et les lions étaient les espèces dominantes sur notre continent. Depuis, seules quelques très rares personnes ont été autorisées à pénétrer dans la grotte, et ses chefs-d'œuvre sont restés à l'abri des regards - jusqu'à ce que Werner Herzog obtienne l'autorisation d'y réaliser un documentaire d'exception. Avec ses caméras 3D, Herzog a capté toute la beauté de ces merveilles dans l'un des sites les plus grandioses qui soit. Dans un saisissant voyage visuel, Herzog nous entraîne à à la rencontre de nos très lointains ancêtres, à la découverte de la naissance de l'art, de la symbolique puissante des lieux et des étranges personnes qui vivent aujourd'hui dans les environs.
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Stanley Cavell « Relier mon expérience et celle de l'Amérique » - 1 views

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    « Je pense qu'il serait temps de réfléchir plus sérieusement sur le base-ball, autre passion ordinaire de l'Amérique. » Tout rond, bonhomme, l'air profondément généreux, tel est Stanley Cavell, professeur émérite de philosophie à Harvard. Cet « Ivy League » s'intéresse depuis toujours au 7e art et il est reconnu comme l'un des plus importants penseurs de notre temps. Ses ouvrages de cinéma sont désormais tous traduits : la Projection du monde (Belin, 1999), A la recherche du bonheur. Hollywood et la comédie du remariage, et maintenant le Cinéma nous rend-il meilleurs ? On peut dire qu'il y a eu Deleuze et qu'il y a maintenant Cavell, même si les styles et les modes de pensée diffèrent du tout au tout. Entretien sur cette passion ordinaire d'un homme facétieux, par Antoine de BAECQUE.
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THE TRUMAN SHOW, de P. Weir - Existe-t-il un monde en dehors de la conscience ? - 2 views

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    Truman Burbank mène une vie calme et heureuse. Il habite dans un petit pavillon propret de la radieuse station balnéaire de Seahaven. Il part tous les matins à son bureau d'agent d'assurances dont il ressort huit heures plus tard pour regagner son foyer, savourer le confort de son habitat modèle, la bonne humeur inaltérable et le sourire mécanique de sa femme, Meryl. Mais parfois, Truman étouffe sous tant de bonheur et la nuit l'angoisse le submerge. Il se sent de plus en plus étranger, comme si son entourage jouait un rôle. Pis encore, il se sent observé. ...
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Qu'est-ce que l'auteurisme (30 après la Nouvelle Vague) ? Un exemple : Arnau... - 1 views

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    Par Alain BRASSART, Université Lille III Alain Brassart est docteur en études cinématographiques, Chargé de cours à l'Université de Lille3, rédacteur à Tausend Augen , CinémAction et au Monde Diplomatique . Il est l'auteur de l'ouvrage Les Jeunes premiers dans le cinéma français des années soixante (éditions du Cerf, 2004), et a collaboré à l'ouvrage collectif Nouvelles approches des hommes et du masculin (Presses Universitaires de Toulouse-Le Mirail, 2000), ainsi qu'au Dictionnaire du cinéma populaire français (Nouveau monde, 2004). Ses recherches portent sur les questions de genre à l'écran.
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« Le cinéma face à l'histoire » - Dossier de présentation - 2 views

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    Une fascination immédiate De même que les mondes futurs ou imaginaires, les mondes passés ont toujours fasciné le cinéma. Avec leurs décors grandioses, leurs costumes chatoyants (on parle souvent de « films en costume » pour souligner leur importance), les films historiques offrent une promesse de grand spectacle et de dépaysement immédiat. A côté de son célèbre Voyage dans la lune et autres fantasmagories, George Méliès tourne ainsi une Cléôpatre et une Jeanne d'Arc. Mais ce sont deux films produits la même année qui par leur succès vont marquer leur temps et célébrer les noces du couple « cinéma et histoire ». L'Assassinat du duc de Guise (1908) d'André Calmettes est à la fois l'une des premières tentatives de reconstituer une scène historique, et le premier « film d'art », pour reprendre le nom de la société qui le produit : il a été écrit par un académicien, interprété par des comédiens de la Comédie Française, mis en musique par Camille Saint-Saëns. Son succès va sortir le « cinématographe » des baraques de foire et du mépris dans lequel le tiennent les intellectuels, et constituer le film historique comme un genre à part entière. Au même moment Luigi Maggi tourne en Italie Les Derniers Jours de Pompéi (1908), premier avatar d'un genre, le peplum, qui va faire les beaux jours du cinéma italien (Cabiria de Giovanni Pastrone, 1918) puis américain (voir les fresques bibliques de Cecil B. de Mille).
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Tarkovski : chroniques de l'incertitude - 1 views

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    L'interrogation philosophique est si dense, dans l'œuvre de Tarkovski, qu'on pourrait désigner celle-ci comme une méditation cinématographique, ou une œuvre philosophique. La profusion des références, qui semble inviter l'intelligence érudite à entrer en action, forme une trame bien serrée. Mais il ne s'agit pas ici d'un enseignement philosophique. Le spectateur, tout en restant attentif, renonce à comprendre intellectuellement. Il ne peut qu'abandonner toute forme de résistance et se laisser couler dans un temps autre. Il entre dans le monde d'un autre cinéma, il passe de l'autre côté du miroir.
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Les jeux philosophiques de la trilogie Matrix: - Hugo Clémot - 0 views

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    La trilogie Matrix a suscité une littérature philosophique très importante dans le monde entier. Plus de dix ans après la sortie du premier des trois films, il est temps de faire un bilan des meilleures contributions et de proposer une interprétation inédite qui s'appuie non seulement sur l'ensemble de la trilogie, mais aussi sur les courts métrages animés, les comic books et les jeux vidéo conçus pour accompagner les films. Cette approche prétend en outre apporter une réponse à la question de savoir si et en quel sens une oeuvre cinématographique comme Matrix peut faire de la philosophie.
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