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"Voyage à Tokyo" de Yasujiro Ozu analysé par Charles Tesson - 0 views

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    Ancien rédacteur en chef des "Cahiers du cinéma", Charles Tesson est critique et maître de conférences d'histoire et d'esthétique du cinéma à l'université Sorbonne Nouvelle Paris 3. Il est l'auteur de nombreux ouvrages dont "Théâtre et cinéma" (Éd. Cahiers du cinéma, 2007). Il a participé à l'édition DVD de plusieurs films de Yasujiro Ozu, dont Voyage à Tokyo (Carlotta Films). Le sentiment du temps qu'il reste à vivre est au coeur de Voyage à Tokyo, amenant les grands-parents à rendre visite à leurs enfants. Dès les premières images, tout est posé, avec d'un côté l'eau qui s'écoule, soit le temps infini, non mesurable, et le train, supposé partir et arriver à l'heure, soit le temps fi ni, mesurable. De quel voyage est-il alors question ? (Charles Tesson)
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"Citizen Kane" d'Orson Welles analysé par Youssef Ishaghpour - 0 views

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    Professeur émérite à l'université Paris Descartes, auteur d'essais sur la philosophie, la peinture, la littérature et le cinéma, Youssef Ishaghpour a publié "Orson Welles cinéaste : une caméra visible" (Éd. de la Différence, 2001), un ouvrage majeur auquel il a consacré plus de trente ans de recherches. Citizen Kane est une date dans l'histoire du cinéma : le passage d'un cinéma d'action et de présence à un cinéma de réflexivité et de représentation, ancré dans la question du temps ; d'où la complexité des flash-backs et des fondus enchaînés, et l'apparition de la mémoire involontaire. (Youssef Ishaghpour)
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Gilles Deleuze, "La crise de l'image-action" présenté par Jean-Baptiste Thoret - 0 views

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    Spécialiste du Nouvel Hollywood et du cinéma de genre, Jean-Baptiste Thoret est critique à Charlie Hebdo et chroniqueur à France Culture. À paraître : "Michael Mann, un Saturne américain" (Éd. Cahiers du cinéma, 2010). Gilles Deleuze clôt "L'Image-Mouvement" par un chapitre, "La crise de l'image-action", dans lequel, à partir des films d'Hitchcock (Fenêtre sur cour), il identifie la fin de cette grande forme propre au cinéma hollywoodien, qui se manifeste d'abord par la perte du "lien sensorimoteur". Quelles furent les conséquences esthétiques et formelles de cette crise ? Aujourd'hui, après la redécouverte du cinéma américain des années 70, ce concept est-il toujours valide ? Cours du 9 octobre 2009.
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Magphilo - Dossier 28 : Philosophes et philosophie au cinéma - 3 views

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    "Les philosophes, la philosophie et le cinéma ; la philosophie au cinéma ; le cinéma en philosophie… autant de configurations toujours possibles pour étudier la relation entre deux expressions intellectuelles et artistiques de l'esprit humain, l'une ancestrale, presque consubstantielle à la civilisation elle-même, l'autre beaucoup plus récente, tout juste plus que centenaire, particulièrement tributaire dès son origine des progrès de l'optique, plus récemment des avancées des nouvelles technologies"
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"L'Humanité" de Bruno Dumont analysé par Philippe Rouyer - 0 views

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    Philippe Rouyer, critique à Positif et Psychologies magazine, est chroniqueur régulier dans les émissions "Mauvais genres" sur France Culture et "Le Cercle" sur CANAL+ Cinéma. Il est l'auteur de "Initiation au cinéma" (Éd. Edilig, 1990) et de nombreux essais sur le cinéma de genre. Dans une petite ville du nord de la France, l'enquête sur le viol et le meurtre d'une fillette prend les allures d'une quête existentielle pour le policier qui en est chargé. Comment, par ses choix de mise en scène, Bruno Dumont filme frontalement la souffrance et la misère du monde pour interroger l'existence du Mal au coeur de la condition humaine ? (Philippe Rouyer)
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"La Nouvelle Babylone" de Gregori Kozintsev et Leonid Trauberg analysé par Is... - 0 views

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    Plusieurs cinéastes soviétiques ont mis en scène la Commune de Paris, qu'ils considèrent comme l'ancêtre de la révolution d'Octobre et le point de départ de leur histoire. Avec un art consommé du montage, La Nouvelle Babylone revisite cet épisode tragique de l'histoire du mouvement ouvrier avec une ferveur communicative et un sens aigu de la parabole. Historienne du cinéma, spécialiste du muet, Isabelle Marinone est enseignante à l'université Paris 3 Sorbonne Nouvelle. Elle a consacré sa thèse au cinéma libertaire et organisé en 2010 les Journées d'études "Anarchie et cinéma".
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"Minority Report" de Steven Spielberg analysé par Philippe Rouyer - 0 views

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    Critique à Positif et Psychologies magazine, Philippe Rouyer est chroniqueur régulier dans les émissions "Mauvais genres" sur France Culture et "Le Cercle" sur CANAL+ Cinéma. Il est l'auteur de "Initiation au cinéma" (Éd. Edilig, 1990) et de nombreux essais sur le cinéma de genre. Dans cette adaptation de Philip K. Dick située à Washington en 2054, Spielberg a essayé de représenter de la manière la plus réaliste notre futur. Un futur où la police emploie des médiums pour visualiser des crimes à venir, donc non encore commis. (Philippe Rouyer)
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André Bazin, "Ontologie de l'image photographique" présenté par Hervé Joubert... - 0 views

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    Professeur d'études cinématographiques à l'université d'Amiens, Hervé Joubert-Laurencin est spécialiste de Bazin et de Pasolini. Ses recherches actuelles portent sur la théorie et l'histoire de la critique de cinéma. "Ontologie de l'image photographique" est un des plus célèbres textes théoriques sur le cinéma. Censé parler de photographie dans un ouvrage sur la peinture française en 1944, il devient le texte phare du réalisme selon André Bazin lorsque celui-ci le place en ouverture de "Qu'est-ce que le cinéma ?", qui sort quelques jours après sa mort, en 1958… Cours du 16 octobre 2009.
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Erotisme et cinéma - 1 views

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    L'histoire du cinéma érotique ne peut se résumer à l'histoire du passage de la suggestion de l'acte sexuel à sa représentation non simulée. En pointant le désir plus que l'acte, les surréalistes donnent son vrai sens au cinéma érotique. Pour eux, le désir sexuel comme réalité subversive est au coeur même du cinéma. "Ce qu'il y a de plus spécifique dans les moyens du cinéma, écrit André Breton, c'est de toute évidence le pouvoir de concrétiser les puissances de l'amour". Pour lui, le cinéma est amour, force du désir. Le mouvement de la passion érotique est dans "l'égarement et la démesure" au sens où Nietzsche l'entend. "Ce que nous voulons, écrit Bataille, est ce qui épuise nos forces et ressources et qui met, s'il le faut, notre vie en danger". C'est ce que Sade affirme lorsqu'il dit que l'essence de la volupté est à l'image du crime.
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Cinéma en relief et films en 3D - 1 views

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    L'histoire du cinéma en relief débute en 1895 avec l'invention de l'anaglyphe en photographie. Les pionniers vont se succéder durant les années suivantes avec une première représentation publique dans un cinéma en 1915, un long métrage (perdu) en 1922 puis les premiers courts métrages MGM en 1935 (partie 1). Il faut néanmoins attendre 1952 et Bwana le diable de Arch Oboler pour que se produise le premier âge d'or du cinéma 3D (partie 2). Supplanté par le Cinémascope, le cinéma 3D ne survit que dans les séries Z ou les parcs d'attractions (partie 3). Au début des années 2000, le développement des techniques filmiques en 3D et, parallèlement, l'équipement des salles de cinéma en projecteurs numériques va ouvrir un second âge d'or de la 3D. (partie 4). Une esthétique de la 3D (partie 5) se dessine ainsi sur un corpus de films de plus en plus important (partie 6).
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La parole errante des corps : pratiques de cinéma mineur - 0 views

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    par  Pascal HoubaNous passons en revue différentes pratiques cinématographiques qui permettent au devenir minoritaire de s'inscrire dans la production et la réception de films témoignant d'une résistance à la normalisation. En particulier, nous examinons comment les problèmes de la représentation du minoritaire et de la transmission de son expérience se sont transformés dans l'oeuvre des Dardenne et dans le cinéma de poésie de Pasolini. Ces cinéastes ont chacun développé un style propre de « cinéma mineur » où les corps prennent le relais du langage, devenu problématique.
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Philosophie, politique et cinéma - Programme à la Maison des Sciences de l'Ho... - 0 views

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    De Rancière à Badiou, de Didi-Huberman à Jean-Luc Nancy, de Stanley Cavell à Slavoj Žižek, semblerait-il que chaque philosophe ait son mot à dire sur le cinéma. Tout se passe comme si le cinéma, par-delà les modes intellectuelles, était désormais le lieu, la khôra ou la surface privilégiée pour comprendre, lire et esquisser les signes de notre temps. Comme si le philosophe devrait passer au moins une fois par le crible de l'image en mouvement pour devenir contemporain.
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"Cinéma et histoire" de Marc Ferro, 1977 présenté par Jean-Pierre Bertin-Maghit - 0 views

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    Docteur d'État en Histoire, Jean-Pierre Bertin-Maghit, spécialiste notamment du cinéma de propagande et du cinéma français sous l'Occupation, est professeur d'études cinématographiques à La Sorbonne Nouvelle Paris 3. En 1973, Marc Ferro fait paraître dans Les Annales un article dans lequel le film, considéré comme un document d'histoire plus révélateur des zones d'ombre d'une société que les sources écrites, permet de bâtir une contre-analyse de la société. Jean-Pierre Bertin-Maghit présente cette problématique à travers un des textes majeurs de l'auteur. Cours du 4 décembre 2009
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"Rire ou ne pas rire : les paradoxes de la comédie" présenté par Jacqueline N... - 0 views

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    Jacqueline Nacache est professeur d'histoire et d'esthétique du cinéma à l'université Paris-Diderot. Spécialiste du cinéma américain de l'âge d'or, elle a notamment publié "Lubitsch" (Éd. Edilig, 1987), "Le film hollywoodien classique" (Éd. Nathan, 1995), "L'Acteur de cinéma" (Éd. Nathan, 2003). Cours du 27 mars 2009
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Cinéma et théâtre - 1 views

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    La finesse et la générosité intellectuelle d'André Bazin le conduisaient à plaider pour le théâtre filmé. Nous reprendrons ici les principales conclusions de son texte Théâtre et cinéma publié en 1951 dans la revue Esprit et repris dans Qu'est-ce que le cinéma. Loin de pervertir le cinéma, le théâtre ne peut que l'enrichir. pour André Bazin, théâtre et cinéma ne sont pas séparés par un fossé esthétique infranchissable mais suscitent deux attitudes mentales sur lesquelles les metteurs en scène gardent un large contrôle.
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Jean-Michel Frodon » Bon alors, le cinéma, c'est quoi ? - 1 views

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    Longtemps la question de savoir ce qui était du cinéma, par différenciation sinon par opposition à ce qui n'en est pas, ne s'est pas posée. Quand, juste avant de mourir, André Bazin réunit un certain nombre d'articles écrits au cours des années 40 et 50 dans un ouvrage devenu une référence essentielle, et l'intitule Qu'est-ce que le cinéma ? (Editions du Cerf), il pose la question de la nature même du cinéma, question à laquelle il se garde d'ailleurs de donner une réponse exhaustive. Il ne se soucie pas de distinguer le cinéma de ce avec quoi on pourrait le confondre, tout simplement parce qu'un tel risque n'existe pas. Si son ouvrage abonde en comparaisons avec les autres arts, la littérature, le théâtre, la peinture et la photographie, c'est pour dessiner ce qui se ressemble et ce qui dissemble dans ces ensembles que personne ne pourrait mélanger.
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LA HAINE, de M. Kassovitz - Phénoménologie du point de vue de la musique. - 1 views

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    Depuis La Haine, jamais, à mon humble avis, aucune œuvre de Kassovitz n'est parvenue à atteindre un tel degré de spontanéité et de virtuosité (finalement, même L'Ordre et la Morale m'a relativement déçu.). A cette époque, vous colliez une caméra sur l'épaule de Kassovitz et il en faisait un usage transcendantal, bien supérieur à ce que pouvait livrer le commun des réalisateurs hexagonaux. La preuve en est ici avec cette séquence magistrale et paradigmatique de cinéma (1 mn 30 sec) qui, quelques dix-sept ans plus tard, ne cesse de m'impressionner : Cut Killer, dans son propre rôle, ouvre la fenêtre et balance le son (« Nique la police »). Ce faisant, c'est toute une démonstration de ce que le cinéma peut avoir de magiquement perceptif à laquelle on assiste, un cheminement sans point de vue personnifié sinon celui d'une « perception pure ».
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"Le Chant du styrène" d'Alain Resnais analysé par Gwenanële Rot - 1 views

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    Gwenaële Rot est maître de conférences en sociologie à l'université de Paris Ouest. Ses recherches portent sur les représentations du travail au cinéma ainsi que sur l'étude des transformations du travail dans différents mondes de production : automobile, pétrochimie, nucléaire et cinéma. Alain Resnais a réalisé ce court métrage sur les matières plastiques, suite à une commande de l'entreprise Pechiney. Gwenaële Rot en retrace l'histoire à travers les controverses qu'il a suscitées à l'occasion de sa fabrication et de sa diffusion, et explicite l'originalité des partis pris cinématographiques du cinéaste.
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"Le goût de la peur" présenté par Emmanuel Siéty - 0 views

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    Emmanuel Siéty est enseignant en cinéma à l'université Paris 3. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages dont "La Peur au cinéma" (Cinémathèque française / Éd. Actes Sud Junior, 2006). Cours du 6 mars 2009
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"Le bonheur est dans l'image" présenté par Jacques Aumont - 0 views

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    Jacques Aumont est professeur en cinéma à l'université Sorbonne Nouvelle Paris 3 et directeur d'études à l'EHESS. Il est l'auteur de monographies dont "Ingmar Bergman" (Éd. Cahiers du cinéma, 2003) et d'ouvrages sur l'image cinématographique et picturale dont "L'oeil interminable" (Éd. La différence, 2007) et "Matières d'images" (Éd. Images modernes, 2005).Cours du 15 mai 2009
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