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"Sur place, Vincent Gelot, directeur de l'Oeuvre d'Orient au Liban, réagit à cette catastrophe qui frappe un pays déjà éprouvé par une crise profonde."

"Plus de cinq mois après la double explosion du 4 août dans le port de Beyrouth, le prêtre maronite Fadi Daou, professeur de théologie et géopolitique à l'Université Kaslik, et directeur de la fondation Adyan (1), revient sur les conséquences de cette catastrophe pour le Liban."

"Vincent Gelot, responsable-projets pour l'Œuvre d'Orient au Liban, était à Beyrouth au moment de la catastrophe. Il raconte."

"Un rugissement, des secousses, de longues minutes d'effroi… Relatant la catastrophe qui a terrassé sa ville, le romancier rappelle, dans une tribune au « Monde », qu'à l'instar du soulèvement du 17 octobre 2019, ce jour du 4 août marque une nouvelle étape dans le combat que mène le peuple libanais contre l'incurie des politiques."

" Le président, en première ligne après la catastrophe de Beyrouth, veut renforcer l'influence française et contenir le Hezbollah."

"Dans son homélie du dimanche 23 août, le cardinal Bechara Raï a dénoncé les retards dans les enquêtes sur les explosions meurtrières du 4 août dans le port de Beyrouth et a reproché à certains responsables de traiter ces explosions « dans une perspective électorale »."

"Les chrétiens du Liban ont été les principales victimes de la catastrophe du 4 août. Pour les dissuader d'émigrer, assurer leur pérennité et préserver leurs intérêts, il faut que l'Etat libanais ne soit plus unitaire et centralisé, mais au contraire confédéral, argumente l'universitaire libanais Hicham Bou Nassif. La France peut et doit plaider en ce sens, ajoute-t-il." [RDP du 02 septembre 2020]

"Après la double explosion survenue le 4 août 2020 dans le port de Beyrouth, le directeur Liban de l'Œuvre d'Orient, Vincent Gelot, souligne l'impact de la catastrophe sur les communautés chrétiennes du pays."

"Du 24 au 26 juin 2016, le pape François a effectué un voyage apostolique en Arménie. d'Etchmiadzin, centre spirituel de l'Église apostolique arménienne, au monastère de Khor Virap, il a visité les hauts lieux spirituels et de mémoire du peuple arménien. Dès sa première intervention en la cathédrale apostolique d'Etchmiadzin, le pape François a rendu grâce au Seigneur « pour la lumière de la foi allumée » sur cette terre, foi qui a conféré à l'Arménie « son identité particulière ». Il a également plaidé, au long de son voyage, pour un œcuménisme fraternel qui serve d'exemple au monde. Lors de sa rencontre avec les autorités civiles du pays et le Corps diplomatique au palais présidentiel, le pape François a rappelé la célébration solennelle en la basilique Saint-Pierre de Rome (le 12 avril 2015) où a été fait mémoire du centenaire du Metz Yeghérn, le « Grand mal », qui a frappé le peuple arménien. « Cette tragédie, ce génocide, a inauguré malheureusement la triste liste des effroyables catastrophes du siècle dernier… », a-t-il ainsi déclaré. Dans ce discours, il a également souhaité de la part des Arméniens un « engagement accru afin de déterminer les voies utiles pour surmonter les tensions avec certains pays voisins… » Le pape François a invité l'Arménie à inaugurer « une époque de vraie renaissance »."

"Rencontre animée par Bernard Durel, dominicain. Raymond Panikkar est né en 1918 d'une mère espagnole et catholique et d'un père italien et hindou. Il est ordonné prêtre en 1946. À partir de 1953, il effectue de longs séjours en Inde. Il est mort en 2010 dans le village catalan où il était revenu. Au cœur de toute religion, il y a la mystique, plénitude de vie. Cette dimension mystique est largement amputée dans notre société occidentale, ce qui conduit à des catastrophes spirituelles, sociales, politiques, écologiques."

"Le métropolite Volodimir, primat de la branche ukrainienne de l'église orthodoxe russe, est décédé dans la nuit du 4 au 5 juillet à Kiev. Dans un contexte tendu, les regards se tournent vers le Patriarcat de Moscou, pour qui la perte tant redoutée de l'Ukraine constituerait une catastrophe."

"Le sénateur de la Vendée est revenu d'Irak le 19 novembre. Il appelle à une mobilisation de la communauté internationale et propose une grande mobilisation solidaire en France avant Noël."

e christianisme va-t-il mourir sur les lieux qui l'ont vu naître ? Les chrétiens d'Orient sont-ils condamnés à disparaître ? Mais qui sont-ils vraiment ? Pourquoi leur situation immémoriale est-elle devenue subitement intenable ? Pourquoi leur cause n'est-elle pas particulariste mais universelle ? Pourquoi faut-il la préserver des pulsions émotionnelles et des récupérations identitaires ? En quoi leur exode marque-t-il une catastrophe de civilisation et un coup létal à la biodiversité culturelle ? Quel est le nom de leur malheur pour euxmêmes, pour le monde musulman, pour l'Europe ? Et pour la France, leur ancienne protectrice, qui semble les avoir abandonnés ? À l'heure du choc entre les empires et les fanatismes, n'est-il pas urgent que Paris réinvente une politique méditerranéenne fondée sur les droits historiques de ces médiateurs des origines qui comptent parmi les premiers sacrifiés de la mondialisation ? Au carrefour du religieux et du politique, telles sont, entre autres, les questions auxquelles cette note apporte des réponses enfin éclairantes. Cette note a été écrite par Jean-François Colosimo, philosophe, théologien, président de l'Institut orthodoxe de Paris et directeur des éditions du Cerf.

"Jean-Claude Larchet, théologien orthodoxe, analyse dans son nouveau livre les bases spirituelles de la crise écologique."

"Trois ans après « la catastrophe de la plaine de Ninive » et son invasion par Daech, le Patriarcat chaldéen publie un message particulièrement alarmiste."

"De nombreux pays continuent d'apporter leur soutien après la double explosion au port de Beyrouth. Le bilan humain, encore provisoire, est de 137 morts et 5 000 blessés."

"Dans un communiqué, le président du conseil national de l'Eglise protestante unie de France assure ne pas vouloir imposer ses "convictions" chrétiennes, laïques et républicaines, mais il cible l'abstention et le vote Front national."

"Demain est une journée importante: c'est le début de la Semaine de prière pour l'unité des chrétiens."

"En ce Noël, il est difficile pour les milliers d'habitants du centre de Beyrouth, majoritairement chrétiens, de garder confiance en l'avenir de leur pays si éprouvé."

"Au Liban, des dizaines d'écoles chrétiennes, phares du vivre-ensemble et de la francophonie, sont menacées de fermeture à cause de la crise économique."