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"Merveille des merveilles. Mais : essayez de zoomer, et vous n'y verrez plus rien (basse résolution). Par ailleurs, mis à part la possibilité de consulter les métadonnées, de télécharger le document, de le partager (Facebook, Twitter, mail) ou de le sauvegarder dans "ma bibliothèque", pas de manipulations plus fondamentales proposées (ajout de tags, corrections, notes, liens, etc.). Ce qui est en fait privilégié, c'est l'image du texte plus que le texte, c'est la démonstration, c'est la présence de Gallica sur iPad. Normal, par conséquent, que nous soyons limités à la consultation (et dans le même genre, je préfère The Wast Land et l'appli' de la Bristish Library)."

"Voilà maintenant 6 mois que les tablettes sont proposées en consultation dans les bibliothèques participant à l'expérimentation. Je vous propose donc de dresser un petit état des lieux concernant leur utilisation et leur consultation."

"La consultation publique initiée par la Commission européenne a rendu, fin avril, ses conclusions, ou du moins, dévoilé les résultats de son enquête. Le projet était simple : interroger les acteurs sur la question d'une révision du taux de TVA au sein de l'Union. Sur les 333 organisations qui ont pris le temps de répondre, 76 étaient issues de Belgique, 65 d'Allemagne et 52 de France. 48 autres venaient du Royaume-Uni, le reste étant quasiment quantité négligeable. "

"La Bibliothèque nationale de France a saisi la Haute Autorité dans le cadre de la mission confiée par la loi en matière de régulation et veille dans le domaine des mesures techniques de protection. La Bibliothèque nationale de France a adressé le 17 février 2012 une demande d'avis sur le fondement de l'article L. 331- 31 du CPI concernant la présence de Mesures techniques de protection (MTP) sur les documents dont elle est destinataire au titre du dépôt légal. La BnF bénéficie au titre du dépôt légal d'exceptions de reproduction à des fins de collecte, de conservation et de consultation sur place en application du Code du patrimoine. Certaines mesures techniques de protection présentes sur les oeuvres entraveraient, voire rendraient impossible, la reproduction des documents concernés et limiteraient en outre l'installation des documents sur les postes de consultation mis à disposition par la BnF et ce, malgré des dispositions du Code du patrimoine censées prévenir de telles limitations." Lien vers l'avis : http://www.hadopi.fr/sites/default/files/page/pdf/Avis_BnF.pdf

"Notre projet : - votre abonnement à publie.net, particuliers comme bibliothèques, vous donne libre accès à un catalogue, qui se développera ci-dessous, de web-objets et d'expériences de création littéraire, ou sonores, ou photographiques, souvent indiscernables dans le site qui les accueille; - ces ressources restent libres et ouvertes sur leur site à la consultation rapide et aux moteurs de recherche, mais la consultation de chaque page est limitée à une minute avant appel à la connexion; - chaque site est considéré commercialement comme un livre, et chaque auteur est rémunéré au prorata des pages lues, dans la redistribution de nos recettes abonnements."

"L'été dernier, vous avez été très nombreux à participer à l'enquête d'usage et de satisfaction de Gallica, et nous vous en remercions ! Les résultats de cette enquête sont aujourd'hui disponibles sur le site bnf.fr : vous pouvez les consulter ici : http://www.bnf.fr/fr/la_bnf/services_et_publics/s.enquetes_usage_gallica.html." Les réponses se répartissent selon différentes catégories : moteur de recherche, enrichissement de l'offre numérisée et la politique de numérisation, orientation au sein des collections numérisées, consultation des documents en ligne, mode texte et océrisation, téléchargement des documents, prise en compte des nouveaux supports de lecture. "Par ailleurs, la BnF travaille actuellement au développement d'une application Gallica pour tablettes et smartphones. Cette application sera disponible à l'automne 2012 sur l'App Store et à la fin de l'année 2012 sur le marché Android."

Réaction de François Bon aux récents billets de Franck Queyraud et Michel Fauchié : comment déployer le livre numérique en bibliothèque ? Triple solution aujourd'hui avec publie.net : abonnement complet pour consultation en streaming sur place, abonnement complet pour consultation en streaming à distance (les deux assez lourds), et achat de "bundles" via publie.papier (livre papier avec code permettant de récupérer un fichier ePub) à l'unité auprès des libraires.

"Les contributions de toutes les parties concernées sont les bienvenues, en particulier celles des consommateurs, des utilisateurs, des interprètes, des éditeurs, des producteurs, des radiodiffuseurs, des intermédiaires, des distributeurs ou de tout autre fournisseur de services, des sociétés de gestion collective, des autorités publiques et des États membres. [...] L'objectif de cette consultation et de réunir les contributions de toutes les parties concernées sur la révision des règles de l'Union européenne en matière de droit d'auteur."

"PNB est un projet interprofessionnel piloté par Dilicom et soutenu par le CNL. PNB n'est pas une offre de livres numériques. PNB n'est pas un logiciel permettant de gérer le prêt ou la consultation en bibliothèque. PNB est un dispositif d'échange d'informations (données commerciales, métadonnées descriptives, juridiques et techniques, données de gestion : état des droits de consultation, statistiques…) entre éditeurs, libraires et bibliothèques, dont le but est de faciliter le développement d'offres de livres numériques pour les bibliothèques."

"Il y a des amateurs un peu geeks qui conçoivent des logiciels étonnants et sympathiques. C'est le cas de « My Readings ». My Readings est un logiciel qui permet de proposer la consultation d'une bibliothèque d'ebooks Calibre depuis sa tablette tactile. Mais, en plus de la consultation du catalogue, il est aussi possible de lire les ebooks directement depuis l'application."

"Dans le cadre de sa collaboration avec le laboratoire PACTE de l'Université Pierre Mendès-France, la Bibliothèque Municipale de Grenoble lance un appel à candidatures en vue de participer à des séances de consultations de la plateforme de prêts de livres numériques Bibook, pour une enquête sociologique sur les pratiques de lecture numérique. Après une séance de consultation de la plateforme, des entretiens individuels avec des lecteurs volontaires seront conduits. Chaque séance durera 30 minutes et pourra se dérouler, au choix du participant, au sein d'une bibliothèque choisie par le participant ou à son domicile. Tous les détails sur le site : http://www.bm-grenoble.fr/1008-questionnaire-sur-la-bibliotheque-numerique.htm."

Le jeudi 17 octobre de 14h à 18h à Paris. "Cette rencontre consiste en un après-midi de consultation et de travail avec les professionnels des métiers du livre (éditeurs, libraires, bibliothécaires, documentalistes, distributeurs…), des sociétés de service en logiciel libre et des acteurs engagés dans la mutualisation des expertises informatiques (Adullact)."

Le mercredi 16 octobre de 14h à 18h à l'enssib. "Cette rencontre consiste en un après-midi de consultation et de travail avec les professionnels des métiers du livre (éditeurs, libraires, bibliothécaires, documentalistes, distributeurs…), des sociétés de service en logiciel libre et des acteurs engagés dans la mutualisation des expertises informatiques (Adullact)."

"Open data, accessibilité, aménagement…, le projet de loi de la secrétaire d'Etat en charge du numérique récemment diffusé concerne de près les territoires, parties prenantes de cette "République numérique" que le texte appelle de ses voeux. La version soumise à consultation devrait être diffusée le 21 septembre. "

"Open data, accessibilité, aménagement…, le projet de loi de la secrétaire d'Etat en charge du numérique récemment diffusé concerne de près les territoires, parties prenantes de cette "République numérique" que le texte appelle de ses voeux. La version soumise à consultation devrait être diffusée le 21 septembre."

"Inventons la bibliothèque de demain à partir de ses données d'usages, c'est le défi que nous vous proposons de résoudre avec nous à l'occasion de l'ouverture des données publiques du territoire grenoblois le 15 mars 2016 à La Coop Infolab (31 rue Gustave Eiffel - Grenoble). Les données numériques transforment les services dans les transports, l'énergie mais aussi la culture. Mais comment changent-elles les pratiques des médiathèques ? Les données de fréquentation, de retrait d'ouvrages ou de consultation numériques ouvrent-elles des perspectives pour de nouvelles manières de recommander et de partager de la culture ? Comment peuvent-elles contribuer à susciter la rencontre autour du livre ou de la musique ? Venez explorer avec nous le potentiel des données numériques au cours d'un atelier créatif réunissant usagers, lecteurs, bibliothécaires, éditeurs…"

Inventons la bibliothèque de demain à partir de ses données d'usages, c'est le défi que nous vous proposons de résoudre avec nous à l'occasion de l'ouverture des données publiques du territoire grenoblois le 15 mars 2016 à La Coop Infolab (31 rue Gustave Eiffel - Grenoble). Les données numériques transforment les services dans les transports, l'énergie mais aussi la culture. Mais comment changent-elles les pratiques des médiathèques ? Les données de fréquentation, de retrait d'ouvrages ou de consultation numériques ouvrent-elles des perspectives pour de nouvelles manières de recommander et de partager de la culture ? Comment peuvent-elles contribuer à susciter la rencontre autour du livre ou de la musique ? Venez explorer avec nous le potentiel des données numériques au cours d'un atelier créatif réunissant usagers, lecteurs, bibliothécaires, éditeurs…

"C'est aujourd'hui de la Ville de Paris sort sa bibliothèque de prêt numérique… n'hésitez pas à l'utiliser et à la tester elle va probablement être rapidement inutilisable avec le merveilleux système de jetons que PNB propose. Comme les bibliothèques sont facturées au nombre d'emprunt de livres numériques et qu'elles ont des budgets limités, plus le public consulte les fichiers de PNB et moins la bibliothèque peut les proposer! Plus on fait notre métier de médiateurs sur ces contenus et moins on a de livres numériques à recommander, n'est-ce pas formidable ? Allez n'hésitez pas à télécharger des livres et le dire sur twitter, la #chasseauxjetons est lancée!"

"C'est aujourd'hui de la Ville de Paris sort sa bibliothèque de prêt numérique… n'hésitez pas à l'utiliser et à la tester elle va probablement être rapidement inutilisable avec le merveilleux système de jetons que PNB propose. Comme les bibliothèques sont facturées au nombre d'emprunt de livres numériques et qu'elles ont des budgets limités, plus le public consulte les fichiers de PNB et moins la bibliothèque peut les proposer! Plus on fait notre métier de médiateurs sur ces contenus et moins on a de livres numériques à recommander, n'est-ce pas formidable ?"

"Un jour, Philippe Claudel détruira ses disques durs à coups de masse ou fera fondre ses ordinateurs en une sculpture : "Je ne garde rien, j'efface tout. Si quelqu'un voulait retrouver une trace de ce que j'ai écrit, il devrait savoir faire parler un disque dur." Et pour que cela n'arrive jamais, l'écrivain s'assurera que tout disparaisse de son vivant. Alors que l'éditeur américain Scribner publie les 47 fins imaginées par Hemingway pour "L'Adieu aux armes", l'informatique offre de nouvelles possibilités aux auteurs, mais menace l'existence des brouillons. Jamais les générations futures ne pourront consulter les épreuves de Philippe Claudel et s'interroger sur la genèse de son œuvre."

"La scène pourrait se passer à Pékin, New York ou Bordeaux... vous êtes en vacances, il est l'heure de manger et vous ne savez dans quel restaurant aller. Un voyageur classique dégainerait immédiatement son guide. Mais vous n'êtes pas un voyageur lambda, vous êtes un routard 2.0. C'est donc sur votre smartphone ou votre tablette numérique que vous lisez les conseils de votre guide préféré. Depuis 3 ans la plupart des éditeurs de voyage se sont lancés dans la vente de guides numériques. Tout a commencé par des applications, consultables sur smartphones. Des guides immatériels qui reprennent les contenus papiers avec parfois des améliorations."

"La Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc (BNRM) a lancé son pendant numérique, qui compte déjà quelque 150 000 pages et vise les deux millions de documents consultables en ligne d'ici fin 2013. Une phase « pilote », affirme son directeur, Driss Khrouz, plus ambitieux pour les années à venir : deux millions de pages devraient être prêtes fin 2013. Coût de l'opération de sauvetage des manuscrits rares de la BNRM : 6 millions de dirhams. « L'OCP finance et Maroc Telecom fournit le matériel de numérisation, parmi les plus pointus au monde », explique M. Khrouz. Une technologie de veille qui permet de rafraîchir et de conserver « éternellement » les fichiers numérisés, « comme une vieille montre qu'on remonte à l'infini, qui marche depuis toujours », sourit le directeur. On n'arrête pas le progrès : il y a cinq ou six ans, la durée de vie d'un fichier numérisé ne dépassait guère un siècle…"

"Même si ses futures propositions capotent, la mission confiée à Pierre Lescure pourra au moins se satisfaire d'une victoire : elle fait parler des enjeux et des blocages de la culture face à Internet. Et pas seulement à l'abri du périphérique parisien, puisqu'elle a entrepris d'aller au contact des internautes et des acteurs locaux en région. [...] La rencontre qui s'est tenue jeudi 29 novembre à Aix-en-Provence le montre : les lignes ont davantage bougé en quelques mois qu'en cinq années de répression bornée. Mais la mission Lescure est jusqu'ici dans ses chaussons, elle écoute et consulte. Au mois de mars, elle devra faire des propositions, et avant ça commencer à négocier avec les représentants de la musique, du cinéma, de la télévision ou de l'édition, qui pourraient doucher les ambitions tant leurs visions semblent inconciliables. "J'espère que je ne serai pas déçu par ce qu'on va délivrer", a lâché Lescure hier après-midi, à l'issue de la journée. Avec un peu de fatigue devant le boulot qu'il reste à accomplir."