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UNICEF - Grandir en France, un défi pour les 6-18 ans des quartiers prioritaires - 0 views

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    22 000 enfants de 6 à 18 ans ont donné leur avis sur leur vie. Pour la première fois, l'analyse permet de différencier les réponses selon le lieu d'habitation. Les résultats sont à la fois étonnants et dramatiques. Ils doivent faire réagir les candidats à la présidence de la République ! Paris, le 29 novembre 2016 - L'UNICEF France publie aujourd'hui les résultats exceptionnels de sa 3e consultation nationale. Exceptionnels parce qu'ils sont le fruit de la plus vaste enquête significative dont les réponses sont apportées par les enfants eux-mêmes : près de 22 000 enfants et adolescents âgés de 6 à 18 ans ont donné, entre octobre 2015 et juin 2016, leur avis sur leur vie. Exceptionnels parce que pour la première fois, les résultats permettent de différencier la perception des enfants selon leur lieu d'habitation et de recueillir des données rarement collectées. Quelles sont les différences de perception des enfants en matière d'éducation, d'accès aux activités et aux savoirs, de respect de leurs droits, mais aussi en termes d'amitié et de soutien parental, selon qu'ils habitent en centre-ville, en quartier populaire ou en quartier prioritaire ? Les réponses aux 163 questions, analysées par le sociologue Serge Paugam et le regard d'haptothérapeute de Catherine Dolto, ont permis d'explorer l'ensemble de ces thématiques. Des conclusions étonnantes, loin des clichés Les enfants des quartiers prioritaires désinvestis de leur scolarité ? Plus de 60 % se disent angoissés de ne pas réussir à l'école marquant ainsi leur intérêt pour l'éducation et leur préoccupation pour l'avenir. Isolés, avec des entourages en faillite et dépassés ? Ils sont plus de 67 % à déclarer pouvoir trouver de l'aide en cas de besoin dans leur quartier et près de 42 % à affirmer avoir une famille à proximité. 71 % s'entendent bien avec leurs voisins et 44 % estiment être valorisés par leurs amis. Enfi
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GéoConfluences - Les religions dans les banlieues : territoires et sociétés e... - 0 views

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    "Depuis le début du XXe siècle, la place des religions dans l'espace français a été affectée par cinq faits majeurs : le vote des lois relatives à la séparation des Églises et de l'État et à l'exercice public des cultes entre 1905 et 1907, la croissance de la diversité religieuse avec l'accueil successif de plusieurs vagues migratoires, l'urbanisation des périphéries des villes pour répondre à l'urgence démographique, les recompositions des religions traditionnelles avec le déclin des pratiques, et plus récemment, l'intensification des réseaux avec la croissance exponentielle des sites en ligne qui provoquent un repositionnement des acteurs locaux, qu'ils soient politiques, sociaux ou religieux. Après 1945, les adeptes de l'islam, du judaïsme et du bouddhisme ont fortement augmenté, notamment dans les banlieues des grandes villes, dans un contexte hexagonal d'émancipation individuelle et de déchristianisation. L'observation montre que l'implantation de ces religions résulte largement des conditions socio-économiques de l'immigration et que leur pouvoir d'attraction dépend de la présence locale d'un centre communautaire, sinon de la puissance des liens construits sur une mémoire partagée. En termes spatiaux, il est clair que les vieux quartiers ouvriers des villes et les grands ensembles d'habitat social ont joué un rôle primordial, mais non exclusif, dans l'accueil de ces formes d'expression religieuse. Pour les catholiques, les banlieues en croissance ont été considérées dès les années 1930 comme de véritables « terres de mission », ce qu'elles sont devenues ensuite pour les musulmans et les évangéliques. Le phénomène de "réveil", récurrent dans le protestantisme dès le XVIIe siècle, aurait touché tout spécialement les quartiers sensibles des agglomérations françaises et les populations modestes. Mais aujourd'hui, les ménages issus de l'immigration, loin d'abandonner leurs pratique
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Sondage CSA - Enquête sur le lien social de proximité - 1 views

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    Amenés à se prononcer sur l'état du lien social en France, le grand public et les Maires font part d'un constat plutôt mitigé . D'un côté, les relations entre les Français sont jugées plutôt bonnes par le grand public et encore davantage par les Maires . Dans le détail, les rapports au sein des familles enregistrent le plus de réponses positives ( 76 % des Français les jugent « bonnes », 80 % des Maires) suivies des relations entre hommes et femmes ( 75 % et 90 % ), celles entre les différentes générations ( 58 % et 73 % ) puis celles entre voisins ( 55 % et 65 % ) . Les relations au sein des entreprises semblent en revanche être le parent pauvre de la proximité puisque seuls 39 % du grand public et 49 % des Maires y jugent les relations bonnes . Notons par ailleurs qu'un certain nombre de clivages se font jour au sein des Français sur la perception de ces différentes relations . Les 18 - 24 ans se montrent moins optimistes sur l'état des relations au sein des familles ( 67 % les jugent « bonnes », au lieu de 76 % en moyenne) et entre les différentes générations ( 53 % au lieu de 58 % ), à l'inverse des personnes de 65 ans et plus qui sont elles légèrement plus optimistes sur ces deux points (respectivement 81 % et 64 % ) . D'autres phénomènes sont aussi à relever, comme le fait que les hommes soient un peu plus optimistes que les femmes sur l'état des relations hommes / femmes ( 78 % les jugent « bonnes », contre 72 % chez les femmes), signe sans doute d'une plus grande sensibilité des femmes aux problèmes persistants dans ce domaine . On peut aussi constater que les relations entre voisins sont plus favorablement perçus dans les communes rurales ( 56 % ) que dans l'agglomération parisienne ( 50 % ), écart logique tant l'intensité des relations de voisinage varie selon le type de commune . Il est enfin à noter que les relations au sein des entreprises sont vues de façon plus positive chez les salari
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France Stratégie - Note d'analyse - Quelle évolution de la ségrégation réside... - 0 views

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    Comment se répartissent cadres et ouvriers, immigrés d'Europe et d'ailleurs, ou encore logements sociaux, entre les quartiers de France métropolitaine ? Cette répartition est-elle plus inégale aujourd'hui qu'il y a 25 ans ? Dans cette étude, accompagnée d'un outil de visualisation inédit, France Stratégie passe au crible les 55 unités urbaines de France métropolitaine de plus de 100 000 habitants entre 1990 et 2015, à partir de données du recensement. Résultat : la ségrégation résidentielle est stable pour ce qui est de la catégorie sociale, en légère baisse pour ce qui est de l'origine migratoire, et en baisse plus sensible pour ce qui est du logement social. Si certains quartiers comptent aujourd'hui une part plus élevée de cadres ou d'immigrés d'origine extra-européenne, ce n'est en général pas le résultat de leur plus grande ségrégation mais simplement le reflet de la hausse de leurs effectifs dans la population. La ségrégation résidentielle désigne l'inégale répartition dans l'espace urbain de différentes catégories de population. Elle peut résulter de choix individuels, motivés par exemple par la recherche d'un entre-soi, ou de phénomènes de relégation, liés notamment au prix des logements. Catégorie sociale : des cadres plus inégalement répartis que les ouvriers et employés, mais des niveaux de ségrégation globalement stables En moyenne, les cadres et chefs d'entreprise sont, comme en 1990, plus inégalement répartis que les ouvriers et employés. L'indice de ségrégation mesure la part des membres d'une catégorie sociale qui devrait changer de quartier si l'on voulait obtenir une répartition homogène de cette catégorie dans tous les quartiers de l'unité urbaine. Dans l'agglomération parisienne, cet indice a augmenté entre 1990 et 2015, passant de 32 % à 36 % pour les cadres et de 23 % à 27 % pour les ouvriers et employés. Dans les autres unités urbaines, la ségrégation résidentielle des cadre
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France Stratégie - Datavisualisation - L'évolution de la ségrégation résident... - 0 views

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    Comment se répartissent cadres et ouvriers, immigrés d'Europe et d'ailleurs, ou encore logements sociaux, entre les quartiers de France métropolitaine ? Cette répartition est-elle plus inégale aujourd'hui qu'il y a 25 ans ? Dans cette étude, accompagnée d'un outil de visualisation inédit, France Stratégie passe au crible les 55 unités urbaines de France métropolitaine de plus de 100 000 habitants entre 1990 et 2015, à partir de données du recensement. Résultat : la ségrégation résidentielle est stable pour ce qui est de la catégorie sociale, en légère baisse pour ce qui est de l'origine migratoire, et en baisse plus sensible pour ce qui est du logement social. Si certains quartiers comptent aujourd'hui une part plus élevée de cadres ou d'immigrés d'origine extra-européenne, ce n'est en général pas le résultat de leur plus grande ségrégation mais simplement le reflet de la hausse de leurs effectifs dans la population. La ségrégation résidentielle désigne l'inégale répartition dans l'espace urbain de différentes catégories de population. Elle peut résulter de choix individuels, motivés par exemple par la recherche d'un entre-soi, ou de phénomènes de relégation, liés notamment au prix des logements. Catégorie sociale : des cadres plus inégalement répartis que les ouvriers et employés, mais des niveaux de ségrégation globalement stables En moyenne, les cadres et chefs d'entreprise sont, comme en 1990, plus inégalement répartis que les ouvriers et employés. L'indice de ségrégation mesure la part des membres d'une catégorie sociale qui devrait changer de quartier si l'on voulait obtenir une répartition homogène de cette catégorie dans tous les quartiers de l'unité urbaine. Dans l'agglomération parisienne, cet indice a augmenté entre 1990 et 2015, passant de 32 % à 36 % pour les cadres et de 23 % à 27 % pour les ouvriers et employés. Dans les autres unités urbaines, la ségrégation résidentielle des cadre
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France Stratégie - Document de travail - L'évolution de la ségrégation réside... - 0 views

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    Comment se répartissent cadres et ouvriers, immigrés d'Europe et d'ailleurs, ou encore logements sociaux, entre les quartiers de France métropolitaine ? Cette répartition est-elle plus inégale aujourd'hui qu'il y a 25 ans ? Dans cette étude, accompagnée d'un outil de visualisation inédit, France Stratégie passe au crible les 55 unités urbaines de France métropolitaine de plus de 100 000 habitants entre 1990 et 2015, à partir de données du recensement. Résultat : la ségrégation résidentielle est stable pour ce qui est de la catégorie sociale, en légère baisse pour ce qui est de l'origine migratoire, et en baisse plus sensible pour ce qui est du logement social. Si certains quartiers comptent aujourd'hui une part plus élevée de cadres ou d'immigrés d'origine extra-européenne, ce n'est en général pas le résultat de leur plus grande ségrégation mais simplement le reflet de la hausse de leurs effectifs dans la population. La ségrégation résidentielle désigne l'inégale répartition dans l'espace urbain de différentes catégories de population. Elle peut résulter de choix individuels, motivés par exemple par la recherche d'un entre-soi, ou de phénomènes de relégation, liés notamment au prix des logements. Catégorie sociale : des cadres plus inégalement répartis que les ouvriers et employés, mais des niveaux de ségrégation globalement stables En moyenne, les cadres et chefs d'entreprise sont, comme en 1990, plus inégalement répartis que les ouvriers et employés. L'indice de ségrégation mesure la part des membres d'une catégorie sociale qui devrait changer de quartier si l'on voulait obtenir une répartition homogène de cette catégorie dans tous les quartiers de l'unité urbaine. Dans l'agglomération parisienne, cet indice a augmenté entre 1990 et 2015, passant de 32 % à 36 % pour les cadres et de 23 % à 27 % pour les ouvriers et employés. Dans les autres unités urbaines, la ségrégation résidentielle des cadre
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Insee - Revenus-Salaires - Une pauvreté très présente dans les villes-centres... - 0 views

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    "En France métropolitaine, en 2012, le taux de pauvreté est le plus élevé dans le Nord et le Sud-Est, ainsi qu'en Seine-Saint-Denis. Le taux de pauvreté est le plus important dans les villes-centres des grandes aires urbaines, où la pauvreté touche particulièrement les familles monoparentales, les familles nombreuses et les ménages jeunes, ainsi qu'en dehors de l'influence des villes. Les inégalités de niveaux de vie à l'intérieur des régions et des départements sont souvent fortes ; elles sont les plus prononcées à Paris, dans les Hauts-de-Seine, et en Haute-Savoie, du fait d'un niveau de vie particulièrement élevé de la partie aisée de la population qui y habite. Le niveau de vie médian est généralement plus élevé dans l'espace urbain, en particulier dans les couronnes des grands pôles urbains. Pour les personnes les plus pauvres, la part des prestations sociales dans le revenu disponible est importante et varie fortement selon les régions ; elle est la plus élevée dans les villes-centres où elle représente en moyenne 46 % du revenu disponible pour les 10 % de personnes les plus modestes. À l'inverse, pour les personnes les plus aisées, la part des revenus du patrimoine est alors prédominante : dans les villes-centres, qui concentrent souvent les plus fortes inégalités, elle représente en moyenne 30 % du revenu disponible pour les 10 % de personnes les plus aisées."
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Institut Montaigne - Seine-Saint-Denis : le Covid-19 exalte les inégalités - 0 views

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    "Le Covid-19 n'épargne aucun continent, aucun pays ni aucun territoire : "ce virus n'a pas de passeport", selon la formule consacrée du président de la République. Cependant, comme ses ancêtres auparavant, le Covid-19 est plus susceptible de se propager dans les populations qui vivent dans les conditions matérielles les plus désastreuses. Quelques jours après l'annonce du confinement, Paris s'était brusquement arrêté. Selon les données de géolocalisation contenues dans les téléphones, entre le 13 et le 20 mars, plus d'un million de Franciliens auraient déserté leur région pour rejoindre leurs résidences secondaires et supporter un confinement qui promettait d'être long. A quelques stations de métros, aux portes de Paris, les Séquano-Dionysiens (habitants de la Seine-Saint-Denis) ne sont pas ignorants des injonctions du gouvernement à rester chez soi, ni du bienfait qu'il y aurait de trouver un asile ailleurs pour mieux supporter l'enfermement, et moins encore à l'évidence de la nécessité de protéger les siens. Ils n'en ont simplement pas le privilège. Contraints par la nécessité économique qui impose, pour certains, le maintien de déplacements professionnels et happés par un irréfrénable besoin d'air frais pour fuir une promiscuité insupportable, les Séquanos-Dionysiens propagent de facto le virus. Entre le 28 mars et le 3 avril, la mortalité dans le département a augmenté de 47 % par rapport à la semaine précédente (la semaine du 21 au 27 mars ayant déjà révélé une augmentation de 63 % de la mortalité par rapport à la semaine précédente). Entre le mois de mars de l'année 2019 et le mois de mars de l'année 2020, le nombre de décès a augmenté de 61,6 %. Aucune classe d'âge n'est épargnée : entre mars 2019 et mars 2020, les analyses conduites par l'Insee révèlent une augmentation de la mortalité de 55,5 % chez les moins de 64 ans, de 67,8 % chez les 65-74 ans e
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INJEP - Goûts, pratiques et usage culturels des jeunes en milieu populaire - 0 views

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    Ce rapport de recherche vise à décrire, de manière résolument qualitative, les pratiques culturelles de jeunes de milieux populaires résidant dans les quartiers populaires de villes moyennes, aux abords de Paris et de Lyon - de la proche banlieue aux limites de l'agglomération. Dans les catégories analytiques et méthodologiques qu'elle convoque, elle emprunte à une riche tradition de recherche en sociologie de la culture, qu'il s'agisse des modes de réception de genres littéraires et cinématographiques ou de l'effet d'un capital culturel dans les usages et appropriations des loisirs, des années 1970 ) aux années 2010 et 2020, des travaux sur les pratiques de lecture des étudiant.e.s en école préparatoire littéraire, ou encore sur la réception des littératures de l'imaginaire (science-fiction et fantasy) parmi les jeunes adultes âgés de 20 à 30 ans. Il s'est donc agi de construire, à travers les monographies de trois quartiers de la politique de la ville (situés à Bourgoin-Jallieu, Villejuif et Dammarie-les-Lys), qui sont autant de « tableaux » des jeunesses populaires, une vue générale et non exhaustive des pratiques culturelles d'adolescent·e·s partageant des conditions sociales et territoriales proches, en privilégiant des comparaisons internes à ce groupe social. Pour documenter les pratiques de ces adolescent·e·s aussi précisément que possible, l'étude questionne le périmètre actuel d'une définition sociologique de la « culture » : saisir le rapport de ces jeunes aux institutions culturelles et scolaires ainsi qu'aux pratiques dites « légitimes » est nécessaire, mais finalement pas suffisant pour cartographier fidèlement la galaxie de leurs pratiques. Elle tente donc d'appréhender ces pratiques indépendamment des objectifs de démocratisation qui sous-tendent les politiques culturelles, sans se contenter d'une énumération déceptive de ce qu'elles ne sont pas. Cette recherche,
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CEPREMAP - Le Bien-être en France : Rapport 2021 - 0 views

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    "Ce deuxième rapport annuel de l'Observatoire du bien-être du CEPREMAP retrace les fluctuations du bien-être des Français au gré des épisodes imposés par la crise sanitaire. Grâce à son baromètre trimestriel en vingt questions, il révèle un tableau en forme de montagnes russes, les périodes de confinement étant de moins en moins bien supportées au fur et à mesure qu'elles se succèdent. L'alternance de resserrement et de relâchement des mesures de distanciation sociale permet de mettre en évidence le poids spécifique des liens sociaux dans le bien-être. Certaines catégories de la population ont à l'évidence payé un plus lourd tribut à la crise sanitaire, les personnels de santé au premier chef, mais aussi les jeunes, enfants et adolescents, que la vie à distance a privés des relations indispensables à leur développement. Au total, si les Français ont affronté la crise sanitaire avec résilience, en retrouvant leur niveau habituel de satisfaction à chaque retour à une vie « normale », lorsqu'ils se retournent sur l'année passée, ils la décrivent comme extrêmement insatisfaisante, témoignant ainsi des épreuves traversées. On lit d'ailleurs ces pics d'insatisfaction dans les sursauts de nostalgie dont témoignent les Français lorsque le baromètre les interroge sur leur époque préférée. En regard de cette analyse des deux dernières années, nous proposons un dossier consacré au bien-être des enfants et des adolescents à l'école. Il montre comment le bien-être et l'estime de soi se forgent au cours de la scolarité, de manière légèrement différente pour les filles et les garçons, selon l'origine sociale des enfants, et en fonction de leurs performances scolaires, notamment en mathématiques. L'expérience de l'école exerce des effets durables tout au long de la vie, ce qui donne des raisons de s'inquiéter des conséquences de la crise sanitaire sur les jeunes générations. Au to
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Sénat - Rapport d'information - Le Phénomène urbain : un atout pour le futur - 0 views

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    Longtemps, on a considéré les villes comme les réceptacles de tous les maux de la société : insécurité, pollution, hyperdensité, mal vivre, etc. Ce rapport a pour premier objet de montrer que les villes sont aussi sources d'innovation, de développement, d'art de vivre. En un mot, le phénomène urbain est aussi, et d'abord, un atout pour le futur. Le présent rapport restitue les contributions et débats qui ont eu lieu lors d'un colloque organisé sur ce thème par la délégation à la prospective du Sénat les 21 et 22 octobre 2016. Il s'inscrit dans le prolongement du rapport Demain, la ville, présenté par Jean-Pierre Sueur, en 1998, et du rapport qu'il a également réalisé sur le thème Villes du futur, futur des villes : quel avenir pour les villes du monde ?, en 2011, dans le cadre des travaux de la délégation à la prospective du Sénat. Ce rapport étudie l'impact des mutations en cours des les villes : métropoles ; villes en réseau ; réseaux de villes ; polycentralité ; sécurité ; nouvelles solidarités ; gouvernance et démocratie ; mixités sociale et fonctionnelle ; esthétique urbaine ; l'art dans la cité... Il s'agit de montrer combien les villes recèlent aujourd'hui de potentiels d'innovation et de créativité, et de rompre avec des oppositions devenues obsolètes entre ville et non-ville. Les métropoles, les espaces dits « rurbains », le monde rural, les petites et moyennes villes doivent désormais vivre et travailler ensemble. Plutôt que de se complaire dans des oppositions inopérantes, il est aujourd'hui nécessaire d'additionner et de conforter tous les dynamismes.
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IFOP - Les Français et la situation dans les banlieues - 0 views

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    Un peu plus de quatre Français sur cinq estiment que, dans le contexte actuel, la banlieue est un territoire plus violent que le reste du pays (82%, +7 points par rapport à octobre 2015), un sentiment que les sympathisants des partis Les Républicains (96%) et Front National (89%) partagent davantage que la moyenne. La présence de bandes organisées et de trafic de drogue est la première source de violences en banlieue identifiée par les interviewés (52%, -4 points par rapport à octobre 2015) - et notamment par les sympathisants Les Républicains (63%) et Front National (62%) -, bien avant la démission des parents (30%) ou le chômage des jeunes (27%). Il est intéressant de constater que les tensions entre les jeunes et la police ne sont pas plus pointées du doigt en ce mois de février (10%) que lors des vagues passées (+1 point par rapport à octobre 2015). En dépit de ce constat, trois quarts des Français s'accordent autour de l'idée que « la banlieue regorge de multiples talents dont le pays aurait tort de se priver » (74%). L'adhésion à cette affirmation n'est toutefois pas partagée par tous : les sympathisants Les Républicains (62%) sont plus en retrait et ceux du Front National rejettent même cette idée (39%). Six Français sur dix souhaiteraient que l'ordonnance de 1945 favorisant l'éducation et le recours à l'emprisonnement dans des quartiers pénitentiaires spécialisés pour les mineurs de plus de 13 ans uniquement pour les faits graves soit réformée grâce à un abaissement de la majorité pénale à 16 ans (61%). Assez logiquement, les sympathisants Les Républicains (83%) et Front National (81%) appellent davantage cette réforme de leurs vœux.
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Les enjeux de la pastorale urbaine - 0 views

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    "Cité du Vatican, 27 novembre 2014 (VIS). Le Saint-Père a reçu les participants à la seconde phase du Congrès international de pastorale des métropoles qui s'est ouvert à Barcelone (Espagne) le 24 novembre, devant qui il a tenu à citer quatre enjeux: On a besoin dans ces nouveaux espaces urbains de nouveaux axes d'action. "On ne peut rester désorientés et risquer de se tromper de route ou de porte, de nous perdre nous mêmes sans répondre aux attentes des fidèles et de tous ceux qui cherchent un sens à la vie... L'Eglise n'est plus la seule référence de la culture...capable de définir la forme culturelle comme les valeurs... Nous ne sommes plus les seuls à faire la culture, et pas même les plus écoutés! Il faut donc changer de mentalité pastorale, non pas pour une pastorale relativiste qui, pour survivre dans le contexte culturel, perdrait son horizon évangélique... Ce ne serait plus de la pastorale, car il ne s'agirait plus de l'intérêt de l'homme...auquel on cacherait Jésus et la vérité sur lui même. Cette voie porterait l'homme à la solitude et à la mort. Il faut rejeter la voie commode du relativisme pastoral! Pour constituer une pastorale évangélisatrice, il faut du courage et de l'audace... Les hommes d'aujourd'hui et la société ont besoin d'une Bonne Nouvelle que nous ne devons pas avoir honte d'exposer... Mais le dialogue pastoral doit être exempt des relativismes qui affadissent l'identité chrétienne. Il doit tendre à attendrir le coeur de l'autre... Nous avons pour cela besoin d'être contemplatifs mais sans rejeter l'apport des sciences sociales permettant de percevoir le phénomène urbain", besoin de découvrir les "cités invisibles" que sont les groupes et les territoires humains, leurs symboles et langages, leurs rites et leur conception de la vie. Si la situation change selon les continents, on ne doit pas méconnaître ou mépriser d'autres expériences, chrétiennes ou non. L'Esprit sème partout. Mais il fau
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Elabe / Institut Montaigne - Principaux enseignements - Baromètre des territo... - 0 views

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    Elabe et l'Institut Montaigne, en partenariat avec France Info et de nombreux titres de presse quotidienne régionale*, publient « La France en morceaux », édition 2019 du Baromètre des Territoires. Cette étude compte 120 questions, posées à 10.010 personnes dans toute la France, avec un échantillon représentatif des résidents de chaque région métropolitaine. En pleine crise des Gilets Jaunes, cette étude donne des clés de lecture inédites sur le rapport des Français à leur territoire, le regard qu'il porte sur leur vie personnelle, leur vie sociale et la société dans laquelle ils vivent. Elle livre une analyse en profondeur de la vie dans les territoires, des dynamiques et des fractures territoriales, à travers les filtres de la mobilité sociale, économique et géographique. Vaste étude, « La France en morceaux » permet de révéler : Des grands enseignements nationaux sur la France d'aujourd'hui avec un double regard, sociologique et territorial ; Quatre grands portraits de Français qui, par leurs trajectoires sociales et territoriales, coexistent dans notre espace national ; Une analyse par région mettant en exergue les spécificités de chacune d'elles. Parmi les principaux enseignements à retenir : Les Français font le récit d'une vie privée heureuse mais expriment leur souffrance sociale sous l'effet de la crise du pouvoir d'achat et le sentiment désormais majoritaire de vivre dans une société produisant relégation et exclusion. Cette crise du pouvoir d'achat et cette perception d'une société inégalitaire et injuste fragilisent la confiance et la capacité des Français à se projeter dans l'avenir. Malgré cette souffrance sociale, la France reste le point d'ancrage le plus rassembleur, loin devant ses territoires. Si la fracture territoriale est forte en matière d'accès aux services, c'est davantage le niveau de vie et donc le pouvoir d'achat qui structurent les opinions et représenta
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Elabe / Institut Montaigne - Analyse - Baromètre des territoires 2019 "La Fra... - 0 views

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    Elabe et l'Institut Montaigne, en partenariat avec France Info et de nombreux titres de presse quotidienne régionale*, publient « La France en morceaux », édition 2019 du Baromètre des Territoires. Cette étude compte 120 questions, posées à 10.010 personnes dans toute la France, avec un échantillon représentatif des résidents de chaque région métropolitaine. En pleine crise des Gilets Jaunes, cette étude donne des clés de lecture inédites sur le rapport des Français à leur territoire, le regard qu'il porte sur leur vie personnelle, leur vie sociale et la société dans laquelle ils vivent. Elle livre une analyse en profondeur de la vie dans les territoires, des dynamiques et des fractures territoriales, à travers les filtres de la mobilité sociale, économique et géographique. Vaste étude, « La France en morceaux » permet de révéler : Des grands enseignements nationaux sur la France d'aujourd'hui avec un double regard, sociologique et territorial ; Quatre grands portraits de Français qui, par leurs trajectoires sociales et territoriales, coexistent dans notre espace national ; Une analyse par région mettant en exergue les spécificités de chacune d'elles. Parmi les principaux enseignements à retenir : Les Français font le récit d'une vie privée heureuse mais expriment leur souffrance sociale sous l'effet de la crise du pouvoir d'achat et le sentiment désormais majoritaire de vivre dans une société produisant relégation et exclusion. Cette crise du pouvoir d'achat et cette perception d'une société inégalitaire et injuste fragilisent la confiance et la capacité des Français à se projeter dans l'avenir. Malgré cette souffrance sociale, la France reste le point d'ancrage le plus rassembleur, loin devant ses territoires. Si la fracture territoriale est forte en matière d'accès aux services, c'est davantage le niveau de vie et donc le pouvoir d'achat qui structurent les opinions et représenta
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Elabe / Institut Montaigne - Communiqué de presse - Baromètre des territoires... - 0 views

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    Elabe et l'Institut Montaigne, en partenariat avec France Info et de nombreux titres de presse quotidienne régionale*, publient « La France en morceaux », édition 2019 du Baromètre des Territoires. Cette étude compte 120 questions, posées à 10.010 personnes dans toute la France, avec un échantillon représentatif des résidents de chaque région métropolitaine. En pleine crise des Gilets Jaunes, cette étude donne des clés de lecture inédites sur le rapport des Français à leur territoire, le regard qu'il porte sur leur vie personnelle, leur vie sociale et la société dans laquelle ils vivent. Elle livre une analyse en profondeur de la vie dans les territoires, des dynamiques et des fractures territoriales, à travers les filtres de la mobilité sociale, économique et géographique. Vaste étude, « La France en morceaux » permet de révéler : Des grands enseignements nationaux sur la France d'aujourd'hui avec un double regard, sociologique et territorial ; Quatre grands portraits de Français qui, par leurs trajectoires sociales et territoriales, coexistent dans notre espace national ; Une analyse par région mettant en exergue les spécificités de chacune d'elles. Parmi les principaux enseignements à retenir : Les Français font le récit d'une vie privée heureuse mais expriment leur souffrance sociale sous l'effet de la crise du pouvoir d'achat et le sentiment désormais majoritaire de vivre dans une société produisant relégation et exclusion. Cette crise du pouvoir d'achat et cette perception d'une société inégalitaire et injuste fragilisent la confiance et la capacité des Français à se projeter dans l'avenir. Malgré cette souffrance sociale, la France reste le point d'ancrage le plus rassembleur, loin devant ses territoires. Si la fracture territoriale est forte en matière d'accès aux services, c'est davantage le niveau de vie et donc le pouvoir d'achat qui structurent les opinions et représenta
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Elabe / Institut Montaigne - Analyse de l'Institut Montaigne - Baromètre des ... - 0 views

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    Elabe et l'Institut Montaigne, en partenariat avec France Info et de nombreux titres de presse quotidienne régionale*, publient « La France en morceaux », édition 2019 du Baromètre des Territoires. Cette étude compte 120 questions, posées à 10.010 personnes dans toute la France, avec un échantillon représentatif des résidents de chaque région métropolitaine. En pleine crise des Gilets Jaunes, cette étude donne des clés de lecture inédites sur le rapport des Français à leur territoire, le regard qu'il porte sur leur vie personnelle, leur vie sociale et la société dans laquelle ils vivent. Elle livre une analyse en profondeur de la vie dans les territoires, des dynamiques et des fractures territoriales, à travers les filtres de la mobilité sociale, économique et géographique. Vaste étude, « La France en morceaux » permet de révéler : Des grands enseignements nationaux sur la France d'aujourd'hui avec un double regard, sociologique et territorial ; Quatre grands portraits de Français qui, par leurs trajectoires sociales et territoriales, coexistent dans notre espace national ; Une analyse par région mettant en exergue les spécificités de chacune d'elles. Parmi les principaux enseignements à retenir : Les Français font le récit d'une vie privée heureuse mais expriment leur souffrance sociale sous l'effet de la crise du pouvoir d'achat et le sentiment désormais majoritaire de vivre dans une société produisant relégation et exclusion. Cette crise du pouvoir d'achat et cette perception d'une société inégalitaire et injuste fragilisent la confiance et la capacité des Français à se projeter dans l'avenir. Malgré cette souffrance sociale, la France reste le point d'ancrage le plus rassembleur, loin devant ses territoires. Si la fracture territoriale est forte en matière d'accès aux services, c'est davantage le niveau de vie et donc le pouvoir d'achat qui structurent les opinions et représentat
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Le Mans - Le travail et la foi - YouTube - 2 views

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    "1 er mai : Fête internationale du travail. Pourquoi l'Eglise se préoccupe-t-elle du travail ? « Les joies et les espoirs, les tristesses et les angoisses des hommes de ce temps, des pauvres surtout et de tous ceux qui souffrent, sont aussi les joies et les espoirs, les tristesses et les angoisses des disciples du Christ, et il n'est rien de vraiment humain qui ne trouve écho dans leur cœur. » Gaudium et Spes, Concile Vatican II Ce qui est central c'est la personne humaine, rien de plus grand que cela ! Le travail est une dimension humaine. En travaillant l'homme participe à la création avec Dieu lui-même. Le travail humanise l'Homme, participe à sa grandeur. Nous avons besoin de réaliser un travail, c'est central pour l'Homme et c'est central pour Dieu. Le 1er mai est aussi le jour où l'Eglise fête saint Joseph. L'Eglise a voulu associer la figure de Joseph à cette journée. Le Fils de Dieu a appris auprès de Joseph charpentier un métier. Derrière le travail se posent les questions de justice, répartition des fruits du travail, juste salaire, profit. Avoir de l'argent n'est pas un mal. Mais qu'en fait-on ? Que fait-on des biens que l'on nous confie. Comment faire vivre d'autres que nous grâce à cet argent ? Comment introduire la notion de gratuité dans le monde de la finance sans tomber dans du sentimentalisme ? Travailler est une question dignité, de partage, de participation à la transformation du monde et donc au bien de l'humanité."
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Ministère de l'Education nationale - Atlas des risques sociaux d'échec scolai... - 0 views

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    Édition 2016, données 2011 Les jeunes sortants sans diplôme du système éducatif sont très fortement exposés au chômage et au sous-emploi. En cette période de crise, leurs difficultés vont bien au-delà de la période d'insertion. Même si une partie d'entre eux acquiert de façon différée une qualification, leur destinée professionnelle est fortement marquée par l'insécurité de l'emploi ou/et des emplois de mauvaise qualité. De par son approche territoriale, la deuxième édition de l'Atlas que viennent de coéditer le centre associé au Céreq pour la région Normandie - laboratoire Espaces et Sociétés, UMR CNRS ESO, et la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp) - ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, apporte un éclairage original sur la situation de chaque académie. L'ouvrage décrit finement la situation de chaque académie d'un double point de vue : il analyse et cartographie, à l'échelon cantonal, les facteurs plus ou moins propices à la réussite scolaire et les difficultés qui peuvent conduire à l'abandon précoce des études. La première parution de l'Atlas en 2014 a donné lieu à de nombreux échanges dans les différentes académies et régions. Une forte demande s'est exprimée pour son actualisation et en particulier pour prendre la mesure des effets de la crise économique et sociale. Les données ont été actualisées essentiellement à partir du recensement de 2011. De plus, cette édition est enrichie par des données inédites sur les départements d'Outre-Mer. Pour observer les spécificités de chaque académie et leurs disparités internes en matière de risques sociaux et de décrochage scolaire, des indicateurs de contextes territoriaux combinent sept variables susceptibles d'agir sur l'échec scolaire et l'orientation des élèves : le niveau de revenu des ménages, le chômage et la précarit
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N° 3735 - Rapport d'information de MM. François Pupponi et Michel Sordi dépos... - 1 views

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    La loi du 21 février 2014 de programmation pour la ville et la cohésion urbaine, dite « loi Lamy », a rénové en profondeur le cadre de la politique de la ville en faveur des quartiers populaires. Votée à une large majorité par les deux chambres du Parlement à l'issue d'une concertation nationale lancée en 2012, la loi du 21 février 2014 répondait à quatre grands objectifs : 1° Redéfinir et resserrer la géographie prioritaire à partir d'un critère unique, le revenu des habitants ; 2° Instaurer un cadre contractuel à l'échelle intercommunal : le contrat de ville ; 3° Lancer un nouveau programme national de renouvellement urbain ; 4° Et renforcer la participation des habitants des quartiers de la politique de la ville. Ainsi rénovée, la politique de la ville devait réduire plus efficacement les inégalités entre les quartiers en difficulté et les villes dans lesquelles ils s'insèrent alors que les rapports successifs de l'Observatoire national des zones urbaines sensibles (ONZUS) avaient fait apparaître une stagnation, voire un creusement des inégalités dans les années 2000. La mise en application de cette loi a nécessité la publication de nombreux textes réglementaires mais également la mobilisation de beaucoup d'acteurs locaux : État déconcentré, collectivités territoriales, bailleurs sociaux, organismes de sécurité sociale, entreprises et habitants des quartiers. Deux ans après la promulgation de la loi, vos rapporteurs ont donc fait le choix d'aller au-delà du simple contrôle relatif à la publication des décrets d'application par le Gouvernement et ont souhaité procéder à une première évaluation de ses effets dans les territoires. À l'issue de deux déplacements en Seine-Saint-Denis et dans le Rhône et de seize auditions réalisées à l'Assemblée nationale, le premier bilan de la loi apparaît plutôt positif même si sa mise en œuvre reste inachevée. Si les sept décrets d'a
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