MesInfos

Philip N. Howard, chercheur à Washington, propose de nationaliser Facebook pour en faire une infrastructure de confiance qui pourra exprimer son plein potentiel !

Un outil de PFM, qui propose désormais des bons plans et des offres personnalisées négociées auprès de partenaires. Un pas vers des services un peu plus complexes?

Datée de 2009, cette lettre (qui semble véridique) a été écrite par une cliente de 86 ans à sa banque en réponse à un préléèvement de frais abusif. Elle pointe avec humour la relation de dissymétrie entre les organisations et leurs clients, et la somme absurde d'information qui est demandée aux clients pour des raisons obscures.

Cette lettre est un faux, même si elle est fort bien vue. L'original a été écrit en 1999 par un journaliste Australien, Peter Wear. http://www.snopes.com/business/bank/takethat.asp

Le Crédit Agricole lance sa propre marketplace d'applications, s'appuyant sur un socle d'API donnant accès aux données bancaires. Des applications développées et diffusées seront indépendantes de l'appstore, et exécutées dans leur environnement respectif. Un des premiers essais de "Bank as a service".

Sorte de PDS pour données de santé : qui prend en charge quoi dans telle situation relevant de la santé ? Combien me reste t-il à payer ? Pourquoi ?

Axa Banque ouvre quelques unes de ses APIs aux développeurs, donnant notamment accès aux données du compte courant et aux dépenses carte bancaires des clients. L'idée est ainsi de favoriser le développement d'un écosystème de services autour de ces données, pour ouvrir la voie à de nouveaux usages de ces données côté client. Elle accompagne cette ouverture d'un prix de 50 000€ pour la meilleure appli... 

Entre quantified self, science fiction, cartographie et madeleines...

Le Green Button, en quelques mots  ; le site précise aussi quelles organisations sont engagées, et quels sont déjà les services proposés pour faire usage de ses données d'énergie.

Un "pearltree" intéressant sur le thème "datapsy" - donc plutôt sur l'analyse, voire la prédiction, que sur la simple visualisation. Des articles et des services. Tiré de l'article : http://strabic.fr/Quand-Internet-remplacera-nos-psys.html

"Les utilisateurs de Facebook sont donc des consommateurs qui paient avec leurs propres données personnelles. Une brèche juridique qui va autoriser de nombreux plaignants à déposer plainte contre Facebook."

(Reprise du résumé de l'article, réalisé par Arnaud Belleil pour la lettre de Cecurity.com) Le crowdsourcing, ou « externalisation ouverte », concerne le processus par lequel de très nombreux internautes bénévoles réalisent des tâches qui étaient traditionnellement assurées par les collaborateurs d'une entreprise. Ce concept s'applique désormais à la protection de la vie privée nous explique Technology Review qui rend compte d'une initiative de la Carnegie Mellon and Rutgers Unviversity. Des volontaires épluchent les conditions générales d'utilisation d'applications mobiles en matière d'usage des données personnelles. Ils produisent ensuite des indicateurs synthétiques de type notation, immédiatement compréhensibles par les utilisateurs.

Sous la pression, Facebook augmente les "catégories" de données que les usagers peuvent télécharger à propos d'eux-même. Mais il reste des absents de marque (Timeline ou journal d'activité), de même qu'en quantité, le nb de catégories téléchargeables reste inférieur à la moitié (39 sur 84).

Un récent article du NY Times se penchait sur plusieurs cas dans lesquels des acteurs tiers s'insérant dans la relation entre de grandes entreprises et leurs clients se trouvaient mis à mal par ces entreprises. Doc Searls analyse ici cette situation, dans laquelle les organisations sont volontairement organisées comme des "confusopoles" dans lesquels les individus sont perdus, et explique comment passer de cette situation à une véritable économie de l'intention.

Les grandes organisations semblent encore avoir des difficultés avec les acteurs tiers, qui proposent des services à leurs clients, en lien avec les données personnelles qu'elles détiennent. C'est ce que montre cet article basé sur quelques exemples criants, dans lesquels les organisations mettent à mal ces start-up, mais n'arrivant pas dans le même temps à proposer des services "consumer friendly" à leurs clients...

Une série d'initiatives publiques en faveur de l'open data et de la restitution des données personnelles des élèves et étudiants : un "bouton My Data" leur permettra de récupérer leurs données (parcours scolaire, résultats de tests, etc.) dans une forme exploitable par des ordinateurs. Des fournisseurs de technologie proposeront de leur côté des "entrepôts de données" sécurisés pour ces données.

Aux Etats-Unis, le bureau de la science et des technologies de la Maison Blanche revient sur une série d'initiatives publiques en faveur de l'open data et de la restitution des données personnelles des élèves et étudiants : un "bouton My Data" leur permettra de récupérer leurs données (parcours scolaire, résultats de tests, etc.) dans une forme exploitable par des ordinateurs. Des fournisseurs de technologie proposeront de leur côté des "entrepôts de données" sécurisés pour ces données.

Quelques réflexions sur les avancées modestes du vrm et leur pourquoi, par un des acteurs du mouvement, plutôt critiques pour une fois.

Un rapport du World Economic Forum paru en 2012, intitulé "Repenser les données personnelles", et centré sur la confiance et l'écosystème des données personnelles. Pour restaurer la confiance, trois "types" de questions doivent être traitées : La protection et la sécurité, les Droits et responsabilités autour des usages des données, la responsabilité des organisations au regard de la loi. Ce rapport conseille aussi aux acteurs du sujet de s'engager dans 4 directions différentes.

Les médias sociaux offrent des opportunités nouvelles et pour le retour des clients, et pour les services clients. Les 2 catégories recouvrent des choses différentes, les clients se rapportant à des individus... et pour l'instant, les utilisateurs des médias sociaux sont clairement considérés par ceux-ci seulement comme des consommateurs, les clients restant notamment les publicitaires... il y a encore du chemin à faire pour que les outils du VRM, destinés aux individus viennent cohabiter avec ceux du CRM...

Le Data Liberation Front de Google est du équipe du Géant de Mountain View visant à rendre possible le fait de quitter 33 services de Google en emportant ses données ; en réalité, une partie de la stratégie de Google visant à donner l'impression de contrôle à l'individu, afin de renforcer le lien de confiance.