n the European Union, congestion costs almost €100 billion a year, and in the USA, drivers waste on average 42 hours a year in traffic jams. Taking to the sky would mean saving money and time. Starburst Accelerator estimates that a city like San Francisco will need around a thousand flying vehicles, and that the global market will reach a figure between 200,000 and 400,000 vehicles over 20 years.
"urban air mobility is really coming, then take a look at the city of Sao Paulo in Brazil. Airbus has already created a helicopter ride-hailing service called Voom, which allows the wealthiest urbanites to avoid congestion."
Rompre avec la sédentarité pour un habitat mobile, c'est le choix opéré par les "néo-nomades", qui troquent leur maison contre une caravane. Etudié par le collectif noLand, ce mode de vie, qui correspond à une tendance émergente, est-il plus durable ? Est-il le corollaire d'une précarisation du travail ? Cette évolution du lien entre habitat et mobilité est également l'objet du dossier de prospective de Chronos à paraître dans quelques semaines.
Rompre avec la sédentarité pour un habitat mobile, c'est le choix opéré par les "néo-nomades", qui troquent leur maison contre une caravane. Etudié par le collectif noLand, ce mode de vie, qui correspond à une tendance émergente, est-il plus durable ? Est-il le corollaire d'une précarisation du travail ? Cette évolution du lien entre habitat et mobilité est également l'objet du dossier de prospective de Chronos à paraître dans quelques semaines.
German automaker BMW is partnering with mobile application Moovit to bring its ride-sharing service to a larger audience.
he DriveNow app launched in London in late December 2014 (see story) but has since expanded to Stockholm and Copenhagen, Denmark, as well as a number of cities in Germany
y partnering with Moovit and integrating DriveNow’s fleet of 290 cars into the app, we’re now helping people to compare every transport option in London at the click of the button
With the partnership, Moovit users will be able to rent a car when they need one in accordance with the “pick up anywhere, drop off anywhere” slogan.
Also included within the app are options of finding and renting bicycles, as well as tracking trains and buses.
MW was an investor in Moovit’s most recent round of funding.
Moovit riders use on-demand mobility services at least five times a week despite 29 percent already having access to a household car speaks to the level of travel flexibility the consumer craves.
Le service d'autopartage Drive Now edéjà présent à Londres (209 voitures), Copenhague, Stockholm et dans de nombreuses villes allemandes sera disponible dans ces villes depuis l'appli Moovit. L'idée : donner le maximum de choix à l'usager de comparer, réserver et payer tous les modes de transports publics ou en partages disponibles. Le constructeur a aussi investit dans l'entreprise récemment. Un chiffre intéressant : les utilisateurs de moovit" utilise des services de mobilité à la demande 5 fois par semaine bien qu'un tiers ait accès à une voiture particulière.
Le service d'autopartage Drive Now edéjà présent à Londres (209 voitures), Copenhague, Stockholm et dans de nombreuses villes allemandes sera disponible dans ces villes depuis l'appli Moovit. L'idée : donner le maximum de choix à l'usager de comparer, réserver et payer tous les modes de transports publics ou en partages disponibles. Le constructeur a aussi investit dans l'entreprise récemment. Un chiffre intéressant : les utilisateurs de moovit" utilise des services de mobilité à la demande 5 fois par semaine bien qu'un tiers ait accès à une voiture particulière.
Grâce à l'analyse des données, il est désormais possible de consulter la qualité de l'air en temps réel sur son mobile dans plus de 60 villes du monde. Depuis ce 13 mai, l'appli Plume Air Report est disponible sur iPhone.
Le sociologue danois Sven Kesselring explique comment la gouvernance des politiques de mobilité a permis de considérables avancées dans la ville de Munich.
Suite au rapport de Todd Litman du Victoria Transport Policy Institute (VTPI). Principale recommandation : que tous les planificateurs et ingénieurs des transports des USA se concentrent sur l'avènement progressif (bien que lointain) du véhicule autonome.
PSA a organisé une conférence de presse en amont du Mondial de l’automobile pour annoncer la création de Free2Move, sa marque spécialisée pour ses services de mobilité.
La Poste a réorganisé son offre de gestion de flotte autour d’une marque unique. Bemobi
L’opérateur postal en profite pour se lancer sur le marché du covoiturage et de l’autopartage.
romesse faite aux clients : diminuer de 10 % à 30 % la taille de leur flotte grâce à la mutualisation et des économies substantielles sur les indemnités kilométriques et les frais de taxi et de location courte durée.
unlike Line, Shuttle pick-up and drop-off locations are the same every day, and so are the prices (with prices between $3–4 per ride, Shuttle is Lyft’s most affordable service
instead of coming straight to your door, Shuttle picks you up at a safe, carefully selected spot nearby.
unlike a bus route, a Shuttle route is on-demand — it doesn’t happen unless a passenger requests it.
"Just like Line, Shuttle matches you up with other passengers going the same direction to create a high-occupancy ride for a lower price than riding alone"
Avec ce partenariat, l'offre de Sharette va être intégrée dans l'appli mobile de la RATP. Les conducteurs sont incités à s'y inscrire en indiquant leur trajet et les passagers pourront en profiter en acquittant un prix unique de 2,36 euros quelle que soit la distance, dont 2 euros iront au chauffeur.
La RATP se fixe comme objectif d'attirer 75.000 utilisateurs (un tiers de conducteurs et deux tiers de passagers) d'ici à la fin de l'année.
le concept des cinq bus-cafés créés à San Francisco par la start-up Leap, début avril. Un idyllique deux-en-un – monnayé cinq fois le prix d’un billet de bus classique – mais suspendu, fin mai, par les autorités parce qu’il contrevient aux lois du pays.
Si près de la moitié des usagers privilégient la lecture lors de leur temps de transport, deux sur dix répondent à leurs SMS et courriers électroniques (sondage CSA pour Direct Matin, janvier)
« C’est l’endroit où je peux me concentrer le plus dans la journée. Cela paraît bête, mais ce sont des instants calmes où je peux travailler sereinement. »
« Mon travail empiète toujours un peu plus sur un moment qui pourrait être consacré à autre chose, déplore Cécile. J’envie, parfois, les personnes plongées dans un bon livre. »
32 % des actifs franciliens passent plus de 45' dans les transports, à l'aller et au retour (Insee, avril 2011), un temps qu'ils cherchent à optimiser par le travail en transport.
définir jusqu’à quel point une construction doit dicter les usages de ses utilisateurs et jusqu’à quel point elle doit être un potentiel dont on va pouvoir se saisir. En cela, le modèle haussmannien est extraordinaire. Un immeuble peut avoir été édifié à l’origine pour de l’habitat mais se retrouver transformé en bureaux, en hôtel ou en grand magasin. Tout le contraire des immeubles de bureaux d’aujourd’hui qui dégagent une certitude qui me laisse pantois.
la manière dont ils travaillent est conditionnée par le bâtiment lui-même.
Sommes-nous en mesure de produire une utopie de ces espaces qui hébergent la plus grande part de nos vies actives ? C’est ce qui nous a guidé dans la réflexion que nous avons menée pour Réinventer Paris et qui a abouti au projet d’immeuble « Ressources humaines » dans le quartier des Batignolles. Selon nous, l’expression générique « immobilier d’entreprise » va s’effacer au bénéfice d’ « immobilier du quotidien »
En même temps qu’émerge le coworking, on voit des entreprises adopter des comportements de plus en plus paternalistes. Elles proposent à leurs salariés d’accéder à un éventail de services directement sur leur lieu de travail. Sous couvert de bien-être, ce sont des groupes qui se renferment sur eux-mêmes.
c’est le risque du bunker !
C’est ainsi que nous avons pensé une station de mobilité alternative au sein même du projet « Ressources humaines », en lien avec une plateforme de transport publique proche. Cette station donnerait accès à des vélos en libre service, du covoiturage ou de l’autopartage, des modes de déplacement qui font partie de la ville actuelle, donc du travail.
Dans ce même projet nous travaillons sur un concept de régies locales de données rattachées aux immeubles, au quartier, à la ville et au-delà. Le principe est le suivant : les résidents acceptent que la régie collecte certaines de leurs données (horaires de travail, lieu d’habitation, modes de déplacements, etc.). En contrepartie, ils accèdent à des services appropriés.
Il existe une maxime du général vietnamien Nguyên Giáp (1911- 2013) qui dit « Si l’ennemi se concentre il perd du terrain, s’il se disperse il perd sa force ». Quand l’immobilier de bureaux se concentre, cela donne La Défense, ce qui assèche les territoires autour. Néanmoins, une entreprise ne risque-t-elle pas de perdre en force si les espaces de travail sont disséminés ? La concentration et la répartition sont des questions complexes et aucune solution ne s’impose.
ne réflexion doit également être menée sur la manière d’exploiter les immeubles de bureaux en dehors de leurs traditionnels horaires d’activité. Aux Mureaux, des urbanistes ont travaillé sur la façon d’utiliser des espaces publics comme les collèges, les lycées, les bibliothèques ou les gymnases, pour d’autres activités que leur activité de destination, et ce pendant les temps où ils sont inutilisés. Et ça marche !
un immeuble de bureaux doit être conçu de manière à ne pas dicter la pratique qu’en ont ses utilisateurs.
Entretien croisée avec Emmanuel Combarel (architecte) et Bruno Marzloff (Chronos) sur les immeubles de bureaux : comment les rendre plus flexibles et y intégrer des services, sans non plus en faire une "deuxième maison" ?
D'après les scénarios de l'International Transport Forum, le développement de taxis sans chauffeurs permettrait d'éliminer le besoin de possession automobile en milieu dense. La question en suspens est celle de l'articulation de ce service avec les transports lourds existants : les pouvoirs publics seront-ils en mesure de les intégrer au système public de mobilité ?
the public version is largely similar to the internal one. “It gives our partners updated information about what parcels are owned by the city, which might be up for public sale, and which have the potential to be put in that pipeline,” said Meixell. “This information was previously scattered over multiple sources and levels of government; it’s the first time it’s available to the public in a central way. We think it can be useful for folks looking to do neighborhood planning or fight blight.”
Next up for the team is the development of Burgh’s Eye View: Paths, which will visualize mobility data,