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Chronos Veille

Enlarge your Paris - Les services, clé de la valeur de l'immobilier - 0 views

  • définir jusqu’à quel point une construction doit dicter les usages de ses utilisateurs et jusqu’à quel point elle doit être un potentiel dont on va pouvoir se saisir. En cela, le modèle haussmannien est extraordinaire. Un immeuble peut avoir été édifié à l’origine pour de l’habitat mais se retrouver transformé en bureaux, en hôtel ou en grand magasin. Tout le contraire des immeubles de bureaux d’aujourd’hui qui dégagent une certitude qui me laisse pantois.
  • la manière dont ils travaillent est conditionnée par le bâtiment lui-même.
  • Sommes-nous en mesure de produire une utopie de ces espaces qui hébergent la plus grande part de nos vies actives ? C’est ce qui nous a guidé dans la réflexion que nous avons menée pour Réinventer Paris et qui a abouti au projet d’immeuble « Ressources humaines » dans le quartier des Batignolles. Selon nous, l’expression générique « immobilier d’entreprise » va s’effacer au bénéfice d’ « immobilier du quotidien »
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  • En même temps qu’émerge le coworking, on voit des entreprises adopter des comportements de plus en plus paternalistes. Elles proposent à leurs salariés d’accéder à un éventail de services directement sur leur lieu de travail. Sous couvert de bien-être, ce sont des groupes qui se renferment sur eux-mêmes.
  • c’est le risque du bunker !
  • C’est ainsi que nous avons pensé une station de mobilité alternative au sein même du projet « Ressources humaines », en lien avec une plateforme de transport publique proche. Cette station donnerait accès à des vélos en libre service, du covoiturage ou de l’autopartage, des modes de déplacement qui font partie de la ville actuelle, donc du travail.
  • Dans ce même projet nous travaillons sur un concept de régies locales de données rattachées aux immeubles, au quartier, à la ville et au-delà. Le principe est le suivant : les résidents acceptent que la régie collecte certaines de leurs données (horaires de travail, lieu d’habitation, modes de déplacements, etc.). En contrepartie, ils accèdent à des services appropriés.
  • Il existe une maxime du général vietnamien Nguyên Giáp (1911- 2013) qui dit « Si l’ennemi se concentre il perd du terrain, s’il se disperse il perd sa force ». Quand l’immobilier de bureaux se concentre, cela donne La Défense, ce qui assèche les territoires autour. Néanmoins, une entreprise ne risque-t-elle pas de perdre en force si les espaces de travail sont disséminés ? La concentration et la répartition sont des questions complexes et aucune solution ne s’impose.
  • ne réflexion doit également être menée sur la manière d’exploiter les immeubles de bureaux en dehors de leurs traditionnels horaires d’activité. Aux Mureaux, des urbanistes ont travaillé sur la façon d’utiliser des espaces publics comme les collèges, les lycées, les bibliothèques ou les gymnases, pour d’autres activités que leur activité de destination, et ce pendant les temps où ils sont inutilisés. Et ça marche !
  • un immeuble de bureaux doit être conçu de manière à ne pas dicter la pratique qu’en ont ses utilisateurs.
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    Entretien croisée avec Emmanuel Combarel (architecte) et Bruno Marzloff (Chronos) sur les immeubles de bureaux : comment les rendre plus flexibles et y intégrer des services, sans non plus en faire une "deuxième maison" ?
Chronos Veille

legazette - La métropole, "bonne échelle pour développer le service public lo... - 0 views

  • veiller à une évolution en continu des infrastructures de collecte, de diffusion et de production de données.
  • identifier la manière de créer de la valeur sur le territoire à partir de ces données, en améliorant leur diffusion et leur exploitation, en lien avec les chefs de projet numérique de la métropole et les start-ups locales.
  • Le troisième relève de l’animation de la communauté, nous passons notamment via notre outil de travail au quotidien, le TUBÀ, un espace ouvert dédié à la création des services publics de demain. Il nous permet de rencontrer les utilisateurs, de connaître leurs besoins et de travailler à la diffusion des données.
  • ...11 more annotations...
  • Nous les avons découpés en trois volets. Le premier consiste à développer l’accès au patrimoine informationnel de la métropole, et donc à faire évoluer notre plate-forme.
  • La solution ne serait-elle pas de travailler main dans la main avec Google, ce que nous faisons, dans un sens ? C’est aussi un potentiel de création de services, on le voit dans les villes qui ont ouvert leurs données à Google
  • La troisième partie porte sur l’acquisition de données. Jusqu’à présent, nous étions plutôt sur des stratégies d’opportunités, c’est-à-dire que, dans le cadre d’un projet, comme Optimod’Lyon
  • Moovit exploite nos données et celles de nos partenaires en temps réel, après avoir signé la licence, et les enrichit avec le retour de ses utilisateurs.
  • Second point, nous souhaitons accompagner la réutilisation des données par nos réutilisateurs, à travers le TUBÀ, par des hackathons, des challenges, des meet-ups…  Nous avons aussi un projet avec la Fing baptisé MesInfos, et portant sur le “selfdata”, que nous allons essayer de valider.
  • L’objectif est vraiment de poser la métropole comme le porteur du service public de la donnée sur son territoire et au travers des tests, de faire la preuve d’un service et ensuite de le porter sur le territoire national.
  • Nous allons d’ailleurs nous rapprocher de la CNIL. C’est une question d’efficience du service public. Nous essayons également d’être force de proposition et territoire d’expérimentation, par exemple sur les taxis ou sur le développement d’un moissonneur de nos données autre que géographiques qui serve à d’autres collectivités.
  • Sous “licence engagée /Engaged license avec authentification des réutilisateurs (annexe 2 / appendix 2), visant à s’assurer que les réutilisations soient compatibles avec les politiques publiques sur la base des données de l’annexe 1 / appendix 1. Il s’agit d’éviter, par exemple, que le trafic routier soit envoyé devant des écoles parce que l’axe principal situé dans une rue parallèle est indiqué saturé. Cette licence permet des échanges entre le Grand Lyon et les réutilisateurs afin de mieux connaître les usages prévus et mieux comprendre les données”;
  • sous « licence associée / associated license visant à garantir un écosystème concurrentiel équitable, en évitant la formation de monopoles. Pour cela, cette licence outre l’authentification du réutilisateur (annexe 2 / appendix 2), introduit la possibilité d’une redevance en fonction d’un seuil élevé du taux de pénétration du produit ou du service créé
  • Nathalie Vernus-Prost est la première administratrice générale des données (AGD) en collectivité, nommée en avril 2015 au sein de la métropole de Lyon.
  • Notre système de licence est un vrai facteur vertueux. Nous avons le sentiment de faire en sorte que les partenaires privés participent à l’intérêt général. Je ne sais pas si nous aurions pu entamer notre échange avec Google sans lui.
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    "la collectivité s'est positionnée comme un animateur des producteurs de données, avec une plate-forme unique d'accès, dans un cadre de confiance. Les licences les rassurent et les encouragent à cette ouverture, car ils connaissent leurs réutilisateurs."
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