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Chronos Veille

CNRS Le journal - Des villes toujours plus grosses - 0 views

  • Sur la question climatique et l’écologie, le réseau C40 (Cities Climate Leadership Group, initié en 2007 par le maire de Londres Ken Livingstone) fédère les 90 plus grandes métropoles du monde.
  • « Les mégapoles assurent qu’elles peuvent faire mieux que leurs États, car elles sont moins contraintes qu’eux au plan diplomatique », commente Michel Lussault.
  • Avec les mégacités, un nouvel ordre géopolitique est en train d’émerger.
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  • « C’est indéniablement un facteur de paix. Mais le risque est grand qu’elles deviennent complètement hors-sol et se coupent de leur territoire de proximité », s’inquiète Michel Lussault.
  • « Lieux de l’innovation par excellence – économique, technologique, culturelle mais aussi sociale –, les mégacités sont de véritables espaces de conquête de droits »
  • Avec ses 80 millions d'habitants, Shanghai serait aujourd'hui la plus grande ville du monde selon certains géographes.
  • « L’urbanisation est si intense qu’elle a brouillé les cartes, raconte Michel Lussault, géographe au laboratoire Environnement, ville, société1. On ne sait plus où commencent et où finissent des villes comme Mexico, Tokyo ou Shanghai, qui aujourd’hui n’ont plus rien à voir avec la cité d’origine… »
  • Au nombre d’une trentaine aujourd’hui, les mégacités devraient être cinquante d’ici à 2050
  • Plus les villes sont grandes, plus les inégalités de revenus sont importantes, souligne Denise Pumain.
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    "Une diplomatie des grandes villes de la planète est en train de se mettre en place, qui court-circuite les traditionnelles discussions interétatiques."
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La Gazette des communes : Grand Paris, inquiétudes sur l'immobilier en premiè... - 0 views

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    Opérations d'aménagement et évolutions de peuplement sont intimement liés. Dans le cadre du Grand Paris, la faiblesse des finances des collectivités, la course à l'attractivité dans laquelle les pouvoirs publics se lancent et les tentatives de privatisation de morceaux de ville reposent une question essentielle : pour qui construit-on la ville ?
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    Opérations d'aménagement et évolutions de peuplement sont intimement liés. Dans le cadre du Grand Paris, la faiblesse des finances des collectivités, la course à l'attractivité dans laquelle les pouvoirs publics se lancent et les tentatives de privatisation de morceaux de ville reposent une question essentielle : pour qui construit-on la ville ?
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Enlarge your Paris - Les services, clé de la valeur de l'immobilier - 0 views

  • définir jusqu’à quel point une construction doit dicter les usages de ses utilisateurs et jusqu’à quel point elle doit être un potentiel dont on va pouvoir se saisir. En cela, le modèle haussmannien est extraordinaire. Un immeuble peut avoir été édifié à l’origine pour de l’habitat mais se retrouver transformé en bureaux, en hôtel ou en grand magasin. Tout le contraire des immeubles de bureaux d’aujourd’hui qui dégagent une certitude qui me laisse pantois.
  • la manière dont ils travaillent est conditionnée par le bâtiment lui-même.
  • Sommes-nous en mesure de produire une utopie de ces espaces qui hébergent la plus grande part de nos vies actives ? C’est ce qui nous a guidé dans la réflexion que nous avons menée pour Réinventer Paris et qui a abouti au projet d’immeuble « Ressources humaines » dans le quartier des Batignolles. Selon nous, l’expression générique « immobilier d’entreprise » va s’effacer au bénéfice d’ « immobilier du quotidien »
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  • En même temps qu’émerge le coworking, on voit des entreprises adopter des comportements de plus en plus paternalistes. Elles proposent à leurs salariés d’accéder à un éventail de services directement sur leur lieu de travail. Sous couvert de bien-être, ce sont des groupes qui se renferment sur eux-mêmes.
  • c’est le risque du bunker !
  • C’est ainsi que nous avons pensé une station de mobilité alternative au sein même du projet « Ressources humaines », en lien avec une plateforme de transport publique proche. Cette station donnerait accès à des vélos en libre service, du covoiturage ou de l’autopartage, des modes de déplacement qui font partie de la ville actuelle, donc du travail.
  • Dans ce même projet nous travaillons sur un concept de régies locales de données rattachées aux immeubles, au quartier, à la ville et au-delà. Le principe est le suivant : les résidents acceptent que la régie collecte certaines de leurs données (horaires de travail, lieu d’habitation, modes de déplacements, etc.). En contrepartie, ils accèdent à des services appropriés.
  • Il existe une maxime du général vietnamien Nguyên Giáp (1911- 2013) qui dit « Si l’ennemi se concentre il perd du terrain, s’il se disperse il perd sa force ». Quand l’immobilier de bureaux se concentre, cela donne La Défense, ce qui assèche les territoires autour. Néanmoins, une entreprise ne risque-t-elle pas de perdre en force si les espaces de travail sont disséminés ? La concentration et la répartition sont des questions complexes et aucune solution ne s’impose.
  • ne réflexion doit également être menée sur la manière d’exploiter les immeubles de bureaux en dehors de leurs traditionnels horaires d’activité. Aux Mureaux, des urbanistes ont travaillé sur la façon d’utiliser des espaces publics comme les collèges, les lycées, les bibliothèques ou les gymnases, pour d’autres activités que leur activité de destination, et ce pendant les temps où ils sont inutilisés. Et ça marche !
  • un immeuble de bureaux doit être conçu de manière à ne pas dicter la pratique qu’en ont ses utilisateurs.
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    Entretien croisée avec Emmanuel Combarel (architecte) et Bruno Marzloff (Chronos) sur les immeubles de bureaux : comment les rendre plus flexibles et y intégrer des services, sans non plus en faire une "deuxième maison" ?
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Pollution : Caroline Van Renterghem va nous aider à respirer - 0 views

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    Marre de faire du vélo dans les pots d'échappement ? C'est bien ce que pense Caroline Van Renterghem, une jeune styliste qui a développé un foulard anti-pollution pour pouvoir se déplacer à vélo sans s'asphyxier. En plus, un capteur intégré au foulard informera au propriétaire l'indice de pollution auquel il a été soumis pendant sa journée.
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    Marre de faire du vélo dans les pots d'échappement ? C'est bien ce que pense Caroline Van Renterghem, une jeune styliste qui a développé un foulard anti-pollution pour pouvoir se déplacer à vélo sans s'asphyxier. En plus, un capteur intégré au foulard informera au propriétaire l'indice de pollution auquel il a été soumis pendant sa journée.
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