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Véronique Ginouvès

Top 5 : les femmes les plus influentes de marrakech sur made in marrakech, le journal d... - 0 views

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    "Fatima-Zahra Mansouri, Maire de la ville de Marrakech "Mon élection a d'abord démontré la capacité des Marrakchis à pouvoir dépasser le genre au profit des compétences", c'est ainsi que Fatima-Zahra Mansouri a commenté sa désignation en tant que maire de la ville de Marrakech, suite aux élections communales de 2009. Née en 1976, Fatima-Zahra Mansouri a suivi des études juridiques en France. À son retour au Maroc, elle ouvre un cabinet d'avocat destiné à la gestion des transactions commerciales et immobilières. La jeune femme n'est autre que la fille de l'ancien Pacha de Marrakech, Abderrahman Mansouri, elle est aussi la première femme à diriger la ville de Marrakech et la seconde maire au Maroc après Asmaa Chaâbi, qui a conduit la mairie d'Essaouira. Élisabeth Bauchet-Bouhlal, directrice du Palace Es Saadi Propriétaire du Palace Es Saadi depuis 1966, Élisabeth Bauchet-Bouhlal est une femme d'affaires française installée à Marrakech. Succédant à son père, elle reprend le projet familial et participe activement à son épanouissement faisant ainsi de cet hôtel de charme, l'un des lieux mythiques de la ville ocre. Élisabeth Bauchet-Bouhlal est également l'initiatrice du Festival Art Fair et veille à la continuité du Prix Littéraire de la Mamounia, dédié à la promotion de la littérature marocaine d'expression française. Devenue une véritable ambassadrice de la culture franco-marocaine, Élisabeth Bauchet-Bouhlal a été décorée à Rabat, mardi 7 octobre 2014, au grade d'Officier de l'Ordre du Wissam Alaouite, par le Roi Mohammed VI. Leila Alaoui, photographe Née à Paris, Leila Alaoui s'installe à Marrakech avec ses parents pendant son enfance, puis s'envole pour les États-Unis, à l'âge de 17 ans, afin d'y poursuivre des études en cinéma et en sciences sociales. Passionnée par la photographie depuis son plus jeune âge, elle parcourt le Maroc avec son studio nomade pour immortaliser des
Véronique Ginouvès

Jemaa el fna: Appellation de la place - 0 views

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    "Au début du XVIIIème siècle, la place est pour la première fois mentionnée dans une chronique en tant que lieu de spectacle, à travers la référence à la halqa, cette sphère créée entre le conteur et son public. Par-delà le divertissement, c'est toute la société marocaine de l'époque que l'historien al-Youssi dépeint dans ses différentes composantes, ethniques et linguistiques, rurales et citadines. Survolons les siècles jusqu'à l'année 1921, date à laquelle un arrêté viziriel de Mohamed El Mokri propose pour la première fois le classement de Jemaâ el Fna parmi les sites à sauvegarder. La place commence à prendre l'aspect actuel : les bâtiments de la poste et de la banque du Maroc viennent d'y être aménagés, plusieurs hôtels et cafés-restaurants sont ouverts autour de la place. Mais la promulgation du dahir interdit toute construction qui mettrait en péril l'identité de Jemaâ el Fna. Le travail architectural du lieu consiste à optimiser l'espace en dedans, l'idée étant que le spectacle est sur la place. C'est tout le peuple qui fait l'attrait de cet endroit légendaire. En 1985, la médina de Marrakech et donc la place Jemaâ el Fna qui en fait partie intégrante sont inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco. En mai 2001,Jemaâ el Fna est proclamée patrimoine oral et immatériel de l'Humanité. Les activités de la place sont issues d'une tradition ancestrale, en perpétuel renouvellement, liées à la ville. De plus elle constitue un témoignage unique d'une tradition vivante mais menacée. "
Véronique Ginouvès

Les questions juridiques de la numérisation du patrimoine culturel immatériel... - 0 views

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    "Les questions juridiques de la numérisation du patrimoine culturel immatériel par Wang Li. Résumé du programme de recherche du même titre financé par le National Social Science Foundation of China. Ce programme est dirigé par Wangli Li (Associate professor, Faculty of Law, Central-South University, China PR. - Chercheur associée, EHESS-CNRS - Professeur invitée, Université Paris-Sud) L'origine de la problématique du patrimoine culturel immatériel (ci-après PCI), remonte aux  années 1950 avec la question de la protection du « folklore ». Le questionnement était double : d'une part la revendication d'une reconnaissance des identités culturelles des pays dits du Sud, d'autre part la question du droit de propriété intellectuelle pour protéger ces éléments culturels vivants. Longtemps, les solutions envisagées se positionnèrent uniquement dans la vision de conférer des droits exclusifs aux communautés sur leurs éléments culturels. Se trouvait ainsi au centre la question de l'appropriation de ces éléments. Or, les recherches ont démontré que le droit de propriété intellectuelle classique est inadapté pour opérer cette appropriation et par conséquent, pour offrir une protection à ces éléments. La Convention pour la sauvegarde du PCI de l'Unesco (2003) propose une vision différente. Elle évoque la sauvegarde des éléments de PCI en tant que tels notamment par les moyens du droit administratif et des actions publiques, au lieu de chercher à protéger les droits sur ces éléments. Les actions publiques ont comme fondement les intérêts de la diversité culturelle et des identités culturelles des communautés, cette identité culturelle se trouvant au centre de la définition du PCI proposée par l'article 2 de la convention. On est amené alors à se demander si cette vision de sauvegarde hors de l'appropriation est pertinente et suffisante. Au demeurant, la question de la protection des éléments de P
Véronique Ginouvès

Marrakech/Patrimoine Un plan de sauvegarde pour la médina : Trois ministres a... - 0 views

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    L'occasion était la célébration du 30e anniversaire de la déclaration de Marrakech en tant que patrimoine historique. Anniversaire célébré le week-end dernier par le conseil communal de la ville à l'initiative des associations concernées par la préservation du patrimoine. Trois ministres ont fait le déplacement: Amine Sbihi, Mustapha El Khalfi et Mohamed El Ouafa, ministres respectivement de la Culture, de la Communication, et chargé des Affaires générales et de la Gouvernance, mais aussi ancien président du conseil communal… Jaafar Kansoussi, président du comité d'organisation de cet anniversaire se réjouit de cette prise de conscience de l'intérêt culturel, identitaire et économique de ce patrimoine et regrette l'absence d'un département très concerné: le ministère du Tourisme. Il y a 30 ans, l'Unesco inscrivait la médina de Marrakech en tant que patrimoine mondial de l'humanité. De par ses monuments grandioses qui remontent à l'époque des Almoravides (1056-1147) comme la mosquée de la Koutoubia, dont le minaret de 77 mètres représente un monument essentiel de l'architecture musulmane, ses remparts, ses portes monumentales et ses jardins… Et ce sont les critères qui ont poussé les experts de l'Unesco à l'inscrire parmi les 1.022 patrimoines mondiaux, tout comme l'Alhambra en Espagne. 30 ans plus tard, il y avait lieu de s'arrêter sur les défigurations qui risquent de nuire à ce patrimoine. D'abord le ciment qui dévore la médina et les vieilles maisons qui tombent en ruine qui demandent des interventions immédiates. Et puis il y a tout le tissu économique de la médina qui a été négligé. La ville intramuros abrite, pour rappel, le quart de la population marrakchie avec une économie basée sur le tourisme, le commerce et l'artisanat. Mais face à un laisser-aller, c'est une médina qui se déprécie de plus en plus et que ses habitants eux-mêmes préfèrent fuir. - See more at: htt
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Marrakech: Le dispositif de sécurité « Hadar » déployé à Jemaa El Fna | Achnoo - 0 views

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    "Le nouveau dispositif sécuritaire « Hadar », destiné à faire face aux différentes menaces qui guettent le Royaume, a été lancé à Marrakech au niveau de Place Jemaa El Fna. Le Wali de la région Marrakech Tensift Al Haouz, Abdessalam Bikrat, accompagné du préfet de police de Marrakech, Mohamed Dkhissi, et des responsables des autorités locales, ont lancé officiellement le déploiement de ce dispositif sécuritaire qui intègre des éléments des Forces Armées Royales, de la Gendarmerie Royale, de la Police et des Forces Auxiliaires. Dans une déclaration à la presse, le Wali de la région a rappelé que le déploiement du dispositif « Hadar » intervient sur instructions royales pour le renforcement du plan national actuellement en vigueur afin de faire face, de façon vigilante et proactive, aux différentes menaces contre la sécurité et la stabilité le Royaume. L'opération permettra de renforcer le sentiment de sécurité des citoyens et des visiteurs du Royaume, a-t-il dit, soulignant que la ville de Marrakech revêt une importance particulière compte tenu de sa position en tant que destination touristique mondiale avec les atouts indéniables que sont la sécurité et la quiétude. Pour sa part, le préfet de police de Marrakech a souligné que ce dispositif sécuritaire concerne le déploiement d'unités conjointes constituées d'éléments des Forces Armées Royales et des forces de l'Ordre au niveau de plusieurs points névralgiques de la ville. Il s'agit d'une opération de vigilance qui vise à s'assurer de la promptitude d'intervention en cas de menaces contre la sécurité et la quiétude des citoyens, "
Véronique Ginouvès

La naissance du mythe de Marrakech du Musée social à Internet - 1 views

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    "Cette conférence retrace les grandes lignes du développement urbain mis en place à Marrakech pendant le protectorat marocain et plus particulièrement pendant la période lyauteyenne. L'accent est mis, d'une part, sur l'origine d'une série de stéréotypes qui ont été "spatialisés" à travers la conception du plan de la ville et, d'autre part, sur la mise en valeur d'éléments communs entre la politique urbaine de la période coloniale et les plans de développement actuels de la ville. En effet, le colonialisme a produit, par le biais de la littérature et de l'art, une série d'images ayant alimenté un imaginaire collectif qui se sont par la suite concrétisées dans l'espace urbain. Les descriptions littéraires et les tableaux orientalistes représentant un paysage exotique et envoûtant ont en effet influencé la perception de la ville et sa conception chez les urbanistes. De cette manière, les éléments du skyline de Marrakech (Haut-Atlas, Koutoubia, murailles, palmiers) ont été codifiés pour devenir les points de repère de la ville et les bases de la conception de son plan. Ces images ont, en outre, contribué à former un discours très cohérent sur le Maroc en général et sur Marrakech en particulier, qu'on retrouve encore aujourd'hui. Rachele Borghi est géographe, chargée de recherche à l'université Ca'Foscari de Venise."
Véronique Ginouvès

http://www.igespar.pt/media/uploads/dgpc/Politicas_Publicas_para_o_Patrimonio_Imaterial... - 0 views

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    Les inventaires: un dispositif obligatoire, validé par les Etats -Parties Si les diverses mesures contenues dans la convention n'ont aucun caractère contraignant pour les Etats signataires, il en est une, en revanche, qui est obligatoire. Elle concerne l'établissement d'inventaires, dont les modalités générales sont précisées à l'article 12.1 : «chaque Etat partie dresse (en anglais shall draw up), de façon adaptée à sa situation, un ou plusieurs inventaires du patrimoine culturel immatériel présent sur son territoire» art 12.1). A titre de comparaison, il faut noter que l'article 13 consacré aux «autres mesures de sauvegarde» (mise en place de programmes d' éducation, de sensibilisation et de renforcement des capacités etc), utilise un vocabulaire beaucoup moins contraignant: «En vue d'assurer la sauvegarde, le développement et la mise en valeur du patrimoine culturel immatériel présent sur son territoire, chaque Etat partie s'efforce de(…)[dans la version anglaise: shall endeavour to]». La création puis la mise à jour d'inventaires est une tâche impérative pour les Etats signataires, alors que les «autres mesures de sauvegarde» sont présentées dans le texte comme des actions souhaitables mais pas obligatoires. La finalité de ces inventaires est de permettre aux Etats d' «assurer l'identification en vue de la sauvegarde», afin d'«assurer la viabilité du patrimoine culturel immatériel, y compris [son] identification […]» (art. 2.3). La convention présente donc la réalisation des inventaires à la fois comme une mesure de sauvegarde en soi et comme une condition préalable à toutes les autres mesures de sauvegarde.
Véronique Ginouvès

UNESCO Secteur de la culture - Patrimoine immatériel - Convention 2003 : plac... - 1 views

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    Photo (téléchargeables), video présentant la place et résumé descritptif sur le projet de sauvegarde et de valorisation. 2008
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    La place Jemaa el-Fna est l'un des principaux espaces culturels de Marrakech. Devenue l'un des symboles de la ville depuis sa fondation au onzième siècle, elle offre une concentration exceptionnelle de traditions culturelles populaires marocaines qui s'expriment à travers la musique, la religion et diverses expressions artistiques. Située à l'entrée de la Médina, cette place triangulaire entourée de restaurants, d'échoppes et de bâtiments publics est le théâtre quotidien d'activités commerciales et de divertissements. Elle est un point de rencontre pour les habitants de la ville, mais également pour les gens venus d'ailleurs. Tout au long de la journée, et jusque tard dans la nuit, on peut y acheter des fruits, déguster des mets traditionnels et trouver toute une variété de services tels que soins dentaires, médecine traditionnelle, divination, prédication, tatouage au henné ou portage d'eau. On peut également y voir et entendre conteurs, poètes, charmeurs de serpents, musiciens berbères (mazighen), danseurs gnawis et joueurs de senthir (hajhouj). Les expressions orales étaient autrefois continuellement renouvelées par les bardes (imayazen) qui parcouraient les territoires berbères. Aujourd'hui encore, ils mêlent le geste à la parole pour enseigner, divertir et charmer le public. Ils tendent désormais à adapter leur art au monde contemporain en improvisant sur la trame d'un texte ancien, rendant ainsi leurs récits accessibles à un plus large public.
Véronique Ginouvès

Agadir a désormais sa "place Jemaa el-Fna" - 0 views

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    "FOLKLORE - Marrakech bientôt détrônée par Agadir? Depuis le 2 janvier, la place Prince héritier de la ville du Souss a des airs de Jemaa el-Fna. Si la réputation de la mythique place de la ville ocre n'est plus à faire, elle commence à faire des émules. Afin de faire revivre le centre d'Agadir, la wilaya, le conseil communal et le conseil régional du tourisme (CRT) de la ville viennent de lancer un espace dédié à la halqa, art ancestral du spectacle de rue, où se réunissent charmeurs de serpents, jongleurs, diseuses de bonne aventure et acrobates. "Le but, c'est de retrouver la dynamique de la place telle qu'elle existait dans les années 80, et faire revivre les nombreux petits commerces et restaurants qui bordaient la place et ferment tour à tour depuis quelques années", confie au HuffPost Maroc une source au sein du CRT d'Agadir."
Véronique Ginouvès

Le patrimoine de la place Jemaa El Fna de Marrakech : entre le matériel et l... - 0 views

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    En 2001, l'Unesco a déclaré la place Jemaa El Fna patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Symbole de la ville de Marrakech, ce lieu constitue un témoignage unique des nombreuses traditions et cultures qui s'y retrouvent pour se mêler ou cohabiter. Cependant, la déclaration de l'Unesco n'a pas réussi à écarter la menace de disparition qui pèse sur les traditions millénaires de la place. En effet, l'affluence touristique engendrée par la proclamation et par l'évolution même de la société civile marocaine ont sérieusement affecté la dynamique de la place. Tandis que les activités commerciales ont gagné en importance, l'art des conteurs, des charmeurs de serpents ou des acrobates a été relégué à un deuxième plan, rendant de plus en plus précaires les conditions de travail de ces personnes.
Véronique Ginouvès

Info Maroc News | Musées marocains : Qotbi récupère la gestion - 0 views

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    Musées marocains : Qotbi récupère la gestion (www.infomediaire.ma) - A partir d'aujourd'hui, mercredi 5 février 2014, le ministère de la Culture passera officiellement la gestion des musées à la Fondation nationale des musées présidée par Mehdi Qotbi. Une commission tripartite de passation composée du ministère de la Culture, du ministère de l'Economie et des Finances et de la Fondation nationale des musées a été chargée de faire un état des lieux des 14 musées relevant du ministère de la Culture. Ce transfert concerne le Musée Ethnographique de Chefchaouen, le Musée Dar Si Said de Marrakech, le Musée Archéologique de Tétouan, le Musée Ethnographique Bab Okla de Tétouan, le Musée de la Kasbah de Tanger, le Musée National des Arts Sahariens de Laayoune, le Musée Batha de Fès, le Musée Dar Jamai de Meknès, le Musée Borj Belqari de Meknès, le Musée National de la poterie de Safi, le Musée Dar El Bacha de Marrakech, le Musée des Oudayas de Rabat, le Musée Archéologique de Rabat et le Musée national des arts modernes de Rabat."
Véronique Ginouvès

Déperdition de la tradition orale: le cri de cœur d'Ouidad Tebaa | H24info - 0 views

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    "Ouidad Tebaa participe d'ailleurs le 26 février à une conférence organisée par la Fondation Dar Bellarj sur l'apprentissage et la transmission de la tradition orale et se penche sur le cas de Jamaâ El Fna. La conférencière tentera à cette occasion d'apporter des éléments de réponse à la question de la pérennité d'une telle culture, qui se pose  de manière de plus en plus pressante. "Comment sauvegarder le patrimoine oral dans le sillage de la proclamation de l'Unesco? Car la conservation, l'enregistrement, l'archivage sont un préalable nécessaire, mais pas suffisant" se demande-t-elle. "
flomaz

Abdelmajid Arrif, La place Jamaâ Lafna, lieu patrimonial d'une oralité invent... - 0 views

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    Article d'une intervention colloque "La réinvention du "lien" en Méditerranée. Figures, formes, métamorphoses à Marrakech. Abdelmajid Arrif, La place Jamaâ Lafna, lieu patrimonial d'une oralite inventive «Actualiser, c'est conférer une fonction temporelle à ce qui est "hors du temps". Prise comme une finalité déterminante de la muséographie, l'actualisation est une manière de combler l'intemporel.Or, le temps est inactuel. Il est rendu actuel par l'effet voulu d'une simultanéité temporelle que produit le mirage d'une équivalence représentative entre le passé et le présent, dans la mise au futur de la transmission. Cette gestion anticipée du temps, développée par le traitement patrimonial du devenir des cultures, annule toute possibilité d'accident de la transmission. Anticiper ce qui doit se transmettre, c'est gouverner le processus d'actualisation ensupprimant la puissance de l'inactuel. (…) Si la transmission du sens semble bien se construire (et le musée en serait une preuve parmi d'autres), elle demeure pourtantimprévisible, elle est un appel à l'inconnu.3»
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    Marrakech, actes du colloque (2011) à paraitre...
Véronique Ginouvès

UNESCO Secteur de la culture - Patrimoine immatériel - Convention 2003 : - 0 views

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    "20 mai 2014 - Du 20 au 27 mai 2014 la ville de Marrakech accueille un premier atelier de formation sur l'élaboration d'un inventaire participatif du patrimoine culturel immatériel. Cette formation s'inscrit dans le cadre d'un programme plus large de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel financé grâce à la généreuse contribution de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel. Il fait suite à un premier atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel qui a eu lieu en mars dernier à Agadir. L'objectif principal de cette rencontre, qui réunira des professionnels du patrimoine culturel immatériel, des représentants du Ministère de la culture, de l'artisanat et de l'économie sociale et solidaire, des organisations non gouvernementales et des étudiants sera de réfléchir sur le rôle des communautés dans l'élaboration des inventaires du patrimoine culturel immatériel, ainsi que sur les techniques et méthodes nécessaires pour leur mise en place. L'atelier sera encadré et animé par deux membres du réseau de facilitateurs de l'UNESCO, M. Mohamed Lemine Ould Beidjeu (Mauritanie) et M. Ahmed Skounti (Maroc)."
Véronique Ginouvès

Etincelles III : A la découverte de nos richesses oubliées | Lnt.ma - 0 views

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    "Quand on pénètre dans la double salle d'exposition au sein de la galerie Eldon et Choukry dans le cadre de la future exposition Etincelles III, qui se déroulera du 7 au 17 mai prochains, on a l'impression que l'on se trouve à mi-chemin entre un musée et la caverne d'Ali Baba. Ou bien, comme pourraient le penser hélas beaucoup de nos compatriotes, l'échoppe d'un marchand de la place Jamaa El Fna. Non pas qu'Etincelles III ne soit pas bien conçue et présentée, bien au contraire, mais c'est parce qu'au Maroc, nous avons pris l'habitude de traiter notre patrimoine artistique comme de vulgaires objets de décoration que l'on achète pour donner un air plus «marocain» à notre salon. La famille Choukri, Nadia, Miriam, et leur père Abderrahmane, se place à l'opposé de cet état d'esprit regrettable, et clame haut et fort sa passion pour l'héritage culturel et artistique, islamique et marocain. Leurs choix de carrière parlent d'eux-mêmes : Abderrahmane est membre fondateur de l'Association Nationale des Antiquaires et Brocanteurs (ANAB) et expert consultant auprès de nombreux organismes, Nadia est la première femme experte assermentée en Beaux-Arts et Antiquités près les Tribunaux du Maroc, et Miriam est conservatrice et restauratrice de porcelaines et céramiques anciennes au Maroc."
Véronique Ginouvès

Les Cahiers du Musée Berbère n°2 - 0 views

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    " Après "Les Berbères aujourd'hui au Maroc", premier colloque du Musée Berbère qui s'est tenu à Marrakech en 2012, la Fondation Jardin Majorelle a proposé en 2013 une rencontre sur le thème "Savoirs et savoirs-faire amazighs, disparition ou adaptation ?". La communauté internationale et l'UNESCO ont célébré cette année le dixième anniversaire de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel adoptée par la Conférence Générale de l'Organisation en octobre 2013. Le Musée Berbère a accompagné cet événement mondial en inscrivant le thème de son deuxième colloque dans le mouvement de la sauvegarde du patrimoine culturel amazigh. Même si les savoirs et savoir-faire amazighs parviennent parfois à se réinventer, certains disparaissent. Les témoignages qui se sont succédés lors du colloque ont permis d'en prendre la mesure. Au-delà de ses missions de conservation, d'étude et de diffusion du patrimoine matériel amazigh, il appartient aussi au Musée berbère de mettre en évidence l'urgence de la préservation d'une culture immatérielle menacée. » (Extrait de l'Avant-propos de Björn Dahlstrom, conservateur du Musée Berbère) Avec les contributions de Ali Amahan, Cécile Duvelle, Narjys El Alaoui, Romain Simenel, Ahmed Skounti et Ouidad Tebba "
Véronique Ginouvès

Patrimoine : Les musées sortent de l'ornière - LE MATIN.ma - 0 views

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    "Pas de véritable politique culturelle dédiée aux musées, pas de communication, pas de visiteurs, pas d'entretien des structures existantes… Un constat on ne peut plus alarmant. Le Maroc dispose d'une cinquantaine de musées dont seize seulement dépendent du ministère de la Culture. Les autres sont placés sous la tutelle d'autres ministères et administrations comme le ministère de la Communication ou encore Bank Al-Maghrib tandis que d'autres relèvent du privé. Pour la plupart, il s'agit de riads transformés en musées qui ne répondent pas aux normes internationales en termes de conservation et d'organisation des expositions permanentes, entre autres. Faute de moyens ou absence d'une politique culturelle dédiée à ces lieux d'art et de culture, la qualité des musées laisse à désirer. La faiblesse des moyens financiers et humains consacrés à ces institutions culturelles ne permet pas leur survie. Par conséquent, les musées sont rarement visités par les Marocains et moins encore par les touristes. «À quelques rares exceptions, la situation des musées au Maroc est très préoccupante. Je dirais même qu'il y va de notre patrimoine artistique et culturel», déplore Mohamed Rachdi, critique d'art et responsable au Musée d'art moderne et d'art contemporain de Rabat qui ouvrira ses portes prochainement. Cette situation est due aussi à la mauvaise gestion des musées."
Véronique Ginouvès

Tourisme (statistiques): Un baromètre en trompe-l'œil - Leconomiste.com - 0 views

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    "n'y a pas que la place Jamaâ El Fna de Marrakech et les belles plages d'Agadir qui attirent les touristes au Maroc. Il y a surtout l'accueil et l'amabilité de la population, la gastronomie, la culture, l'hospitalité et les souks… autant de raisons avancées par les touristes sondés comme éléments positifs ayant marqué leur séjour. C'est ce que révèle le baromètre de l'Observatoire du tourisme (1er trimestre) sur le suivi de la satisfaction des touristes. Pris globalement, 53% d'entre eux sont «satisfaits ou très satisfaits de leur séjour», contre 6% de peu ou pas du tout satisfaits. De l'analyse de leurs parcours et leur satisfaction, par rapport aux différents produits et services qu'ils consomment, «il ressort que l'accueil et l'amabilité de la population recueillent le plus de satisfaits avec un taux de 75%, la restauration 74% et la diversité de l'offre Maroc un taux de 73%». On ne va pas bouder notre plaisir. «Ça fait toujours chaud au cœur de savoir que nos hôtes repartent satisfaits de leur séjour chez nous», commente un opérateur."
Véronique Ginouvès

:: Le Matin :: Le projet «Marrakech, cité du renouveau permanent» avance à pa... - 0 views

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    "istoriques, sites touristiques et souks mitoyens de la place mythique de Jamaâ El Fna. C'est ainsi que lors de ses visites successives à Semmarine, Rahba Laqdima, Souk Laghzel, aux tombeaux saâdiens et à l'école Ben Youssef des explications ont été données au wali sur les travaux de réaménagement et de restauration de ces espaces qui démarreront incessamment et sur les transformations que ces infrastructures sont appelées à connaître. Avec ce programme grandiose, la ville de Marrakech est en train de connaître une métamorphose dans la mesure où le projet s'attaque aux axes clés que sont la valorisation du patrimoine culturel, l'amélioration de la mobilité urbaine, la promotion de la bonne gouvernance, l'intégration urbaine et la préservation de l'environnement. Tirant sa substance d'une approche novatrice en termes de transversalité, d'intégration "
Véronique Ginouvès

Magazine | Insolites : Les contes de Jemaa El Fna à Marrakech pendant la bien... - 0 views

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    "Pendant la Biennale de Marrakech, qui se tiendra du 26 février au 31 mars 2014, la ville dans son entier se livre à l'art et à la création. Une multitude d'évènements, petits et grands, dans la rue, dans les cafés, dans les riads, dans les musées ou sur des scènes, se laisseront découvrir au plus grand nombre. Une déambulation dans les rues de la cité deviendra une aventure de l'imaginaire où toutes les curiosités pourront être satisfaites. De l'art plastique au mot en passant par l'image les surprises seront à chaque détour des ruelles de la médina comme des avenues de la ville nouvelle."
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