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Véronique Ginouvès

Jamaâ El Fna. La fin du spectacle ? - Tel Quel - 29 décembre 2013 - par Reda - 0 views

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    "Halka. Même si l'agora marrakchie a été classée chef d'œuvre du patrimoine oral et immatériel de l'humanité en 2001, ses fameux saltimbanques n'en demeurent pas moins menacés de disparition. Marrakech sans ses hlaiquias ? Inimaginable. Pourtant, ces dépositaires d'une tradition qui a su se perpétuer bon gré mal gré, voient leur nombre diminuer sans quiconque pour assurer la relève. Montreurs de singes, charmeurs de serpents, conteurs, musiciens... aujourd'hui, ils sont moins de dix à exercer leur art sur la place Jamaâ El Fna, et encore, de façon intermittente. La cause ? Abdelhadi, un hlaiqui, avance que « c'est notre situation financière qui ne nous permet pas de recruter des apprentis à qui transmettre notre savoir. Quant à nos enfants, nous leur souhaitons une vie moins précaire que la nôtre ». Et d'ajouter : « Plusieurs projets ont soi-disant été mis en place afin d'améliorer notre condition, mais comme tous les projets... »"
Véronique Ginouvès

Le patrimoine de la place Jemaa El Fna de Marrakech : entre le matériel et l... - 0 views

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    En 2001, l'Unesco a déclaré la place Jemaa El Fna patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Symbole de la ville de Marrakech, ce lieu constitue un témoignage unique des nombreuses traditions et cultures qui s'y retrouvent pour se mêler ou cohabiter. Cependant, la déclaration de l'Unesco n'a pas réussi à écarter la menace de disparition qui pèse sur les traditions millénaires de la place. En effet, l'affluence touristique engendrée par la proclamation et par l'évolution même de la société civile marocaine ont sérieusement affecté la dynamique de la place. Tandis que les activités commerciales ont gagné en importance, l'art des conteurs, des charmeurs de serpents ou des acrobates a été relégué à un deuxième plan, rendant de plus en plus précaires les conditions de travail de ces personnes.
Véronique Ginouvès

Jemaa el fna: Appellation de la place - 0 views

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    "Au début du XVIIIème siècle, la place est pour la première fois mentionnée dans une chronique en tant que lieu de spectacle, à travers la référence à la halqa, cette sphère créée entre le conteur et son public. Par-delà le divertissement, c'est toute la société marocaine de l'époque que l'historien al-Youssi dépeint dans ses différentes composantes, ethniques et linguistiques, rurales et citadines. Survolons les siècles jusqu'à l'année 1921, date à laquelle un arrêté viziriel de Mohamed El Mokri propose pour la première fois le classement de Jemaâ el Fna parmi les sites à sauvegarder. La place commence à prendre l'aspect actuel : les bâtiments de la poste et de la banque du Maroc viennent d'y être aménagés, plusieurs hôtels et cafés-restaurants sont ouverts autour de la place. Mais la promulgation du dahir interdit toute construction qui mettrait en péril l'identité de Jemaâ el Fna. Le travail architectural du lieu consiste à optimiser l'espace en dedans, l'idée étant que le spectacle est sur la place. C'est tout le peuple qui fait l'attrait de cet endroit légendaire. En 1985, la médina de Marrakech et donc la place Jemaâ el Fna qui en fait partie intégrante sont inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco. En mai 2001,Jemaâ el Fna est proclamée patrimoine oral et immatériel de l'Humanité. Les activités de la place sont issues d'une tradition ancestrale, en perpétuel renouvellement, liées à la ville. De plus elle constitue un témoignage unique d'une tradition vivante mais menacée. "
Véronique Ginouvès

Top 5 : les femmes les plus influentes de marrakech sur made in marrakech, le journal d... - 0 views

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    "Fatima-Zahra Mansouri, Maire de la ville de Marrakech "Mon élection a d'abord démontré la capacité des Marrakchis à pouvoir dépasser le genre au profit des compétences", c'est ainsi que Fatima-Zahra Mansouri a commenté sa désignation en tant que maire de la ville de Marrakech, suite aux élections communales de 2009. Née en 1976, Fatima-Zahra Mansouri a suivi des études juridiques en France. À son retour au Maroc, elle ouvre un cabinet d'avocat destiné à la gestion des transactions commerciales et immobilières. La jeune femme n'est autre que la fille de l'ancien Pacha de Marrakech, Abderrahman Mansouri, elle est aussi la première femme à diriger la ville de Marrakech et la seconde maire au Maroc après Asmaa Chaâbi, qui a conduit la mairie d'Essaouira. Élisabeth Bauchet-Bouhlal, directrice du Palace Es Saadi Propriétaire du Palace Es Saadi depuis 1966, Élisabeth Bauchet-Bouhlal est une femme d'affaires française installée à Marrakech. Succédant à son père, elle reprend le projet familial et participe activement à son épanouissement faisant ainsi de cet hôtel de charme, l'un des lieux mythiques de la ville ocre. Élisabeth Bauchet-Bouhlal est également l'initiatrice du Festival Art Fair et veille à la continuité du Prix Littéraire de la Mamounia, dédié à la promotion de la littérature marocaine d'expression française. Devenue une véritable ambassadrice de la culture franco-marocaine, Élisabeth Bauchet-Bouhlal a été décorée à Rabat, mardi 7 octobre 2014, au grade d'Officier de l'Ordre du Wissam Alaouite, par le Roi Mohammed VI. Leila Alaoui, photographe Née à Paris, Leila Alaoui s'installe à Marrakech avec ses parents pendant son enfance, puis s'envole pour les États-Unis, à l'âge de 17 ans, afin d'y poursuivre des études en cinéma et en sciences sociales. Passionnée par la photographie depuis son plus jeune âge, elle parcourt le Maroc avec son studio nomade pour immortaliser des
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