Skip to main content

Home/ JAMAÂ EL FNA/ Group items tagged 2013

Rss Feed Group items tagged

Véronique Ginouvès

Les Cahiers du Musée Berbère n°2 - 0 views

  •  
    " Après "Les Berbères aujourd'hui au Maroc", premier colloque du Musée Berbère qui s'est tenu à Marrakech en 2012, la Fondation Jardin Majorelle a proposé en 2013 une rencontre sur le thème "Savoirs et savoirs-faire amazighs, disparition ou adaptation ?". La communauté internationale et l'UNESCO ont célébré cette année le dixième anniversaire de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel adoptée par la Conférence Générale de l'Organisation en octobre 2013. Le Musée Berbère a accompagné cet événement mondial en inscrivant le thème de son deuxième colloque dans le mouvement de la sauvegarde du patrimoine culturel amazigh. Même si les savoirs et savoir-faire amazighs parviennent parfois à se réinventer, certains disparaissent. Les témoignages qui se sont succédés lors du colloque ont permis d'en prendre la mesure. Au-delà de ses missions de conservation, d'étude et de diffusion du patrimoine matériel amazigh, il appartient aussi au Musée berbère de mettre en évidence l'urgence de la préservation d'une culture immatérielle menacée. » (Extrait de l'Avant-propos de Björn Dahlstrom, conservateur du Musée Berbère) Avec les contributions de Ali Amahan, Cécile Duvelle, Narjys El Alaoui, Romain Simenel, Ahmed Skounti et Ouidad Tebba "
Véronique Ginouvès

Il était une fois… Jemaâ el Fna | Blog du Riad Dar Zampa - 0 views

  •  
    20 MAI 2013 Jemaâ el Fna… Le cœur palpitant de Marrakech. La place vers laquelle tous les touristes sont aussitôt envoyés depuis n'importe quel endroit de la médina. « Qu'est-ce que tu cherches ? La Place ? The Square ? C'est par là ». Cette place ne semble exister que pour eux, sorte d'attraction encouragée par le pouvoir pour soutenir l'industrie touristique. Assiégés par l'étrangeté du lieu, comprenons-nous réellement ce qui se passe à Jemaâ el Fna ? Notre regard se heurte aux roulottes des marchands de jus d'orange qui cernent les contours de l'espace triangulaire. Personne n'échappe à leurs interpellations. Le voyageur est tellement sollicité par ces vendeurs en surnombre que, même assoiffé, il se fait un point d'honneur de les ignorer. Les boutiques de vêtements et de souvenirs, pour la plupart estampillés « made in China », ouvrent leur devanture, et les allées sombres et poussiéreuses drainent la population de la médina pour la déverser de toute part sur cette agora marrakchia."
Véronique Ginouvès

Morocco Is Making The Most Of Its Status As A 'Secure' Tourist Destination | Cafe Clock... - 0 views

  •  
    "See more at: http://moroccoonthemove.com/2014/02/19/morocco-making-status-secure-tourist-destination-ibtimes/#sthash.keS9yldE.dpuf As tourism declines in Egypt, Morocco has been making the most of its status as a safer destination in Muslim North Africa. On Tuesday, a Sinai-based extremist group warned all tourists to leave Egypt within days, or risk attacks. The terror group, called Ansar Bayt al-Maqdis, is the same organization that claimed responsibility for the explosion of a South Korean tour bus near the Egyptian city of Taba on Sunday that killed four and injured 17."
Véronique Ginouvès

Jamaâ El Fna. La fin du spectacle ? - Tel Quel - 29 décembre 2013 - par Reda - 0 views

  •  
    "Halka. Même si l'agora marrakchie a été classée chef d'œuvre du patrimoine oral et immatériel de l'humanité en 2001, ses fameux saltimbanques n'en demeurent pas moins menacés de disparition. Marrakech sans ses hlaiquias ? Inimaginable. Pourtant, ces dépositaires d'une tradition qui a su se perpétuer bon gré mal gré, voient leur nombre diminuer sans quiconque pour assurer la relève. Montreurs de singes, charmeurs de serpents, conteurs, musiciens... aujourd'hui, ils sont moins de dix à exercer leur art sur la place Jamaâ El Fna, et encore, de façon intermittente. La cause ? Abdelhadi, un hlaiqui, avance que « c'est notre situation financière qui ne nous permet pas de recruter des apprentis à qui transmettre notre savoir. Quant à nos enfants, nous leur souhaitons une vie moins précaire que la nôtre ». Et d'ajouter : « Plusieurs projets ont soi-disant été mis en place afin d'améliorer notre condition, mais comme tous les projets... »"
Véronique Ginouvès

Préservation du patrimoine culturel: La Fondation nationale des musées mise s... - 0 views

  •  
    "La Fondation nationale des musées mise sur la multiplication des partenariats avec des acteurs nationaux et étrangers aussi bien publics que privés pour poursuivre l'effort de préservation du patrimoine culturel national, a affirmé son président, l'artiste-peintre Mehdi Qotbi. "La politique muséale engagée par le Maroc ne peut se suffire de l'apport de l'Etat, car le patrimoine appartient à tous les Marocains, de quelque confession soient-ils", a souligné M. Qotbi, lors d'une rencontre vendredi à Bruxelles au Centre de la culture judéo-marocaine."
Véronique Ginouvès

Maroc : une éclaircie touristique très localisée - 0 views

  •  
    "Après des années difficiles, l'activité repart... Mais pas partout. Si le Maroc a enfin passé en 2013 le cap des 10 millions de visiteurs, Marrakech concentre un tiers des nuitées. Et les projets de développement d'autres destinations tardent à se concrétiser."
Véronique Ginouvès

Marrakech: La petite histoire des porteurs d'eau - L'économiste, le premier q... - 1 views

  •  
    UN VIEUX MÉTIER RECONVERTI EN ATTRACTION TOURISTIQUE AUTREFOIS RESPECTÉ, LE «GUERRAB» D'AUJOURD'HUI A PERDU DE SA SPLENDEUR LA PLACE JAMAÂ EL FNA RESTE LEUR PRINCIPAL LIEU DE TRAVAIL "PAR tous les temps, les porteurs d'eau ambulants s'invitent sur les photographies souvenirs des visiteurs. Contre quelques dirhams, qu'il est préférable de négocier avant la prise de vue, ils posent fièrement comme des personnages historiques, chers au Royaume."
Véronique Ginouvès

Les questions juridiques de la numérisation du patrimoine culturel immatériel... - 0 views

  •  
    "Les questions juridiques de la numérisation du patrimoine culturel immatériel par Wang Li. Résumé du programme de recherche du même titre financé par le National Social Science Foundation of China. Ce programme est dirigé par Wangli Li (Associate professor, Faculty of Law, Central-South University, China PR. - Chercheur associée, EHESS-CNRS - Professeur invitée, Université Paris-Sud) L'origine de la problématique du patrimoine culturel immatériel (ci-après PCI), remonte aux  années 1950 avec la question de la protection du « folklore ». Le questionnement était double : d'une part la revendication d'une reconnaissance des identités culturelles des pays dits du Sud, d'autre part la question du droit de propriété intellectuelle pour protéger ces éléments culturels vivants. Longtemps, les solutions envisagées se positionnèrent uniquement dans la vision de conférer des droits exclusifs aux communautés sur leurs éléments culturels. Se trouvait ainsi au centre la question de l'appropriation de ces éléments. Or, les recherches ont démontré que le droit de propriété intellectuelle classique est inadapté pour opérer cette appropriation et par conséquent, pour offrir une protection à ces éléments. La Convention pour la sauvegarde du PCI de l'Unesco (2003) propose une vision différente. Elle évoque la sauvegarde des éléments de PCI en tant que tels notamment par les moyens du droit administratif et des actions publiques, au lieu de chercher à protéger les droits sur ces éléments. Les actions publiques ont comme fondement les intérêts de la diversité culturelle et des identités culturelles des communautés, cette identité culturelle se trouvant au centre de la définition du PCI proposée par l'article 2 de la convention. On est amené alors à se demander si cette vision de sauvegarde hors de l'appropriation est pertinente et suffisante. Au demeurant, la question de la protection des éléments de P
Véronique Ginouvès

http://www.igespar.pt/media/uploads/dgpc/Politicas_Publicas_para_o_Patrimonio_Imaterial... - 0 views

  •  
    Les inventaires: un dispositif obligatoire, validé par les Etats -Parties Si les diverses mesures contenues dans la convention n'ont aucun caractère contraignant pour les Etats signataires, il en est une, en revanche, qui est obligatoire. Elle concerne l'établissement d'inventaires, dont les modalités générales sont précisées à l'article 12.1 : «chaque Etat partie dresse (en anglais shall draw up), de façon adaptée à sa situation, un ou plusieurs inventaires du patrimoine culturel immatériel présent sur son territoire» art 12.1). A titre de comparaison, il faut noter que l'article 13 consacré aux «autres mesures de sauvegarde» (mise en place de programmes d' éducation, de sensibilisation et de renforcement des capacités etc), utilise un vocabulaire beaucoup moins contraignant: «En vue d'assurer la sauvegarde, le développement et la mise en valeur du patrimoine culturel immatériel présent sur son territoire, chaque Etat partie s'efforce de(…)[dans la version anglaise: shall endeavour to]». La création puis la mise à jour d'inventaires est une tâche impérative pour les Etats signataires, alors que les «autres mesures de sauvegarde» sont présentées dans le texte comme des actions souhaitables mais pas obligatoires. La finalité de ces inventaires est de permettre aux Etats d' «assurer l'identification en vue de la sauvegarde», afin d'«assurer la viabilité du patrimoine culturel immatériel, y compris [son] identification […]» (art. 2.3). La convention présente donc la réalisation des inventaires à la fois comme une mesure de sauvegarde en soi et comme une condition préalable à toutes les autres mesures de sauvegarde.
Véronique Ginouvès

Patrimoine : Les musées sortent de l'ornière - LE MATIN.ma - 0 views

  •  
    "Pas de véritable politique culturelle dédiée aux musées, pas de communication, pas de visiteurs, pas d'entretien des structures existantes… Un constat on ne peut plus alarmant. Le Maroc dispose d'une cinquantaine de musées dont seize seulement dépendent du ministère de la Culture. Les autres sont placés sous la tutelle d'autres ministères et administrations comme le ministère de la Communication ou encore Bank Al-Maghrib tandis que d'autres relèvent du privé. Pour la plupart, il s'agit de riads transformés en musées qui ne répondent pas aux normes internationales en termes de conservation et d'organisation des expositions permanentes, entre autres. Faute de moyens ou absence d'une politique culturelle dédiée à ces lieux d'art et de culture, la qualité des musées laisse à désirer. La faiblesse des moyens financiers et humains consacrés à ces institutions culturelles ne permet pas leur survie. Par conséquent, les musées sont rarement visités par les Marocains et moins encore par les touristes. «À quelques rares exceptions, la situation des musées au Maroc est très préoccupante. Je dirais même qu'il y va de notre patrimoine artistique et culturel», déplore Mohamed Rachdi, critique d'art et responsable au Musée d'art moderne et d'art contemporain de Rabat qui ouvrira ses portes prochainement. Cette situation est due aussi à la mauvaise gestion des musées."
Véronique Ginouvès

allAfrica.com: Maroc: La Fondation nationale des musées aspire à de nouvelles... - 0 views

  •  
    "La Fondation nationale des musées mise sur la multiplication des partenariats avec des acteurs nationaux et étrangers aussi bien publics que privés pour poursuivre l'effort de préservation du patrimoine culturel national, a affirmé son président, l'artiste-peintre Mehdi Qotbi."
Véronique Ginouvès

Tourisme (statistiques): Un baromètre en trompe-l'œil - Leconomiste.com - 0 views

  •  
    "n'y a pas que la place Jamaâ El Fna de Marrakech et les belles plages d'Agadir qui attirent les touristes au Maroc. Il y a surtout l'accueil et l'amabilité de la population, la gastronomie, la culture, l'hospitalité et les souks… autant de raisons avancées par les touristes sondés comme éléments positifs ayant marqué leur séjour. C'est ce que révèle le baromètre de l'Observatoire du tourisme (1er trimestre) sur le suivi de la satisfaction des touristes. Pris globalement, 53% d'entre eux sont «satisfaits ou très satisfaits de leur séjour», contre 6% de peu ou pas du tout satisfaits. De l'analyse de leurs parcours et leur satisfaction, par rapport aux différents produits et services qu'ils consomment, «il ressort que l'accueil et l'amabilité de la population recueillent le plus de satisfaits avec un taux de 75%, la restauration 74% et la diversité de l'offre Maroc un taux de 73%». On ne va pas bouder notre plaisir. «Ça fait toujours chaud au cœur de savoir que nos hôtes repartent satisfaits de leur séjour chez nous», commente un opérateur."
Véronique Ginouvès

Portrait de Ouidad Tebba, Marrakech - L'esprit voyageurs - 0 views

  •  
    "Ouidad Tebbaa, Doyenne de la faculté des lettres et des Sciences humaines de Marrakech nous raconte son engagement pour la sauvegarde de la place Jemma El-Fna. On écoute Ouidad, et c'est tout un peuple de saltimbanques, de cartomanciens et de tartufes qui déploient face à nous leurs charmes et leurs cabrioles ! "
Véronique Ginouvès

Jamaa El fna est à Marrakech ce que l'hal9a est à Jamaa El Fna - Quid.ma I Ac... - 0 views

  •  
    "Toutefois, la préservation de ce patrimoine typiquement marocain nécessite la conjugaison de plusieurs efforts de citoyens, acteurs politiques et institutionnels afin que la place Jamaâ El Fna soit éternellement rayonnante et inimitable."
Véronique Ginouvès

Maghress : Un patrimoine en péril - 0 views

  •  
    "Place Jemaa El Fna, le silence du conteur Au-delà des clichés, la place Jemaa El Fna est l'emblème de la ville ocre; c'est le passage obligé pour tout visiteur de la ville. Mais aussi de la population de la ville elle-même. Pour le touriste, une photo prise sur la célèbre place est une forme de signature attestant de la validité du séjour marrakc"
1 - 17 of 17
Showing 20 items per page