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Véronique Ginouvès

Les Cahiers du Musée Berbère n°2 - 0 views

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    " Après "Les Berbères aujourd'hui au Maroc", premier colloque du Musée Berbère qui s'est tenu à Marrakech en 2012, la Fondation Jardin Majorelle a proposé en 2013 une rencontre sur le thème "Savoirs et savoirs-faire amazighs, disparition ou adaptation ?". La communauté internationale et l'UNESCO ont célébré cette année le dixième anniversaire de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel adoptée par la Conférence Générale de l'Organisation en octobre 2013. Le Musée Berbère a accompagné cet événement mondial en inscrivant le thème de son deuxième colloque dans le mouvement de la sauvegarde du patrimoine culturel amazigh. Même si les savoirs et savoir-faire amazighs parviennent parfois à se réinventer, certains disparaissent. Les témoignages qui se sont succédés lors du colloque ont permis d'en prendre la mesure. Au-delà de ses missions de conservation, d'étude et de diffusion du patrimoine matériel amazigh, il appartient aussi au Musée berbère de mettre en évidence l'urgence de la préservation d'une culture immatérielle menacée. » (Extrait de l'Avant-propos de Björn Dahlstrom, conservateur du Musée Berbère) Avec les contributions de Ali Amahan, Cécile Duvelle, Narjys El Alaoui, Romain Simenel, Ahmed Skounti et Ouidad Tebba "
Véronique Ginouvès

Le patrimoine de la place Jemaa El Fna de Marrakech : entre le matériel et l... - 0 views

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    En 2001, l'Unesco a déclaré la place Jemaa El Fna patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Symbole de la ville de Marrakech, ce lieu constitue un témoignage unique des nombreuses traditions et cultures qui s'y retrouvent pour se mêler ou cohabiter. Cependant, la déclaration de l'Unesco n'a pas réussi à écarter la menace de disparition qui pèse sur les traditions millénaires de la place. En effet, l'affluence touristique engendrée par la proclamation et par l'évolution même de la société civile marocaine ont sérieusement affecté la dynamique de la place. Tandis que les activités commerciales ont gagné en importance, l'art des conteurs, des charmeurs de serpents ou des acrobates a été relégué à un deuxième plan, rendant de plus en plus précaires les conditions de travail de ces personnes.
Véronique Ginouvès

Etincelles III : A la découverte de nos richesses oubliées | Lnt.ma - 0 views

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    "Quand on pénètre dans la double salle d'exposition au sein de la galerie Eldon et Choukry dans le cadre de la future exposition Etincelles III, qui se déroulera du 7 au 17 mai prochains, on a l'impression que l'on se trouve à mi-chemin entre un musée et la caverne d'Ali Baba. Ou bien, comme pourraient le penser hélas beaucoup de nos compatriotes, l'échoppe d'un marchand de la place Jamaa El Fna. Non pas qu'Etincelles III ne soit pas bien conçue et présentée, bien au contraire, mais c'est parce qu'au Maroc, nous avons pris l'habitude de traiter notre patrimoine artistique comme de vulgaires objets de décoration que l'on achète pour donner un air plus «marocain» à notre salon. La famille Choukri, Nadia, Miriam, et leur père Abderrahmane, se place à l'opposé de cet état d'esprit regrettable, et clame haut et fort sa passion pour l'héritage culturel et artistique, islamique et marocain. Leurs choix de carrière parlent d'eux-mêmes : Abderrahmane est membre fondateur de l'Association Nationale des Antiquaires et Brocanteurs (ANAB) et expert consultant auprès de nombreux organismes, Nadia est la première femme experte assermentée en Beaux-Arts et Antiquités près les Tribunaux du Maroc, et Miriam est conservatrice et restauratrice de porcelaines et céramiques anciennes au Maroc."
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