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Véronique Ginouvès

Une première approche sur la transmission du chant diphonique en Mongolie - 0 views

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    "Une première approche sur la transmission du chant diphonique en Mongolie A first approach on the transmission of overtone singing in Mongolia Johanni Curtet Résumé | Index | Plan | Notes de l'auteur | Texte | Bibliographie | Notes | Citation | Auteur Résumés FrançaisEnglish Transmis par l'oralité de génération en génération dans les provinces de l'Altaï, l'enseignement du chant diphonique mongol (höömij) est aussi entré dans les milieux urbains et la sphère institutionnelle de l'université dans les années 1990. Face aux changements sociaux rapides que la Mongolie a connus en moins d'un siècle, d'importantes transformations ont été apportées au chant diphonique. À travers trois générations, les pratiques de transmission du höömij ont évolué et des enjeux identitaires se sont progressivement installés entre les chanteurs de höömij, mais aussi dans le monde politique. La transmission du chant diphonique n'est plus la même lorsque l'on passe du local au global ni quand le höömij fait l'objet d'une inscription sur la liste représentative du Patrimoine Culturel Immatériel de l'Unesco."
Véronique Ginouvès

Le trouble du patrimoine culturel immatériel - 0 views

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    L'approche que nous avons choisie pour aborder la question du PCI est fondée sur une analyse pragmatique de l'institution de cette catégorie patrimoniale. Par « PCI » nous n'entendons donc ni les pratiques culturelles elles-mêmes (selon une acception descriptive), ni les pratiques culturelles qui sont passées par un processus de patrimonialisation indépendant du cadre normatif imposé par les programmes de l'Unesco (selon une acception élargie). Nous avons en somme essayé de considérer une forme spécifique d'institution de la culture, qui ne touche pas seulement aux enjeux de la patrimonialisation d'expressions correspondant à la définition anthropologique de la « culture », mais qui interroge de façon plus spécifique les problématiques de l'institution du « patrimoine culturel immatériel » comme conséquence de l'application d'un instrument normatif international négocié au sein de l'Unesco : la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Véronique Ginouvès

Marrakech: la place Jamaâ el-Fna en danger! - 0 views

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    Article de Patrick Marescaux à partir d'un entretien avec Jafaar Kansoussi, spécialiste des Médinas
Véronique Ginouvès

Nouveaux projets de réhabilitation de l'ancienne médina de Marrakech - 0 views

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    31M de DH consacrés à la réhabilitation du centre historique de Marakech qualifiée de "cité musée"
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    31M de DH consacrés à la réhabilitation du centre historique de Marakech qualifiée de "cité musée"
Véronique Ginouvès

Nouveaux regards sur l'interprétation et les centres d'interprétation - 0 views

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    "Dans un dossier déjà ancien de la Lettre de l'OCIM (n° 61, 1999), nous avions publié une série de textes sur l'interprétation 1. L'interprétation y était décrite comme une notion singulière, polysémique, mais plutôt appétissante au point d'être de plus en plus employée dans le monde des musées. Parler dorénavant d'un équipement en précisant qu'il s'agit d'un centre d'interprétation (et non pas d'un musée) ou d'un parcours d'interprétation et non pas d'un sentier pédagogique ou d'un itinéraire de découverte est devenu presque banal. Certes, le flou de la notion de musée et les difficultés de désigner une offre culturelle aménagée hors d'un bâtiment dédié à cet effet appellent à renouveler le vocabulaire de la communication. Rappelons pourtant que les centres d'interprétation ne sont nouveaux qu'en Europe puisque c'est sur le modèle des parcs nationaux, de l'autre côté de l'Atlantique, qu'ils ont été importés vers la fin des années 1970."
Véronique Ginouvès

Grandeurs et déclin du centre d'interprétation / Luc Noppen et Lucie K. Morisset - 0 views

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    "Les centres d'interprétation semblent avoir la cote ces jours-ci. Bien avant que des centres d'interprétation, comme celui qui aurait pu pérenniser la bataille du Long-Sault, permettent de rappeler aux sens ce qu'il n'était plus possible de voir, l'interprétation, ou plutôt la compréhension, était le fait d'une culture commune et préalable, de connaissances partagées, par exemple par ces « connoisseurs » ou par les aristocrates britanniques qui complétaient leur éducation dans la contemplation des ruines vers lesquelles les conduisait le Grand Tour. Qui visitait un site ou un monument, bref, était a priori réputé en mesure de s'en représenter les significations et l'intérêt. Dans ce contexte, l'idée d'interprétation est née dans la médiation entre un paysage et un public, ou entre quelque collectionnement et ses « connoisseurs » auxquels un individu, généralement érudit, proposait le sens qu'il avait décodé, d'un objet ou d'un lieu. ) Les parcs, les musées et les sites historiques ne sont plus les seuls sujets de l'interprétation, dans ces « attractions en soi » que se veulent de plus en plus de centres d'interprétation ; ce phénomène d'expansion, qu'il faut alors mettre en lien avec la mondialisation de l'administration du patrimoine représentée par l'Unesco et avec l'émergence du « patrimoine immatériel » qui s'en est suivie, veut en effet que l'on puisse dorénavant interpréter le visible comme l'invisible, et le réel comme l'impossible."
Véronique Ginouvès

27-3 | 2008 Nouveaux musées, nouveaux tourismes - 0 views

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    "S'ils ont jadis soutenu la recherche scientifique, la formation aux arts ou quelque idéologie de construction nationale, les musées se déploient maintenant plutôt dans l'univers touristique ; depuis la Deuxième Guerre, il n'est guère de chantier muséal, construction neuve ou rénovation, que ses promoteurs n'aient justifié par la rétention de touristes, particulièrement en milieu urbain. Or, ce qui pouvait passer pour une densification de l'offre en termes d'activités relève dorénavant clairement d'une guerre d'images, encadrée par les principes d'une stratégie de marque bien plus que par ceux de la muséologie : les dix dernières années du XXe siècle, puis cette décennie-ci, ont ainsi vu se multiplier nouveaux grands musées et rénovations majeures d'institutions reconnues, toutes figures emblématiques conçues comme des produits d'appel. Tout se passe alors comme si l'on parvenait, en théorie, à une adéquation quasi totale de l'image de la destination, de l'expérience touristique et de l'identité urbaine : du nord au sud et jusque dans des coins bien moins connus de notre planète, le musée Guggenheim est Bilbao, le cœur de Paris est au quai Branly, Groningen est un Museum."
Véronique Ginouvès

Place Jamaâ El Fna : Les conteurs montent au créneau - 0 views

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    "La cité impériale a connu récemment l'organisation d'un sit-in des conteurs de Jamaâ El Fna, une place reconnue patrimoine mondial de l'humanité. Les conteurs demandent à faire valoir leurs droits."
Véronique Ginouvès

Jemâa El Fna, espace magique - 0 views

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    "emâa El Fna, située au coeur de la médina de Marrakech, est l'espace le plus animé de la cité ocre. Les autorités locales ont procédé à des réaménagements dans ses alentours pour lui conserver son authenticité et son prestige."
Véronique Ginouvès

Morocco Is Making The Most Of Its Status As A 'Secure' Tourist Destination | Cafe Clock... - 0 views

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    "See more at: http://moroccoonthemove.com/2014/02/19/morocco-making-status-secure-tourist-destination-ibtimes/#sthash.keS9yldE.dpuf As tourism declines in Egypt, Morocco has been making the most of its status as a safer destination in Muslim North Africa. On Tuesday, a Sinai-based extremist group warned all tourists to leave Egypt within days, or risk attacks. The terror group, called Ansar Bayt al-Maqdis, is the same organization that claimed responsibility for the explosion of a South Korean tour bus near the Egyptian city of Taba on Sunday that killed four and injured 17."
Véronique Ginouvès

Jamaâ El Fna. La fin du spectacle ? - Tel Quel - 29 décembre 2013 - par Reda - 0 views

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    "Halka. Même si l'agora marrakchie a été classée chef d'œuvre du patrimoine oral et immatériel de l'humanité en 2001, ses fameux saltimbanques n'en demeurent pas moins menacés de disparition. Marrakech sans ses hlaiquias ? Inimaginable. Pourtant, ces dépositaires d'une tradition qui a su se perpétuer bon gré mal gré, voient leur nombre diminuer sans quiconque pour assurer la relève. Montreurs de singes, charmeurs de serpents, conteurs, musiciens... aujourd'hui, ils sont moins de dix à exercer leur art sur la place Jamaâ El Fna, et encore, de façon intermittente. La cause ? Abdelhadi, un hlaiqui, avance que « c'est notre situation financière qui ne nous permet pas de recruter des apprentis à qui transmettre notre savoir. Quant à nos enfants, nous leur souhaitons une vie moins précaire que la nôtre ». Et d'ajouter : « Plusieurs projets ont soi-disant été mis en place afin d'améliorer notre condition, mais comme tous les projets... »"
Véronique Ginouvès

Les questions juridiques de la numérisation du patrimoine culturel immatériel... - 0 views

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    "Les questions juridiques de la numérisation du patrimoine culturel immatériel par Wang Li. Résumé du programme de recherche du même titre financé par le National Social Science Foundation of China. Ce programme est dirigé par Wangli Li (Associate professor, Faculty of Law, Central-South University, China PR. - Chercheur associée, EHESS-CNRS - Professeur invitée, Université Paris-Sud) L'origine de la problématique du patrimoine culturel immatériel (ci-après PCI), remonte aux  années 1950 avec la question de la protection du « folklore ». Le questionnement était double : d'une part la revendication d'une reconnaissance des identités culturelles des pays dits du Sud, d'autre part la question du droit de propriété intellectuelle pour protéger ces éléments culturels vivants. Longtemps, les solutions envisagées se positionnèrent uniquement dans la vision de conférer des droits exclusifs aux communautés sur leurs éléments culturels. Se trouvait ainsi au centre la question de l'appropriation de ces éléments. Or, les recherches ont démontré que le droit de propriété intellectuelle classique est inadapté pour opérer cette appropriation et par conséquent, pour offrir une protection à ces éléments. La Convention pour la sauvegarde du PCI de l'Unesco (2003) propose une vision différente. Elle évoque la sauvegarde des éléments de PCI en tant que tels notamment par les moyens du droit administratif et des actions publiques, au lieu de chercher à protéger les droits sur ces éléments. Les actions publiques ont comme fondement les intérêts de la diversité culturelle et des identités culturelles des communautés, cette identité culturelle se trouvant au centre de la définition du PCI proposée par l'article 2 de la convention. On est amené alors à se demander si cette vision de sauvegarde hors de l'appropriation est pertinente et suffisante. Au demeurant, la question de la protection des éléments de P
Véronique Ginouvès

Inventaire du patrimoine immatériel en France : du recensement à la critique ... - 0 views

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    Les carnets du Lahis, n°3, 2008
flomaz

Abdelmajid Arrif, La place Jamaâ Lafna, lieu patrimonial d'une oralité invent... - 0 views

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    Article d'une intervention colloque "La réinvention du "lien" en Méditerranée. Figures, formes, métamorphoses à Marrakech. Abdelmajid Arrif, La place Jamaâ Lafna, lieu patrimonial d'une oralite inventive «Actualiser, c'est conférer une fonction temporelle à ce qui est "hors du temps". Prise comme une finalité déterminante de la muséographie, l'actualisation est une manière de combler l'intemporel.Or, le temps est inactuel. Il est rendu actuel par l'effet voulu d'une simultanéité temporelle que produit le mirage d'une équivalence représentative entre le passé et le présent, dans la mise au futur de la transmission. Cette gestion anticipée du temps, développée par le traitement patrimonial du devenir des cultures, annule toute possibilité d'accident de la transmission. Anticiper ce qui doit se transmettre, c'est gouverner le processus d'actualisation ensupprimant la puissance de l'inactuel. (…) Si la transmission du sens semble bien se construire (et le musée en serait une preuve parmi d'autres), elle demeure pourtantimprévisible, elle est un appel à l'inconnu.3»
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    Marrakech, actes du colloque (2011) à paraitre...
Véronique Ginouvès

Jamaa El fna est à Marrakech ce que l'hal9a est à Jamaa El Fna - Quid.ma I Ac... - 0 views

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    "Toutefois, la préservation de ce patrimoine typiquement marocain nécessite la conjugaison de plusieurs efforts de citoyens, acteurs politiques et institutionnels afin que la place Jamaâ El Fna soit éternellement rayonnante et inimitable."
Véronique Ginouvès

Touristes harcelés par des "gnaouis", l'image noire du tourisme à Marrakech - 0 views

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    Marrakech : Il est des "fléaux" qui continuent de ternir l'image du tourisme dans la ville de Marrakech, malgré tous les efforts fournis pour donner éclat à cette image.
Véronique Ginouvès

Sea, surf and… Jamaâ El Fna, le Maroc grimpe tous les classements | H24info - 0 views

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    "Deux récents classements mondiaux place le Maroc comme troisième meilleure destination mondiale pour le surf et Jamaâ El Fna comme deuxième plus importante place publique au monde."
Véronique Ginouvès

La place Jamaâ El Fna se dote de nouvelles structures - MarocZone - 0 views

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    Le nouveau mobilier comprend des tables ainsi que des sièges plus confortables où les consommateurs pourront mieux apprécier leurs repas. Des lave-mains ont aussi été installés afin d'améliorer les conditions d'hygiène. Les employés sur place s'attendent aussi au « renouvellement de plus de 60 stands de restauration » installés à Jamaâ El Fna afin « d'améliorer les services proposés sur place ». Des restaurateurs sur place se plaignent pourtant « qu'on les ait obligés à payer une somme de 35 000 dirhams afin d'acquérir un salon au sein des nouvelles structures » sans que l'Initiative nationale du développement humain (INDH) n'intervienne, selon le portail d'information arabophone Hespress. Les employés déplorent aussi le fait que la place ne soit toujours pas branchée à l'électricité, l'eau potable et les réseaux d'assainissement. Contacté par Hespress, un responsable de l'INDH à Marrakech à précisé que « cette initiative n'aide que les personnes dans le besoin, certains restaurants sur la place gagnent plus de 10 000 dirhams quotidiennement ».
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