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Véronique Ginouvès

Info Maroc News | Musées marocains : Qotbi récupère la gestion - 0 views

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    Musées marocains : Qotbi récupère la gestion (www.infomediaire.ma) - A partir d'aujourd'hui, mercredi 5 février 2014, le ministère de la Culture passera officiellement la gestion des musées à la Fondation nationale des musées présidée par Mehdi Qotbi. Une commission tripartite de passation composée du ministère de la Culture, du ministère de l'Economie et des Finances et de la Fondation nationale des musées a été chargée de faire un état des lieux des 14 musées relevant du ministère de la Culture. Ce transfert concerne le Musée Ethnographique de Chefchaouen, le Musée Dar Si Said de Marrakech, le Musée Archéologique de Tétouan, le Musée Ethnographique Bab Okla de Tétouan, le Musée de la Kasbah de Tanger, le Musée National des Arts Sahariens de Laayoune, le Musée Batha de Fès, le Musée Dar Jamai de Meknès, le Musée Borj Belqari de Meknès, le Musée National de la poterie de Safi, le Musée Dar El Bacha de Marrakech, le Musée des Oudayas de Rabat, le Musée Archéologique de Rabat et le Musée national des arts modernes de Rabat."
Véronique Ginouvès

Patrimoine : Les musées sortent de l'ornière - LE MATIN.ma - 0 views

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    "Pas de véritable politique culturelle dédiée aux musées, pas de communication, pas de visiteurs, pas d'entretien des structures existantes… Un constat on ne peut plus alarmant. Le Maroc dispose d'une cinquantaine de musées dont seize seulement dépendent du ministère de la Culture. Les autres sont placés sous la tutelle d'autres ministères et administrations comme le ministère de la Communication ou encore Bank Al-Maghrib tandis que d'autres relèvent du privé. Pour la plupart, il s'agit de riads transformés en musées qui ne répondent pas aux normes internationales en termes de conservation et d'organisation des expositions permanentes, entre autres. Faute de moyens ou absence d'une politique culturelle dédiée à ces lieux d'art et de culture, la qualité des musées laisse à désirer. La faiblesse des moyens financiers et humains consacrés à ces institutions culturelles ne permet pas leur survie. Par conséquent, les musées sont rarement visités par les Marocains et moins encore par les touristes. «À quelques rares exceptions, la situation des musées au Maroc est très préoccupante. Je dirais même qu'il y va de notre patrimoine artistique et culturel», déplore Mohamed Rachdi, critique d'art et responsable au Musée d'art moderne et d'art contemporain de Rabat qui ouvrira ses portes prochainement. Cette situation est due aussi à la mauvaise gestion des musées."
Véronique Ginouvès

Les Cahiers du Musée Berbère n°2 - 0 views

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    " Après "Les Berbères aujourd'hui au Maroc", premier colloque du Musée Berbère qui s'est tenu à Marrakech en 2012, la Fondation Jardin Majorelle a proposé en 2013 une rencontre sur le thème "Savoirs et savoirs-faire amazighs, disparition ou adaptation ?". La communauté internationale et l'UNESCO ont célébré cette année le dixième anniversaire de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel adoptée par la Conférence Générale de l'Organisation en octobre 2013. Le Musée Berbère a accompagné cet événement mondial en inscrivant le thème de son deuxième colloque dans le mouvement de la sauvegarde du patrimoine culturel amazigh. Même si les savoirs et savoir-faire amazighs parviennent parfois à se réinventer, certains disparaissent. Les témoignages qui se sont succédés lors du colloque ont permis d'en prendre la mesure. Au-delà de ses missions de conservation, d'étude et de diffusion du patrimoine matériel amazigh, il appartient aussi au Musée berbère de mettre en évidence l'urgence de la préservation d'une culture immatérielle menacée. » (Extrait de l'Avant-propos de Björn Dahlstrom, conservateur du Musée Berbère) Avec les contributions de Ali Amahan, Cécile Duvelle, Narjys El Alaoui, Romain Simenel, Ahmed Skounti et Ouidad Tebba "
Véronique Ginouvès

27-3 | 2008 Nouveaux musées, nouveaux tourismes - 0 views

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    "S'ils ont jadis soutenu la recherche scientifique, la formation aux arts ou quelque idéologie de construction nationale, les musées se déploient maintenant plutôt dans l'univers touristique ; depuis la Deuxième Guerre, il n'est guère de chantier muséal, construction neuve ou rénovation, que ses promoteurs n'aient justifié par la rétention de touristes, particulièrement en milieu urbain. Or, ce qui pouvait passer pour une densification de l'offre en termes d'activités relève dorénavant clairement d'une guerre d'images, encadrée par les principes d'une stratégie de marque bien plus que par ceux de la muséologie : les dix dernières années du XXe siècle, puis cette décennie-ci, ont ainsi vu se multiplier nouveaux grands musées et rénovations majeures d'institutions reconnues, toutes figures emblématiques conçues comme des produits d'appel. Tout se passe alors comme si l'on parvenait, en théorie, à une adéquation quasi totale de l'image de la destination, de l'expérience touristique et de l'identité urbaine : du nord au sud et jusque dans des coins bien moins connus de notre planète, le musée Guggenheim est Bilbao, le cœur de Paris est au quai Branly, Groningen est un Museum."
Véronique Ginouvès

Nouveaux regards sur l'interprétation et les centres d'interprétation - 0 views

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    "Dans un dossier déjà ancien de la Lettre de l'OCIM (n° 61, 1999), nous avions publié une série de textes sur l'interprétation 1. L'interprétation y était décrite comme une notion singulière, polysémique, mais plutôt appétissante au point d'être de plus en plus employée dans le monde des musées. Parler dorénavant d'un équipement en précisant qu'il s'agit d'un centre d'interprétation (et non pas d'un musée) ou d'un parcours d'interprétation et non pas d'un sentier pédagogique ou d'un itinéraire de découverte est devenu presque banal. Certes, le flou de la notion de musée et les difficultés de désigner une offre culturelle aménagée hors d'un bâtiment dédié à cet effet appellent à renouveler le vocabulaire de la communication. Rappelons pourtant que les centres d'interprétation ne sont nouveaux qu'en Europe puisque c'est sur le modèle des parcs nationaux, de l'autre côté de l'Atlantique, qu'ils ont été importés vers la fin des années 1970."
Véronique Ginouvès

Préservation du patrimoine culturel: La Fondation nationale des musées mise s... - 0 views

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    "La Fondation nationale des musées mise sur la multiplication des partenariats avec des acteurs nationaux et étrangers aussi bien publics que privés pour poursuivre l'effort de préservation du patrimoine culturel national, a affirmé son président, l'artiste-peintre Mehdi Qotbi. "La politique muséale engagée par le Maroc ne peut se suffire de l'apport de l'Etat, car le patrimoine appartient à tous les Marocains, de quelque confession soient-ils", a souligné M. Qotbi, lors d'une rencontre vendredi à Bruxelles au Centre de la culture judéo-marocaine."
Véronique Ginouvès

allAfrica.com: Maroc: La Fondation nationale des musées aspire à de nouvelles... - 0 views

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    "La Fondation nationale des musées mise sur la multiplication des partenariats avec des acteurs nationaux et étrangers aussi bien publics que privés pour poursuivre l'effort de préservation du patrimoine culturel national, a affirmé son président, l'artiste-peintre Mehdi Qotbi."
Véronique Ginouvès

Nouveaux projets de réhabilitation de l'ancienne médina de Marrakech - 0 views

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    31M de DH consacrés à la réhabilitation du centre historique de Marakech qualifiée de "cité musée"
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    31M de DH consacrés à la réhabilitation du centre historique de Marakech qualifiée de "cité musée"
Véronique Ginouvès

Grandeurs et déclin du centre d'interprétation / Luc Noppen et Lucie K. Morisset - 0 views

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    "Les centres d'interprétation semblent avoir la cote ces jours-ci. Bien avant que des centres d'interprétation, comme celui qui aurait pu pérenniser la bataille du Long-Sault, permettent de rappeler aux sens ce qu'il n'était plus possible de voir, l'interprétation, ou plutôt la compréhension, était le fait d'une culture commune et préalable, de connaissances partagées, par exemple par ces « connoisseurs » ou par les aristocrates britanniques qui complétaient leur éducation dans la contemplation des ruines vers lesquelles les conduisait le Grand Tour. Qui visitait un site ou un monument, bref, était a priori réputé en mesure de s'en représenter les significations et l'intérêt. Dans ce contexte, l'idée d'interprétation est née dans la médiation entre un paysage et un public, ou entre quelque collectionnement et ses « connoisseurs » auxquels un individu, généralement érudit, proposait le sens qu'il avait décodé, d'un objet ou d'un lieu. ) Les parcs, les musées et les sites historiques ne sont plus les seuls sujets de l'interprétation, dans ces « attractions en soi » que se veulent de plus en plus de centres d'interprétation ; ce phénomène d'expansion, qu'il faut alors mettre en lien avec la mondialisation de l'administration du patrimoine représentée par l'Unesco et avec l'émergence du « patrimoine immatériel » qui s'en est suivie, veut en effet que l'on puisse dorénavant interpréter le visible comme l'invisible, et le réel comme l'impossible."
Véronique Ginouvès

Magazine | Insolites : Les contes de Jemaa El Fna à Marrakech pendant la bien... - 0 views

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    "Pendant la Biennale de Marrakech, qui se tiendra du 26 février au 31 mars 2014, la ville dans son entier se livre à l'art et à la création. Une multitude d'évènements, petits et grands, dans la rue, dans les cafés, dans les riads, dans les musées ou sur des scènes, se laisseront découvrir au plus grand nombre. Une déambulation dans les rues de la cité deviendra une aventure de l'imaginaire où toutes les curiosités pourront être satisfaites. De l'art plastique au mot en passant par l'image les surprises seront à chaque détour des ruelles de la médina comme des avenues de la ville nouvelle."
flomaz

Abdelmajid Arrif, La place Jamaâ Lafna, lieu patrimonial d'une oralité invent... - 0 views

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    Article d'une intervention colloque "La réinvention du "lien" en Méditerranée. Figures, formes, métamorphoses à Marrakech. Abdelmajid Arrif, La place Jamaâ Lafna, lieu patrimonial d'une oralite inventive «Actualiser, c'est conférer une fonction temporelle à ce qui est "hors du temps". Prise comme une finalité déterminante de la muséographie, l'actualisation est une manière de combler l'intemporel.Or, le temps est inactuel. Il est rendu actuel par l'effet voulu d'une simultanéité temporelle que produit le mirage d'une équivalence représentative entre le passé et le présent, dans la mise au futur de la transmission. Cette gestion anticipée du temps, développée par le traitement patrimonial du devenir des cultures, annule toute possibilité d'accident de la transmission. Anticiper ce qui doit se transmettre, c'est gouverner le processus d'actualisation ensupprimant la puissance de l'inactuel. (…) Si la transmission du sens semble bien se construire (et le musée en serait une preuve parmi d'autres), elle demeure pourtantimprévisible, elle est un appel à l'inconnu.3»
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    Marrakech, actes du colloque (2011) à paraitre...
Véronique Ginouvès

Etincelles III : A la découverte de nos richesses oubliées | Lnt.ma - 0 views

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    "Quand on pénètre dans la double salle d'exposition au sein de la galerie Eldon et Choukry dans le cadre de la future exposition Etincelles III, qui se déroulera du 7 au 17 mai prochains, on a l'impression que l'on se trouve à mi-chemin entre un musée et la caverne d'Ali Baba. Ou bien, comme pourraient le penser hélas beaucoup de nos compatriotes, l'échoppe d'un marchand de la place Jamaa El Fna. Non pas qu'Etincelles III ne soit pas bien conçue et présentée, bien au contraire, mais c'est parce qu'au Maroc, nous avons pris l'habitude de traiter notre patrimoine artistique comme de vulgaires objets de décoration que l'on achète pour donner un air plus «marocain» à notre salon. La famille Choukri, Nadia, Miriam, et leur père Abderrahmane, se place à l'opposé de cet état d'esprit regrettable, et clame haut et fort sa passion pour l'héritage culturel et artistique, islamique et marocain. Leurs choix de carrière parlent d'eux-mêmes : Abderrahmane est membre fondateur de l'Association Nationale des Antiquaires et Brocanteurs (ANAB) et expert consultant auprès de nombreux organismes, Nadia est la première femme experte assermentée en Beaux-Arts et Antiquités près les Tribunaux du Maroc, et Miriam est conservatrice et restauratrice de porcelaines et céramiques anciennes au Maroc."
Véronique Ginouvès

La naissance du mythe de Marrakech du Musée social à Internet - 1 views

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    "Cette conférence retrace les grandes lignes du développement urbain mis en place à Marrakech pendant le protectorat marocain et plus particulièrement pendant la période lyauteyenne. L'accent est mis, d'une part, sur l'origine d'une série de stéréotypes qui ont été "spatialisés" à travers la conception du plan de la ville et, d'autre part, sur la mise en valeur d'éléments communs entre la politique urbaine de la période coloniale et les plans de développement actuels de la ville. En effet, le colonialisme a produit, par le biais de la littérature et de l'art, une série d'images ayant alimenté un imaginaire collectif qui se sont par la suite concrétisées dans l'espace urbain. Les descriptions littéraires et les tableaux orientalistes représentant un paysage exotique et envoûtant ont en effet influencé la perception de la ville et sa conception chez les urbanistes. De cette manière, les éléments du skyline de Marrakech (Haut-Atlas, Koutoubia, murailles, palmiers) ont été codifiés pour devenir les points de repère de la ville et les bases de la conception de son plan. Ces images ont, en outre, contribué à former un discours très cohérent sur le Maroc en général et sur Marrakech en particulier, qu'on retrouve encore aujourd'hui. Rachele Borghi est géographe, chargée de recherche à l'université Ca'Foscari de Venise."
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