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JM Delahais

owni.fr, digital journalism » Article » Historique de l'érosion de la vie pri... - 2 views

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    "Depuis que Facebook est devenu une entreprise il y a cinq ans on assiste à une remarquable transformation. A ses débuts, il s'agissait d'un espace privé pour communiquer avec les groupes de votre choix. Peu de temps après, c'est devenu une plateforme sur laquelle la plupart de vos informations étaient publiques par défaut. Aujourd'hui, c'est devenu une plateforme sur laquelle vous n'avez pas d'autre choix que de rendre certaines informations publiques, et ces informations peuvent être partagées par Facebook avec ses partenaires et utilisées pour cibler les publicités."
Christophe Deschamps

Ce qui manque aux médias sociaux ? L'intelligence - 4 views

  • La valeur de ces outils dans l’entreprise repose sur l’intelligence, et ce à double titre :- l’intelligence que les utilisateurs y déposent- l’intelligence dont ils font preuve pour s’y retrouver
  • Aujourd’hui les utilisateurs les plus actifs en entreprise sont ceux qui satisfont le second critère, que ce soit par habitude personnelle ou capacité à apprendre vite. Ce qui pose deux problèmes :- la valeur résultant d’un certain niveau critique d’utilisation, il faut aller au delà de ce premier groupe de personnes et rendre les choses simples pour n’importe qui dans l’entreprise.- tout étant question de temps, il est logique qu’au niveau de l’entreprise on soit soucieux de voir les collaborateurs utiliser leur temps pour partager de l’intelligence et l’utiliser dans le cadre de leur travail que la trier pour se la rendre utilisable.
  • il serait bon de ne pas seulement se fier à l’intelligence des utilisateurs mais également essayer d’incorporer une forme d’intelligence dans le produit. Autrement dit, après avoir exploré la manière de mettre les logiques de social media au service de la Business Intelligence, essayons de mettre la BI au service de ces outils.
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  • il importe donc de réunir l’ensemble de ces signaux en un endroit unique où ils pourront être traités sans que le collaborateur ne se disperse, ce qui rend encore plus indispensable de rendre cet endroit unique intelligent. Cela peut se faire de deux manières :- en laissant l’utilisateur “dire” à l’outil ce qui est le plus important pour lui- en rendant l’outil capable de comprendre les priorités de chacun en apprenant de leurs usages, ce qui est un pur travail de BI.
  • on ne s’attend pas une seconde à ce qu’un outil métier anticipe un besoin et vienne se mêler à une conversation. C’est pourtant quelque chose de souhaitable qui finira bien par arriver.
  • . Plus on rendra le système intelligent plus le collaborateur pourra se consacrer à des tâches où sa valeur ajoutée est unique, où il est irremplaçable. L’outil métier, avant d’intéragir avec l’utilisateur doit en effet être capable d’apprendre de lui.
  • Une dernière raison à cette évolution inéluctable : lorsqu’on regarde le marché des logiciels “sociaux” d’entreprise on ne peut que constater deux choses :- leur valeur réside dans l’intelligence des collaborateurs- en termes de produit n’importe qui peut, avec quelques moyens, développer une application comprenant blogs, wikis, boomarks, microblog, espaces communautaires et activity stream. La preuve : de nouvelles plateformes voient le jour chaque semaine et la plupart se ressemblent trait pour trait.
  • Pour exister durablement sur ce marché, un éditeur devra apporter une valeur ajoutée propre, interne au produit. On va donc passer d’outils “qui ne font rien” et tirent leur valeur de ce que font les utilisateurs à des outils qui “font” et apportent une valeur ajoutée à l’utilisateur.
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    Bertrand Duperrin pour l'intégration d'algos apprenants et de BI dans les plateformes sociales, au service de l'utilisateur final. Comment être contre?
Michael Nezet

POSH | Agrégateur rss, social bookmarking et collaboration réunis ! - 0 views

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    Une plateforme open source à télécharger qui permet de collaborer autour de l'information (veille, partage et discussions). Français et multilingue. Développé par Portaneo en licence open source. Remplace Netvibes + Diigo par exemple.
Christophe Deschamps

L'évaluation 2.0 pour les salariés : un concept pas si simple par B. Duperrin - 0 views

  • Moralité : avant de noter quoi que ce soit d’autre que la performance individuelle il faut d’abord mettre en œuvre un strict alignement entre l’objectif final des individus et la manière dont on veut qu’ils travaillent. Il s’agit ensuite, et seulement ensuite, de mesurer que les résultats sont atteints, et de de piloter l’utilisation faite de la plateforme en fonction de ses statistiques d’utilisation et des activités de chacun afin de comprendre pourquoi elle est ou non utilisée, pour quoi elle est utilisée et corréler ce qu’on y fait aux résultats opérationnels. En deux mots : on évalue par rapport aux buts du salarié dans l’entreprise et on pilote grâce à l’activité en ligne qui permet de mettre en évidence qu’untel ou untel a ou n’a pas la bonne attitude.
  • j’arrête d’en faire des concurrents pour en faire des partenaires. Une partie de leur évaluation est liée à leur résultat individuel, une autre partie à la performance de l’équipe de manière à ce qu’ils ne perdent rien en donnant du temps et de l’information aux autres. Bien sur cela impacte la rémunération.
  • En conclusion, pour évaluer un projet 2.0 il faut se doter d’indicateurs à 3 niveaux • Indicateurs business classiques en fonction du but du projet. CA, cycle de vente, cycle d’innovation, nombre d’idées générées…des indicateurs de type balanced scorecard feront l’affaire. • Indicateurs de pertinence de l’information partagée : qualitatifs afin de de s’assurer que l’information est utilisable dans le cadre de l’atteinte des objectifs business. • Indicateurs d’activité de la plateforme : car avant de penser à la pertinence de l’information encore faut il que l’information soit générée.
Christophe Deschamps

Article concernant GroupSwim Collaboration - 0 views

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    Une plateforme 2.0 pour l'entreprise qui semble intéressante.
Christophe Deschamps

GroupSwim: Home - 0 views

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    Plateforme 2.0 pour les entreprises en mode SaaS
Dominique Hebert

Magento - Magento en Francais - eCommerce Software for Growth - 0 views

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    Plateforme de eCommerce 2.0 Open source
Christophe Deschamps

Welcome to CubeTree - 0 views

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    Plateforme pour l'entreprise 2.0 (wikis, micro-blogging, blogs,...)
Michael Nezet

PersonAll - Plateforme d'aggrégation et de réseau social d'entreprise (Fr) - 0 views

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    PersonAll propose des solutions de portail social et collaboratif d'entreprise, complètement personnalisable par simple configuration, agrégeant toutes les informations utiles (applications métiers, modules publics, internet, etc.) en un lieu unique.
Christophe Deschamps

My Reviews of the Collaboration Platforms on the Recent Forrester Wave™ - 6 views

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    10 plateformes collaboratives pour l'entreprise 2.0, par Bill Ives
Yan Thoinet

Le Bliki d'Olivier Seres: 29janvier2007 - 0 views

  • une solution collaborative hébergée, accessible par le web, à destination des professionnels
Yan Thoinet

La plateforme d'appels d'offres d'Evariste - 0 views

  • Appel à projets TIC et PME pour créer des "espaces entreprises numériques" et "des outils" destinés à favoriser l'appropriation des TIC dans les PME
Yan Thoinet

Résultats de la recherche d'image Google à partir de http://www.oezratty.net/... - 0 views

  • Business Angels du logiciel (3 commentaires) Lundi 22 octobre avait lieu l’événement de lancement d’une initiative fort intéressante: la création d’une filière logiciels/internet de France Angels, l’association française des business angels qui fédère de nombreuses associations locales de business angels comme Paris Business Angels. Cela m’a permis de découvrir ce mouvement, son fonctionnement, ses forces et ses faiblesses et certains éléments d’articulation entre business angels et VC dans le financement des startups. Partageons cela! Avec en italiques, mes commentaires personnels sur la synthèse que je fais des propos des intervenants.
  • Marc Jalabert (Directeur de la Division Développeurs Plateformes et Ecosystème de Microsoft France) intervenait car Microsoft France est partenaire de l’opération.
Christophe Deschamps

L'entreprise et le web - 0 views

  • On ne consulte plus le web, on l’utilise.
  • Interfaces légères, utilisation intuitive, dimension sociale : on ne regarde plus le web sans se parler entre nous mais on s’en sert pour intéragir.
  • Soyons honnêtes, tout cela a été quelque peu survendu mais la masse critique était telle qu’il devait forcément en sortir quelque chose.
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  • Un des éléments nécessaires au succès était le contexte, une dimension largement moins facile à importer que la technologie elle-même.
  • Pour la première fois l’appropriation technologique que l’entreprise pratiquait jusque là avec succès devait se doubler d’une appropriation comportementale. Un challenge d’autant plus difficile que les personnes en charge de l’un ne sont pas celles en charge de l’autre et que les fameux “usages” inquiétaient à juste titre : il fallait de plus les professionnaliser.
  • La professionalisation des usages est possible mais encore difficile à comprendre pour l’entreprise qui a besoin de quelque chose de plus structurant pour avancer. Ce qui amène à penser que la prochaine étape sera davantagé liée aux processus opérationnels.
  • Et dans l’entreprise utilisation signifie production et gains de productivité.
  • Le “web en tant que plateforme” au sein de l’entreprise va servir à enrichir les processus existants et donner de l’autonomie au collaborateur pour atteindre ses objectifs dans une entreprise en réseau.
  • Il n’est plus question ici d’importer des technologies mais de construire des “services” répondant à des besoins organisationnels. Cela peut sembler complexe mais c’est en fait plus compréhensible pour l’entreprise  car se rapproche de logiques d’organisation de production qui lui sont plus familières que les logiques d’usage. Par services j’entend des couples “outils / mode de travail”
  • Un alignement des outils doit donc également être mis en place. Le collaborateur ne peut passer sa vie à servir de gare de triage entre les flux des outils internes, des outils utilisés avec clients et partenaires et des outils permettant de communiquer avec le monde au sens large.
  • En fait la qualité de l’adoption du web dans une entreprise dépend quasi exclusivement de la capacité de celle-ci  à penser conjointement l’évolution de la technologie, des modes de travail et des rapports de l’entreprise à son ecosystème.
  • La preuve que finalement le web en tant que tel n’a aucune importance : il arrive naturellement dans tout projet d’entreprise bien pensé, s’appuyant sur une vraie vision.
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    Finalement beaucoup de débats actuels sont liés à la capacité de l'entreprise à comprendre, apprivoiser et utiliser le web à son profit, en interne. Un sujet a priori anodin puisque purement technologique et nécessitant des compétences autrement plus simples que celles mises en œuvres jusque là sur les infrastructures d'entreprise. Mais au final un sujet pas si anodin que cela.
Eric Salviac

Entreprise 2.0: quand les réseaux sociaux se muent en plateformes collaboratives - 0 views

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    Faut-il interdire l'accès aux réseaux sociaux à partir des ordinateurs professionnels? Les réseaux sociaux d'entreprises connaissent-ils le même succès que les réseaux sociaux du Web? En quoi ces outils pourraient-ils rendre l'entreprise plus performante?
Christophe Deschamps

Entreprise 2.0 en 2011 : la valeur ou le déni ? - 3 views

  • Maintenant il y a loin des discours aux actes et tout dépendra de la capacité de l’entreprise 2.0 à sortir d’une forme de déni d’entreprise. Accepter de parler franchement de valeur, mettre les mains dans les sujets complexes et sensibles de la mécanique productive, sortir de la vision idéaliste et angélique d’une entreprise rêvée menée par la passion, l’ouverture et les bons sentiments seront des sujets clé en 2011.
  • C’est ce qu’il nomme la mise en capacité de l’organisation par la technologie (ou tech-enabled organization). Ce mode de fonctionnement étant rendu souhaitable, voire nécessaire, par la transformation des modes de travail induite par l’évolution de notre économie et des modèles de création de valeur, on a essayé d’implanter ces fameux outils dans l’entreprise. Souvent en vain. On s’est alors rendu compte (pour ceux qui en doutaient) que l’outil n’était qu’un facilitateur
  • il est devenu évident qu’il fallait s’attaquer en profondeur à la structure du travail et de l’organisation (voir mes “prédictions” 2009 et 2010), à la fois pour rendre les choses possibles et pour s’assurer du bénéfice de l’opération en termes de création de valeur. Ce qui a amené un certain consensus courant 2010 vers la nécessité de s’attaquer, entre autres, aux business process à la fois pour des raisons d’alignement et d’impact sur la valeur.
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  • Récapitulons : • Prise de conscience qu’il faut s’attaquer aux rouages, à la mécanique de l’organisation • Prise de conscience qu’il faut articuler les dynamiques “hors flux” et “dans le flux” de travail (in the flow et above the flow pour les érudits). • Prise de conscience qu’il faut aller au delà des simples dynamiques communautaires. • Développement, par ailleurs, d’un grand savoir faire sur la mise en place de ces dynamiques communautaires. Soyons honnêtes : on a les best practices, des monceaux de méthodologie, des cas à foison et des outils pour supporter le tout. On sait faire fonctionner des communautés et ce qui donne le sentiment contraire, fait penser que la réussite dans ce domaine est rare, c’est qu’on veut transformer en communautés ce qui n’en n’est pas (d’où l’intérêt d’aller voir au delà…). • On a des outils qui tiennent la route.
  • N’avez vous pas remarqué que finalement peu de choses nouvelles vraiment intéressantes ont été dites ou écrites ces derniers mois (j’ai dit “peu”…pas “pas”) ? Qu’on pourrait republier nos billets d’il y a un an sans que personne ne s’en rende compte ? Deux reponses à cela : soit nous étions quelques visionnaires vraiment en avance…soit rien n’a changé. Et je penche plutôt pour la seconde solution.
  • La raison ? Le microcosme 2.0 se complait dans une forme d’angélisme fondé sur une sorte de “flower power management” qui aurait été de bon teint dans les années 70. Tout doit n’être qu’engagement volontaire, passion, démonstration, engouement. Le process c’est le vieux monde et c’est sale. La valeur et l’argent aussi. Le ROI n’en parlons pas. Il y a un point de basculement a passer, des choses à acter, une direction à prendre mais au delà du consensus mou il y a une gêne évidente. On rechigne a abandonner le territoire de l’entreprise confraternelle idéalisée pour mettre le bleu de chauffe et aller réparer la chaudière et la tuyauterie dans la salle des machines.
  • quelques tendances fortes pour 2011 :
  • 1°) Futile : Beaucoup de temps et d’énergie seront gaspillés à discuter les mérites respectifs de l’entreprise 2.0 et du social business. Ca évitera de parler d’autre chose et laissera les entreprises dans un doute encore plus profond qu’aujourd’hui.
  • 2°) Stratégique : soit l‘entreprise 2.0 reste dans le déni de réalité soit elle met les mains dans le cambouis. Dans le second cas on sera encore là pour parler du sujet dans un an ou deux, avec des résultats tangibles et mesurables, dans le premier les entreprises se seront lassées avant.
  • Avoir le courage de parler des sujets qui font peur : redéfinir le travail, la manière dont on évalue la contribution de chacun à la création de valeur, dont on rémunère les gens en fonction, trouver des indicateurs financiers et comptables pertinents pour rendre les modes de fonctionnement nouveaux acceptables.
  • Assumer le fait que soit on parle d’un projet stratégique d’entreprise qui doit s’imposer à tous, ce qui implique d’assumer ses choix et avoir le courage d’en tirer toutes les conséquences, soit on est dans le nice to have cosmétique et se demander si l’énergie et l’argent dépensés en valent la peine.
  • Et attendons à entendre des choses du genre “pour faire les malins avec des médias sociaux et avoir des discussions sympas y’a du monde, pour régler des vrais problèmes business y’a plus personne”. Et ça sera mérité.
  • On ne transformera pas l’essai tant que les “outils sociaux” constitueront une bulle à part, seront indépendants du reste des outils de l’entreprise. Devoir dire à un utilisateur : “rendez vous sur tel outil” c’est déjà perdre la partie.
  • intégration avec toute type d’outil du SI traditionnel et possibilité d’utiliser (et enrichir)les fonctionnalités de l’application en tant que services hors de l’application, au sein d’une couche sociale commune à l’ensemble du SI.
  • Une entreprise est une structure économique et sociale qui regroupe des moyens humains, matériels, immatériels (service) et financiers, qui sont combinés de manière organisée pour fournir des biens ou des services à des clients dans un environnement concurrentiel (le marché) ou non concurrentiel (le monopole) avec un objectif de rentabilité.
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    Excellent billet de @bduperrin
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