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Un jury d'experts vient de désigner les quatre initiatives nominées au Grand Prix des Générations Futures 2011. Le Grand Prix des Générations Futures, c'est quoi ? Depuis 2007, le Grand Prix des Générations Futures est devenu une référence en matière de développement durable. « Pour évoluer vers un monde 'générations futures admises', la Fondation et ses partenaires veulent, avec ce Grand Prix, mettre en avant des initiatives très concrètes encore trop souvent méconnues du grand public, explique Benoît Derenne. Notre objectif est qu'elles puissent servir d'exemples et en inspirer d'autres. ». Pour rappel, le lauréat du Grand Prix 2010 était l'entreprise Alpro, le leader européen des produits alimentaires à base de Soja.

"Une exposition interactive, prospective et ludique, pour regarder notre monde autrement, imaginer des futurs possibles. Regarder différemment notre société, l'impact de son développement et de nos modes de vie : une immersion dans les enjeux sociaux, écologiques et économiques du développement durable ; des solutions concrètes pour des modes de vie écologiques et solidaires. Artistes designers, créateurs, industriels ou collectivités… proposent des pistes pour re-voir nos modes de production et de consommation. Une Carte blanche est donnée à des artistes lillois pour exprimer une vision culturelle du développement durable."

"Loin d'être de simples "bobos" ou des "indignés", ils pourraient bien être une des clefs de la croissance... et la future classe dominante."

"Élégant, original et visionnaire, le mobile Seabird surprend. La prouesse revient aux membres de la communauté Mozilla, qui ont su dans leurs échanges d'idées sur le Mozilla Labs' Concept Series, aboutir à un concept à mi-chemin entre le téléphone mobile et le futur de l'ordinateur. Un argument de plus dans la théorie de Eric von Hippel, comme quoi "il y a 2 à 3 fois plus d'innovations de la part des consommateurs qu'il n'y en a dans l'industrie"."

WISER-U (World-Wide Interaction for Science Education and Research in University) is a non-profit international association created in 2009 by students and scientists who are passionate to inspire student's creativity and help them to develop projects for the future of Science,Education and Research. Wiser-U advocate collaboration and creativity. We enjoy free working style, efficient teamwork and the chance to turn our dreams into reality. At Wiser-U ,you are pursuing dreams with like-minded people all over the world. Here you always can find challenging projects to show your unique creativity.

"Le prospectiviste André-Yves Portnoff vient de publier dans la livraison de mars 2011 de la revue Futuribles un article intitulé Les entreprises au défi de l'ubiquité. Dans ce texte, il explique en quoi un management trop taylorien s'oppose aux aspirations des salariés à une flexibilité apportée par le « travail hors les murs de l'entreprise »."

Mathieu Baudin - Historien et prospectiviste de formation, je travaille sur le développement durable depuis plus de 12 ans. Directeur pédagogique du Collège des Hautes Etudes de l'Environnement et du Développement Durable, j'enseigne ce prétexte à compréhension du monde contemporain à l'Ecole Centrale Paris, au Conservatoire national des Arts et Métiers ainsi qu'à l'IAE d'Aix en Provence. Directeur associé de PRO IDEA, cabinet d'ingénierie prospective et d'idéation, je promeus le concept "d'écoprospective", jonction idéale entre l'art et la méthode prospective et le paradigme développement durable, synonyme, pour moi, du monde qui vient. Ce qui me résume le mieux : "Rêveur de possibles" et/ou "Historien des futurs possibles"

Edition spéciale de Psychologies magazine concernant l'Université de la Terre (Programme du 2 et 3 avril 2011 à l'UNESCO)

"L'entreprise est mouvement, comment la rendre encore plus agile ? C'est la question à laquelle les participants de Mobility Planet tenteront de répondre, le 7 avril 2011 à la Fusée, à Lille. Un événement organisée par Skema Business School. Les entreprises, les facilitateurs, les chercheurs, les enseignants et les étudiants présents viendront imaginer les différentes facettes de notre mobilité individuelle et collective : comment rendre agile, mobile votre entreprise afin de faciliter sa transformation ? Un événement participatif pur imaginer le futur Les thèmes abordés, autour du sujet de la mobilité, sont nombreux. Zevillage participe à l'atelier sur les nouvelles formes de travail et sur les tiers-lieux :"

14/10/2010 Les TIC au service de la mobilité durable Imprimer Partager Le buzz de la semaine Les utilitaires aussi deviennent durables Du côté de l'innovation Les smartphones changent la donne de la mobilité. Le buzz de la semaine Les nouvelles technologies de l'information et de la communication (TIC) ont aussi leur rôle à jouer dans la mobilité durable.   Pour preuve, la manière dont l'iPhone s'intègre peu à peu dans les habitacles des véhicules. Voiture du futur estime qu'à terme, les smartphones pourraient remplacer les services de navigation ou d'écoute musicale pour devenir de véritables "hubs" multimédias.   A ce sujet, What Car précise que l'on peut désormais contrôler la pression de ses pneus grâce à TyreSafe. L'application, gratuite, permet de connaître les niveaux recommandés de pression de chaque modèle de voiture, et de rouler non seulement en toute sécurité, mais en consommant moins de carburant.   Google, enfin, fait à nouveau parler de lui dans le secteur de la mobilité. On connaissait déjà les Google Cars, et le service Street View du célèbre moteur de recherche, qui permet de visualiser les rues d'une localité. Désormais, Google teste ses Google Cars… sans chauffeur. A l'aide de capteurs et de la technologie GPS, Google mise sur l'arrivée de voitures automatisées et intelligentes, nous apprend Eve Auto. Les utilitaires aussi deviennent durables Les utilitaires changent avec l'arrivée des technologies du véhicule électrique. Ainsi au Mondial de l'Auto, La Poste a t-elle présenté son "plan national transports propres", qui vise à réduire de 15% les rejets de Co2 d'ici 2012. Pour ce faire, nous précise Caradisiac , La Poste compte sur 110 quads électriques déjà en fonctionnement, et devrait disposer prochainement d'une flotte de 250 utilitaires Citroën Berlingo First Electrique.     Renault, de son côté, a annoncé que deux des véhicules de sa ga

La technologie encore au service de la mobilité...

vidéo futuriste des possibilités techniques imaginées par Microsoft pour faciliter le travail, les échanges ... la mobilité.

VIDEO - faire ses courses en 2019

Quel type d'humanité conviendrait à une société radicalement différente des nôtres ? Nous faut-il inventer un nouveau concept d'homme ? Mais qui croit encore à l'utopie ? Discréditée par le naufrage « totalitaire », méprisée par la gauche comme par la droite, éclipsée par les politiques « pragmatiques », c'est-à-dire néo-libérales, et oubliée par un mouvement altermondialiste qui, dans l'ensemble, se satisferait d'un aménagement plus juste et plus égalitaire du système capitaliste mondialisé, l'utopie semble bel et bien morte. Fredric Jameson ne nous propose nullement une utopie supplémentaire. Cet ouvrage nous invite au contraire à reconsidérer l'utopie en tant que pensée (et pratique) de la Différence radicale. Différence spatiale, d'une part - dès le geste inaugural de Thomas More, l'utopie se voit définir comme un monde séparé obéissant à ses lois propres. Différence temporelle, d'autre part - la mise en place d'une société utopique constituant la négation de l'histoire humaine. Jameson ose chercher du côté de la science-fiction les indices d'une pensée de l'Altérité radicale : Philip K. Dick, H. G. Wells, Ursula Le Guin ou William Gibson sont entre autres convoqués. La littérature dite d'anticipation s'est en effet souvent demandé comment l'on pourrait vivre dans une utopie réalisée, autrement dit dans un monde où il n'y aurait plus rien d'autre à espérer que la perpétuation éternelle du Même. Cet ouvrage majeur nous met finalement face à la faillite de notre imaginaire politique. Car l'oubli de l'utopie a un prix : la résignation au « monde comme il va ». Fredric Jameson, né en 1934, est professeur à l'université de Duke. Il est connu à travers le monde pour ses analyses du postmodernisme et de la colonisation de la sphère culturelle par le capitalisme.