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"Lunette à réalité augmentée, boite connectée à nos données, prise électrique intelligente : Planète plus intelligente s'est rendu au LabFab de Rennes, où l'on élabore les objets de demain. Visite du laboratoire Bidouille."

"La meilleure définition du smart me semble pourtant passer par son système de valeurs associées. Voici une liste de dix valeurs associées au smart, qui peuvent contribuer à la conversation indispensable sur notre gestion des technologies. Le domaine de test de ces critères est constitué par le Web et la téléphonie 3G/4G. - Disponibilité totale : à tout moment en tout lieu accéder à toute information, avec une attente de service illimitée - ce qui n'est pas accessible en ligne aujourd'hui apparaît comme une anomalie, presque une faute. - Transparence : nous ne voulons pas savoir quels sont les intermédiaires du service rendu, nous acceptons l'idée qu'il s'agit d'un mixte de technologies et d'acteurs publics ou marchands qui restent non-identifiés. - Facilité : aucun effort ni aucun apprentissage, même pas un numéro à retenir, pour commencer une vidéo-conversation qui traverse la planète. - Immédiateté : tout doit être à moins d'une seconde, les 10 secondes d'attente au téléphone avant qu'un correspondant décroche sont devenues une torture - d'où le bref message écrit qui s'envoie en 5 secondes et se lit en 1 seconde. - Autonomie : pas de fil qui rattache l'objet smart, sinon pour le recharger (vrai souci), mais aussi autonomie du système qui prend des initiatives. - Personnalisation : les profils utilisateurs entrant dans tous les détails (apparence et fonctionnalités) sont essentiels à l'impression de smart. - Neutralité : question brûlante, car si les réseaux sont captés par des détournements marchands monopolistiques le smart retombera dans l'attrape-nigaud publicitaire. - Optimisation des coûts, des dépenses énergétiques, ou de tout paramètres choisis : le smart doit être un pur outil qui peut se paramétrer en fonction des objectifs de vie de l'utilisateur, qu'il s'agisse de gagner du temps ou de marcher au moins une heure par jour. - Réseau collaboratif et partage : qui apportent la production c

un peu de dérision dans un univers aussi sérieux, ça ne se refuse pas

"La ville de demain sera remodelée par les transformations profondes à l'oeuvre sur le marché du travail, l'apparition de nouveaux modes de transport et une plus grande inclusion des citoyens dans l'organisation urbaine. Cet article de prospective-fiction a été réalisé en partenariat avec Planète+ pour la sortie de la saison 2 de "Rêver le futur".

Pekin se "dé-bicylifie", les bicyclette, jusqu'à peu image associée à la ville, disparaissent peu à peu, face à la montée presque ineluctable de la voiture (en augmentation de 15% chaque année depuis 10 ans)...  Le discours sur les villes durables, qui existe pourtant, n'y prend pas, tant l'intérêt pour la voiture est fort. Ou le rappel que si le discours sur la durabilité est présent partout sur la planète, toutes les villes n'avancent pas de la même façon vers la durabilité.

On se croirait dans les Cités Obscures de Schuiten et Peeters, vous savez cette célèbre BD rétro-futuriste. C'est bien un projet de ce genre que nous donne à voir Tsvetan Toshkov, un architecte bulgare né en 1976 et qui travaille aujourd'hui à Londres. C'est évidemment de l'architecture-fiction, pour ne pas dire de l'utopie architecturale, qui peut faire penser aux éternels plans des hommes pour coloniser les planètes.

"Les catastrophes naturelles sont rarement prévisibles, et les dispositions techniques n'empêcheront jamais de se trouver au mauvais endroit.. Les réseaux sociaux peuvent cependant sauver des vies, en réduisant les temps d'information en cas d'alerte."

"Ces schémas créent de nouveaux canaux de commercialisation et provoquent parfois des réactions outrées des entreprises qui opèrent de manière traditionnelle, et de leurs syndicats. Ainsi, les fédérations de taxis protestent contre la « concurrence déloyale » de certains utilisateurs de sites de co-voiturage, les syndicats de l'hôtellerie contre les chambres d'hôtes non déclarés, et les brocanteurs contre les particuliers qui seraient de vrais professionnels opérant de manière occulte."

Interview de Gerard Collomb, maire de lyon. Living lab de La Part-Dieu, démonstration des nouveaux usages et services pour la ville de 2050. Mobilité, car2go. De la possession à l'usage, de l'avoir au service.  La robotique de service. Ville intelligente ? ville de la liberté et de la responsabilité

A quoi ressemblera la ville de demain ? Peut être à ces éco-quartiers, où l'on réinvente la façon de vivre, de travailler et de se déplacer ou aux "living labs", ces centres de démonstration de technologies nouvelles. Illustrations avec Gérard Collomb, sénateur-maire de Lyon.

« Less is more », « Less is a bore »... Approprions-nous un moment ces aphorismes qui ont inspiré des générations d'architectes. Sortons-les de leur contexte original pour les intégrer dans un manifeste pour la ville écologique.

Le Grand Lyon teste à l'échelle de quartiers de nouvelles solutions techniques pour une gestion intelligente de l'électricité, et ambitionne avec ses projets de démonstrateurs smart grid, de devenir une vitrine technologique pour les autres grandes agglomérations. L'usager-citoyen est présent dans le discours, mais dans la réalité?

Après avoir conquis l'univers du bureau et la sphère domestique, les acteurs des technologies de l'information et de la communication semblent avoir découvert un nouvel espace en friche à investir : la ville.

... et nomade sur les territoires de Plaine Commune, vitrine des savoir-faire, des richesses sociales, artistiques, culturelle, et amplificateur du développement local.

A 35 ans, le jeune architecte danois Bjarke Ingels déboule sur la scène architecturale internationale, non sans un brin d'insolence. Ses idées innovantes mêlant architecture "passive" et participation du public, repoussent les limites du design dans le monde entier, de son Danemark natal, à New York. 

Les informations numériques circulent en tous sens dans les réseaux de la ville d'aujourd'hui, avec un citoyen devenu à la fois émetteur et exploitant de toutes ces données. Comment les transfomer en services producteurs de richesse, en un "bien commun" pour les citoyens?

On ne peut comprendre le projet Masdar City, la première ville durable, sur le bord d'Abou Dhabi, aux Emirats Arabes Unis, sans la resituer dans son contexte historique et culturel. Une sorte de "paradis sur terre" qui voudrait dominer la nature... 

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La consommation des ressources en milieu urbain et l'élimination des déchets est largement considérée comme la première cause des problèmes environnementaux de la planète. Nous devons commencer à penser à la régénération des villes, plutôt que de simplement travailler au développement urbain durable, estime Anna Leidreiter. Nous devons passer de la "petropolis" à "l'écopolis". Et de proposer le concept de "ville régénérative", c'est-à-dire  la ville écologiquement et économiquement réparatrice.

Le développement urbain durable ne suffit plus, selon cet article ; l'écosystème mondial a subi trop de dégâts quasi irreversibles... Des solutions doivent aujourd'hui être trouvées pour penser la ville dans ce contexte. Il est temps de penser un développement urbain "regénératif".

Une batavia fraîchement cueillie qui craque sous la dent est un plaisir simple mais difficile à satisfaire pour un citadin. A mesure que les villes s'étendent et que les bonnes terres agricoles s'épuisent, l'appétit des consommateurs pour les produits frais et locaux se fait plus pressant. Pourquoi ne pas développer des cultures maraîchères en ville sur l'espace inutilisé des toits ?

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Toutes les enquêtes montrent l'inefficacité de la vidéosurveillance dans la lutte contre l'insécurité des espaces publics. Même la Grande-Bretagne, pionnière, démantèle ses installations urbaines.

Le bureau, lieu de travail traditionnel a vécu. Tiraillé entre les déperditions d'énergie, de temps et de productivité, le travail se cherche désormais dans des modèles plus flexibles. A l'image des écotones, ces zones de transition écologique entre deux écosystèmes.