Autres sources
Paroles de catholiques
Document - Argumentaire sur l'euthanasie "à l'usage des conversations en famille ou entre amis"
CS - Vu le 22/05/2012
Intitutions
Cour de justice européenne
Communiqué de presse sur l'exclusion de la brevetabilité d'un procédé entraînant la destruction de l'embryon
CS - Vu le 24/10/2011
Au-delà des quelques cas d'euthanasie faisant l'actualité, qui concernent souvent des personnes
jeunes lourdement handicapées, les médecins et les équipes hospitalières accompagnent chaque jour
la fin de vie de patients âgés. Les décisions susceptibles d'abréger la vie sont-elles fréquentes ? Par
qui sont-elles prises ? Sophie Pennec, Alain Monnier, Silvia Pontone et Régis Aubry nous livrent les premiers résultats de l'enquête La fin de vie en France.
Ces deux parlementaires UMP jugent que «la théorie du
gender» menace notre contrat social. Les chercheurs
s'inquiètent d'une vision fantasmée de ces études
"Dès l'instant où est évoquée la notion d'objection de conscience, vient naturellement à l'esprit l'opposition de certains à porter les armes. Longtemps, le refus du service militaire est apparu comme l'archétype de l'objection de conscience. Aujourd'hui, les possibles conflits entre une obligation morale et un prescrit légal se sont
diversifiés. Ils se présentent, en particulier, dans le secteur sanitaire. Des professionnels de la santé sont sollicités d'exécuter ou de concourir à un acte qui heurte leur conscience. Leur objection éthique n'est pas nécessairement liée à une conviction religieuse ; elle s'appuie aussi sur des motifs d'ordre scientifique ou liés à la conception qu'ils se font de leur déontologie professionnelle.
Un médecin peut-il refuser de pratiquer une euthanasie ? Une infirmière peut-elle refuser de participer à un avortement ? Un pharmacien peut-il refuser de délivrer certains produits ? La légitimité de ces attitudes est-elle consacrée en droit, voire
reconnue par la loi ?
De façon synthétique, sous la forme de questions-réponses, cette brochure tente de faire le point sur ces questions."
Une vague d'innovations déferle, portée par le numérique et demain par d'autres technologies émergentes (les « NBIC »), qui crée de nouveaux marchés et bouleverse l'économie de nombreux secteurs. Face à ces innovations disruptives, l'État doit définir sa position : un parti pris attentiste aurait un coût économique et social considérable et pourrait conduire à une perte de souveraineté.
2017/2027 - Répondre à l'innovation disruptive - Actions critiques (PDF - 1.31 Mo )
Auteur(s) Julia Charrié, Lionel Janin
Deux options s'ouvrent pour les pouvoirs publics : ouvrir le champ à l'expérimentation, en fixant les bornes à l'intérieur desquelles les innovateurs peuvent tester leurs idées avec l'appui des pouvoirs publics, ou édicter des principes généraux (soft regulation) et laisser les entreprises se lancer. La seconde option permet sans doute plus d'innovation, mais elle comporte également plus de risque et de responsabilité pour les entreprises. Dans tous les cas, le partage d'informations avec les pouvoirs publics sera nécessaire pour garantir le respect des règles fondamentales (libertés, sécurité, etc.) et, au terme de ce premier déploiement, pour adapter la réglementation.
Autres sources
Comité consultatif national d'éthique
Lettre ouverte aux candidats à l'élection présidentielle sur les questions de bioéthique
CS - Vu le 13/03/2012