"Juifs et protestants français viennent de perdre leurs représentants au sein du Comité consultatif national d'éthique. Et cela, bien que le président de la République soit tenu, selon les textes, de nommer 5 personnalités qui appartiennent aux "principales familles philosophiques et spirituelles"."
"Un groupe représentatif de citoyens constitué par le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) préconise "la légalisation du suicide médicalement assisté". François Hollande a promis une loi sur le thème de la fin de vie."
"a conférence des citoyens sur la fin de vie, instaurée par François Hollande, préconise "la légalisation du suicide médicalement assisté". Elle recommande toutefois d'y apporter des "nuances", s'opposant à une inscription de l'euthanasie dans la loi. Elle propose toutefois d'instaurer des "exceptions d'euthanasie" envisageables dans "des cas particuliers ne pouvant entrer dans le cadre du suicide assisté lorsqu'il n'existe aucune autre solution"."
"La proposition de loi portée par le député UMP Jean Leonetti, visant à punir d'un an de prison les parents ayant recours à une gestation pour autrui (GPA) à l'étranger a été rejetée à l'Assemblée nationale jeudi 4 décembre par le groupe socialiste."
"Les députés Jean Leonetti et Alain Claeys ont remis ce vendredi matin au chef de l'Etat un rapport proposant de nouvelles mesures pour améliorer la fin de vie des malades."
"Le prochain rapport sur la fin de vie pourrait proposer de banaliser la pratique des sédations "profondes et terminales jusqu'au décès", ce qui empêcherait les malades de s'exprimer lors de leurs derniers instants. "
"Alors que Manuel Valls a récemment annoncé que l'exécutif se penchait sur une révision de la loi Leonetti, le mouvement "Soulager mais pas tuer" lance une grande campagne pour mobiliser les opposants à l'euthanasie."
"Alain Cocq, qui souffre d'une maladie incurable, a interrompu vendredi soir tout traitement et alimentation. Ce cas relance le débat sur la fin de vie. Disposons-nous actuellement d'un arsenal suffisant ? Bernard Debré décrypte les enjeux des questions sur la fin de vie et l'euthanasie." [RDP du 09 septembre 2020]
"Indépendamment du fond même de la légalisation de l'ouverture de la PMA aux femmes seules ou aux couples de lesbiennes, les débats parlementaires se sont faits sur un certain type d'arguments biaisés dont la banalisation mène droit à un affaiblissement du politique."
"Adopté lors de l'examen de la loi de bioéthique, un amendement sur l'interruption médicale de grossesse (IMG) est au coeur d'une polémique. L'IMG, ou un avortement thérapeutique, peut être réalisée jusqu'à la fin de la grossesse."
"Le projet de loi bioéthique, qui ouvre la procréation médicalement assistée (PMA) à toutes les femmes, revient cette semaine à l'Assemblée nationale. Comment sommes-nous arrivés à l'absence de tout discours critique de raison sur certaines évolutions sociétales ? Tout discours conservateur est-il définitivement voué à l'indifférence ou pire à la dénonciation ?" [RDP du 29 juillet 2020]
"Les députés ont adopté en commission des affaires sociales une proposition de loi visant à allonger de 12 à 14 semaines de grossesse le délai légal pour recourir à l'avortement. Le texte sur l'allongement du délai de l'avortement sera examiné à l'Assemblée nationale le 8 octobre." [RDP du 05 octobre 2020]
"Les députés examinent ce jeudi une proposition de loi réformant l'accès à l'IVG. Le texte prévoit notamment de supprimer la double clause de conscience pour les médecins. Cette évolution est-elle une atteinte à la liberté des médecins ?" [RDP du 09 octobre 2020]
"Au nom du respect de la dignité humaine, certains discours sont de plus en plus combattus notamment ceux de l'Eglise catholique sur l'IVG, la famille ou l'euthanasie. "Peut-on vraiment parler de société fraternelle si on remet plus ou moins en cause l'interdit fondateur de donner la mort ?", estime l'évêque de Nanterre, Mgr Matthieu Rougé."
"Dans une interview pour le site Atlantico, Tugdual Derville, délégué général d'Alliance VITA, présente les enjeux du débat autour de la fin de vie en France et les raisons de son implication dans le mouvement "Soulager mais pas tuer", collectif rassemblant professionnels et usagers de la santé contre toute forme d'euthanasie et de suicide assisté."
"Pour Tugdual Derville, l'un des porte-parole nationaux de Soulager mais pas tuer, l'opinion française s'est fait piéger par la crainte véhiculée de l'acharnement thérapeutique.
Il analyse pour Atlantico le lancement national* de « Soulager mais pas tuer » dans 60 villes de France, pour dire non à l'euthanasie :"