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Politics Transformed: The High Tech Battle for Your Vote is an in-depth look at how social media and digital tech is changing the way we choose our leaders. In it, Mashable reporters uncover how the campaigns are utilizing massive stores of data gathered through social networks to better target political advertising, how crowdfunding could shake up campaign finance, and we meet the masterminds shaping the digital best practices for electoral politics. We report on how watchdog groups are using social media to protect the vote, why social media has put even more heat on candidates to stay on-message, and ask whether voting over the Internet will ever be safe. In spite of its massive and unprecedented growth, we're only just beginning to figure out what it means to be social online, and political strategists are still in the early stages of figuring out what social media can and can't do. The trend is clear, however: digital will be an ever more important factor as each new election cycle rolls around. We can't know yet what the future might hold for social media and politics, but here's how social is changing things right now.

"Today, Wi-Fi is nearly everywhere in Estonia-- you could walk 100 miles and always have an Internet connection-- and it is free. In 2011, 94% of taxes were done online-- usually within five minutes. Cabinet meetings are paperless. Prescriptions are issued electronically. In the larger cities, you can pay for bus tickets and parking by texting-- you can even text for your beer in some establishments. You can sign legal documents from your smart phone. You can vote from your laptop. President Toomas Ilves voted in the last election, presumably for himself, while he was visiting Macedonia. Ninety-nine percent of bank transactions are online. It is possible to start a business in a few hours by logging onto a government web site and filling out a form."

Last week, a Palo Alto city commission voted to recommend the abandonment of the city's years-old effort to bring fiber-to-the-premises (FTTP) high-speed Internet connectivity to its residents. In a 4-3 vote on June 6, the Utilities Advisory Commission recommended to the City Council that the city stop analysis of expanding the city's existing dark-fiber network to all residents. The recommendation came on the heels of a feasibility study that did not have promising conclusions.

La septième salle est un concept expérimental de ce qui pourrait devenir le cinéma 2.0 de demain. Cet outil collaboratif permet ni plus ni moins que de programmer vos films préférés dans la salle de cinéma proche de chez vous le jour et à l'heure que vous souhaitez. La septième salle offre un système de vote collaboratif et partagé qui fera de vous le programmateur des salles de cinéma de votre région. Plus un film a de votes à une heure donnée plus il a de chance d'être programmé. Autant dire que le petit jeu proposé par "La septième salle" consistera à choisir des films et à convaincre vos amis de voter eux aussi pour les mêmes.

En deux jours, deux annonces de vendeurs de TBI (N ?) tentent d'ouvrir un nouveau marché pour ceux-ci. Les spécialistes le savaient depuis longtemps, mais les commerçants ont d'abord écoulés leurs stocks… les Tableaux numériques de toutes sortes s'épuiseraient vite… donc il fallait les vendre rapidement avant que les usagers ne s'aperçoivent qu'il y avait, pédagogiquement bien mieux à faire. J'ai écrit, il y a longtemps déjà sur ce blog, ce que je pensais de cette fausse interactivité vendue avec les tableaux numériques. Les premiers témoignages d'expérimentateurs avaient confirmé les pressentiments : ils avaient une tablette sans fil qui permettait de prendre en main à distance, de sa place, le Tableau numérique. Car l'effet magistral du TBI était redoutable et de plus ils étaient le plus souvent utilisés comme simple vidéoprojecteurs. Il y avait fort à parier que du fait de cet usage, les vendeurs devraient ouvrir leur offre à de nouvelles formes d'interactivité s'ils ne voulaient pas subir un retour de bâton… d'acheteurs déçus de ces usages réels, bien différents des usages vendus et parfois prescrits… cela a commencé avec les boitiers de vote qui se sont multipliés sur toutes les solutions. Et puis l'arrivée des tablettes numériques a fait frémir ces marchands qui semblaient bien loin de cette logique : passer du prof à l'élève du tableau collectif à la tablette individuelle a été probablement un renversement important… et peut-être pas facile à aborder. Enfin le I d'interactivité peut-il prendre un sens nouveau, du moins dans l'argumentaire commercial.

"The Finnish government has approved the technology behind a new 'Open Ministry' platform, which will act as a hub for citizens who want new laws voted on in the country's parliament. But could that work elsewhere?"

"A learning tool is a tool to create or deliver learning content/solutions for others, or a tool for your own personal or professional learning. Here is the Top 100 Tools for Learning 2012 as voted for by 582 learning professionals worldwide. Below is the slideset available via Slideshare and beneath it the textual list.  Other pages are available as follows:"

"Alors que François Hollande prononce ce matin un discours majeur sur l'Éducation, RSLN fait le point sur les propositions numériques qui découlent de la concertation « pour une refondation de l'école de la République », menée depuis juillet par Vincent Peillon. Début juillet, Vincent Peillon, fraichement nommé ministre de l'Éducation nationale, impulsait une grande concertation pour « refonder l'école de la République ». Après trois mois de débats et le recueil de centaines de contributions, notamment au travers d'un site internet dédié, le ministre a rendu public, vendredi 5 octobre, un rapport d'étape qui synthétise les propositions. Ce document devrait être le socle du discours que prononcera François Hollande, mardi 9 octobre à la Sorbonne. Vincent Peillon présentera quant à lui ses premiers arbitrages, jeudi 11 octobre, avec en ligne de mire le vote d'une loi avant la fin de l'année."

The Federal Communications Commission has voted unanimously to reform the Universal Service Fund and intercarrier compensation system. It is creating a new Connect America Fund, with a budget of US$4.5 billion to meet the end-goal of this policy shift: extending broadband infrastructure to rural Americans, as opposed to subsidizing rural phone service.

The Department of Education released a draft report about big data and education today. It's called "Enhancing Teaching and Learning through Educational Data Mining and Learning Analytics," a title that's unlikely to win any converts to the notion of a data-curious* view of learning. Part of what's going to get stuck in the craw is that phrase "data mining," I reckon. Despite all the potential and all the buzz about (big) data, data-mining remains something with a fairly negative connotation. Advertisers. Political campaigns. Big government. All sifting through your personal data, trying to uncover the things that nobody knows about, trying to get you to buy or sell or vote. Add to that now the knowledge that every click we make online -- every YouTube view and Facebook like and Google query -- is eminently trackable, it's enough to make all those unsolicited phone calls and junk mail seem quite benign, not to mention old-fashioned.

What technology enthusiasts, however, forget, neglect, stumble over - pick a verb - are the multiple purposes of tax-supported schools in a democracy. They and many others futurists err - my choice of the verb - in equating access to information with becoming educated. Even worse, these very smart people ignore the crucial and historical purposes public schools have served in a democracy. Tax-supported public schools have been and are social, political, and moral institutions whose job is to help children and youth acquire multiple literacies, enter the labor market well prepared, vote, serve on juries, contribute to their communities, think for themselves, and live full and worthwhile lives.

"Vetter est un service Web 2.0 pour faire brainstormer ensemble une équipe dans une entreprise. Le service se présente sous la forme d'une sorte de boite à idées dans les nuages ou chacun pourra glisser son idée d'amélioration ou de nouveau service ou produit par exemple. Collaboratif, Vetter va collecter de manère anonyme les propositions mais surtout il va permettre à tout le monde voter por les meilleures idées en éventuellement les complétant. En tant qu'administrateur c'est vous qui serez en charge d'inviter les participants à se joindre au système de brainstorming. Chacun peut voter, mais chacun peut aussi anonymement proposer de nouvelles idées et les soumettre aux avis et au vote des autres."

"Alors que le Danemark a choisi d'autoriser l'usage d'Internet au bac, cette mesure fait figure d'électrochoc en France. Doit-on repenser notre rapport à la technologie dans l'Education? Regards croisés, et critiques, de pédagogues. Le « Tribunal pour les générations futures » est une conférence-procès : quatre intervenants (un procureur, un accusé, deux témoins) défendent leur point de vue, et cinq jurés tirés au sort dans le public tranchent par un vote à majorité simple. C'est ainsi que chaque trimestre, le magazine Uzbek et Rica interroge le progrès et les rapports compliqués entre l'Homme et la technologie.  Ce mardi 18 septembre, c'était de l'usage du numérique à l'école que l'on allait faire le procès. Alors qu'en France, les enseignants s'équipent de logiciels pour déceler le copier-coller sur les devoirs à la maison, et que les smartphones sont confisqués à l'entrée des examens pour limiter la fraude, le Danemark a choisi de tester une toute autre voie : dans 10% des lycées de ce pays, et sur plusieurs matières, les élèves ont le droit... d'utiliser Internet pendant les épreuves du bac. Initiée l'année dernière, cette expérience est reproduite, prolongée et étendue cette année à de nouvelles matières.  "

"En Estonie, ce pays balte qui a la réputation d'être un «tigre informatique», on peut voter par l'internet depuis 2005. Aux dernières élections municipales de 2009, 15,8% des Estoniens ont voté de cette façon. Depuis les élections législatives de mars 2011, l'électeur peut même être identifié grâce à la carte SIM de son téléphone intelligent et voter avec lui."