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Aurialie Jublin

After Your Job Is Gone | TechCrunch - 1 views

  • If this scenario plays out, the world will divide into a dwindling minority of the very rich — tech workers, finance barons, and those who inherited their wealth, mostly — living in a handful of idyllic cities dripping with wealth, and/or their summer homes on nearby beaches, lakes, and mountains … and the majority who barely get by, doing occasional contract work or odd jobs for a little extra money, too poor to even visit the places where the rich live, work, and play. Aside from those few with government jobs, there’ll be hardly any middle class at all between those two groups.
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    Article complet sur la disparition des emplois, sur la question "la technologie détruit-elle plus d'emploi qu'elle en créé?" et sur la mise en place d'un revenu minimum
Aurialie Jublin

What If Technology Is Destroying Jobs Faster Than It Creates Them? | TechCrunch - 1 views

Aurialie Jublin

Site meilleures-entreprises.com - Faites la réputation de votre entreprise - 1 views

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    Message pour inciter les entreprises Vos collaborateurs sont vos meilleurs ambassadeurs ! Analysez les ressentis de vos équipes. Boostez ensemble votre attractivité. Développez votre visibilité dans un espace participatif."
Aurialie Jublin

Travail : quand le miroir numérique se substitue au réel - Union europeenne C... - 0 views

  • Je prêche donc, après en avoir été un apôtre et un acteur, pour limiter la projection numérique, en particulier en ce qui concerne le temps réel. Cela ne veut pas dire qu'il faut renoncer aux bénéfices apportés par la numérisation, mais simplement qu'il faut savoir s'arrêter pour laisser la part de jeu indispensable au bon fonctionnement. Un peu de numérisation est bénéfique, beaucoup peut être efficace, mais la numérisation totale est contre-productive parce qu'elle enlève au système la flexibilité et la capacité de jugement apportées par l'humain.
  • L'expertise tend à se sédimenter dans les systèmes informatiques et les progiciels ; le professionnalisme consiste de plus en plus à bien savoir utiliser ces dispositifs. Seul ou en collaboration, le travail consiste à nourrir ces dispositifs, à les enrichir avec des données de qualité, à les maintenir aux conditions opérationnelles et à les faire évoluer. La tendance est déjà à la mise à jour automatique de cette image. Bientôt, partout, la position et l'état de ces objets seront actualisés en temps réel.
  • Avant, les données numériques étaient le miroir de la réalité, elles suivaient son évolution. Avec ce retournement, c'est la réalité qui doit suivre et se conformer aux prévisions et aux simulations réalisées dans l'image numérique de l'entreprise. C'est bien l'image numérique qui devient l'instrument de travail, de prévision, de décision, de pilotage du réel : on doit atteindre les objectifs calculés par le tableur..., et d'ailleurs on en rend compte sur le même tableur.
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    "D'ici une dizaine d'années au plus, presque tous les « objets » d'une organisation (les hommes, les machines, les transactions...) auront leur image dans le système d'information (SI), en temps réel. C'est déjà le cas pour la plupart des objets : chaque agent, chaque objet important « existe » dans nos SI sous forme de fichier ou dans une base de données."
Aurialie Jublin

Matthieu ou la chronique de la disparition du travail - Metis - 1 views

  • C'est « le mécanisme de production de la valeur économique (qui) a ainsi été inversé : ce n'est plus le travail qui produit un profit pour alimenter le patrimoine des rentiers, c'est la promesse faite aux rentiers qui fait pression sur les profits des entreprises, qui elles-mêmes, ajustent le travail à la réalisation de cette exigence »
  • C'est entendu, la rente est l'avenir, le travail est damnation. Mais avec le travail, disparaît le sujet, le projet, le sens. Ils ne restent alors que des opérateurs, des « ressources » fussent-elles humaines, des ETP (équivalents temps pleins), par exemple mis sous pression d'indicateurs objectifs du type « nombre de contrats signés en 100 heures de travail ». Qu'importe les heures, les contrats et la manière de les signer...
  • Il n'y a que le travail qui produit de la valeur, sous estimant peut-être qu'une part de l'invisibilité du travail vient aussi, à la même période, de sa mutation. Ce travail est devenu intellectuel au profit d'une production ni mesurable, ni dénombrable, une production servicielle et de plus en plus immatérielle. Il reste que, « dans la vraie vie, le travail est vivant. (...), il est une triple expérience : expérience subjective valorisée par la reconnaissance, expérience objective par la performance et expérience collective par la solidarité »
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    "Matthieu expérimente l'emploi en même temps que l'invisibilité de son travail. Le travail a disparu. Comme dans la publicité, les tâches qui lui sont demandées en ont la forme, la couleur mais n'en sont pas. Il en a les obligations, les allers retours quotidiens, les horaires, la subordination, l'ambiance morose, mais il n'en a pas les opportunités. Il n'en rencontre pas les dimensions expressives que revendiquent même des salariés plus modestes des caisses de grande distribution (Isabelle Ferreras, Gouverner le capitalisme, PUF 2012). Il n'arrive pas à se sentir utile, il ne participe pas à un collectif, il n'est pas autonome et il ne voit rien d'intéressant dans ce qu'il a à faire."
Aurialie Jublin

Quand la DRH a le titre de « directrice du bonheur » | Cadres et Dirigeants M... - 0 views

  • Comme elle l’explique dans son blog intitulé Miss Philomène, les DRH se doivent d’évoluer « d’un rôle de gestionnaire de capital humain vers un rôle de développeur de patrimoine humain […]. Cette évolution passera notamment par le développement d’une culture positive, de confiance et responsabilisante qui met l’humain et la notion d’équipe au centre des préoccupations de l’organisation; le développement d’une nouvelle génération de leaders, et le démantèlement des usines à gaz RH (SIRH, gestion des compétences, gestion des connaissances…) ».
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    "On pourrait penser à une blague belge, mais ce n'est pas le cas. Laurence Vanhée, DHR du Service public fédéral (SPF) belge de Sécurité sociale, a décidé de remplacer son titre de DRH (directrice des ressources humaines) par celui de « Chief Happiness Officer ». Avec un crédo : gérer des êtres humains (et non des ressources) et les rendre heureux au travail."
Aurialie Jublin

Autoentrepreneurs : « Pour moi, ce statut a été une révolution » | Rue89 Eco - 0 views

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    Témoignages sur les avantages du statut d'autoentrepreneur : - Se créer un travail à défaut d'en trouver - Eviter le RSA - Avoir des horaires flexibles - Ne pas subir les contraintes imposées par un employeur - Compléter sa retraite - Arrondir ses fins de mois - Ne plus travailler au noir - Apprendre de nouvelles compétences - Payer ses charges après avoir encaissé ses recettes - Créer ou maintenir une activité Mais - Effet pervers : une concurrence déloyale pour les intermittents, pas forcement pour les artisans
Aurialie Jublin

A quoi ressemblera le travail dans 60 ans? - L'EXPRESS - 0 views

  • Autre formule: le portage salarial, qui concilie l'indépendance du statut de consultant avec la sécurité du salariat. Les groupements d'employeurs ont le vent en poupe: ils permettent de créer des emplois à temps plein à partir de besoins à temps partiel de plusieurs entreprises. "Mais, attention, il s'agit pour l'heure de très petits volumes"
  • les groupements de coopération sanitaire (GCS), via lesquels des établissements de santé privés et publics se regroupent et se prêtent du personnel. 
  • C'est le cas aussi dans l'industrie pharmaceutique, où la recherche et développement implique de lourds investissements. Des partenariats "open" sont accessibles à des communautés de chercheurs. L'entreprise ouvre ainsi le plus largement possible le champ de ses ressources. Et des individus ou des équipes talentueux peuvent se faire remarquer, voire décrocher un contrat si la coopération aboutit. 
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  • Pour Philippe Durance, le succès des coopératives auprès des cadres quinquas s'explique par la recherche de sens et d'engagement. "Les gens veulent être indépendants et autonomes, mais pas tout seuls."
  • Demain, les actifs vont vendre, non plus leur diplôme, mais leur réseau. Plus les réseaux seront larges, nombreux et bien entretenus, et plus les gens seront efficaces. "De nombreuses formes de travail vont coexister, estime Sandra Enlart. Micro-entreprises, temps partiels de toutes sortes, contrats sur objectifs, contrats multi-employeurs, contrats multisalariat (plein-temps occupés par plusieurs personnes qui s'entendent entre elles en amont). Et la fluidité entre les différents statuts deviendra incontournable." 
  • Les entreprises auront un noyau dur de compétences et entretiendront des rapports marchands, plus souples, avec d'autres profils de travailleurs. "Chacun va devoir créer son propre emploi", explique, quant à lui, Philippe Achalme, qui plaide pour la pluriactivité, "gage de sécurité". Quant au télétravail, il sera devenu banal à un horizon relativement proche.
  • dans une dizaine d'années, le DRH n'aura plus du tout le même rôle. "Il devra gérer des communautés dans des systèmes ouverts. Dans ce contexte, l'idée du DRH qui contrôle tout avec des systèmes internes sera totalement révolue. D'autre part, il devra être capable non pas d'organiser la rétention des salariés, mais leur employabilité." 
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    "Des formes d'emploi plus souples se multiplient, davantage en phase avec les demandes des entreprises et avec la quête de sens et d'autonomie de chacun."
Aurialie Jublin

Que dit le droïde du travail ? - Libération - 0 views

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    "Les robots font lentement leur trou dans les emplois de service."
Aurialie Jublin

Isaac Getz : « L'organisation où les salariés sont libres vaincra toujours le... - 1 views

  • 1/ Pensez-vous que les pratiques managériales actuelles soient un frein à l’innovation et à la croissance en entreprise ?Isaac Getz : C'est une évidence, car toute innovation commence par une idée partagée. Or l'entreprise traditionnelle n'encourage pas ce partage, voire l'empêche. Quant à la croissance organique, elle ne provient que par l'innovation. C'est justement parce que les entreprises traditionnelles ne parviennent pas à être innovante durablement qu'elles recourent tant à la croissance externe par l'acquisition.
  • la libération de l'entreprise est une transformation radicale et elle commence par l'abandon de l'égo par le N+1. Quant aux managers, certes, une partie ne sera pas très enthousiaste par la transformation qui leur ôte du pouvoir et les invite à devenir des leaders au service de leurs équipes. Ces managers, il faut les former, coacher, voire inviter ceux qui ne s’accommodent pas de ce changement à évoluer vers d’autres missions dans l’entreprise, tout en gardant leur salaire, bien sûr.
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    Professeur à l'ESCP et co-auteur de « Liberté & Cie, Quand la liberté des salariés fait le bonheur des entreprises », Isaac Getz est spécialiste de l'innovation et du leadership libérateur. Il propose aux entreprises et à leurs dirigeants une méthode pour repenser et transformer leur modèle managérial en levier de croissance.
Aurialie Jublin

Un lieu de travail "augmenté" optimise en temps réel les interactions entre e... - 2 views

  • La “réalité sociale augmentée” est le fruit de nombreuses années de recherche. “Contrairement à la réalité augmentée, qui ajoute des couches d’information à une vidéo ou à votre champ de vision pour vous fournir plus d’informations, la réalité sociale augmentée désigne les systèmes qui changent en temps réel pour satisfaire des besoins d’un groupe”
  • pour dynamiser les interactions sociales entre les employés, inutile d’organiser des réunions. A mesure que se développent des capteurs de plus en plus sophistiqués, les possibilités se démultiplient quant à l’étude des données comportementales sur les employés...  Le “prochain challenge”, selon Ben Waber, est “d’utiliser ces données afin d’influencer ou d’améliorer la façon dont les personnes travaillent entre elles”.
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    "La "réalité sociale augmentée" postule qu'en collectant les données comportementales des employés, il est possible de modifier la configuration de l'espace de travail pour optimiser les relations entre employés."
Aurialie Jublin

The Digital Labor Landscape - MindMeister Mind Map - 0 views

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    Carte très riche sur les différentes formes du "digital labor"
Aurialie Jublin

Digital labor ou digital volunteer ? Marx à l'heure du web 2.0 | Communicatio... - 1 views

  • La création du Web 2.0 se place donc dans une problématique économique mais aussi essentiellement financière, car les acteurs financiers attendaient après l’éclatement de la bulle spéculative un nouveau cadre de confiance pour de nouveaux investissements et de nouveaux profits.
  • Mais ce mélange crée aussi une confusion entretenue par les éditeurs et les "vendeurs du web 2.0", qui consiste à faire croire que l’utilisateur bénéfice de facto de la visibilité de l’ensemble de la plateforme qui héberge son contenu.
  • puisque les utilisateurs créent des contenus la plupart du temps sans rétribution financière et que les éditeurs de plateformes réalisent du profit sur ces contenus par la publicité, comment ne pas penser à Marx et au concept d’exploitation ? Par ailleurs, tout comme le prolétaire, l’utilisateur du web 2.0 ne possède ni le capital, ni les moyens de production (les outils de publication, mais aussi les contenus qu’ils publient).
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  • La perte de sens, la déshumanisation, le morcellement de l’individu propres à l’aliénation chez Marx se retrouve-t-elle dans nos usage du web 2.0 ? Cette question est sans doute trop vaste pour pouvoir y répondre dans un billet de blog, mais le fait de se concentrer sur le "comment faire", de ne pas prendre de recul sur nos usages et de ne pas les comprendre pourrait constituer une forme d’aliénation.
  • Mais il ne s’agit que d’une promesse. Le travailleur reçoit un salaire, et donc une réelle contrepartie de son travail. L’utilisateur du web 2.0 n’a pas de contrepartie réelle à son activité, mais seulement une promesse (qui possède donc un caractère virtuel), celle d’améliorer sa vie.
  • Pourtant, lorsque Instagram a annoncé en décembre 2012 vouloir réaliser des profits directement sur les contenus des utilisateurs, une partie des utilisateurs s’est fortement opposé à cette évolution (5). Nous pourrions analyser cette expérience comme une révolte, qui plus est réussie puisque depuis Instagram a fait machine arrière sur cette évolution.
  • Alors, quel est le notre statut quand nous créons du contenu et que nous le publions sur le web 2.0 ? Nous sommes peut-être des bénévoles. Bénévoles, parce que même si nous sommes dans un certaine mesure exploités, peut-être parfois aliénés, nous ne sommes pas prisonniers comme le sont les esclaves, ni engagés et liés à un contrat comme les travailleurs. Bénévoles parce que nous avons le choix de publier ou pas, de choisir notre espace ou notre plateforme. Bénévoles parce que souvent nous n’avons pas de rétribution financière de notre activité de publication.
  • Pour Marx, les prolétaires sont ceux qui doivent vendre leur force de travail pour vivre. Les utilisateurs du web 2.0 sont peut-être ceux qui doivent donner de leur temps pour exister.
Aurialie Jublin

Bring your own service : les employés veulent accéder à des outils sociaux au... - 1 views

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    Bring your own service: Employees want social tools at work, despite company restrictions and hesitation, reports new Microsoft survey
Aurialie Jublin

Mutations du travail, comment recréer des collectifs ? - Metis - 1 views

  • L'espace du travail est devenu tout à la fois étendu, en distances et en fréquence de mobilité et augmenté, numériquement. Cette mutation s'opère aujourd'hui, coûts obligent, trop souvent au détriment de la proximité domicile travail, des territoires dédiés individuellement (60% des salariés ne disposent pas d'un bureau individuel) et des repères (des productions immatérielles pour un travail invisible).
  • Bref, penser les espaces de travail de demain, c'est vider ces espaces des bureaux eux-mêmes au profit d'espaces appropriables par des collectifs, aisément accessibles en termes de localisation, au contraire de la tendance des 10 dernières années à s'éloigner en périphérie, et non « prescrits » dans leurs usages.
  • L'essentiel aujourd'hui de la valeur produite est immatérielle et servicielle. Elle mobilise un travail intellectuel dont la valeur ajoutée n'existe qu'à condition de s'inscrire dans des collectifs. Relativement à cette mutation, l'entretien, l'évaluation, la reconnaissance..., restent individuels. Ils sont toujours calés sur des objectifs que l'on ne sait pourtant plus fixer « objectivement » ou sur des compétences dont l'existence doit l'essentiel à l'organisation du travail et à l'expérience de l'activité collective. La question n'est plus simplement, comme on l'entend encore, de limiter les effets pervers d'une évaluation individuelle sur les performances ou même les compétences (par construction individualisante, stressante) sur les fonctionnements collectifs et la destruction du lien social.
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    "Nous sommes entrés dans le temps de l'infoduction , celui de la production intellectuelle pour une production immatérielle, dans une économie désormais tirée par les services. C'est un monde de connexion. Ici et là-bas ne se distinguent plus aisément. L'accélération produit à la fois l'urgence, l'instantanéité, la simultanéité voire l'ubiquité. D'horizontal, l'espace est de plus en plus vertical, avec l'ascenseur devenu, le premier moyen de transport mondial, d'un ici, en bas, à un ici plus haut. Le monde devient digital, avec son outil emblématique, le smartphone qui permet d'accéder aux données diffusées à l'échelle du globe, à l'aide d'un pouce. Disposer de données ne suffit cependant pas à construire des connaissances et des compétences collectives."
Aurialie Jublin

Chez Google, vélos et cafés sur le toit pour inciter les salariés à l'audace - 0 views

  • Comment traduire en programme architectural ce mode de management particulier – absence de hiérarchie, travail en équipes, refus des conventions, incitation à la communication, à l'audace...?
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    "Pour les dirigeants de la société, qui emploie 38700personnes, le "changement" passe, entre autres, par un projet: bâtir une extension du Googleplex de Moutain View, le siège social californien du groupe, susceptible de révolutionner l'architecture de bureaux. Dans les tuyaux, neuf bâtiments de quatre étages, surmontés de toits verts, avec des cafés et des panneaux solaires, reliés par des ponts où circuleront des vélos, mais pas d'automobiles... Un campus pensé pour encourager la créativité des salariés chère au senior vice-président du groupe, Laszlo Block, qui pilote les ressources humaines."
Aurialie Jublin

How Technology Is Changing The Way Organizations Learn - Forbes - 0 views

  • That’s beginning to change as brands are becoming platforms for collaboration rather than assets to be leveraged.  Marketers who used to jealously guard their brands are now aggressively courting outside developers with Application Programming Interfaces (API’s) and Software Development Kits (SDK’s).  Our economy is increasingly becoming a semantic economy.
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    By the late 20th century, a knowledge economy began to take hold.  Workers became valued not for their labor, but for specialized knowledge, much of which was inscrutable to their superiors. Successful enterprises became learning organizations. Now, we are entering a new industrial revolution and machines are starting to take over cognitive tasks as well.  Therefore, much like in the first industrial revolution, the role of humans is again being rapidly redefined.  Organizations will have to change the way that they learn and managers' primary task will be to design the curricula.
abrugiere

Revenu de base : vers une société emancipée du marché du travail ? | Up Confe... - 0 views

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    Le revenu de base pose de plein fouet la question de notre relation au travail. Remet sur le devant de la scène les activités qui sont sorties du secteur marchand
abrugiere

Andre Gorz - YouTube - 2 views

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    Le travail est une invention du capitalisme industrielle.  DAns l'antiquité, le travail ne se déroulait pas dans la sphère publique. Les femmes travaillaient (ou sinon les esclaves), les hommes faisaient de la politique. Le travail était mal vu. Au Moyen-âge : il n'y avait pas de travail mais des besognes, des peines, des labeurs (paysan), l'oeuvre (des artisans).  Max Weber
hubert guillaud

Révolution numérique et coworking : Vers une ville vaporeuse? - DNArchi - 2 views

  • Ce que j’appelle des “espace vaporeux”, des espaces hybrides aux fonctions indéfinies dont l’identité n’est pas conçu a priori mais se construit au fur à mesure par leurs transformations comme c’est le cas pour tous les systèmes naturels émergeants.
  • Les différents points abordés ci-dessus, bien que très divers, ont tous un point en commun : ils décrivent une nouvelle conception de l’espace qui ne serait plus caractérisée par ses aspects fonctionnels (maison, bureau, etc…) ou par les objets qu’il contient (comme par exemple les outils de travail dans les anciens bureaux) mais plutôt par ses aspects intangibles, comme les relations entre ses occupants ou, plus en général, son ambiance et aussi leur position relative dans la ville.
  • D’un coté, Superbelleville propose un espace vide comme plateforme de travail, de partage, d’échange, de création et d’expérimentation qui est ouverte et accessible aux travailleurs indépendants, aux chercheurs et aux artistes. Sous cet aspect il se configure comme un espace non défini, capable de recevoir et produire de l’inattendu. De l’autre, il encourage la création d’une communauté d’intérêts autour du design paramétrique, soit un ensemble d’outils et de savoir-faire qui permettent de songer à une architecture libérée de la production standardisée.
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    "Dans cet article, Francesco Cingolani, architecte/blogueur/chercheur, interroge la notion de coworking, et en particulier, expose les potentialités et les apports de cette pratique de l'espace pour la conception architecturale numérique. Il questionne l'évolution de nos espaces physiques de travail à l'ère de la dématérialisation de nos supports de représentation, d'interactions sociales comme d'information. Francesco Cingolani s'engage ici pour le coworking qu'il met en œuvre dans son espace SuperBelleville"
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    "La crainte des années 90 qui préfigurait un monde ou l'Internet aurait tué la ville ou les relations humaines n'est désormais plus qu'une dystopie datée et irréaliste. L'explosion du phénomène du coworking en est une preuve évidente", estime l'architecte Francesco Cingolani qui revient sur ce que transforment les tiers lieux. Pourquoi dans le coworking cherche-t-on à séparer espace domestique et espace de travail, alors qu'en même temps on cherche dans ces lieux un confort domestique près à nous offrir un changement de perspective sur le travail. L'espace du tiers lieux se définit non plus par ses aspects fonctionnels ou par ses objets, mais par ses aspects intangibles : les relations entre ses occupants, l'ambiance, etc.
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