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Aurialie Jublin

The Future of Work | MIT Technology Review - 2 views

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    Dossier de juillet 2012 "In July's business report Technology Review examines the cutting edge of automation-the jobs it is destroying and the prosperity it is creating. During the month, we'll explore the latest in commercial robotics and reveal how IT advances are bringing automation to jobs never before done by machines."
Aurialie Jublin

Avis sur le reportage "Un monde sans humains" - 0 views

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    "Un monde sans humains ? est un documentaire où se croisent technosciences, philosophie et politique. Il nous emmène dans les laboratoires où se fabriquent les prothèses bioniques; près de ces chercheurs qui, pour assister l'armée, travaillent la commande des machines par la simple pensée; assiste aussi à un entretien d'embauche où un robot analyse les émotions d'un candidat répondant aux questions de son recruteur, ce même type de robot que l'on retrouve dans une maison de retraite, en train de surveiller le régime alimentaire d'une pensionnaire. Un monde où la science se mettrait au service de l'homme pour en adoucir la vie, pour le prévenir de ses erreurs, ou pour l'aider dans son quotidien. A l'heure actuelle au stade de prémisses, ce monde vise à totalement changer l'homme." Commentaires : revoir la séquence sur l'entretien d'embauche par le robot
Aurialie Jublin

Que devient le travail dans l'économie digitale ? - Metis - 1 views

  • Cette économie ne peut se définir uniquement par les technologies digitales elles-mêmes mais par un ensemble de propriétés radicalement nouvelles. On en citera quelques unes qui montrent que l'on aborde des rivages nouveaux :- le rendement croissant des innovations et le coût marginal zéro. Le principe des rendements croissants, lié aux externalités de réseaux positives, fait que la valeur d'un bien ou d'un service digital est d'autant plus élevée qu'il bénéficie d'un réseau étendu. La conséquence est que les coûts de production et de distribution, quasiment indépendants du volume produit, doivent être payés dès l'investissement initial. Jusqu'ici nous avions vécu dans une économie de rendements décroissants !- des nouveaux modèles d'affaire se développent autour des plateformes en ligne générant une nouvelle forme de marché appelée marché « à deux versants ou bifaces ». Cela concerne des produits ou des services qui sont proposés simultanément à deux catégories d'utilisateurs via internet. Ces marchés induisent des types de concurrence en rupture avec les marchés traditionnels où plusieurs concurrents coexistent et sont en compétition. Là, le gagnant prend tout (the winner takes all).
  • Concernant l'impact des ruptures technologiques sur les environnements de travail, les auteurs, après avoir recensé six nouveaux champs (le cloud, les données massives, les applications mobiles, la géolocalisation, l'internet des objets, les machines apprenantes et la robotique mobile) notent bien des potentiels de transformation du travail notamment par un déplacement de la frontière entre les capacités des humains et des machines.
  • Les auteurs distinguent les nouvelles formes de travail ou d'emploi suivantes plus spécifiquement liés au développement de l'économie digitale:- les « nomades numériques » qui peuvent être des travailleurs salariés ou des indépendants. Leur activité est réalisée à l'extérieur des locaux de l'employeur ou du client. Cette forme de travail repose sur une grande autonomie et permet à des personnes exclues habituellement des emplois classiques de travailler. Mais qu'en est-il de la prise en charge de la santé et de la sécurité de ces nomades numériques ?- l' « externalisation ouverte » (crowd working) qui désigne le travail réalisé à partir de plates-formes en ligne permettant à des organisations ou des individus d'accéder, via internet, à un groupe indéfini et inconnu d'autres organisations ou individus pour résoudre des problèmes spécifiques ou fournir des services ou des produits spécifiques en échange de paiement. Ceci se traduit par le développement d'un marché orienté sur la tâche plutôt que sur l'emploi et une baisse de la qualité du travail ; on constate souvent un détournement des normes d'emploi. Certains parlent de «cybertariat » (cyber-prolétariat). D'une certaine manière, cela s'apparente à une formalisation de l'économie informelle.- le travail sur appel organisé par des plateformes. Il consiste en une relation d'emploi continu formalisée par un contrat de travail sans travail continu. Ce type de contrat repose sur le principe du travail sur appel, en fonction de la demande : c'est un travail occasionnel intermittent, une nouvelle forme d'intermédiation entre une demande de travail et des réserves de travailleurs en attente de tâches et de missions. Ces emplois sont caractérisés par un temps de travail très flexible, un salaire très variable et une disponibilité étendue : ils matérialisent un découplage entre le contrat de travail et le temps de travail, et soumettent la vie quotidienne à des horaires imprévisibles.
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  • Ces nouvelles formes de travail se caractérisent par un brouillage des frontières : recouvrement entre vie professionnelle et vie privée, ambivalence entre le statut de salarié et d'indépendant, ou parfois de collaborateur bénévole, difficultés à distinguer le producteur du consommateur, etc. D'où la conclusion provisoire : « si ces formes de travail ne sont pas entièrement neuves et si elles sont en partie porteuses d'éléments positifs pour les travailleurs, elles sont aussi accompagnées de nombreux effets qui suscitent l'inquiétude, qui bousculent les systèmes de relations sociales et qui requièrent des formes de régulation appropriées ».
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    "Le document de travail de Patricia Vendramin et Gérard Valenduc à l'origine de cet article est publié par l'Institut syndical européen (European Trade Unions Institute), un centre de recherche et de formation de la Confédération Européenne des syndicats (CES). L'Institut a demandé à deux professeurs-chercheurs de faire le point sur l'impact des technologies digitales sur le travail."
Aurialie Jublin

« Le risque d'un chômage technologique de masse peut être écarté » - Rue89 - L'Obs - 1 views

  • Stefano Scarpetta résume en chiffres : « Ce serait plutôt 9% en moyenne des emplois aux Etats-Unis et dans les pays de l’OCDE qui seraient automatisables, avec plus de 70% de tâches substituables par des machines. C’est beaucoup moins que les 47% ! »
  • Mais l’OCDE nuance : « les travailleurs peuvent s’adapter en changeant leurs tâches », d’où la nécessité de la formation continue tout au long de la vie professionnelle, et « le changement technologique génère aussi des emplois supplémentaires », même si ces derniers ne remplacent pas les emplois perdus, car les compétences ne sont pas les mêmes. Ce sont les effets indirects : « Selon certaines estimations, chaque emploi créé par le secteur de la haute technologie entraîne la création d’environ cinq emplois complémentaires. » Pas d’angélisme pour autant : l’OCDE reconnaît qu’il y aura bien des suppressions d’emplois et « les travailleurs moins instruits sont ceux qui courent le plus de risques de voir leur emploi supprimé ».
  • Citant les exemples du Turc mécanique d’Amazon, des plateformes TaskRabbit ou Youpijob pour les tâches du quotidien, l’OCDE ne cache pas son inquiétude sur l’émergence d’emplois de faible qualité et le « risque de pauvreté dans l’emploi ». Et dresse une conclusion éminemment politique à l’attention des dirigeants des pays riches : « Dans ce contexte, il faudra adapter les systèmes de prélèvements et de prestations (sociales) afin de garantir que le travail, même faiblement rémunéré, apporte un revenu suffisant pour échapper à la pauvreté. »
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    "Selon les économistes de l'OCDE, le taux d'emplois automatisables serait plus proche de 9%. Le moindre besoin de main d'œuvre dû à l'automatisation et au numérique pourrait se traduire plutôt par… la baisse du temps de travail."
Aurialie Jublin

Microsoft rachète LinkedIn pour 26 milliards de dollars : une certaine vision du travail - L'actu Médias / Net - Télérama.fr - 0 views

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    "Le rachat de LinkedIn dit-il quelque chose de Microsoft et de sa vision du travail ? Selon Antonio Casilli, le danger d'une subordination technique des travailleurs guette, tapi derrière la machine à café : « Microsoft assume sa volonté de prendre en charge toute la vie d'une entreprise, de son univers bureautique, bureaucratique même, en passant par ses outils de formation ou son système d'exploitation. Qui revêt ici un sens très littéral, puisque le système remplace le supérieur hiérarchique dans le rôle du donneur d'ordres. La vision du travail selon Microsoft, c'est celle d'un hypertravail qui peut pénétrer tous les moments de notre vie »."
Aurialie Jublin

Tara - The on-demand team for small business - 0 views

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    "T.A.R.A. began life as an AI recruiter, built for Talent Acquisition and Recruiting Automation, by veteran recruiters and machine learning engineers. Tara has the ability to analyze 100+ data points on each candidate and recruit the most effective engineers for specific positions or coding tasks, by quantifying their skills. Tara's functionality has expanded, with the ability to assemble full-stack product teams, on-demand."
abrugiere

Rifkin J.  "La fin du travail" - 1 views

  • Le prix du progrès", qui lui apparaît comme la séparation de la population mondiale en deux forces irréconciliables, d’un côté les faibles broyés par le progrès, de l’autre une élite de manipulateurs d’abstraction
  • La logique du marché pousse l’entreprise à sa restructuration interne, qui signifie une baisse du personnel. Le reengineering consiste en une organisation plus souple de l’entreprise, notamment grâce à un aplanissement des hiérarchies. Ces décisions accélèrent la production mais suppriment un nombre considérable d’emplois, en particulier ceux des cadres moyens, qui seront 80% à avoir perdu leur emploi à la fin de ce phénomène.
  • Les principes de "management scientifique" prônés par Taylor devinrent la référence obligée en matière d’organisation du travail. La manie de l’efficacité devint une réelle croisade. Elle atteignit tous les secteurs de la vie de l’Amérique, remodelant la société selon les critères chronométriques astreignants de la culture machinique et industrielle : entreprises, mais aussi administrations, services municipaux, système éducatif, vie quotidienne.
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  • L’ingénieur, équipé des outils de l’efficacité, devint le nouveau héros.
  • La première révolution industrielle a été marquée par l’avènement du charbon et l’utilisation des machines à vapeur. La deuxième révolution industrielle fût causée par la découverte du pétrole et de l’électricité. La troisième révolution industrielle s’accompagne de "machines pensantes", robots à commandes numériques, ordinateurs, logiciels ultrasophistiqués.
  • Le traitement horizontal plutôt que vertical de l’information fait s’effondrer la pyramide traditionnelle de l’entreprise au profit de réseaux fonctionnant sur un même plan, ce qui élimine de plus en plus de cadres moyens.
  • Le recyclage, solution proposée comme excuse aux réductions de personnel, ne fonctionne en réalité que pour un cinquième des chômeurs
  • Actionnaires et patrons se sont quant à eux enrichis grâce aux gains de productivité induits par les restructurations. La vague de reengineering a provoqué ensuite le déclin de la classe moyenne, dont le nombre d’emplois, les salaires, ainsi que la protection sociale ont chuté de manière critique
  • Les manipulateurs d’abstraction, nouvelle élite de travailleurs du savoir, parviennent seuls à augmenter leurs revenus grâce à la nouvelle économie mondiale high-tech. Le fossé entre riches et pauvres se creuse, et les tensions toujours plus fortes pourraient aboutir à une révolution sociale.
  • La perte de son emploi est donc pour lui, au-delà des difficultés matérielles, une perte d’identité dangereuse.
  • Le mouvement pour la réduction du temps de travail est historique
  • L’évolution est progressive, et de 80 à 60 heures, puis de 60 à 40 heures, nous devons maintenant nous diriger vers les 30 voire les 20 heures.
  • Ce tiers secteur, domaine qui comblera le vide provoqué par la suppression d’emplois, est celui de la vie associative, qui tisse le lien communautaire : l’entraide, l’enseignement, la recherche, l’art, la religion, entre autres.
  • Milton Friedman proposa un judicieux impôt négatif sur le revenu.
  • When Corporations Rule the World (également daté de 1995, Kumarian Press), David Korten
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    Notes de lecture de l'ouvrage de Rifkin. IDées fortes : la productivité conduit à la destruction d'emploi. La croissance sera dorénavant sans emploi (1995). L'ère industrielle fondée sur le travail humaine s'achève. L'ère de l'information partagée et l'énergie décentralisée lui succède : disparition des emplois classes moyennes. Apparition d'un tiers secteur, etc.
Aurialie Jublin

Produire son énergie au travail en pédalant sous le bureau - 0 views

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    Le bureau-vélo de Pedal Power permet de produire l'énergie nécessaire afin d'alimenter ordinateurs, téléphones portables ou autres machines tout en travaillant. Un adulte pouvant générer environ 75 watts en deux heures. il lui faut 3 à 6 heures de pédalage pour charger un ordinateur, et 30 à 40 minutes pour un mobile.
Aurialie Jublin

Pourquoi le travail et l'emploi vont disparaitre - 3 views

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    Paul Jorion, chercheur en sciences sociales, explique comment «l'ordinatisation» des métiers va tuer - et tue déjà - l'emploi à petit feu. " La domination de la machine est impossible à éviter... Aujourd'hui, la seule chose qui manque aux logiciels et aux programmes informatiques est un facteur essentiel pour remplacer l'humain: il s'agit de l'émotion et de l'affect. Mais ce «manque» sera résolu dans 5 ans maximum."
abrugiere

Économie numérique : Robots, le retour par Michel Volle - interview - 0 views

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    Interview de Michel Volle par Dominique Lacroix sur l'économie numérique Nous sommes en train de vivre une 3e révolution industrielle, nous sommes en pleine transition. Référence à l'ouvrage l'Histoire des techniques, de Bertrand Gille Au 18e siècle une première révolution industrielle s'est produite, fondée sur les progrès de la métallurgie et l'invention de la machine à vapeur. 28 28À la fin du 19e siècle, sont apparues deux formes nouvelles d'énergie, l'électricité et le pétrole et le cortège d'inventions qui en ont découlé : moteur électrique, lampe électrique, moteur à essence etc. 28 28 La troisième révolution s'est produite vers 1975 avec l'informatisation. L'informatique et les réseaux transforment tellement la vie économique qu'il est utile d'employer un néologisme pour désigner le nouveau paradigme. C'est « l'iconomie ». Où seront les emplois de demain me demandez-vous ? En amont d'abord, dans la conception des produits et des automates. Et en aval, dans le service au client. Les produits sont devenus des assemblages de biens et de services. Je crois qu'à long terme, c'est-à-dire dans 20 ou 30 ans, on peut retrouver le plein emploi. Toute économie parvenue à la maturité utilise la totalité de la force de travail disponible
Aurialie Jublin

Le Turc mécanique d'Amazon - France Culture - 0 views

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    "C'est qui est le plus fascinant là-dedans, c'est qu'on est à la fois dans une forme de travail hyper-contemporaine (son côté mondialisé, organisée par des algorithmes) et une forme très ancienne, qui rappelle les « calculateurs humains », ces gens qui, avant les ordinateurs, effectuaient des morceaux de calculs qui étaient assemblés pour réaliser des opérations complexes (on a beaucoup utilisé de calculateurs humains, et notamment des femmes sous payées, dans le projet Manhattan, qui a abouti à la création de la première bombe atomique). Les ordinateurs ont fait disparaître les « calculateurs humains », mais ils ont fait apparaître une autre forme d'exploitation totalement invisible, cachée dans l'antre des machines. Ce n'est pas l'usine, mais c'est guère plus désirable."
abrugiere

Nous sommes au bout du modèle fordiste, il faut passer à un modèle contributif | Without Model - 1 views

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    On entre dans un nouveau stade de l'automatisation, de nature différente du précédent. C'est la poursuite de ce qui a commencé il y a 200 ans, mais l'automatisation change de régime. Dans beaucoup de secteurs, la main d'œuvre n'est plus nécessaire, ou sera superflue à très court terme. Amazon a annoncé récemment travailler dans cette direction, l'élimination de tous les emplois et leur remplacement par des machines. Quand cela arrivera, le modèle fordiste sera mort. Car sans emplois, pas de pouvoir d'achat et il n'y aura plus personne pour consommer ce que les robots auront produits. On sera dans une crise majeure, violente et systémique Le revenu contributif devrait être conçu de façon à favoriser l'engagement des individus dans des projets contributifs. Il faut encourager les contributions en vue de créer des entreprises que j'appelle sociales, elles peuvent devenir des entreprises monétarisées mais pas forcément.
Aurialie Jublin

Plus de robots, moins de travail / Le blog A Lupus - 0 views

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    "Une des conférences les plus attendues de Lift s'est penchée sur l'avenir du travail. Les progrès de l'intelligence artificielle et l'accès à de larges bases de données rendent les robots efficaces dans un nombre croissant de domaines. Déjà largement implantées dans le secteur de l'industrie, les machines pourraient conquérir celui des services d'ici à vingt ans"
julien camacho

Quels jobs ne seront pas détruits par les machines? | Slate.fr - 0 views

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    Sur le blog Opinionator du New York Times, le professeur d'économie David H. Autor, qui enseigne au MIT, et David Dorn, du Center for Monetary and Financial Studies de Madrid, apportent une contribution nouvelle à la controverse très présente aux Etats-Unis sur les effets du changement technologique et la menace qu'il fait peser sur la classe moyenne.
Aurialie Jublin

Avec la caisse automatique, la caissière devient un peu flic | Rue89 - 0 views

  • Cette nécessité de surveiller tout le temps les clients a une conséquence : la fin des temps morts, de ces instants de répit et de récupération, quand le client remplissait son sac, remarque le chercheur en gestion Amadou Ba, qui, pour sa recherche, a travaillé comme responsable de caisse pendant trois ans dans un magasin pionnier en matière d’automatisation : « On développe des outils pour que les caissières soient toujours occupées. Et pour intensifier le rythme, ainsi que la charge mentale et physique. »
  • Finalement, la caisse automatique a bien causé des dégâts, mais pas là où on les attendait. Au début, les enseignes ont d’ailleurs placé des caissières toute la journée à piloter ces nouvelles machines. Echec. Les employées ont craqué. Du coup, de nombreux magasins ont instauré un temps maximum en caisse automatique, de 4 heures, raconte Sophie Bernard : « Quand on les interroge, les caissières disent apprécier cette polyvalence. Elles ne veulent pas forcément revenir en arrière. Mais elles ne tiendraient pas uniquement sur les machines, c’est trop insupportable pour elles. »
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    "La caisse automatique s'est imposée dans les super et hypermarchés, jusqu'aux supérettes de proximité. Devenue contrôleuse, la caissière a vu son métier changer."
hubert guillaud

Quand la radiation devient une fonctionnalité du logiciel - CQFD, mensuel de critique et d'expérimentation sociales - 0 views

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    "Avec l'abandon du suivi mensuel personnalisé physique, tout va se passer à distance à travers les spams sur téléphone portable, à travers les plates-formes de traitement de contrôle des chômeurs qui se sont implantées de façon expérimentale sur plusieurs régions. L'avenir, c'est de ne plus recevoir les gens dans les agences, à part la première fois pour leur expliquer leur droit à indemnisation. Après on les bascule sur le flicage numérique." Sur Chômeurs rebelles - http://cgtchomeursrebelles56.blogspot.fr - des conseillers de Pôle emploi décryptent le nouveau site internet de Pole-emploi.f. "Outre le casse-tête concernant les critères à renseigner, le bridage de la machine dont les réponses sont limitées à 150 offres, l'analyse met en exergue cette obligation faite au chômeur de se connecter une fois par mois et de mettre régulièrement ses données à jour afin de rester en « "tête de liste" de la consultation des patrons, comme sur "leboncoin.fr" ». Tandis que de l'autre côté de l'écran, les « flics de l'emploi », installés dans le QG de leur plate-forme de contrôle numérique, veillent au grain et n'hésiteront pas à intervenir si les démarches virtuelles du chômeur réel ne font pas montre d'une volonté active de retrouver du taf. Une traçabilité qui fait basculer le contrôle du chômeur en mode « industriel »." Le seul moyen d'échapper au flicage numérique qui se met en place : déclarer au premier entretien ne vouloir recevoir aucun SMS ou email de Pôle emploi !
Aurialie Jublin

Ces robots qui vont (enfin) envahir nos PME… et créer des emplois - 1 views

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    "Les machines ne seraient - finalement - pas les fossoyeurs de l'emploi... Pire, ce serait même le contraire !"
hubert guillaud

IFTF : Technology Horizons - 0 views

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    En 2014, l'Institut pour le Futur compte travailler sur l'horizon des technologies via de nouvelles cartes combinatoires pour aider à naviguer dans le futur. Au menu de 2014, deux thèmes notamment : un sur le rapport homme machine, via les interfaces et les nouvelles modalités d'interactions et un autre sur les Maker Cities, du faire au refaire.
Aurialie Jublin

Imprimantes 3D : illusoire émancipation par la technologie, par Johan Söderberg (Le Monde diplomatique) - 1 views

  • Les divagations qui entourent la promotion commerciale de l’imprimante 3D MakerBot, selon lesquelles cette « révolution » permettra aux ouvriers américains licenciés de retrouver un emploi créatif et innovant en se reconvertissant en makers indépendants, n’ont de sens que si l’on occulte l’histoire industrielle de ces outils. La fabrication individuelle permettra peut-être aux ouvriers de renouer avec le savoir-faire et l’inventivité, mais c’est oublier que les emplois d’usine n’ont pas toujours été aussi abrutissants. Et que c’est cette même technologie — qui contribuerait, nous dit-on, à réintroduire des métiers à compétence dans l’économie — qui a rendu le travail en usine si démoralisant.
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    "Les makers ne sont donc pas les héritiers du mouvement ouvrier - ils sont plutôt le résultat historique de la négation de ce mouvement. Ainsi, nombre des figures connues du mouvement maker viennent du MIT, l'institut qui a joué un rôle déterminant dans la création de machines à commande numérique. "
abrugiere

▶ Quand les humains n'auront plus besoin de postuler ! - YouTube - 1 views

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    une video édifiante sur l'automatisation / robotisation  vers des machines intelligentes ? 
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