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Aurialie Jublin

Internet au bureau : la pause cachée - Télérama.fr - 0 views

  • Spécialisée dans le filtrage Internet, l'entreprise Olfeo calcule qu'un salarié passe en moyenne cinquante-trois minutes par jour sur Internet au bureau pour un usage personnel – l'équivalent de « six semaines de congés en plus » sur l'année ! En tête des sites les plus visités en douce, Facebook et YouTube, mais aussi le site de France Télévisions, qui entre cette année dans le Top 20.
  • Est-ce légal ? La plupart des sociétés autorisent une consommation « raisonnable » d'Internet pour usage personnel, mais bloquent en parallèle certains sites. Impossible de se connecter à Deezer quand on travaille chez EDF. Les financiers de BNP-Paribas n'ont quant à eux le droit de surfer sur Facebook et YouTube que pendant la pause déjeuner et après 18 heures.
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    "Envie de s'évader au boulot ? Hop, un petit tour en douce sur YouTube, une chanson sur Deezer… Ces pratiques affectent-elles vraiment la productivité ?"
abrugiere

Christophe Dejours - Qu'est-ce que le travail vivant ? - YouTube - 0 views

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    Le titre de la vidéo n'est pas le bon... mais l'interview est intéressante, dimension historique... Mai 1968 : un événement clé dans le rapport au travail. La plus grande des grèves.  Quelles questions soulevées ? La question de l'aliénation par les nouvelles formes de travail (taylorisme, contraintes de temps) Le monde ouvrier était le plus touché par la perte du sens du travail.  Avant 1968 : le travail pouvait être vu comme difficile, mais il y avait des effets positifs sur le niveau de confort (consommation, etc.).  Après 1968 : la conviction que l'augmentation de la production, du confort était ce que les gens attendaient, est remise en cause. Constat d'une destruction des humains au travail.  A partir de là réflexion autour de formes alternatives :enrichissement des tâches, groupes semi-autonomes, expérimentations, etc.  "Rapport Sudreau"  Rapport entre le travail et la construction de soi, de l'identité : importance du travail dans la vie psychique. Le genre est complètement structuré par le rapport au travail.  Recherches lancées sur l'amélioration des conditions de travail. 
Aurialie Jublin

Qu'est-ce que le travail spéculatif ? - YouTube - 0 views

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    Concerne principalement par les designers et graphistes, qui créent des logos pour répondre à des appels d'offres et pour lesquels ils ne sont pas rémunérés
abrugiere

Paul Jorion : "Le travail disparaît" CSOJ - YouTube - 0 views

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    le travail disparaît : tout individu dont le travail est remplacé par une machine devrait avoir un salaire à vie
abrugiere

Andre Gorz - YouTube - 2 views

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    Le travail est une invention du capitalisme industrielle.  DAns l'antiquité, le travail ne se déroulait pas dans la sphère publique. Les femmes travaillaient (ou sinon les esclaves), les hommes faisaient de la politique. Le travail était mal vu. Au Moyen-âge : il n'y avait pas de travail mais des besognes, des peines, des labeurs (paysan), l'oeuvre (des artisans).  Max Weber
Aurialie Jublin

Vidéo "Le travail, pourquoi?", partie 1/2 - 1 views

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    Rappel historique de l'évolution du travail, vision plutôt anticapitaliste, bien qu'il s'en défende. Voilà le lien vers la 2e partie :http://www.youtube.com/watch?gl=US&hl=fr&client=mv-google&v=ysD4fnwzaiA&nomobile=1
abrugiere

Les Barbares Attaquent les Ressources Humaines ! Par Nicolas Colin, Co-Fondateur de The... - 0 views

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    Regarder la vidéo à partir de 45/ 50 minutes (la première partie est un peu longue, et problématise moyennement bien le sujet).  Après, en revanche, N. Colin avance sa thèse : la porosité des organisations, la multitude comme nouveau paramètre stratégique pour les entreprises, l'autonomie des individus, = tout cela conduit à  l'âge de l'entrepreunariat qui revisite la GRH.  Il faut accompagner, pousser les individus à se développer, à développer leurs idées
abrugiere

L'avenir du travail par Albert Jacquart ! - YouTube - 1 views

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    le travail = une souffrance La civilisation, c'est savoir s'émanciper du travail, pour créer des idées, de l'art, etc.  L'absence de travail est devenu aujourd'hui l'absence de rôle de fonction dans la société.  Le nombre d'heures de travail a été divisé par 10, parfois par 100 depuis le début du 20e siècle. Quel est alors le projet humain ?  La caractéristique de l'homme : un être qui évolue et qui se construit dans l'échange.  Le banquier vend des biens qu'il n'a pas eu à produire
hubert guillaud

Dans quels secteurs les humains batteront-ils toujours l'ordinateur ? - The Atlantic - 0 views

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    Pour Rob Miller, professeur d'informatique au MIT, il y aura toujours des secteurs où les êtres humains seront meilleurs que les algorithmes. C'est notamment le cas du "crowd computing", l'informatique par la foule, que permet le Mechanical Turk d'Amazon par exemple ou Wikipédia d'une autre manière. Les algorithmes savent mieux chercher que nous un tarif compétitif pour un voyage en avion, mais ils sont beaucoup moins forts que les humains quand le voyage s'avère complexe. Dans le domaine de la compréhension sociale et culturelle, les hommes sont toujours meilleurs que les machines. A l'avenir, nos jobs ne seront pas tant remplacés par des ordinateurs, que complémentaires aux ordinateurs. Les outils qui combinent l'apport d'une communauté humaine avec des algorithmes sont assurément l'avenir, à l'image de Cobi - http://projectcobi.com -, un logiciel qui permet d'organiser des conférences en prenant en compte les contraintes des chercheurs. Soylent - http://projects.csail.mit.edu/soylent/ - permet de faire relire ses documents à une foule anonyme... Adrenaline - http://www.youtube.com/watch?v=9IICXFUP6MM - permet de trouver la meilleure image d'une vidéo en faisant sélectionner l'image par une foule de gens... Pour Rob Miller, l'avenir où la machine dépasse l'homme est une fiction, le vrai avenir est à la symbiose et à la complémentarité entre l'homme et la machine. Qu'importe si pour cela il nous faut transformer les hommes en robots...
abrugiere

Inculture(s) 5 : Le travail - Franck Lepage & Gaël Tanguy - Scop Le Pave - Co... - 1 views

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    le travail et l'emploi : université de tous les savoirs. Performance théâtrale, assez drôle... :) 
abrugiere

▶ Quand les humains n'auront plus besoin de postuler ! - YouTube - 1 views

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    une video édifiante sur l'automatisation / robotisation  vers des machines intelligentes ? 
Aurialie Jublin

Rémunérer les amateurs pour valoriser les externalités positives | :: S.I.Lex :: - 1 views

  • Bernard Stiegler mélange à mon sens deux choses différentes dans ses propos. Des travailleurs contributeurs participants à l’activité d’une entreprise et des individus contributeurs créant en ligne des contenus assimilables à des oeuvres de l’esprit au sens de la propriété intellectuelle.
  • Le poids de ces « User Generated Content » dans la valeur globale d’Internet est énorme, mais il est globalement rejeté dans l’ombre dans la mesure où ils sont essentiellement produit pas des amateurs, alors que les schémas mentaux traditionnels n’accordent de valeur aux contenus culturels que s’ils sont produits par des professionnels.
  • dans une économie de l’abondance, le fait de ne pas reconnaître de valeur aux contenus produits par les amateurs conduit à ce que cette valeur soit captée par des plateformes de type YouTube, Facebook ou autre, qui se les « approprient » par le biais de leurs conditions générales d’utilisation (CGU).
  • ...2 more annotations...
  • Bluetouff sur son blog va encore plus loin et estime que si Google paye la presse française, alors la presse devrait également payer les internautes, car eux aussi donnent de la valeur aux articles en les partageant !
  • Mais le rapport Colin & Collin repose sur une philosophie qui ne me paraît pas si éloignée de celle qui est à l’oeuvre dans la contribution créative, à savoir la nécessité de reconnaître la valeur de la contribution des myriades d’amateurs dans le système de l’économie numérique et celle de peser pour éviter une trop grande centralisation des échanges sur des plateformes qui finissent par capter l’essentiel de la valeur produite.
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    rémunérer les amateurs : on rentre dans le vif du sujet, dans la continuité des propos de Stiegler 
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    Reflexions sur la rémunération des amateurs-contributeurs, suite à l'interview de B. Stiegler dans Rue89.com sur le travail contributif. Cette rémunération pourrait passer par des systèmes de financement mutualisés qui pourraient prendre trois formes : - La mutualisation coopérative volontaire (système de crowdfunding type Ulule) - La mutualisation organisée par la loi (il s'agit là de la contribution créative, qui consiste à prélever un surcoût sur les abonnements internet des foyers connectés pour rémunérer les contenus en fonction de leur taux de partage en ligne.) - Le revenu de base (ou revenue de vie, revenu d'existence, etc)
Aurialie Jublin

The End of a Job as We Know It - 0 views

  • Pfizer, for example, has set "increase business agility" as one of its four goals for the coming year. The company created an internal labor marketplace called PfizerWorks that lets employees bid on work from each other. Executives at Siemens told me that one of their biggest challenges today is moving engineers into new roles so they can focus on new business areas. InBev (Anheuser Busch), Scotiabank, and MetLife have all launched global talent mobility programs to force people to gain global awareness and expand business opportunities.
  • In our research we call this "the borderless workplace," a concept which explains how workers work seamlessly with people inside and outside their organization on a continuous basis. And this shift has redefined what a “job” actually is.
  • What this all means is that in today's high performing companies, people now take on "roles" not "jobs." They are responsible for "tasks" and "projects" and not simply "functions."
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    "The concept of a job, as we know it, is starting to go away. Over the last year I've been speaking with many corporate business and HR leaders and have heard a common theme: we need our organizations to be more agile. We need to redesign the organization so we can learn faster, communicate better, and respond more rapidly to change. This quest for the agile organization has changed the nature of what we call a job. "
Thierry Nabeth

Under the sharing mood - Antonio Casilli - 0 views

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    Depuis plusieurs années, Antonio Casilli est l'un des principaux spécialistes du Digital Labor. Il est intervenu lors de la journée Sharers&Workers le 14 janvier 2016 au Campus Fonderie de l'Image à Bagnolet près de Paris. Il nous explique ici les nouvelles formes de travail qu'exploitent les plateformes, travail qui peut parfois être inconscient. Le syndicalisme, lui aussi, doit s'adapter à ces nouvelles formes. Antonio Casilli est maître de conférences à Telecom ParisTech et chercheur au Centre Edgar-Morin de l'EHESS, il participe aussi à diverses émissions sur France Culture.
Aurialie Jublin

Lettre ouverte à Axelle Lemaire - Non à l'exploitation du #travailgratuit en ... - 1 views

  • Sous couvert d'une dynamique start-up qui a les faveurs de la presse, l’ensemble des sociétés fonctionnant sur le principe du perverted crowdsourcing construisent leur offre commerciale sur les épaules d'une main d’œuvre qu'ils ne payent pas. Professionnels mais aussi particuliers par milliers y travaillent sans contrats ni statuts au mépris des plus élémentaires obligations légales. Dévoyant à leur seul avantage les fondations de l'économie collaborative, elles mettent en péril une part importante du tissu économique représenté par les indépendants et les petites structures, détruisant bien plus d'emplois qu'elles n'en créent.
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    "NON À L'EXPLOITATION DU #TRAVAILGRATUIT COMME MODÈLE DE RÉUSSITE EN FRANCE"
abrugiere

les robots vont-ils changer notre économie - 1 views

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    A regarder 
Aurialie Jublin

Face à l'algorithme, l'impossible grève des livreurs à vélo - Libération - 0 views

  • Par son essence même, l’algorithme est un casseur de grève : son rôle est de répartir en temps réel la force de travail pour faire face à la demande. Qu’il pleuve et que la demande de livraisons augmente, ou qu’il y ait une grève et que l’offre de travail diminue, peu importe au fond, l’algo fera froidement son travail en faisant en sorte que les clients reçoivent au plus vite leur burger au bacon.
  • De la même manière que les plateformes nient aux livreurs le droit d’être salariés, elles les empêchent aussi de faire valoir efficacement leur droit de grève. C’est ce qui explique que le mot d’ordre des livreurs à vélo comprenne une phrase peu commune dans un mouvement social : «Nous appelons tous les clients de plateformes de livraison à ne pas commander la semaine du 8 au 15 juillet.» La grève de la livraison ne peut fonctionner que si elle est corrélée à une grève des commandes.
  • Pour ces livreurs, une grève ne s’appelle pas un «débrayage» mais plutôt une «déconnexion». Pour réussir un mouvement social dans une économie uberisée, il faut en fait une déconnexion générale. Non seulement des livreurs, mais aussi des clients et des restaurateurs, pour laisser l’algorithme mouliner dans le vide.
  • ...1 more annotation...
  • Sur Arrêt sur images, l’historienne des révolutions Mathilde Larrère avait fait un parallèle saisissant entre la révolte des livreurs et celle des canuts au début du XIXe siècle. Les tisserands lyonnais étaient des auto-entrepreneurs avant l’heure, qui réclamaient un salaire garanti pour faire face aux baisses de tarif unilatérales des négociants. Comme les livreurs à vélo, les canuts étaient propriétaires de leur outil de production mais en fait totalement dépendants des fabricants qui leur vendaient la matière première et leur rachetaient le produit fini. Ce système de fabriques indépendantes, organisé pour éviter la montée d’un syndicalisme ouvrier qui prenait de l’ampleur en Angleterre, a paradoxalement donné naissance à la première grande insurrection ouvrière française.
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    "Pas facile de débrayer quand on est aussitôt remplacé par un autre auto-entrepreneur. Le capitalisme cool de notre société ubérisée empêcherait donc la lutte sociale ?"
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