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Aurialie Jublin

Trois leçons que les jeux vidéo peuvent donner en matière de télétravail | Le... - 0 views

    • Aurialie Jublin
       
      Leçon 1) "les raids" : avoir un objectif commun, ou "éviter la réunionite" Lorsqu'une entreprise veut animer une équipe virtuelle, elle doit absolument se rendre compte que la définition de son objectif doit précéder sa création !  Leçon 2) "Choisir sa guilde" : garantir la cohérence de l'équipe, ou "attacher de l'importance aux valeurs" Trop souvent, lorsqu'on met en place une équipe virtuelle, les valeurs partagées sont mises sur le côté. Penser que "l'avantage des équipes virtuelles est qu'elles ne doivent pas respecter les mêmes règles que les équipes classiques" est une énorme erreur.  Leçon 3) "In Real Life" : du rôle de l'empathie dans un groupe N'oubliez jamais l'adage : "on commence un job, on quitte une équipe". Et si on n'est pas attaché à l'équipe, on quitte d'autant plus facilement le job. Il faudra donc s'assurer que les individus créent des liens empathiques. Tout d'abord, veiller à ce que les outils de partage (par exemple le réseau d'entreprise) permettent de se créer une personnalité : une photo, un pseudonyme, et des informations personnelles… Ensuite, il ne faut pas hésiter à sortir du cadre imposé : donner quelques éléments sur "qui on est" permettent de dépasser le virtuel et de nous rendre humain. Enfin, il faut permettre à l'équipe d'interagir autant que possible d'une manière non verbale : par vidéo, in-real life, etc. Gérer votre équipe virtuelle comme vous géreriez une équipe classique, la technologie en plus !
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    "De plus en plus d'entreprises se posent la question du télétravail. Comment mettre en place des équipes virtuelles efficaces ? Quels sont les facteurs de succès ? Nous sommes confrontés à de nombreuses difficultés en la matière. Pourtant, il existe des communautés qui collaborent à distance avec succès depuis de nombreuses années et dont nous pourrions prendre exemple : celles du jeu vidéo."
hubert guillaud

Comment la technologie détruit la classe moyenne - NYTimes.com - 0 views

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    Sommes-nous en danger de perdre la "course contre la machine", comme l'affirment Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee dans leur livre ? Les machines intelligentes nous menacent-elles de la misère à long terme, comme le prophétisent les économistes Jeffrey D. Sachs et Laurence J. Kotlikoff ? Avons-nous atteint la fin du travail, comme le déplore Noah Smith dans The Atlantic ? Les économistes ont pourtant toujours rejeté l'hypothèse selon laquelle l'augmentation de la productivité du travail réduit inévitablement l'emploi, notamment car celui-ci se déplace. Les ordinateurs et les robots ne sauront pas demain faire toutes les tâches à moindre coût. S'ils excellent dans les tâches de routines, ces tâches ne sont pas le fait de tous les emplois. Les robots et les machines ont du mal à remplacé ceux qui accomplissent des tâches abstraites (qui nécessitent la résolution de problèmes) et les tâches manuelles qui exigent de pouvoir s'adapter à une situation ou de l'interaction avec des humains. "L'informatisation a donc favorisé la polarisation de l'emploi, au profit d'emplois très bien payés et très mal payés, tandis que les emplois dans le milieu ont diminué." "Donc, l'informatisation ne réduit pas la quantité des emplois, mais plutôt dégrade la qualité des emplois pour un sous-ensemble important de travailleurs" Ce changement de la structure de l'emploi explique en partie la hausse des inégalités de revenus. Pour répondre à ce défi, l'avenir est assurément à une meilleure éducation et notamment avec la croissance de la demande en emplois semi-spécialisés, combinant tâches de routines et tâches abstraites, comme le font les "nouveaux artisans", métiers de la réparation ou certains types de services à la personne.
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    Sommes-nous en danger de perdre la "course contre la machine", comme l'affirment Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee dans leur livre ? Les machines intelligentes nous menacent-elles de la misère à long terme, comme le prophétisent les économistes Jeffrey D. Sachs et Laurence J. Kotlikoff ? Avons-nous atteint la fin du travail, comme le déplore Noah Smith dans The Atlantic ? Les économistes ont pourtant toujours rejeté l'hypothèse selon laquelle l'augmentation de la productivité du travail réduit inévitablement l'emploi, notamment car celui-ci se déplace. Les ordinateurs et les robots ne sauront pas demain faire toutes les tâches à moindre coût. S'ils excellent dans les tâches de routines, ces tâches ne sont pas le fait de tous les emplois. Les robots et les machines ont du mal à remplacé ceux qui accomplissent des tâches abstraites (qui nécessitent la résolution de problèmes) et les tâches manuelles qui exigent de pouvoir s'adapter à une situation ou de l'interaction avec des humains. "L'informatisation a donc favorisé la polarisation de l'emploi, au profit d'emplois très bien payés et très mal payés, tandis que les emplois dans le milieu ont diminué." "Donc, l'informatisation ne réduit pas la quantité des emplois, mais plutôt dégrade la qualité des emplois pour un sous-ensemble important de travailleurs" Ce changement de la structure de l'emploi explique en partie la hausse des inégalités de revenus. Pour répondre à ce défi, l'avenir est assurément à une meilleure éducation et notamment avec la croissance de la demande en emplois semi-spécialisés, combinant tâches de routines et tâches abstraites, comme le font les "nouveaux artisans", métiers de la réparation ou certains types de services à la personne.
Aurialie Jublin

Anca Boboc et Patricia Vendramin - part 1 - Digital Society Forum - 2 views

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    "Quels sont les contours du travail dans une économie numérique, comment utilise t-on le numérique au travail."
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    Le numérique : - outil de codification, standardisation - outil de flexibilité, du temps et de l'espace (nouveau distribution de l'emploi) - outil de partage et de distribution de l'information (interaction, …) qui questionne le management (réseau horizontal) - technologie qui accélère les rythmes de travail
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    Evolution du rapport au travail : - le développement d'une conception polycentrique de l'existence (volonté de construire son identité, sa vie, sans sacrifier un domaine par rapport à un autre : famille, travail, loisir, engagement civique, art, sport, … - rapprochement des modèles d'engagement dans le travail féminim/masculin : les jeunes hommes veulent s'investir dans leur famille ; les femmes veulent une carrière tout en ayant une vie de famille Le numérique permet de « mettre de l'huile dans les rouages » : nouvelle gestion du temps, avec un risque de surcharge et de débordement. L'entreprise doit avoir une meilleure gestion de la charge de travail. Chiffre : 30% des cols blancs qualifiés ramènent au moins une fois par semaine du travail à la maison, car ils n'ont pas eu le temps de le traiter au bureau
abrugiere

Rachel Botsman : « La confiance sera la nouvelle monnaie du XXIe siècle » - 2 views

    • abrugiere
       
      Les journaux définissent parfois la consommation collaborative comme le fait de préférer l'usage à la propriété. Ce n'est pas pour moi le fait central. Ce qui relie AirBnb, Kickstarter, mais aussi les Moocs ou les fablabs, c'est le passage d'institutions centralisées à des communautés distribuées et connectées.
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    Les journaux définissent parfois la consommation collaborative comme le fait de préférer l'usage à la propriété. Ce n'est pas pour moi le fait central. Ce qui relie AirBnb, Kickstarter, mais aussi les Moocs ou les fablabs, c'est le passage d'institutions centralisées à des communautés distribuées et connectées.
Aurialie Jublin

Progrès et emploi : la "destruction créatrice" a-t-elle encore un sens ? - 0 views

  • Mais la théorie de Schumpeter fonctionne-t-elle encore au 21ème siècle ? Comme l'avait parfaitement expliqué et démontré l'analyste Horace Dediu, la vitesse du progrès technologique arrive à un point tel qu'il devient très compliqué pour les êtres humains de s'adapter professionnellement aux cycles des changements technologiques.
  • le principal risque économique et social est là, et se constate déjà : c'est l'accroissement des inégalités déjà profondes entre ceux qui peuvent acheter les robots et les faire travailler, et ceux qui ne pourront que les utiliser ou les observer. En termes marxistes, c'est l'accroissement de l'appropriation privée des moyens de production, qui empêche l'émancipation de la classe travailleuse. Mais l'existence-même de cette dernière est menacée par la possibilité de supprimer l'emploi, dans une part de plus en plus importante de la chaîne productive.
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    "La théorie de la "destruction créatrice" développée par Joseph Schumpeter a-t-elle encore un sens au 21ème siècle, malgré l'accélération continue du rythme des cycles d'innovations technologiques ? Nous entrons dans une ère où il devient plus facile et rapide de détruire des emplois que d'en re-créer, ce qui impose de se poser pour réfléchir aux conséquences sociales, et aux moyens de soutenir à la fois le développement technologique et le développement humain."
Aurialie Jublin

Work in Transition | MIT Technology Review - 0 views

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    Dossier MIT - "Digital technologies are changing the nature of the jobs we do. What does that mean for the future of work?"
Aurialie Jublin

Comment Google surveillera ses salariés pendant 100 ans pour optimiser sa pol... - 1 views

  • L’entreprise américaine communique en effet de manière récurrente sur son approche scientifique des RH, comme le rappelait récemment son VP People Operations, Laszlo Bock, qui a contribué à réintroduire une dose de “certitude scientifique dans la manière dont on construit de bons environnements de travail, dont on maintient une culture de la très haute performance auprès de ses équipes, dont on maximise la productivité ou on améliore le bien-être”.
  • Depuis déjà plusieurs années, Google a quant à lui développé la data analysis  et une logique de R&D sur tous les pans ou presque de sa politique RH, afin d’“apporter le même degré de rigueur dans les décisions humaines que dans l’ingénierie“ – avec deux limites clairement posées, confidentialité et transparence : mise en oeuvre de KPI pour développer le leadership (Projet Oxygène) ; utilisation de méthodes de recherche et développement pour optimiser productivité, bien-être au travail… ou santé, en arrivant par exemple à la conclusion que la réduction de la taille des assiettes, à la cantine, réduirait l’apport calorique moyen (le “People & Innovation Lab”, modèle d’innovation RH “data-drivée” en voie de se répandre) ; développement d’un algorithme mathématique et de modèles prédictifs pour anticiper les envies de départ des collaborateurs, augmenter la diversité dans sa politique de promotion ou calculer la probabilité d’un recrutement réussi (“Project Janus”) ; etc.
  • La première session de gDNA, qui, espère le DRH, sera reproduite tous les ans pendant un siècle, a permis de distinguer deux catégories de “Googlers” : les “segmenteurs” (31% des salariés) dressent une barrière psychologique entre le stress du travail et le reste de leur vie : ils semblent peu affectés par la porosité – accrue par la technologie – entre les deux mondes et font de la déconnexion un élément important de bien-être  ; les “intégrateurs” (69% des salariés) vivent quant à eux un plus grand continuum entre vie professionnelle et vie personnelle, qu’il s’agisse d’actualiser frénétiquement son application boîte mail sur son smartphone avant d’aller se coucher ou de réserver ses prochaines vacances entre deux réunions. Avec le bien-être à la clé ? gDNA nuance : la moitié de ces intégrateurs souhaiteraient davantage “segmenter”.
  • ...1 more annotation...
  • “Les datas de gDNA nous permettent de moduler nos pratiques RH en anticipant les besoins des salariés“, explique Laszlo Bock : et si le DRH précise que c’est sur le long terme que la “People Science” pourra dessiner de grandes tendances et appréhender le futur du travail, elle permet dès aujourd’hui d’adapter sa politique aux besoins réels. En l’occurrence : le design d’environnements de travail facilitant la déconnexion, une initiative – aux effets, positifs, quantifiés – obligeant les salariés à éteindre leurs devices (ou apps) professionnels en passant par l’accueil avant de rentrer chez eux, mais aussi, au quotidien, un management adapté auprès des segmenteurs, les encourageant notamment à ignorer les e-mails en dehors des heures de travail.
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    "Google collecte les données des utilisateurs... mais aussi celles de ses salariés. L'une des clés du succès de la firme américaine, qui a dépassé début février Exxon au rang de deuxième capitalisation boursière du monde, serait précisément l'approche scientifique de sa gestion RH. Cas d'école, avec une étude centenaire pour anticiper le futur du travail et mettre le bien-être en datas."
Aurialie Jublin

Philippe Askenazy : « Les nouvelles technologies sont peut-être moins destruc... - 0 views

  • Avant il y avait d’un côté le  travail manuel sans grande exigence psychologique et de l’autre un travail intellectuel sans, lui, grande exigence manuelle. Aujourd’hui il y a une convergence des deux. Si l’on est ouvrier ou conducteur de bus on subit une présence permanente des technologies, on vit une pression constante sur sa sphère psychologique qui se rajoute à la pression physique. De l’autre dans les métiers purement réflexifs se rajoute une dimension physique, le travail par exemple dans le numérique est un travail pénible avec un de plus en plus de pathologies liées. Et à cette augmentation des contraintes et des exigences avec les technologies, se rajoute désormais le mélange entre la vie privée et la vie professionnelle qui n’est pas en fait totalement nouveau 
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    L'économiste Philippe Askenazy a commenté une étude pour le Centre d'Orientation de l'Emploi sur « l'impact de l'innovation sur l'emploi vu par les salariés ». Un peu Cassandre, mais aussi optimiste au vu de la manière dont les jeunes qualifiés trouvent du travail.
Aurialie Jublin

Capteurs en entreprise: une meilleure collaboration ou une meilleure surveillance? | L'... - 1 views

  • Déjà présents en magasin afin de contextualiser l’expérience client indoor et redonner de la valeur à l’espace physique, les Beacons, ces mini-capteurs bluetooth basse consommation, veulent s’installer en entreprise et bâtir les prémisses de la "smart company". Apple, l’un des groupes ayant testé le premier cette technologie a ainsi décidé d’équiper les entreprises de ses ibeacons. Non pas pour surveiller de près les aller-venues des employés mais plutôt pour améliorer la collaboration en entreprise.
  • Dans le cas d’une réunion, toutes les personnes y assistant recevront une notification sur leur smartphone avec les informations de l’intervenant qu’il aura souhaité partagé avec eux. Les employés peuvent cependant contrôler ce qu’ils partagent en fonction des salles de réunion dans laquelle ils se trouvent. De plus, Robin permet aussi de partager du contenu: un document sur un compte Dropbox peut être synchronisé sur tous les appareils présents dans la salle à l’entrée même de la personne possédant le compte, facilitant ainsi le travail d’équipe.
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    "Une startup basée à Boston développe une application destinée à suivre les actions des employés grâce à des capteurs sans fils placés dans les espaces de travail."
Aurialie Jublin

Travail et redistribution : une troisième voie ? - 2 views

  • Avec l’explosion du travail productif en dehors des structures au sein desquelles il était jusqu’alors cantonné, l’absence de redistribution de la valeur produite et l’automatisation, comment le travail pourrait-il encore jouer le même rôle social que par le passé ? Il est absolument nécessaire de redéfinir de ce qu’on entend par travail. Alors oui : nous n’avons sans doute plus les bonnes lunettes pour distinguer ce qui est du travail et ce qui n’en est pas. Mais une fois le constat dressé, le plus dur reste encore à faire : derrière le travail, c’est l’ensemble du modèle social qu’il faut repenser.
  • Reddit, un site américain dont l’intégralité du contenu est généré par les utilisateurs, a en ce sens récemment fait une annonce intéressante : après avoir levé 50 millions de dollars, le site a annoncé qu’il comptait en redistribuer 10 % à ses utilisateurs en recourant au BlockChain. Vous savez, il s’agit de ce système un peu obscur (sur lequel est notamment construite la monnaie virtuelle BitCoin) qui permet de décentraliser complètement les flux transactionnels. Certains n’hésitent pas à comparer l’invention du BlockChain à celle du protocole TCP/IP et donc du Web lui-même.
  • On peut par exemple évoquer La’Zooz, service de covoiturage construit autour de cette même technologie. Au lieu d’être centralisée au niveau d’une plateforme unique, l’information est présente sur toutes les extrémités du réseau. En théorie, cette forme d’organisation distribuée devrait également permettre de répartir la valeur produite de façon plus équilibrée. Pour ce qui est de La’Zooz, l’algorithme est basé sur un proof-of-movement : plus vous roulez (à plus de 20km/h), plus vous gagnez de d’argent ( environ 0,5 $/km).
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    "L'accroissement des inégalités dans nos sociétés industrialisées peut, en partie, être expliqué par la mutation du travail. Et, dans le même temps, les politiques publiques de redistribution montrent chaque jours leurs limites. N'y aurait-il pas une troisième voie à explorer ?"
Thierry Nabeth

Non-Technologists Agree: It's the Technology - 0 views

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    Two papers came out last year that examined important issues around jobs and wages. Both are in top journals. Both were written by first-rate researchers, none of whom specialize in studying the impact of technology. And both came to the same conclusion: that digital technologies were largely responsible for the phenomena they examined. Paper 1 Equally admirable are the graphs the authors draw to illustrate their main findings. Here's the one for jobs (the one for wages has a pretty similar shape). It gives the changes in employment share - which you can think of as changes in the the 'market share' of jobs - between 1980 and 2005. And it shows vividly that low-skill and high-skill jobs gained market share over that period, which those in the middle of the skill range lost. Paper 2 We document, however, that the global labor share has significantly declined since the early 1980s, with the decline occurring within the large majority of countries and industries. We show that the decrease in the relative price of investment goods, often attributed to advances in information technology and the computer age, induced firms to shift away from labor and toward capital.
Chamila Puylaurent

Génération Y: un rapport au travail façonné par la technologie | L'Atelier : ... - 0 views

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    "Les millennials arrivent en masse sur le marché du travail. Décryptage des motivations de cette génération façonnée par les outils digitaux et son rapport au monde du travail."
Aurialie Jublin

Falling wages caused more by trade union decline than robots | Apolitical - 0 views

  • The pair said that the influence of new technology was much less noticeable. “While we also find evidence for a negative impact of technological change,” they said, “the effect seems to be less significant since the mid-1990s.”
  • The writers looked at how three factors — technological change, the process of globalisation, and shifts in worker bargaining power — influenced the slump in wage share. “Our results indicate that the decline… can be attributed to globalisation and a decline in bargaining power of labour,” Guschanski and Onaran wrote.
  • The pair pointed out that middle-skilled workers they studied had suffered worst from the impact of technological change, meaning that responding to new technology simply by boosting skills training, rather than bolstering unions, might not help in the long term.
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    "Are lacklustre wages an inevitable consequence of globalisation and technological change? Or has policy had a role to play? Technology, according to new research presented at the annual conference of the UK's Royal Economic Society, is not in itself the problem. Instead, a mix of globalisation and the decline of worker bargaining power have been responsible for employees' woes. And, the paper suggests, bolstering trade unions would be a better way to shore up workers in the future than skills training."
Aurialie Jublin

The coming jobs boom in the age of intelligent machines  - LSE Business Review - 0 views

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    "We're pessimistic when we focus on the world that we know now, not thinking that processes are being reorganised, writes Ben Pring" L'auteur cite notamment : - la création d'infrastructure numérique va créer des emplois pour les cols bleus, les cols blancs et les "sans cols" - les machines ne vont pas remplacer mais améliorer la performance humaine - les new tech = expansion économique
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