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Aurialie Jublin

'My father had one job in his life, I've had six in mine, my kids will have six at the ... - 1 views

  • “My reading of the evidence so far,” he says, “is that there will be less job creating and ever-greater labour saving. If we look at the creation of new occupations by decade, they accounted for 8.2% of new jobs in the 1980s, 4.4% in the 1990s, and 0.5% in 2000s. It is not necessarily true that we will have a jobless future. But I struggle to use my imagination to see which industries will emerge to balance the loss of jobs.”
  • A lot of the change, he suggests, has to do with a transformed idea of freedom. When the older generation thinks of freedom it imagines it as autonomy, self-sufficiency, personal choice. “Freedom is exclusivity.” When the younger generation thinks of freedom, he suggests, it is no longer about exclusivity, it is about inclusivity. “For them the more networks they are in, the more social capital they establish, the more free they feel,” he says. “It is about expanding the network. This is the sharing economy.”
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    "In the 'gig' or 'sharing' economy, say the experts, we will do lots of different jobs as technology releases us from the nine to five. But it may also bring anxiety, insecurity and low wages "
Aurialie Jublin

Arduino: notre vrai patron, c'est la communauté - 2 views

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    "Communauté ouverte et intelligence collective jouent désormais un rôle majeur dans de nombreux domaines autrefois réservés aux organisations et aux institutions. « Nous nous éloignons du monde impersonnel de la production institutionnelle, au profit d'une nouvelle économie autour des connexions et des récompenses sociales », explique ainsi la futurologue Marina Gobis dans son livre The Nature of the Future. Elle nomme ce processus « socialstructing. » La force motrice derrière le socialstructing, ce sont les nouvelles technologies, qui sont intrinsèquement sociales et personnelles. « Elles nous aident à créer des communautés autour d'intérêts, d'identités et de défis personnels communs », et créent parfois de « nouveaux produits, services et savoirs qu'aucune institution n'est en mesure de fournir », explique Marina Gobis. Dans le domaine des affaires, où le socialstructing a manifesté sa plus grande puissance, nous avons assisté à l'émergence et à l'évolution de Linux, d'Android et aujourd'hui du matériel en open source, dans le sillage de l'Internet des objets. Des entreprises d'un genre très particulier sont issues de ce mouvement. Arduino, entre plateforme communautaire et fournisseur de cartes pour les imprimantes 3D, est le leader mondial dans son domaine."
Thierry Nabeth

L'institut FABERNOVEL lance son Campus - 0 views

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    Extrait: Pour cette saison 2015/2016, nous avons souhaité approfondir un grand thème " Le travail, l'entreprise et le leadership à l'ère numérique " en créant le Campus de l'institut FABERNOVEL.
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    Hier a eu lieu l'événement: Think & Act - Le Futur du Recrutement L'institut FABERNOVEL // Google for Work Jeudi 10 décembre 2015 de 18:45 à 22:00 (Heure : France) Paris, France https://www.eventbrite.fr/e/billets-think-act-le-futur-du-recrutement-19039727337
Thierry Nabeth

ICT for Employment and Employability -The Future of Work - EC/JRC/IPTS - 0 views

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    In the context of the European Employment strategy, the Agenda for New Skills and Jobs, the Grand Coalition for ICT Jobs, and specifically in its 2012 EMPLOYMENT PACK, the JRC-IPTS is conducting research to inform policy makers on some of the new forms of work and pathways to employability mediated by the internet.
Aurialie Jublin

e-RH - L'entreprise libérée est-elle socialement responsable ? - 1 views

  • Bon nombre de démarches de « libération » reposent simplement sur une approche de réduction drastique du management intermédiaire et des fonctions support. Cette approche est la conséquence d’une vision caricaturale du management, selon laquelle la ligne managériale serait « un empêcheur de diriger en rond ».
  • Le management intermédiaire joue un rôle majeur en termes de santé au travail (cf le rapport Pénicaud-Lachmann-Larose « Bien-être et efficacité au travail », publié en février 2010), de régulation sociale, de transition vers l’entreprise numérique (cf le rapport de Bruno Mettling, sur « Transformation numérique et la vie au travail », septembre 2015) et désormais de construction des parcours professionnels. Des études solides montrent que les entreprises qui investissent le plus dans la qualité de leur management en tirent les fruits sur le plan de l’efficacité productive et de la rentabilité financière (voir « Return on Management : ce que votre DAF doit savoir sur la performance »
  • Renforcer le pouvoir d’agir des collaborateurs est un objectif louable, qui va dans le sens de l’entreprise responsable. Mais ce renforcement ne doit pas être obtenu au prix de l’affaiblissement, voire de la disparition des parties prenantes, qui sont en mesure de soutenir les collaborateurs. J’ai constaté dans plusieurs démarches d’« entreprise libérées », une recherche délibérée d’un sur-investissement des collaborateurs par des méthodes proches de la manipulation.
  • ...2 more annotations...
  • L’entrée en collision avec les modes de régulation sociale traditionnels (représentants du personnel et syndicats) ne se traduit pas (pour l’instant ?) par l’invention de modes nouveaux de relations sociales à même de proposer une alternative crédible. On est donc ici aux antipodes de l’entreprise responsable, qui valorise la régulation par les parties prenantes et les contre-pouvoirs.
  • En conduite du changement, on doit toujours être attentif au diagnostic de la situation actuelle et à la projection dans la situation future, mais surtout à ce qui fait le pont entre les deux : la trajectoire. Les démarches d’« entreprises libérées » sont très prolixes sur la situation future (malheureusement naïvement présentée comme un éden) mais généralement très faibles sur la trajectoire.  Elles oublient par exemple, que la démarche d’« empowerment » des opérateurs suppose une forte maturité professionnelle et une polyvalence développée.
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    "L'entreprise libérée : ce n'est plus un mot valise mais une expression container, tant on y trouve des contenus variés, de toutes origines, qui tous se revendiquent de ce mouvement. C'est pourquoi il faut revenir à la source, celle du livre écrit il y a 6 ans par Isaac Getz et Brian M. Carney, « Freedom Inc ». On y trouve les ingrédients de la « libération » :  le rôle déterminant de l'écoute, notamment de la part des dirigeants, le renoncement par ces mêmes dirigeants aux symboles, marques distinctives et autres privilèges, le travail sur la vision et le projet de l'entreprise, qui doivent être appropriés par les collaborateurs, l'allègement des contrôles, des normes de comportement, du prescrit, au profit de l'autonomie et de la responsabilisation des opérateurs, l'arrêt des stratégies de motivation (primes variables, etc.) au profit de la mise à disposition d'un environnement de travail favorable. "
Aurialie Jublin

Falling wages caused more by trade union decline than robots | Apolitical - 0 views

  • The pair said that the influence of new technology was much less noticeable. “While we also find evidence for a negative impact of technological change,” they said, “the effect seems to be less significant since the mid-1990s.”
  • The writers looked at how three factors — technological change, the process of globalisation, and shifts in worker bargaining power — influenced the slump in wage share. “Our results indicate that the decline… can be attributed to globalisation and a decline in bargaining power of labour,” Guschanski and Onaran wrote.
  • The pair pointed out that middle-skilled workers they studied had suffered worst from the impact of technological change, meaning that responding to new technology simply by boosting skills training, rather than bolstering unions, might not help in the long term.
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    "Are lacklustre wages an inevitable consequence of globalisation and technological change? Or has policy had a role to play? Technology, according to new research presented at the annual conference of the UK's Royal Economic Society, is not in itself the problem. Instead, a mix of globalisation and the decline of worker bargaining power have been responsible for employees' woes. And, the paper suggests, bolstering trade unions would be a better way to shore up workers in the future than skills training."
Aurialie Jublin

Politique Fiction - Et si on imaginait la France d'après-élection ? - 0 views

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    "Politique Fiction explore le possible futur quotidien des Français, idéal ou en demi-teinte, et vous invite à relire et questionner les programmes électoraux, à la lumière de ces spéculations."
Aurialie Jublin

Workers at Facebook (FB), Tesla (TSLA) and Amazon (AMZN) might as well work at Walmart ... - 1 views

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    "I've seen people pass out, hit the floor like a pancake, and smash their face open," a worker at Tesla's "factory of the future" told the Guardian in a report published this week. "They just send us to work around him while he's still lying on the floor." The Guardian report described long hours and intense pressure to meet CEO Elon Musk's production goals-even if that means enduring or ignoring injuries. Since 2014, according to the report, hundreds of ambulances have been called to the factory to treat workers. This portrayal doesn't quite jive with Musk's world-changing vision. And Tesla isn't only Silicon Valley company facing this type of irony. Technology companies' reputations as employers often stem from how they treat highly paid engineers, but many also employ thousands of blue collar workers. Tech workers at these companies receive high pay, elaborate perks, and progressive workplace policies, but blue collar workers for the same companies often work in circumstances that look much less...
Aurialie Jublin

Retour vers le futur : quand le capitalisme de plate-forme nous renvoie au « ... - 0 views

  • L’histoire de la théorie des organisations est indissociable de l’essor de la firme managériale. L’un des traits communs des premières théorisations, notamment celle de Ronald Coase en 1937 dans son célèbre article sur « la nature de la firme », est d’opposer le fonctionnement interne de la firme (hiérarchique, contrôlé) à celui (plus horizontal) du marché.
  • Cette distinction fondatrice, qui sert souvent d’introduction aux manuels de théorie des organisations, n’est évidemment plus de mise lorsque l’on se penche sur des plates-formes telles qu’Uber, Airbnb, Taskrabbit ou autres Deliveroo. Ces acteurs ne possèdent pas les actifs nécessaires à la réalisation de l’activité. À l’aide d’algorithmes (qui remplacent une grande partie du travail effectué par le management intermédiaire), les plates-formes pair-à-pair mettent en relation et organisent des transactions marchandes entre offreurs et demandeurs, eux-mêmes indépendants de la plate-forme. Ces « organisations-marché » se construisent sur une hybridation qui rend caduque l’idée d’une différence de nature entre entreprise et marché.
  • Dans la théorie de l’agence, la firme n’est plus vue comme une « entité » identifiable. Au contraire, son enveloppe disparaît au profit d’une « fiction légale », support d’un processus de contractualisation dont l’unique objectif est de maximiser la valeur pour l’actionnaire. De ce point de vue, Uber ou Airbnb, semblent constituer l’incarnation pure et parfaite de la firme « nœud de contrat » : elles se réduisent à une structure centrale légère et flexible (la « fiction légale »), qui pousse la logique d’externalisation à son paroxysme pour toutes les activités productives.
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  • Le rôle des plates-formes se résume à contractualiser, mettre en œuvre des algorithmes de mis en relation et de contrôle, et investir massivement en marketing. Mais elles n’ont que très peu d’actifs, ne produisent rien, et revendiquant une position de simple intermédiaire, ne sont pas responsables de grand-chose.
  • Le changement est considérable : là où l’entreprise managériale organisait et transformait le travail, la plate-forme contractualise, externalise, et contrôle à distance. Le travail n’est pas conçu par la plate-forme qui n’en est plus responsable. Le travail est sorti de l’entreprise. Là où l’entreprise était institution, il n’y a plus qu’un marché.
  • Les plates-formes pair-à-pair ne possèdent pas les actifs productifs. C’est donc aux « travailleurs » de constituer et d’apporter le capital nécessaire à la réalisation du travail, quitte à supporter les risques associés. L’individu doit constituer et mobiliser un capital préalable (sous la forme d’un véhicule pour les VTC, d’un bien immobilier dans le cas d’Airbnb) pour exercer son activité.
  • Ce contexte précapitaliste fait écho à de nombreux éléments qui caractérisent le travail sur les plates-formes : la disparition d’un espace de travail géré par l’employeur ; l’indépendance hiérarchique (mais la dépendance économique) des travailleurs qui n’entretiennent pas un lien hiérarchique mais marchand avec l’apporteur d’affaires ; la difficulté à penser une forme d’action et de représentation collective (ou syndicale) ; la difficulté à définir une frontière claire entre les sphères domestique, productive et professionnelle ; l’existence d’un travail pluriel avec des activités d’appoint (qui rappelle les « slashers », ces actifs qui cumulent plusieurs métiers) plutôt qu’une activité unique à temps plein ; enfin l’auto-organisation individuelle (les individus déterminent eux-mêmes leur degré d’engagement sur la plate-forme).
  • Curieux monde que celui d’Uber, dans lequel les travailleurs sont des capitalistes, souvent sans pouvoir, exploités par des manageurs virtuels (les algorithmes) d’une entreprise souvent qualifiée de « sans actifs » ! Dans l’univers des plates-formes, bien plus que la possession d’un capital productif, c’est le pouvoir de marché qui est déterminant.
  • Dans cette perspective, tout actif (matériel ou immatériel) peut être vu comme une ressource dormante, dont la valeur peut et doit être maximisée. Le nouvel « homo collaborans » calcule, arbitre et intègre une éthique financiarisée dans laquelle il gère en permanence sa propre valeur.
Aurialie Jublin

Automation may require as many as 375 million people to find new jobs by 2030 - Quartz - 0 views

  • y 2030, up to 30% of the hours worked globally could be automated, according to a new report by the McKinsey Global Institute. Analysts in the consultancy’s research arm estimate that between 400 million and 800 million people could find themselves displaced by automation and in need of new jobs, depending on how quickly new technologies are adopted. Of this group, as many as 375 million people—about 14% of the global workforce—may need to completely switch occupational categories and learn a new set of skills to find work.
  • Notably, McKinsey argues that demand for work will increase as automation grows. Technology will drive productivity growth, which will in turn lead to rising incomes and consumption, especially in developing countries. Meanwhile, there will be more jobs in health care to meet the demands of aging societies and more investment in infrastructure and energy.
  • For these benefits to be realised, everyone needs to gain new skills, with governments and private companies taking on the unprecedented task of retraining millions of people in the middle of their careers. “Even if there is enough work to ensure full employment by 2030, major transitions lie ahead that could match or even exceed the scale of historical shifts out of agriculture and manufacturing,” the report says.
  • ...1 more annotation...
  • There will be other challenges too. In advanced economies, there is a risk that automation will worsen the trend of income polarization, with demand for high-wage jobs increasing, and demand for medium-wage jobs falling. Also, displaced workers will need to find jobs quickly—preferably within a year—otherwise frictional unemployment (lots of people moving between jobs) could put downward pressure on wages.
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    "Fears that automation and machine learning will cause massive job losses and make people obsolete are starting to wane (well, unless you ask Stephen Hawking). Instead, there's a more optimistic prediction taking hold: that the new technology could actually lead to job gains. But the transition won't be easy."
Aurialie Jublin

Tableau de synthèse sur les perspectives de l'emploi à long terme - 0 views

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    Tableau de synthèse sur les perspectives de l'emploi à long terme (à 2050) dans les différents secteurs d'activités (agriculture, industrie, énergie, bâtiment, services, transports, commerce, recyclage, location, artisanat, banque, ...) Section d'un article intitulé "La crise écologique exige une révolution de l'économie des services"
Aurialie Jublin

What If Technology Is Destroying Jobs Faster Than It Creates Them? | TechCrunch - 1 views

julien camacho

Votre réputation (numérique) sera votre monnaie, et la base de votre implicat... - 3 views

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    Un billet qui reprend les scénarios de ruptures de la FING sur l'expédition Digiwork quant à la valorisation des données et les perspectives d'un nouveau modèle économique contributif, et qui expose la possibilité de développer une "monnaie sociale" sur la base des contributions individuelles à ce modèle.
Aurialie Jublin

Le nouvel algorithme Linkedin vous dit qui embaucher / ZDnet - 1 views

  • L’objectif selon Rob Humphrey, spécialiste de la gestion des talents chez Linkedin, est de leur permettre de chasser les proies les plus prisées ou « passive talents » : ces individus qui ne sont pas en recherche d’emploi mais déjà dans une position confortable. En réalité, seulement 15% des membres de Linkedin sont activement en quête d’un poste.C’est là qu’intervient le service connu sous le nom de « Recruiter », accessible aux entreprises ayant souscrit à un compte premium payant. Grâce à cette fonctionnalité, les recruteurs peuvent espionner tranquillement votre profil, sans que vous n’en ayez vent.
  • Mais c’est en mettant en place un algorithme (qui devrait être disponible dans quelques mois en France) proposant aux recruteurs  « les gens qu’ils devraient embaucher » que Linkedin entre dans une nouvelle dimension. 
  • Linkedin va-t-il uniformiser les processus sinueux de recrutement ? Probablement si le réseau continue sur sa lancée. Mais la Harvard Business Review va encore plus loin dans son article « Digital staffing : The Future of Recruitement-by-Algorithm ». Que ce soit en organisant un voyage sur TripAdvisor, en écoutant de la musique sur Spotify ou en commandant un ouvrage sur Amazon, la e-réputation des internautes ne se résume pas à leur profil policé sur Linkedin. Alors que les algorithmes permettant de traiter toutes ces données se complexifient, il sera un jour possible pour les recruteurs de synthétiser l’ensemble des informations disponibles pour générer un profil unique par individu, permettant de parfaitement cibler les talents. 
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    "Linkedin a mis en place un algorithme qui se base sur les actions des recruteurs afin de leur proposer « les utilisateurs qu'ils devraient embaucher »."
Aurialie Jublin

L'embouteillage, comme bureaux du futur ? Transit-City - 1 views

  • Cette BD montre comment les embouteillages peuvent engendrer une vraie révolution urbaine à partir du moment où on les aborde d'une façon radicalement différente, au point d'aboutir à une nouvelle civilisation nomade vivant uniquement dans des mini-vans d'un nouveau genre
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    "Les bonnes idées naissent rarement au bureau, et c'est même a priori l'un des pires lieux pour travailler, réfléchir et s'isoler - voir "Office Workers Lose Focus Every Three Minutes" et "Works Place Distraction". De plus aujourd'hui la voiture est devenue - comme beaucoup d'autres lieux - un lieux de réflexion (et donc de travail) à part entière. C'est une évidence que même une compagnie de taxis comme la G7 a compris, c'est dire ! Pour les cas extrêmes, voir là. Opposé de façon basique et binaire "bureau" à "voiture" n'a donc plus grand sens !"
Aurialie Jublin

L'intégration réussie de la génération Y en pratique - 0 views

  • C'est ce qu'a analysé Augustin Paluel-Marmont, cofondateur de Michel et Augustin, : “La mise en place des 35 heures a selon moi profondément modifié le rapport entre le salarié et son job : on ne travaille plus par devoir, mais par envie et par passion.”
  • “Je remarque également que mes salariés veulent et ont un très fort niveau d’autonomie et de responsabilisation. Chacun gère son propre chantier comme son propre patron”, soulève le cofondateur de Michel et Augustin.
  • Pour appliquer ce nouveau standard, Patrice Roussel identifie 4 clefs d'ingénierie managériale, dont 3 liées au sentiment de justice, à développer pour l'arrivée des Y en entreprise et le management du changement de l'entreprise : La justice distributive, par rapport à la rémunération et aux primes équivalentes au travail fourni.La justice procédurale, qui donne le sentiment d’être traité avec des méthodes équitables et que la mise en place des procédures et décisions est juste.La justice interactionnelle, à savoir celle qui naît de la qualité du rapport entre manager de proximité et collaborateur.La culture du feedback ou la communication positive de façon plus générale
  • ...2 more annotations...
  • La relation au manager de proximité devient primordiale dans ce cas la mais pas seulement. La mise en scène du travail l'est tout autant. Lieux informels de rencontre, déjeuners en équipe à intervalles régulières, tutoiement,... sont des caractéristiques qui permettent d'identifier l'entreprise "Y friendly" et donc de créer un climat favorable à une histoire d'amour entre l'entreprise et ses jeunes collaborateurs.
  • Je considère que ce n’est pas forcément moi qui recrute, mais le collaborateur futur qui juge si ce que nous lui offrons correspond à ce qu’il recherche.” Autant de démarches destinées à assurer non seulement une bonne entente au moment de l’entrée en entreprise, mais également une coïncidence des attentes à la fois du salarié Y et de la structure qui l’embauche."
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    Bonne nouvelle pour les membres de la génération Y, la marque alimentaire Michel et Augustin spécialisée dans les biscuits et les yaourts à boire, ainsi que le site internet leetchi.com viennent d'affirmer leur engagement "Y friendly".
julien camacho

Futurium - European Commission - 0 views

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    L'agenda numérique de la commission européenne tente de décrire l'avenir du travail, et les nouvelles formes de solidarité que les changments impliqueront pour maintenir la cohérence sociale.
julien camacho

Linkedin serait-il le Google du monde professionnel ? - 0 views

  • Comme le rappelle faberNovel, Linkedin tire son chiffre d’affaires à 57 % de ses services destinés aux recruteurs ("talent solutions"), à 27 % de la publicité, et à 20 % de ses membres premium.
  • Depuis quelques mois, Linkedin se transforme et affiche donc de nouveaux services. Le plus en vue, ce sont les news, apparues en début d’année. Des informations uniquement orientées vers le monde professionnel et personnalisées pour le membre connecté. Elles pourraient aussi faire de Linkedin un média professionnel privilégié. De quoi concurrencer les Google News, les Yahoo! News mais aussi Flipboard.
  • le Californien affiche aujourd’hui un impressionnant ratio R&D sur chiffre d’affaires de 25 %. Un taux qui s’explique entre autres par le lancement, en 2011, d’un projet ambitieux, appelé Inversion. Objectif : redévelopper complètement le code de base du système pour qu’il tienne la charge des futures ambitions du réseau. Rien de moins. "Ils ont voulu se donner des moyens d’accélérer leur progression, raconte Caroline Pandraud. Alors ils ont tout défait et reconstruit pour que l’ensemble devienne une plateforme." Et que d’autres éditeurs ou développeurs puissent développer des plug-in, ou pour que d’autres sites intègrent des boutons "share" (partage) ou "Apply" (postule) à la manière des "j’aime" de Facebook ou des "tweeter" de Twitter.
  • ...4 more annotations...
  • Mais, pour monter en puissance encore plus vite, depuis l’an dernier, Linkedin a procédé à quelques acquisitions majeures. Fin 2012 :  le très prisé Slideshare sur lequel tous les professionnels partagent leurs présentations. En avril dernier, l’agrégateur de news Pulse, concurrent de Flipboard, qui a permis à Linkedin de lancer ses news en quelques jours à peine. En mai, enfin, le moteur de sondage autour de contenu Maybe.
  • Pour faberNovel, Linkedin pourrait devenir une place de marché d’experts si ceux-ci sont notés par leurs pairs, une place de marché de projets si les appels passent par sa plate-forme, un lieu où les start-up peuvent trouver des investisseurs, etc. Mais en extrapolant encore plus loin : "dans un ou deux ans, Linkedin pourrait devenir un Amazon du business,"
  • L’agence faberNovel publie ce mardi 2 juillet une étude fouillée du modèle Linkedin. Bien au-delà du réseau social professionnel, ce nouveau géant du numérique veut devenir le graphe de l’économie mondiale.
  • L’agence faberNovel publie ce mardi 2 juillet une étude fouillée du modèle Linkedin. Bien au-delà du réseau social professionnel, ce nouveau géant du numérique veut devenir le graphe de l’économie mondiale.
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    "La force historique de Linkedin, c'est son graphe. Cette toile vivante qui relie les membres entre eux, employés, recruteurs, entreprises, etc. Comme pour Facebook, Amazon mais aussi Google, c'est le cœur du business model. Celui qui alimente le système en données brutes et croisées, et qui exploite le principe des "affinités" entre membres pour proposer postes, informations ou publicités ciblés. Avec une différence notable par rapport aux autres médias sociaux : ici, tout le monde s'inscrit avec son identité réelle, car tout le monde y a intérêt. Graphe et big data sont les deux clés du système. Ils alimentent les trois moteurs Linkedin, comme l'explique faberNovel : le recrutement, le développement de business et le partage de contenu. "La singularité de Linkedin, c'est d'appliquer le big data au recrutement," insiste Caroline Pandraud, lead project analyst chez faberNovel. Derrière, trois algorithmes activent le moteur de recherche dans la base, le moteur du graphe et le moteur de recommandation."
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    L'agence faberNovel publie ce mardi 2 juillet une étude fouillée du modèle Linkedin. Bien au-delà du réseau social professionnel, ce nouveau géant du numérique veut devenir le graphe de l'économie mondiale.
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