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Aurialie Jublin

Emploi : les jeunes toujours inconscients de leur e-réputation - 1 views

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    Une récente enquête effectuée par l'institut américain On Device Research vient confirmer une nouvelle fois que les jeunes en âge de travailler (enquête sur les 16-34 ans) sont toujours aussi peu conscients de l'impact de l'image qu'ils donnent d'eux sur le net - spécialement sur les réseaux sociaux - c'est-à-dire de leur e-réputation, web-réputation, cyber-réputation ou réputation numérique, comme on voudra
julien camacho

4 bonnes pratiques pour gérer sa e-reputation - Le blog de la communication d... - 1 views

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    A l'invitation de Synthesio, Emmanuel Vivier présentait, le 11 juillet 2013, les 10 erreurs à éviter en matière de e-réputation. Vous retrouverez l'intégralité des slides de son intervention sur le site du HubInstitute. J'ai choisi de résumer, à partir de son exposé, 4 bonnes pratiques à observer pour gérer la e-reputation de son entreprise sur les médias sociaux.
julien camacho

La CNIL consulte les internautes sur le droit à l'oubli numérique - 2 views

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    La CNIL n'a pas oublié le "droit à l'oubli numérique". La Commission ouvre une consultation publique en ligne auprès des internautes sur cet enjeu important lié à l'e-réputation de chaque individu en liaison avec les traces volontaires ou involontaires qu'il laisse sur les univers numériques
julien camacho

Votre réputation (numérique) sera votre monnaie, et la base de votre implicat... - 3 views

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    Un billet qui reprend les scénarios de ruptures de la FING sur l'expédition Digiwork quant à la valorisation des données et les perspectives d'un nouveau modèle économique contributif, et qui expose la possibilité de développer une "monnaie sociale" sur la base des contributions individuelles à ce modèle.
Aurialie Jublin

L'e-reputation, un nouveau critère d'embauche? - 0 views

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    Article écrit suite à la demande de stage de Quechua avec le critère d'avoir un score Klout supérieur à 35 : "Un haut niveau d'étude, une bonne culture web et une maîtrise des réseaux sociaux ne suffiraient donc plus : il faut désormais soigner sa réputation en ligne."
Aurialie Jublin

Et si on inventait son propre travail... - latribune.fr - 0 views

  • "On y respecte le travail, pas l'entreprise", précise Serra. "Elle a mauvaise réputation". Mais pour que ça marche, il est essentiel "de changer le sens du terme "travail" et de lui donner une dimension innovante, créative". De lui redonner en fait si l'on pense à la tradition artisanale sur laquelle la Catalogne a construit une bonne partie de sa réputation depuis le Moyen-Age.
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    "Le cœur innovant se trouve au LaborLab, entièrement consacré à l'emploi. On n'y aide pas à en trouver mais à en créer. Dans ce modèle, explique le site de CitiLab, "personne n'a besoin que quelqu'un lui donne un travail. Tous ceux qui participent apprennent à partager compétences et connaissances et à créer des projets originaux et attractifs"."
Aurialie Jublin

Décentralisation du travail et blockchain - Blockchain France - 0 views

  • Tous ces systèmes sont loin d’être matures en matière de gouvernance. Au-delà des extrapolations théoriques, il ne faut pas sombrer dans l’effet de mode ; soyons lucides quant au caractère expérimental des organisations décentralisées. Est-ce un type d’organisation adapté à tous les réseaux ? Les problèmes de coordination online/offline, d’évaluations constantes et systématiques, d’automatisation du consensus etc… posent un certain nombre de questions éthiques. Veut-on basculer vers du « tout virtuel », donner du pouvoir aux machines et au code ? « Nous voulons une société plus humaine. Nous ne sommes pas sûrs que cela nous y amène. » répond Francesca.
  • Une telle expérimentation est un outil formidable pour la réflexion sociologique sur les groupes et sur les bases morales sur lesquels ils se construisent et fonctionnent. Avec notamment des questions fondamentales : o   Veut-on évaluer en permanence ? o   Veut-on favoriser l’homogénéité au travers de systèmes de réputation qui ont tendance à rapprocher les personnes similaires, au détriment de la mixité ? o   Peut-on tout transformer en chiffres ? Peut-on tout mesurer ? o   Met-on sur le même plan l’implicite et le tangible ? o   Uniformiser le système de rétribution est-il viable ? Réagit-on tous de la même manière à une même incitation ? Faut-il tout rétribuer ? Le bénévolat par exemple ne perd-il pas son âme lorsqu’il est rémunéré ? Peut-on faire cohabiter marchandisation systématique et utopie libératrice de la Blockchain ?
Aurialie Jublin

Favoriser le développement professionnel des travailleurs des plateformes num... - 0 views

  • pour beaucoup de travailleurs des plateformes, l’accompagnement dans les démarches administratives pour démarrer une activité ou  pour acquérir une « capacité » professionnelle, est un besoin plus prégnant que le contenu même de la formation nécessaire pour exercer l’activité.
  • L’univers des plateformes est par ailleurs évolutif et mouvant. Apprendre à y évoluer et à se transformer, nécessite, au-delà des formations classiques, des formes d’apprentissage entre pairs et une socialité professionnelle. Cela implique aussi des formats d’apprentissage adaptés à des travailleurs très isolés et à l’activité souvent fractionnée dans le temps, ce qui renforce le besoin d’une médiation collective.
  • L’enjeu est aussi d’amener la plupart des plateformesà investir davantage dans la formation des travailleurs qu’elles intermédient. #Leplusimportant suggère d’y remédier en rapprochant les droits de ces indépendants de ceux des salariés, via une contribution « unique » applicable à toutes les plateformes (par exemple de 1% des prestations versées). Des risques de distorsions existent cependant : entre travailleurs d’une part,  dont les niveaux de tarification et de revenus varient fortement selon le type d’activité ; entre plateformes d’autre part,  certaines faisant déjà  un effort notable de formation.
  • ...6 more annotations...
  • La possibilité que l’État abonde par ailleurs spécifiquement les CPF des travailleurs des plateformes, pour faciliter leurs évolutions professionnelles vers d’autres formes d’emploi est une piste à expertiser. La question du financement de la formation professionnelle est à inscrire dans une réflexion plus globale sur la participation des plateformes à l’effort collectif (notamment en matière de fiscalité) et à la fixation des rémunérations (prix minima par exemple).
  • #Leplusimportant propose aussi de renforcer la capacité des travailleurs des plateformes à «disposer de leur capital réputation » immatériel, au travers d’une portabilité des données numériques personnelles et réputationnelles. Une distinction doit être opérée entre (1) les données personnelles fournies par la personne à la plateforme relevant du RGPD, (2) les données d’expérience/métier, renvoyant à la question de la qualification professionnelle et pour lesquelles il serait possible de s’appuyer sur des référentiels de compétences européens, (3) et les données de notation et de réputation, sujettes à de nombreux biais. Si un effort « pédagogique » auprès des clients, en vue de les sensibiliser à l’impact de leur évaluation sur les travailleurs, est nécessaire, davantage de transparence de la part des plateformes sur les données personnelles et les critères de notation est essentiel.
  • #Leplusimportant propose de faciliter l’orientation, par les services publics de l’emploi (SPE), des demandeurs d’emplois vers des plateformes labellisées « socialement responsables », reconnues ainsi comme acteurs d’insertion ou retour à l’emploi.  Les plateformes ouvrent en effet des opportunités inédites d'activité et l’articulation avec le SPE  est à consolider.
  • #Leplusimportant propose aussi de favoriser l’expérimentation de plateformes collaboratives d’insertion. Les débats ont souligné qu’il y a là une opportunité nouvelle, illustrée par une plateforme comme Lulu dans ma rue. Les encourager peut passer par la reconnaissance du statut d’entreprise d’insertion économique au-delà des relations salariées ou par l’utilisation de clauses sociales d’insertion dans les marchés publics.
  • Autorégulation, réglementation et dialogue social constituent sans doute les différentes pièces d’un même puzzle à assembler, celui d’une économie de plateforme à la fois « financièrement soutenable, techniquement innovante et socialement responsable ».
  • Par les exercices successifs de discussion qu’ils organisent  et qui ont vocation à se poursuivre, Sharers & Workers et France Stratégie visent à poser les bases d’un « observatoire partagé » des réalités de travail sur les plateformes, lieu d’expérimentation et d’échange sur les pratiques à l’œuvre dans les plateformes numériques, mais aussi de dialogue social et professionnel entre  des acteurs peu enclins à s’appuyer sur les instances traditionnelles (branches, syndicats, et organisation patronales).
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    "Quels sont les besoins des travailleurs des plateformes en matière de formation professionnelle ? Comment faire en sorte qu'ils aient un meilleur accès à des formations financées ? Qu'ils puissent faire valoir sur l'ensemble du marché du travail les compétences qu'ils ont acquises via leurs activités sur des plateformes ? Comment faire des plateformes des acteurs de l'insertion professionnelle et de l'inclusion sociale ? Autant de questions qui ont été discutées le 13 avril 2018 lors d'ateliers réunissant, à France Stratégie, les membres du réseau Sharers & Workers dans un format visant à susciter un dialogue concret mais informel entre des plateformes numériques, des représentants de travailleurs indépendants, des représentants syndicaux, des experts et des acteurs publics. Fidèle à la démarche expérimentée par le passé (voir ici), nous avons mis en débat des propositions, émises par le think et action tank #Leplusimportant qui a ainsi pu prolonger les échanges menés avec les acteurs dans le cadre de la préparation de son rapport « Favoriser le développement professionnel des travailleurs des plateformes numériques», paru en février 2018."
Aurialie Jublin

‪Pourquoi rémunérer les usagers des plateformes numériques est une mauvaise i... - 1 views

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    Moralité : quand vous voyez la valeur en $ affichée sous chaque post de Steemit, ce montant ne vaut pas plus que le nombre de likes sur FB. Puis-je payer mon loyer avec mes likes sur FB? Non. Voilà. Sur Steemit, non plus. De surcroit, la plateforme a un intérêt déclaré à créer de la "fausse viralité" des contenus, en créant une économie parallèle faite de transactions pour fausser les score de réputation et d'engagement. Les likes sur FB sont-ils tous "organiques"? Non. Voilà. Sur Steemit, non plus.
Aurialie Jublin

Site meilleures-entreprises.com - Faites la réputation de votre entreprise - 1 views

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    Message pour inciter les entreprises Vos collaborateurs sont vos meilleurs ambassadeurs ! Analysez les ressentis de vos équipes. Boostez ensemble votre attractivité. Développez votre visibilité dans un espace participatif."
Aurialie Jublin

Le nouvel algorithme Linkedin vous dit qui embaucher / ZDnet - 1 views

  • L’objectif selon Rob Humphrey, spécialiste de la gestion des talents chez Linkedin, est de leur permettre de chasser les proies les plus prisées ou « passive talents » : ces individus qui ne sont pas en recherche d’emploi mais déjà dans une position confortable. En réalité, seulement 15% des membres de Linkedin sont activement en quête d’un poste.C’est là qu’intervient le service connu sous le nom de « Recruiter », accessible aux entreprises ayant souscrit à un compte premium payant. Grâce à cette fonctionnalité, les recruteurs peuvent espionner tranquillement votre profil, sans que vous n’en ayez vent.
  • Mais c’est en mettant en place un algorithme (qui devrait être disponible dans quelques mois en France) proposant aux recruteurs  « les gens qu’ils devraient embaucher » que Linkedin entre dans une nouvelle dimension. 
  • Linkedin va-t-il uniformiser les processus sinueux de recrutement ? Probablement si le réseau continue sur sa lancée. Mais la Harvard Business Review va encore plus loin dans son article « Digital staffing : The Future of Recruitement-by-Algorithm ». Que ce soit en organisant un voyage sur TripAdvisor, en écoutant de la musique sur Spotify ou en commandant un ouvrage sur Amazon, la e-réputation des internautes ne se résume pas à leur profil policé sur Linkedin. Alors que les algorithmes permettant de traiter toutes ces données se complexifient, il sera un jour possible pour les recruteurs de synthétiser l’ensemble des informations disponibles pour générer un profil unique par individu, permettant de parfaitement cibler les talents. 
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    "Linkedin a mis en place un algorithme qui se base sur les actions des recruteurs afin de leur proposer « les utilisateurs qu'ils devraient embaucher »."
Aurialie Jublin

La génération Z sera plus difficile à manager que les Y - Les Echos Business - 1 views

  • L’entreprise entre dans l’ère de la coresponsabilité, en matière de gestion et de détention de l’information et de sa réputation. On commence seulement à comprendre qu’elle a partiellement perdu les moyens de maîtriser son image. Grâce aux réseaux sociaux, beaucoup moins prévisibles que les médias de masse, d’autres peuvent s’immiscer dans leurs discours. Mais à l’inverse, elle pourra transformer cette faiblesse en force en jouant sur l’effet démultiplicateur de ses propres salariés, eux-mêmes émetteurs d’information.
  • Les Z pourront parfaitement faire cohabiter statut de salarié et statut d’entrepreneur par exemple. Du cumul d’emploi pour survivre ou mieux vivre, les Z passeront à la multiplicité simultanée des expériences de vies. En ce sens, il y a urgence à rompre avec les clichés archaïques du temps partiel souvent synonyme aux yeux des politiques, mais aussi d’une part de l’opinion publique, de précarité et de petits jobs. Entre temps partiel subi et temps partiel choisi, il y a un monde !
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    "Ils ont moins de 20 ans aujourd'hui, ils sont nés avec Internet et croient au partage, à la sincérité ou à l'exemplarité... La génération Z sera difficile à manager, peut-être même plus que la génération Y. Dans son livre "Le prix de la confiance", Didier Pitelet décrit ces futurs salariés et donne les clés aux entreprises pour anticiper leur arrivée." L'expert les voit cependant comme de bons éléments pour l'entreprise : « Ni matéralistes ni carriéristes, les Z ne saucissonnent pas, ils trimbaleront leur maison au bureau et leur bureau à la maison. Au final, ils travailleront autant que leurs aînés à condition d'y trouver un intérêt et de donner du sens à leur quotidien. »
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