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Aurialie Jublin

Obligation de connexion, liberté de déplacement : le contrat de travail réinv... - 0 views

  • En l'occurrence, l'émiettement de nos deux vies peut porter préjudice à l'une comme à l'autre. Si la Cour de cassation a récemment annulé plusieurs conventions collectives de forfait jours, c'est au motif du non-respect de certaines normes européennes en matière de santé au travail.
  • Obligation de connexion. La pratique sur ce point est riche d'enseignement. La solution est sous nos yeux : il suffit de consulter les messages d'absence du bureau que laissent les salariés à l'attention de leurs correspondants. Depuis l’"Absent jusqu'au xx, messages non lus" jusqu'au "je consulte mes messages et ferai en sorte de vous répondre aussi vite que possible", en passant par tous les stades, de "messages lus épisodiquement" à "m'appeler uniquement en cas d'urgence", la pratique a déjà inventé différents paliers de disponibilité. Ces paliers mériteraient d'être formalisés, prévus et organisés au niveau collectif, plutôt que laissés à la fantaisie des salariés ou à l'arbitraire des patrons. Ce que les salariés "absents" définissent ainsi sont des niveaux de service, des paliers de pression, des temps de réponse aux sollicitations électroniques. Cette idée d'engagement de service, pure création de la pratique, improvisée par les salariés en congé ou en déplacement, pourrait devenir le premier paramètre de mesure du travail, plutôt que la présence dans les locaux de l'entreprise.
  • Liberté de déplacement. Dans un souci de cohérence, un droit à la mobilité sera reconnu : droit de travailler depuis n'importe où, trois ou quatre jours par semaine. Un droit à la mobilité géographique apparaît comme l'autre face de l'obligation de connexion, qui tend à s'imposer, en pratique. Il n'est pas question de télétravail, synonyme de "bureau à la maison". Il est question d'accorder au salarié la liberté de travailler où il veut, pendant une partie de la semaine.
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    "La révolution technique en cours à travers l'utilisation massive des outils mobiles ne saurait rester sans incidence sur les contrats de travail des salariés dont l'essentiel de la tâche s'effectue à travers les écrans. Il va bien falloir un jour tirer les conséquences de ces bouleversements sur l'organisation du travail au sein des entreprises. Comment ?"
Aurialie Jublin

La mondialisation en France: qui est in, qui est out? | Slate - 1 views

  • «Ce n’est donc plus la division du travail qui est essentielle, mais son envers tellement oublié, la coopération. Ce qui fait la performance, dans tous les domaines, c’est la qualité de la relation entre les parties prenantes: concepteurs, exploitants, vendeurs, sous-traitants et bien sûr usagers, dont le retour d’expérience est crucial.»
  • On est donc passé d’un monde professionnel répétitif et routinier, mais prévisible, comme celui décrit par Orwell, à cette fluidité un peu désarmante où tout change tout le temps et où il faut faire preuve d’initiative. La fin d’un salariat «pépère»? En tout cas, une nouvelle attitude est attendue des travailleurs, qui ne sont plus seulement des bras et des cerveaux mais, dans un nombre croissant de métiers, des individus jugés sur leur comportement…
  • Ainsi, le travailleur se met désormais en jeu «en tant que personne» dans son travail: «Y compris pour des tâches banales, dès lors qu’elles sont mal cadrées, on n’entend plus: “Tel travail est bien ou mal fait” mais: “Untel est bon, mauvais ou nul”.»
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  • A mesure que la coopération a pris de l’importance et que les compétences «relationnelles» sont devenues cruciales, l’apport de chaque employé est devenu plus difficile à évaluer individuellement, à quantifier. Un certain flou artistique dans les organisations, aggravé par le «zapping permanent des dernières modes de management qui font vivre l’industrie du consulting», déstabilise les collectifs de travail. Le syndrôme du bullshit job n’est pas loin... L’idée de faire de sa compétence, et même de sa personne, une marque sur un marché concurrentiel, avec ses atouts distinctifs, a pu éclore dans un tel contexte. Dans la postface du Nouveau monde industriel, Pierre Veltz écrivait: «Le besoin d’attirer le regard sur sa propre performance privilégie exagérément les qualités de séduction. Il alimente les guerres sourdes du ressentiment entre ceux qui pensent maîtriser mieux le savoir-faire que le faire-savoir et ceux qui, à l’inverse, savent mieux “se vendre”.»
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    "Comment la mondialisation a-t-elle changé la vie au travail? Internet détruit-il les emplois des classes moyennes? Mon coiffeur doit-il ouvrir un compte LinkedIn? Réponses du sociologue et économiste Pierre Veltz sur les grands bouleversements du travail."
Aurialie Jublin

L'innovation d'Alcatel-Lucent passe-t-elle par les start-up internes ? - 1 views

  • "Je cherche comment réinsuffler l’esprit entrepreneurial et d’innovation de l’entreprise," insiste le DG de l’équipementier. Et la start-up interne est une des voies qu’il a identifiées pour arriver à ses fins. Rien à voir avec une spin-off. Comme le précise Dor Skuler, VP et directeur général de la nouvelle entité israélienne, "il s’agit de raccourcir les cycles de décisions. Et de permettre à la R&D et au business de travailler plus étroitement ensemble."
  • Ce dispositif de start-up interne ne concernera pas toutes les technologies développées par Alcatel-Lucent. Mais le cloud est le nouveau pilier de la stratégie, imposant à l’entreprise d’avancer vite. Et il n’a pas historique chez l’équipementier, ce qui permet une telle rupture dans l’organisation. Mais Alcatel-Lucent profite aussi de CloudBand pour s’essayer à d’autres leviers de réussite. Comme l’ouverture du système. D’un côté, en s’appuyant sur le cloud opensource OpenStack. Et de l’autre, en en faisant une plate-forme ouverte aux développeurs d’applications de fonctions de réseau virtualisées ("y compris à nos concurrents", précise Dor Skuler).
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    Michel Combes, DG d'Alcatel-Lucent, était en Israël pour inaugurer sa deuxième entité consacrée au cloud. Lancée sous forme de start-up interne, elle illustre les méthodes que le patron met en œuvre pour redonner le goût de l'innovation et de l'entrepreneuriat à son entreprise.
Aurialie Jublin

La fin est proche: les ordinateurs peuvent s'apprendre des choses entre eux, ... - 3 views

  • «Dans le futur, la machine-enseignante pourrait, par exemple, permettre aux robots d'usine vieillissants d'enseigner à leur équipement de remplacement», imagine Gizmodo.
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    "Des chercheurs de l'université d'Etat de Washington ont en effet créé des «ordinateurs qui peuvent enseigner à d'autres ordinateurs», poursuit Gizmodo. Et le site de la fac en question de compléter: «[Ils] ont développé une méthode permettant à un ordinateur de donner des conseils et de transmettre des compétences à un autre ordinateur d'une manière qui imite la façon dont un vrai enseignant et un étudiant pourraient interagir.»"
Aurialie Jublin

Les intermittents du spectacle, un symbole des mutations du monde du travail ? | France... - 1 views

  • Des individus qui deviennent conducteurs de VTC sans avoir une licence de taxi. On comprend l'énervement des chauffeurs de taxis. Des individus, souvent modestes, qui louent leur chambre ou leur appartement sur Airbnb pour arrondir leurs fins de mois. On comprend les problèmes que cela pose aux hôtels. Et sans parler des auto-entrepreneurs qui, faute de trouver un emploi, ont tout simplement décidé de créer leur mini-entreprise pour se salarier eux-mêmes. 300.000 Français en moyenne le font chaque année. Un vrai phénomène social. Beaucoup de ces nouvelles formes de travail sont liées à internet qui permet une géolocalisation utile ou une mise en relation plus facile de l'offre et de la demande. C'est aussi une forme moderne et modeste du monde du travail, avec un côté Do-it-yourself (faites-le vous-même) : si l'on est au chômage, mieux vaut créer soi-même son propre travail.
  • Les partis et les syndicats traditionnels ont du mal à cerner ce phénomène majeur qu'est l'individualisation du travail. Fabienne Brugère, dans La politique de l'individu, a défendu l'idée que les individus n'appartiennent plus à des catégories professionnelles stables. L'heure n'est plus seulement aux positions, aux statuts sociaux, mais aux trajectoires.
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    "Alors qu'un médiateur a été nommé par le gouvernement pour "répondre à certaines inquiétudes" des intermittents du spectacle, peut-être serait-il bon de se pencher sur les nouvelles formes de travail provoquées par le numérique, mais aussi sur son individualisation croissante, dont les intermittents font partie. Analyse."
Thierry Nabeth

La révolution collaborative (perspective du prospectiviste Jeremy Rifkin) -- ... - 5 views

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    Après avoir prédit la fin du travail et la troisième révolution industrielle, le prospectiviste Jeremy Rifkin annonce rien de moins que le déclin du capitalisme, éclipsé par l'Internet des objets et l'économie solidaire.
Aurialie Jublin

« La grande révolution du travail aura lieu hors du salariat ». Entretien ave... - 1 views

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    "Le salariat aurait-il fait son temps ? Souvent considéré comme le Graal de la stabilité de l'emploi dans un monde instable, le salariat pourrait bien être en train de vivre ses derniers instants. Selon Denis Pennel, une chose est sûre : la révolution du travail n'aura pas lieu là où on l'attend."
Aurialie Jublin

Comment gagner jusqu'à 1.000 euros par mois grâce au "jobbing" - Challenges - 1 views

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    Du petit bricolage au service à la personne, en passant par l'aide informatique ou le jardinage, ces mini-emplois peuvent rapporter d'une dizaine à plusieurs centaines d'euros
Aurialie Jublin

Le salarié XXIe siècle responsable de son devenir professionnel, Le Cercle - 1 views

  • Étant donné que la relation à long terme avec son entreprise semble disparaitre, le salarié "doit se prendre en main", doit inventer son avenir professionnel par le biais notamment, d’un travail permanent sur son projet professionnel. Il est encouragé à autodiriger sa carrière, organiser sa mobilité et son auto-apprentissage pour maintenir son employabilité.
  • Est-ce que ce phénomène social doit être analysé sur ces différents angles qui suivent : - Une première dimension sociétale : une individualisation institutionnalisée dans laquelle les institutions d’État de notre société moderne sont tournées vers l’individu et non vers le groupe. - Une deuxième dimension axée sur l’individu : émergence de la responsabilité de soi et de la nécessité de se définir tout au long de sa vie. - Une troisième dimension économique : flexibilité de l’emploi, marché mondialisé, production de masse, fin de l’emploi à vie. - Une quatrième dimension concernant la formation : nécessité d’une "production individuelle" pour construire sa propre trajectoire professionnelle et son savoir grâce à l’auto-apprentissage. - Une cinquième dimension axée sur le management : l’individu soumis à une injonction de performance, de réussite, de dépassement de soi. - Une sixième dimension liée à l’innovation technologique : l’adaptation quasi permanente aux nouvelles sources d’information.
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    "Les salariés, acteurs de leur devenir professionnel : le développement des compétences afin d'assurer la suite de leur parcours professionnel et leur maintien dans l'emploi."
Aurialie Jublin

Stop à l'uberisation de la société ! - Libération - 0 views

  • Le numérique nous donne en effet l’occasion de reconsidérer le travail non plus tel un emploi condamné à devenir toujours plus précaire, anxiogène et de l’ordre de l’auto-exploitation, mais dans le cadre d’un projet de société contributive dont ce même emploi serait un moyen parmi d’autres plutôt qu’une fin en soi. Une entreprise comme TaskRabbit crée certes de la valeur d’usage via sa plateforme de petits emplois à la demande, mais elle garde pour elle et ses actionnaires tous les bénéfices de sa valeur d’échange. A l’inverse, Loconomics est une coopérative détenue par ceux qui y proposent leurs services. Contre les plateformes de ladite économie du partage, qui n’en a que le nom, Trebor Scholz défend le «coopérativisme de plateforme», pour bâtir une société des communs au-delà des seules dimensions économique et financière.
  • Il suppose de s’atteler aux métiers du futur, concernant tout autant les orfèvres des data pour utiliser et nous libérer des algorithmes que le soin aux personnes, sans besoin de la moindre machine ; de codifier le travail d’une façon à la fois très protectrice de notre art de vivre et beaucoup moins administrative qu’aujourd’hui ; d’interroger la mise en place d’un revenu d’existence suffisant, justifié de façon structurelle par le chômage numérique massif et la lente agonie à venir de l’emploi ; d’expérimenter l’extension du régime des intermittents dans la perspective d’une société réellement contributive, d’accession et de transmission des savoirs par tous et entre tous ; d’étudier une refonte de la fiscalité selon les principes de la Taxe Pollen, quitte à instaurer d’abord une taxe européenne sur les flux issus du Trading Haute Fréquence (THF) afin de financer le revenu universel.
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    "La combinaison de la robotisation et des Big data, des algorithmes et des effets de réseau nous transforme d'ores et déjà en fossoyeurs involontaires du salariat. Bienvenue dans un monde enfin « flexible », dopé par la robotisation et le travail au compteur. Un monde où usagers et clients se notent en permanence, où chacun devient son propre Big Brother et où la régulation des acteurs de tous les marchés, de l'assurance aux transports urbains, se joue en mode automatique Big data plutôt que sur le registre de la loi ou de la confiance sans calcul."
Aurialie Jublin

Face à l'algorithme, l'impossible grève des livreurs à vélo - Libération - 0 views

  • Par son essence même, l’algorithme est un casseur de grève : son rôle est de répartir en temps réel la force de travail pour faire face à la demande. Qu’il pleuve et que la demande de livraisons augmente, ou qu’il y ait une grève et que l’offre de travail diminue, peu importe au fond, l’algo fera froidement son travail en faisant en sorte que les clients reçoivent au plus vite leur burger au bacon.
  • De la même manière que les plateformes nient aux livreurs le droit d’être salariés, elles les empêchent aussi de faire valoir efficacement leur droit de grève. C’est ce qui explique que le mot d’ordre des livreurs à vélo comprenne une phrase peu commune dans un mouvement social : «Nous appelons tous les clients de plateformes de livraison à ne pas commander la semaine du 8 au 15 juillet.» La grève de la livraison ne peut fonctionner que si elle est corrélée à une grève des commandes.
  • Pour ces livreurs, une grève ne s’appelle pas un «débrayage» mais plutôt une «déconnexion». Pour réussir un mouvement social dans une économie uberisée, il faut en fait une déconnexion générale. Non seulement des livreurs, mais aussi des clients et des restaurateurs, pour laisser l’algorithme mouliner dans le vide.
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  • Sur Arrêt sur images, l’historienne des révolutions Mathilde Larrère avait fait un parallèle saisissant entre la révolte des livreurs et celle des canuts au début du XIXe siècle. Les tisserands lyonnais étaient des auto-entrepreneurs avant l’heure, qui réclamaient un salaire garanti pour faire face aux baisses de tarif unilatérales des négociants. Comme les livreurs à vélo, les canuts étaient propriétaires de leur outil de production mais en fait totalement dépendants des fabricants qui leur vendaient la matière première et leur rachetaient le produit fini. Ce système de fabriques indépendantes, organisé pour éviter la montée d’un syndicalisme ouvrier qui prenait de l’ampleur en Angleterre, a paradoxalement donné naissance à la première grande insurrection ouvrière française.
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    "Pas facile de débrayer quand on est aussitôt remplacé par un autre auto-entrepreneur. Le capitalisme cool de notre société ubérisée empêcherait donc la lutte sociale ?"
Aurialie Jublin

Face à face avec les plateformes à Bruxelles | Le Club de Mediapart - 0 views

  • Certes, les grandes plateformes se gargarisent d'avoir "offert" une assurance complémentaire santé et prévoyance à leurs auto-entrepreneurs qui s'avère bien difficile à utiliser. Aziz, un membre du Collectif des Livreurs Autonomes Parisiens (CLAP), en a fait les frais récemment. Gravement blessé en chutant lors d'une course, il a passé 16 jours à l'hôpital dont six en service de réanimation. Il ne bénéficiera pas de l'indemnité forfaitaire destinée à "réduire la perte financière en cas d'interruption d'activité", car son cas n'entre pas dans les clauses du contrat…
  • Pendant que certains s'échinent à instaurer le dialogue, d'autres préfèrent plancher sur les alternatives. Rappelons l'exemple de la coopérative belge SMart. En mai 2016, elle signe une convention avec Deliveroo garantissant une rémunération horaire respectant les barèmes minimums légaux d’au moins 3 heures par jour presté, ainsi qu'une indemnisation partielle du matériel de travail. Les coursiers travaillaient ainsi sous le régime salarié. En octobre 2017, Deliveroo a mis fin à cette expérimentation de manière unilatérale. Le groupe s'est appuyé sur une mesure du gouvernement belge visant à exonérer de charges et défiscaliser jusqu’à 6 000€ de revenus annuels qui ciblait notamment ces livreurs indépendants.
  • « Cette première expérience vers la reconnaissance d'un statut de travailleur spécifique avec 4000 coursiers, potentiellement reproductible ailleurs a fait peur aux actionnaires », estime Sandrino Graceffa, le directeur de SMart. « Ils ont préféré mettre un terme à ce contrat plutôt que de risquer sa prolifération ». Pour le dialogue et la concertation, on repassera…
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  • Nous avons également découvert l’initiative d’IG Metall, le puissant syndicat allemand, qui a mis en place un site pour faire remonter des plaintes de travailleurs ubérisés. « Il y a deux ans, j'étais tout seul derrière mon ordi à essayer de fédérer quelques dizaines de personnes. Maintenant ça nous a largement dépassé. Aujourd'hui, les plateformes commencent à comprendre que la lutte se fait à l'échelle européenne », explique Jérôme Pimot.
  • L'ère n'est plus seulement à la lutte contre l'ubérisation, mais à la construction de plateformes alternatives et coopératives, qui permettront aux livreurs ainsi qu'à toute profession menacée de s'auto-organiser. Bien sûr, il faudra continuer d'expliquer pourquoi ces géants de l'économie dite "collaborative" ne créent pas de l'emploi, mais achètent de la force de travail au rabais, subtilisant au passage la valeur produite par le travailleur pour enrichir des actionnaires. Il faudra sans cesse rappeler que face à l'indépendance factice de l'auto-entreprenariat, il est nécessaire de défendre aujourd'hui une autonomie effective de salariés coopérateurs. Que face à une génération d'entrepreneurs du web biberonnés au lait de la startup nation, il faut mettre en valeur les projets collectifs de celles et ceux qui ne prônent pas la liberté contre la justice sociale.
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    "CoopCycle était invité à Bruxelles pour une journée dédiée à l'économie des plateformes le 23 janvier dernier. Une conférence organisée par le réseau Sharers & Workers qui plaide pour la construction d'une « économie numérique des plateformes financièrement soutenable ». "
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