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hubert guillaud

Trouver les gens qui ont une vocation plutôt que ceux qui veulent faire carri... - 1 views

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    L'entrepreneur et financier Brooke Allen - http://www.brookeallen.com -, qui a lancé le club Q54 - http://www.q54club.org - recommandait récemment dans les pages de Quartz d'écrire son histoire plutôt qu'un simple CV pour décrocher un job : http://qz.com/192347/to-get-a-job-write-your-story-instead-of-a-resume/ Il y évoquait le fait que ce qui a le plus de valeur est de trouver un but à son travail. Evoquant le livre à paraître de Aaron Hurst "L'économie du but", il explique que les gens les plus motivés ne cherchent ni un travail ni une carrière, mais une vocation. Et que les employeurs devraient surtout se soucier de trouver ces employés là ! Les gens qui cherchent un travail ne cherchent qu'à payer leurs factures. Ceux qui cherchent une carrière se moquent de leur travail. Seul ceux qui cherchent une vocation méritent d'être employés et d'être payés au prix fort.
Aurialie Jublin

affordance.info: Inverser la courbe du #DigitalLabor : pourquoi #Microsoft ra... - 0 views

  • Et d'autant que les données LinkedIn serviront, notamment, à améliorer les technos et applications "d'intelligence artificielle" (Deep Learning) de Microsoft. On peut donc aisément imaginer dans un futur proche des scénarios assez triviaux où le dialogue avec cette "IA" s'enrichira d'un nouvel horizon dialogique qui lui permettra de vous signaler différents événements professionnels et de vous faire toute une série de propositions de mutation, de nouveaux contacts, etc., mais également des scénarios plus "élaborés" dans lesquels ce même assistant intelligent piloté par une IA gèrera en temps-réel la totalité de votre "carrière"
  • Cerise sur la gâteau, en complément des avantages que confère de facto cette acquisition à Microsoft, elle est également le cheval de Troie idéal lui permettant d'établir un pont avec les politiques publiques (ou privées) de formation : la plupart des néo-inscrits sur LinkedIn le sont dès leurs études universitaires. Je vous laisse alors imaginer ce monde dans lequel, en plus des accords passés avec Cisco (et avec Microsoft) par le ministère de l'éducation nationale, le même Microsoft (et ses partenaires privés) auront alors la capacité de réguler les choix d'étude et de formation professionnelle de la plupart des futurs travailleurs.
  • La "valeur" de la base LinkedIn est liée à trois facteurs essentiels. D'abord sa volumétrie : il s'agit du site rassemblant le plus d'informations sur le plus grand nombre de travailleurs sur la planète (400 millions d'utilisateurs). Ensuite son positionnement : c'est le site leader sur le secteur de l'employabilité et de la mobilité professionnelle. Enfin sa dimension "relationnelle", au sens premier et informatique de ce que l'on appelle une "base de donnée relationnelle", c'est à dire la capacité d'offrir différents niveaux de navigation, de croisement et d'analyse parmi l'ensemble des données structurées présentes dans la base.
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    "A l'évidence, les algorithmes sont amenés à jouer très rapidement un rôle absolument crucial sur le marché du travail. A l'évidence il existe un certain nombre de problèmes (de formation, d'affectation, de suivi de carrière, de disponibilité) qu'un algorithme dans toute sa candeur statistique et sa robustesse mathématique est capable de traiter plus rapidement et plus efficacement que des opérateurs humains. Donc oui demain des algorithmes joueront le rôle de conseillers pôle-emploi. D'autant que ce rachat de LinkedIn par Microsoft va nécessairement et presque mécaniquement entraîner une réaction des autres GAFAM, notamment de Google."
abrugiere

Le CDI ne fait plus le bonheur | Le Cercle Les Echos - 2 views

  • Premièrement, le CDI ne protège plus les salariés : dans un environnement économique où la durée de vie des entreprises ne cesse de raccourcir (75 ans dans les années 1930, 15 ans à l’aube des années 2000), détenir un contrat permanent ne garantit plus un emploi à vie. En Italie, 50% des CDI sont interrompus au bout de deux ans. Pire, l’emploi salarié est trop souvent associé à de la souffrance au travail : cadences extrêmes, management par le stress, logique de résultats inatteignables.
  • Deuxièmement, la relation de subordination incarnée par le CDI ne correspond plus à notre système productif. En se tertiarisant, l’économie exige prise d’initiative, agilité et adaptabilité. Il n’est plus demandé au salarié d’effectuer des tâches standardisées et répétitives, mais de mettre à la disposition de son employeur sa créativité, sa réactivité et sa personnalité. A l’heure du travail dématérialisé, le lien de subordination fait d’obéissance et de contrôles est devenu contre-productif et tend de plus en plus à être remplacé par du management collaboratif, où l’autonomie et la responsabilisation prévalent.
  • Troisièmement, le salariat, conçu au départ comme un système de redistribution de revenus, de droits et protections, a perdu nombre de ses avantages : la hausse des cotisations sociales s’accompagne d’une baisse des prestations sociales (retraites, sécurité sociale, indemnités chômage). La répartition des profits se fait de plus en plus en faveur des actionnaires, au détriment des travailleurs. Les carrières ne sont plus ascensionnelles, la rémunération ne suit plus l’ancienneté.
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  • L’essor de nouvelles formes de travail, telles que portage salarial, auto-entrepreneurs, groupements d’employeurs ou multi-activité, témoigne des mutations en cours et bouleverse la séparation stricte qui existait entre salariat et travail indépendant.
  • Cette nouvelle réalité du travail correspond aussi à la montée de l’individualisation de la relation d’emploi. Les gens ne veulent plus appartenir, ils veulent choisir. Le travailleur veut désormais consommer le travail comme il consomme biens et services.
  • Aujourd’hui, l’individu veut également pouvoir définir le cadre de sa relation d’emploi et personnaliser ses conditions de travail. A titre d’exemple, 52% des Français voudraient pouvoir travailler de chez eux et 68% des salariés à temps partiel déclarent avoir choisi ce mode de travail, le plus souvent pour concilier vie familiale et professionnelle.
  • Services publics de l’emploi, entreprises de travail temporaire, cabinets de recrutement, associations sociales... De nouveaux havres de stabilité sont nécessaires pour accompagner des travailleurs au parcours de plus en plus chaotique et un emploi fragmenté, individualisé et à la carte. Parions que l’avenir verra la résurgence des guildes professionnelles, à la fois garantes de la formation de leurs travailleurs, négociateurs de leurs conditions de travail, fournisseurs d’avantages sociaux et sources d’offres d’emploi.
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    "Et si le salariat n'était plus synonyme d'épanouissement au travail ? Cette question (tout comme le titre provocateur de cet article) vise à remettre en cause notre vision monolithique mais obsolète du marché du travail : seul le CDI à temps plein protège les travailleurs et leur apporte sécurité et stabilité professionnelles."
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    - Premièrement, le CDI ne protège plus les salariés : dans un environnement économique où la durée de vie des entreprises ne cesse de raccourcir (75 ans dans les années 1930, 15 ans à l'aube des années 2000), détenir un contrat permanent ne garantit plus un emploi à vie 2) Deuxièmement, la relation de subordination incarnée par le CDI ne correspond plus à notre système productif. En se tertiarisant, l'économie exige prise d'initiative, agilité et adaptabilité 3) Troisièmement, le salariat, conçu au départ comme un système de redistribution de revenus, de droits et protections, a perdu nombre de ses avantages : la hausse des cotisations sociales s'accompagne d'une baisse des prestations sociales (retraites, sécurité sociale, indemnités chômage). La répartition des profits se fait de plus en plus en faveur des actionnaires, au détriment des travailleurs. Les carrières ne sont plus ascensionnelles, la rémunération ne suit plus l'ancienneté.
hubert guillaud

Pourquoi tant d'hommes incompétents deviennent-ils des leaders ? - Harvard Bu... - 0 views

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    Il y a 3 explications populaires à la sous représentation des femmes dans le management, estime Thomas Chamorro-Premuzic : elles ne sont pas capables, elles ne sont pas intéressées, elles sont à la fois intéressées et capables, mais incapables de briser le plafond de verre des stéréotypes et préjugés qui empêchent les femmes d'accéder aux postes de décision. Pour Thomas CHamorro-Premuzic, la principale raison du déséquilibre des genres dans les fonctions de direction repose sur notre incapacité à distinguer la confiance de la compétence. C'est-à-dire que nous avons tendance à interpréter les signes de confiance comme des signes de compétences. Le charisme et le charme sont souvent confondus avec le potentiel à diriger. De plus, nous avons tendance à élire comme chef des personnes égocentriques, narcissiques et qui ont une grande confiance en elles, des traits de personnalités plus fréquents chez les hommes que les femmes. Freud soulignait déjà combien les disciples remplacent leurs propres tendances narcissiques par celles de leur chefs, de sorte que leur amour pour le leader est une forme déguisée de l'amour-propre, ou un substitut à leur incapacité à s'aimer eux-mêmes. Enfin, les hommes ont tendance à penser qu'ils sont plus intelligents que les femmes. Pourtant, l'arrogance et la suffisance sont inversement proportionnels aux talents de leadership. Quelque soit le domaine, les meilleurs leaders sont pourtant souvent des gens humbles... C'est ce qui explique que les incompétents soient plus souvent promus à des postes de management et de direction que des gens compétents. Pas étonnant qu'avec ces mauvais dirigeants, les sociétés, entreprises et organisations soient massivement mal gérées. Pourtant, certaines études ont montré que les femmes cadres sont plus susceptibles de susciter le respect et la fierté de leurs adeptes, communiquer leur vision, responsabiliser leurs subordonnés et résoudre des problèmes de f
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    Il y a 3 explications populaires à la sous représentation des femmes dans le management, estime Thomas Chamorro-Premuzic : elles ne sont pas capables, elles ne sont pas intéressées, elles sont à la fois intéressées et capables, mais incapables de briser le plafond de verre des stéréotypes et préjugés qui empêchent les femmes d'accéder aux postes de décision. Pour Thomas CHamorro-Premuzic, la principale raison du déséquilibre des genres dans les fonctions de direction repose sur notre incapacité à distinguer la confiance de la compétence. C'est-à-dire que nous avons tendance à interpréter les signes de confiance comme des signes de compétences. Le charisme et le charme sont souvent confondus avec le potentiel à diriger. De plus, nous avons tendance à élire comme chef des personnes égocentriques, narcissiques et qui ont une grande confiance en elles, des traits de personnalités plus fréquents chez les hommes que les femmes. Freud soulignait déjà combien les disciples remplacent leurs propres tendances narcissiques par celles de leur chefs, de sorte que leur amour pour le leader est une forme déguisée de l'amour-propre, ou un substitut à leur incapacité à s'aimer eux-mêmes. Enfin, les hommes ont tendance à penser qu'ils sont plus intelligents que les femmes. Pourtant, l'arrogance et la suffisance sont inversement proportionnels aux talents de leadership. Quelque soit le domaine, les meilleurs leaders sont pourtant souvent des gens humbles... C'est ce qui explique que les incompétents soient plus souvent promus à des postes de management et de direction que des gens compétents. Pas étonnant qu'avec ces mauvais dirigeants, les sociétés, entreprises et organisations soient massivement mal gérées. Pourtant, certaines études ont montré que les femmes cadres sont plus susceptibles de susciter le respect et la fierté de leurs adeptes, communiquer leur vision, responsabiliser leurs subordonnés et résoudre des problèmes de f
dkaplan

Les RH en 2018 : de quelles compétences aura besoin l'entreprise agile ? - 2 views

  • D’un point de vue organisationnel et managérial, les entreprises et les ressources humaines sont elles-aussi en mutation : pour faire face au flux, la souplesse devient la norme pour s’adapter rapidement à un environnement et des besoins mouvants. Quitte, de plus en plus, à basculer vers un modèle d’organisation hyper-flexible, qui nourrit sa culture du rebond et de l’adaptation, ouvre ses murs, se concentre sur son coeur de métier et externalise : trois quarts des décideurs RH s’attendent ainsi à “outsourcer” plus de tâches d’ici à 2018.
  • Pour certains, le “freelance est l’avenir de l’homme”. Demain, le travail se morcellera et pourrait être réalisé de n’importe où, n’importe quand. Et les compétences traditionnellement identifiées chez le freelance seront requises pour les salariés !
  • Au-delà de la recherche de résilience chez le candidat, c’est l’ensemble du marché du travail qui est amené à se transformer, avec par exemple des seniors qui préféreront de plus en plus le temps partiel à la retraite (selon 92% des responsables RH sondés), un développement des compétences apte à se construire dans des carrières multiples et parfois simultanées (79%) et plus de la moitié des actifs en emploi entrepreneurs, travailleurs indépendants ou en travail temporaire (60%).
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    "L'heure du travail flexible ? 91% des directeurs de ressources humaines britanniques interrogés estiment que les employés de demain seront recrutés avant tout sur leur capacité à s'adapter au changement."
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    "Dans une étude de Right Management (UK), leader mondial des solutions d'optimisation du capital humain en management des Talents et des Carrières, intitulée « The Flux report », les acteurs des ressources humaines britanniques identifient les changements liés au climat d'incertitudes et de volatilité de ces dix dernières années."
Aurialie Jublin

Critique de Linchpin (Seth Godin) : un livre indispensable ? - ikon.fr - 1 views

  • Linchpin commence par un chapitre écrit sur un ton quasi-apocalyptique, qui dresse un constat du monde du travail assez radical. Godin fait le procès de la société actuelle qui, héritant de la révolution industrielle, valorise le conformisme, l’obéissance à l’extrême et l’oubli de soi. Autrement dit, la promesse d’un bon salaire et d’une sécurité de l’emploi en l’échange de notre consentement à devenir des rouages bien huilés dans la machine du travail. Le propos de Linchpin est d’encourager le lecteur à devenir le pivot, et non le rouage, car à l’inverse du pivot qui est indispensable au bon fonctionnement de la machine toute entière, le rouage est facilement remplaçable s’il est défaillant.
  • Un “linchpin” (une personne indispensable), nous dit Godin, est une personne capable de créer, de trouver des solutions nouvelles, d’établir des connexions fructueuses entre les individus. Plus que tout, c’est une personne qui fait son travail comme un artiste travaillerait à son oeuvre : elle y met de sa personne toute entière et sait qu’elle n’a pas le droit d’avoir peur de se mouiller.
  • un linchpin est un artiste, en ce sens qu’il fait ce qui le passionne par générosité, parce qu’il est conduit par la volonté de changer l’immobilisme ambiant. Adam Smith disait dans La Richesse des Nations que chaque individu, en cherchant son intérêt personnel, concourrait sans le savoir à servir l’intérêt général (théorie de la main invisible). Pour Godin, c’est l’inverse : le linchpin cherche d’avantage à servir l’intérêt général (celui de ses clients, de son entreprise ou même du monde entier), ce qui indirectement finit par servir son intérêt personnel (par de belles promotions).
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    Linchpin, littéralement "pivot" en français, est un livre qui diffère des précédents travaux de Godin par le fait qu'il s'adresse directement aux individus et pas aux entreprises. Le sous-titre du livre, que je traduirais grossièrement par "Etes-vous indispensable ? Comment donner à sa carrière un avenir remarquable ?" donne tout de suite le ton : Linchpin a des allures de livres de coaching. Pourtant, autant le dire tout de suite, Linchpin est un faux livre de coaching. Au contraire, dans ce livre plus personnel que les autres, Godin cherche surtout à ouvrir les yeux du lecteur sur l'opportunité (l'obligation ?) de changer son rapport au travail, et à mieux appréhender les peurs qui paralysent tout processus de changement personnel. 
abrugiere

Et si les bibliothèques municipales devenaient des incubateurs de petites ent... - 1 views

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    La bibliothèque : un bon lieu d'incubation des start-ups ?  Les bibliothèques « regroupent à peu près tout ce dont un innovateur du 21e siècle peut avoir besoin: un accès à internet, un espace de travail, des documents de référence et une aide professionnelle », observe Emily Badger dans The Atlantic. Dans une étude auprès de 730 directeurs de bibliothèque que j'ai aidé à réaliser conjointement avec Library Resource Guide, nous avons découvert que beaucoup considèrent leur institution comme un pôle qui contribuera à réduire l'écart entre chômage et pénuries de compétences parmi les employeurs. Sept sur dix signalent une hausse de la demande pour l'accès à internet, et plus d'un tiers indiquent que le public est plus nombreux à rechercher des formations et informations techniques ou des informations sur le développement de carrière et la recherche d'emploi. Certaines bibliothèques sont déjà en train de se renouveler en tant que centres d'impression 3D ou laboratoires dédiés aux bidouilleurs informatiques. En 2011, la bibliothèque Fayetteville Free Library de Fayetteville, dans l'État de New York, a endossé une nouvelle mission dans le but d'offrir à ses utilisateurs des équipements d'impression 3D: le « FFL Fab Lab » est un espace à part doté de technologies d'impression 3D, qui cherche à encourager l'innovation et l'apprentissage du concept.
Aurialie Jublin

Comment repenser le travail pour motiver malgré la crise? - L'EXPRESS - 1 views

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    Laisser les salariés gérer leur temps de travail, renforcer l'employabilité, accompagner les carrières... Autant de façons de redonner le sens de l'engagement à ses équipes sur fond de crise économique.
Aurialie Jublin

Bernard Friot « Un capitalisme rentier qui n'assume plus d'être employeur » |... - 0 views

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    "Le compte personnel d'activité est-il un progrès en ce sens ? Bernard Friot Sûrement pas, c'est au contraire une régression. Un compte personnel, à commencer par le plus ancien d'entre eux, le compte personnel de retraite Arrco-Agirc, construit contre le régime général, asservit les travailleurs au marché du travail puisque c'est la performance dans l'emploi qui alimente le compte. Plus j'ai d'emplois, et de bons emplois, plus j'additionne des droits à des jours de repos ou de chômage, à la formation, à la retraite, à la complémentaire santé, etc. Ainsi, alors que le régime général permet de prolonger dans la pension les meilleurs salaires, le compte personnel tient compte de toute la carrière, y compris les années très mal payées. Le CPA n'est donc pas attaché à la personne, mais à son parcours professionnel, ce qui n'a rien à voir."
Aurialie Jublin

Belgique * Non, la flexibilité ne favorise pas l'emploi | Courrier international - 0 views

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    "Quand on postule, faut-il "se montrer flexible sur le salaire, le contenu du poste et la proximité du lieu de travail avec son domicile ? En fait, il est peu probable que cela augmente vos chances de trouver un emploi. Au contraire même", écrit le quotidien néerlandophone. Le titre s'appuie sur les conclusions de la thèse de doctorat d'une universitaire de Louvain. Les principales explications : "Les demandeurs d'emploi qui se montrent flexibles sont généralement moins sûrs d'eux, ont une vision moins claire de leur plan de carrière et, par définition, une expérience moins pertinente à faire valoir.""
Chamila Puylaurent

Pourquoi il faut rebâtir la "maison travail" - 0 views

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    "Parce que la révolution individualiste est en train de bouleverser le monde du travail et avec elle une économie de plus en plus aléatoire, il est nécessaire de repenser notre modèle social et notre façon d'appréhender nos carrières. Dans l'ouvrage « Travailler pour soi », l'auteur Denis Pennel nous invite à en comprendre les tenants et les aboutissants et propose des recommandations concrètes pour adapter nos acquis sociaux à ces nouveaux paradigmes du travail"
Aurialie Jublin

L'entreprise idéale de demain | Marque employeur et nouveaux enjeux RH - 2 views

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    Résultat d'une étude fait par Deloitte auprès de 1065 étudiants. - entreprise = lieu d'épanouissement personnel - valeurs prépondérantes : esprit d'équipe et de communauté, savoir-faire, qualité de service, satisfaction client. - plébiscitent : travail en équipe, autonomie/liberté, le management participatif - manager idéal : un organisateur (fiable, ordonné, efficace) et un promoteur (enthousiaste, communicatif); avec qualité relationnelles plutôt qu'organisationnelles - facteur d'actractivité : 1) intérêt du travail 2) développement des carrières 3) niveau de rémunération
julien camacho

La crise pousse les cadres à prendre davantage leur carrière en main, Actualités - 0 views

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    Les difficultés sur le marché de l'emploi conduisent les cadres à être proactifs quand ils envisagent une mobilité. 50.000 d'entre eux font appel chaque année aux services personnalisés de l'Apec, cinq fois plus qu'en 2010.
Aurialie Jublin

Travailler pour soi (2/2) : "Employeurs et intermédiaires de l'emploi doivent... - 1 views

  • L’individu, de plus en plus, veut consommer le travail, comme il consomme des biens et des services : à l’entreprise de mettre en place des solutions qui répondent à ces attentes, comme ces services de conciergerie qui permettent à l’individu de s’épanouir dans son travail en le libérant des tâches pratico-pratiques. L’entreprise n’est plus seulement un employeur, elle doit se mettre au service de ses employés
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    "Refonder notre contrat social. Pour Denis Pennel, l'auteur de Travailler pour soi, il y a urgence à imaginer de nouvelles formes de sécurité pour accompagner des carrières devenues accidentées. Nouvelles solidarités, nouveaux accompagnements, nouveaux services : les intermédiaires de l'emploi ont un rôle à jouer dans cette révolution du travail... Suite de l'entretien."
abrugiere

Livre blanc "la démarche ePortfolio dans l'enseignement supérieur français" -... - 1 views

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    Les dispositifs ePortfolio visent à rassembler, dans un environnement numérique, un ensemble de documents et de ressources électroniques qui décrit et illustre l'apprentissage ou la carrière d'une personne, ses expériences, ses travaux et ses compétences. Ils intéressent très directement l'enseignement supérieur pour la formation initiale et tout au long de la vie (formalisation des parcours et des référentiels, nouvelles modalités d'acquisition et de repérage des compétences, ...) et pour l'insertion professionnelle (valorisation des acquis et expériences).
Aurialie Jublin

La formation professionnelle réinventée - ParisTechReview - 0 views

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    "De tous les enfants entrant à l'école cette année, 75% exerceront un métier qui n'existe pas encore aujourd'hui. Cette évolution est déjà sensible: nous devons nous former continuellement. Bonne nouvelle, les neurosciences montrent que nous en avons les capacités. Le véritable défi est de mettre en pratique cet impératif et d'insérer harmonieusement la formation continue dans les carrières. Mais des solutions se développent. Et dans une économie de la connaissance, l'apprentissage peut-il être séparé du travail?"
Aurialie Jublin

Emploi:Viadeo lance une nouvelle fonctionnalité - 2 views

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    "Viadeo, premier réseau social professionnel de France avec 8 millions de membres, lance une nouvelle fonctionnalité pour réunir autour d'un même métier recruteurs et salariés, afin d'aider ces derniers à mieux anticiper l'évolution de leur carrière. Lancée vendredi sur le site, après plusieurs jours en version bêta, la fonctionnalité "Face à Face" propose quelque 500 groupes de discussion autour d'un métier - d'artiste-plasticien à chef de projet informatique, en passant par directeur juridique ou kinésithérapeute."
abrugiere

RSLN | Data-diététicien, voisinetteur... et 18 autres métiers pour demain - 0 views

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    les consultants de l'agence américaine Sparks & Honey expliquent que désormais, notre vie professionnelle sera constituée d'un portfolio de micro-carrières. Parmi les métiers de demain : VoisiNeteur : un travailleur social utilisant le Net pour créer des liens entre voisins Le curateur numérique personnel : un diététicien de l'info pour vous sauver de l'infobésité Le ludosseur : un professeur utilisant des dispositifs ludiques pour l'acquisition des savoirs Le Skype coach, pour augmenter vos capacités en toute discrétion Légisboteur (spécialiste du droit des robots) au Funébriste (réalisateur d'enterrements virtuels) en passant par le Nomophobcteur (praticien spécialisé dans le traitement de la nomophobie, la peur d'être séparé de son téléphone mobile),
Aurialie Jublin

L'entreprise libérée, réalité ou imposture ? - 1 views

  • Première critique : l’entreprise libérée propose d’abattre un système qui n’existe presque plus ! Frederick Taylor est mort il y a un siècle (en 1915). Son modèle d’organisation scientifique du travail, fondé sur la division à l’extrême des tâches, le chronométrage, le salaire à la pièce, a fait l’objet de fortes critiques (dont par exemple, Le Travail en miettes de Georges Friedman, 1956). Dans le même temps, les relations humaines, les motivations et l’autonomie des employés commençaient à être prises en compte tant dans la théorie, comme le modèle Y de Douglas McGregor que dans la pratique.
  • Une nouvelle bureaucratie est apparue au cours des deux dernières décennies, liée à l’essor des modes de contrôle de gestion, des normes de qualité, des outils informatiques (5), mais ces nouvelles normes et directives sont imposées en large partie par des contraintes institutionnelles, comme les normes de qualité et les normes comptables. Leur suppression ne dépend pas de la seule bonne volonté de « leaders libérateurs ».
  • L’autre critique vient de François Geuze, directeur du master management des RH de Lille. Pour lui, l’entreprise libérée se situe à mi-chemin entre la « stratégie de communication et l’imposture (6) ». Il récuse l’idée que l’on puisse se débarrasser aussi aisément des « fonctions supports » comme les RH, envisagées par les hérauts de l’entreprise libérée comme de purs parasites. (« Les RH sont des parasites à l’état pur (…), ils font partie de ces sorciers devins qui sont autogénérés », affirme Jean-François Zobrist, ex-dirigeant de FAVI (7)). Mais si on supprime les DRH, jugés inutiles, qui va s’occuper de la gestion des carrières, de la formation, des conditions de travail ? Les chefs d’équipe sont-ils à même de traiter eux-mêmes les questions de formation ou d’évolution de carrière ? Pour F. Geuze, la vision caricaturale d’un encadrement qui ne sert « qu’à la prescription et au contrôle » est une façon de renforcer le pouvoir du leader « petit père des peuples ».
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  • Car la suppression du contrôleur ne veut pas dire suppression du contrôle. « La logique pernicieuse de l’entreprise libérée est qu’elle prône l’autocontrôle (…). Mais celle-ci peut bien vite glisser vers le contrôle de tout le monde par tout le monde, chacun des membres d’une équipe étant en permanence sous le contrôle de l’ensemble de ses membres. »
  • L’autre visage de FAVI Mais il existe aussi une autre version de l’histoire. Certes, les ouvriers ne pointent plus ; ils règlent eux-mêmes leur machine. Mais est-ce vraiment aussi révolutionnaire ? J.F. Zobrist n’a fait qu’introduire un type de management à la japonaise des années 1970, très largement importé dans de nombreux secteurs, avec les équipes semi-autonomes. Mais la loyauté des salariés repose aussi sur l’existence d’une norme de groupe très forte, fondée sur l’autocontrôle des salariés entre eux. Tout dissident est mis au ban, et l’omniprésence du « leader libérateur » fait songer au gourou d’une secte…
  • Quand l’automobile a connu la crise de 2008, l’entreprise s’est réorganisée et est passée de 600 salariés à moins de 400 aujourd’hui. J.F. Zobrist a donc dû se séparer de 200 personnes. Dans le même temps, la productivité a progressé au rythme de 3 % l’an, ce qui impose un rythme de travail soutenu. Les ouvriers de chez Favi doivent façonner 1 800 pièces dans la journée, ce qui est un objectif très élevé dans le secteur. La peur du chômage aurait-elle remplacé la pointeuse ? Les récits stéréotypés du leader Favi ne le disent pas.
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    "Devant tant d'enthousiasme, il n'apparaît pas inutile d'écouter quelques voix discordantes. Dans Faut-il libérer l'entreprise ? (2016), Gilles Verrier et Nicolas Bourgeois, tout en partageant les buts et méthodes (on n'interroge que les dirigeants !), prennent un peu de distance et tentent une approche un peu plus mesurée de l'entreprise libérée. D'autres sont franchement plus critiques (4). On peut résumer les critiques à trois grandes catégories."
Aurialie Jublin

Cartographie des services/start-up RH - 0 views

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    Cartographie faite par le LabRH, avec 5 sous catégories : - Administration, gestion, insfrastructure et SIRH - Formation, développement des individus - Mobilité et gestion des carrières - Motivation - Acquisiion
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