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juliebaudrillard

Grande-Bretagne : le rapport Taylor plaide pour clarifier le statut de gig worker - Planet Labor - 1 views

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    Dans un rapport sur le monde du travail commandé fin 2016 par la Première Ministre britannique Theresa May, l'ancien conseiller de Tony Blair, Matthew Taylor, plaide pour la clarification du statut des travailleurs de la gig economy rebaptisés « dependents contractors ». Il réclame aussi une hausse du salaire minimum pour les travailleurs aux horaires irréguliers, l'instauration d'un droit au congé maladie obligatoire, ou encore l'obligation de stipuler dès le premier jour de travail au salarié ses droits et ses devoirs. Ces recommandations ont été jugées insuffisantes par les syndicats mais trop contraignantes par le patronat.
juliebaudrillard

working-together_final_web-version.pdf - 2 views

  •  
    Un rapport conjoint de Co-operatives UK et de Co-operative College qui porte sur les innovations des syndicats et coopératives à destination des travailleurs précaires vient de sortir.
juliebaudrillard

Vers un capitalisme de plateforme ? Mobiliser le travail, contourner les régulations - 3 views

  • Les statuts d’indépendants donnent accès à l’assurance maladie et l’assurance vieillesse, mais pas à l’assurance accident du travail/maladie professionnelle, ni à l’assurance chômage, ni encore à la formation professionnelle. Or, sur les plateformes, qui est responsable de la sécurité et de la santé du travailleur pendant l’exécution de sa tâche : la plateforme ou le travailleur, ou les deux ?
  • droits fondamentaux des travailleurs
  • L’externalisation, parfois présentée comme possibilité ouverte par l’innovation technologique, ressemble finalement davantage au « putting-out system » caractéristique de la proto-industrialisation.
  • ...58 more annotations...
  • Certains historiens pointent néanmoins la mise en place de nombreuses régulations et conventions collectives dans le putting-out system, du moins en ce qui concerne les travailleurs les plus qualifiés.
  • Si les travaux historiques démontrent ainsi les possibilités de régulation des pratiques patronales d’évitement du droit du travail, ils mettent également l’accent sur le rôle des travailleurs qualifiés et des organisations syndicales dans ces processus. Or, même si des sites de professions libérales qualifiées existent, le capitalisme de plateforme se développe largement du côté du travail peu qualifié. Quant aux syndicats, leur implication auprès de travailleurs indépendants suppose une reconfiguration qui est aujourd’hui amorcée.
  • Ces mutations des statuts d’emploi et des formes d’organisation du travail, ainsi que les déplacements des responsabilités dans l’exercice de l’activité, nous apparaissent majeures et spécifiques et justifient l’usage du terme de « capitalisme de plateforme ». En effet, cette notion met l’accent sur la création de valeur et son partage, inégalitaire, entre, d’une part, les détenteurs des algorithmes, sites et applications que sont les plateformes et, d’autre part, les travailleurs présents sur celles-ci. Ces derniers ont pour particularité, en plus de ne pas être salariés, de mettre à la disposition des entreprises non seulement leur force de travail mais également une partie des outils de production (vélos, voitures, etc.). En mettant au travail des travailleurs indépendants, le capitalisme de plateforme, loin de leur conférer de l’autonomie, participe de l’émergence de formes renouvelées, voire exacerbées, de sujétion des travailleurs, visant à les mobiliser, et cela à l’écart des régulations actuelles des mondes du travail.
  • digital labor
  • Mais en suggérant que ce sont les consommateurs qui travaillent sans s’en rendre compte, la notion néglige parfois le véritable travail de recueil et de mise en forme de ces données. Ce travail, mis en lumière dans plusieurs travaux récents (Dagiral et Peerbaye, 2012 ; Beauvisage et Mellet, 2016 ; Denis, 2018), pourrait bien être la principale source de production de valeur. En outre, il est plus opératoire empiriquement de distinguer les plateformes, précisément en fonction de la dimension marchande ou non des échanges, et de la dimension lucrative ou non des plateformes1. D’autant que c’est précisément la confusion entre ces espaces qui entraîne des dialogues de sourds entre partisans des communs et de l’innovation démocratique en ligne d’une part, et dénonciateurs d’un néo-capitalisme virtuel débridé de l’autre.
  • On peut distinguer d’abord l’échange de biens et la commande de travail.
  • c’est seulement dans le deuxième cas que « l’objet contractuel est la force de travail ».
  • Au sein des plateformes d’échange de travail, certains, comme le juriste Valerio de Stefano, distinguent encore le « crowdwork » d’une part et le « work-on-demand via apps » d’autre part.
  • Les plateformes mobilisent des travailleurs sans les salarier. C’est le cas pour Uber et les autres plateformes de transports de personnes, qui nouent des contrats de partenariat avec des chauffeurs indépendants.
  • En France, au regard de la loi, le critère absolu pour distinguer travail indépendant et travail salarié est celui de la « subordination juridique permanente ».
  • Dans la pratique, les juges recherchent un « faisceau d’indices » permettant de qualifier la subordination :
  • la controverse sur le statut des chauffeurs Uber est exemplaire. Les dirigeants et avocats de l’entreprise mettent en avant, outre l’indépendance formelle des chauffeurs, leur liberté quant au choix du volume et des horaires de travail et la possibilité d’avoir plusieurs clients et de travailler pour plusieurs applications. Les arguments qui leur sont opposés sont : les sanctions (déconnexions) mises en œuvre par Uber, la fixation des prix par l’entreprise, les obligations en termes de qualité de service. Des travaux mettent également en évidence le contrôle exercé par les plateformes par le biais de l’algorithme de répartition de la demande (Rosenblatt et Stark, 2016).
  • Ce qui rend si cruciale la distinction entre salariat et l’indépendance, des deux côtés de l’Atlantique, ce sont la protection sociale et les droits des travailleurs.
  • Les droits syndicaux et le pouvoir d’organisation des travailleurs des plateformes sont limités par l’indépendance statutaire des travailleurs (quand ce n’est pas du travail informel), par leur atomisation géographique et par l’absence de structures collectives. Pour autant, des actions collectives émergent depuis quelques années, à l’initiative des travailleurs eux-mêmes ou de syndicats et structures existantes.
  • situations hétérogènes
  • activité principale
  • omplément de revenus
  • Or, les vécus des travailleurs des plateformes et leur niveau de satisfaction diffèrent en fonction du statut associé à cette activité.
  • L’enquête Mathieu Cocq a le mérite de mettre en évidence la porosité de la frontière entre pratiques amateures et pratiques professionnelles, tant il est difficile de dissocier ce qui relève d’une activité bénévole « choisie » ou « subie ».
  • Ces travaux démontrent ainsi que le développement des plateformes ne participe pas à réduire les inégalités, mais tend plutôt à les renforcer.
  • s’appuyant sur une enquête réalisée sur trois plateformes aux États-Unis (Airbnb, RelayRides9, TaskRabbit10), Juliet Schor et al. (2017) démontrent que la majorité des travailleurs y sont des personnes blanches aux revenus élevés qui trouvent là une occasion supplémentaire de gagner de l’argent et de conforter leur position sociale.
  • Tenant compte de l’hétérogénéité des trajectoires des travailleurs des plateformes (en termes d’origine sociale, de rapports de genre et de race, du statut de l’activité exercée sur la plateforme, et des autres ressources financières), il convient de mettre en évidence, pour chaque profil, ce qui rend désirable le fait d’y développer une activité.
  • C’est le tour de force réalisé par Deliveroo, Foodora et d’autres que d’être parvenus à valoriser cette activité en mettant en avant les vertus d’une pratique sportive.
  • supports externes (un emploi salarié, le soutien du conjoint ou des parents) qui permettent de rendre leur situation soutenable,
  • orsque le revenu issu de l’activité principale est faible, la livraison n’est plus seulement de l’ordre de l’appoint, mais se transforme en véritable deuxième activité.
  • dégradation progressive des conditions d’exercice du métier, en évoquant la baisse des prix, la hausse des commissions imposée par les plateformes, le nombre croissant de chauffeurs, toutes raisons qui grèvent leur chiffre d’affaires et les contraignent à de longues durées du travail.
  • mobilisation collective des chauffeurs VTC en France
  • L’implantation des plateformes, en favorisant l’arrivée massive de particuliers, qui se traduit notamment par une baisse des tarifs, n’est pas seulement cause d’un renforcement des inégalités parmi les travailleurs des plateformes, mais elle impacte également les professionnels du secteur.
  • concurrenc
  • ontourner les règles de métier relatives à l’entrée dans la profession et à l’exercice du métier.
  • Dans certains cas, les mobilisations des professionnels ont ainsi participé à reréguler des secteurs dérégulés par l’arrivée des plateformes.
  • Loin de s’opposer systématiquement, professionnels établis et travailleurs des plateformes en viennent parfois à mener des luttes communes.
  • Ce fut le cas des taxis et des chauffeurs VTC, une fois ces derniers organisés collectivement.
  • xamen commun pour les deux professions.
  • arifs régulés collectivement.
  • débat juridique est actuellement ouvert quant au statut des travailleurs des plateformes.
  • Des décisions ont été rendues dans de nombreux pays, qui stipulent la subordination des chauffeurs, et en ordonnent donc la salarisation.
  • 2015
  • Californie
  • en raison notamment des modalités de rémunération, de contrôle et de sanction des chauffeurs
  • 2016
  • ribunal du travail de Londres estimait que les chauffeurs étaient en réalité des workers et non des self-employed.
  • France
  • demandes de requalification aux prud’hommes
  • procès de deux dirigeants d’Uber au tribunal correctionnel de Paris entre 2015 et 2016
  • plainte déposée par l’Urssaf de Paris contre Uber au Tribunal des affaires sociales et auprès du procureur de la République
  • décisions politiques de régulation
  • oi Thévénoud en octobre 201415, l’interdiction du service UberPop (assuré par des particuliers) en 2015, ou la mise en place récente de la loi Grandguillaume qui renforce les barrières à l’entrée de la profession
  • niveau européen
  • décembre 2017 la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a estimé qu’Uber exerçait une activité de transport, et n’était pas seulement une entreprise de technologie, autorisant alors les pays de l’Union à interdire l’exercice illégal d’une activité de transport comme UberPop sans en avertir Bruxelles au préalable
  • étendre la protection sociale au-delà des formes d’emploi stables
  • tatut de l’activité et, par conséquent, l’accès aux droits sociaux.
  • ntégration des travailleurs des plateformes dans l’ordre salarial
  • création d’un statut intermédiaire
  • lissement du concept de salarié à celui d’actif.
  • Notons à ce propos l’orientation libérale du gouvernement français, à travers le tout récent amendement au projet de loi « Parcours professionnel ». Si celui-ci ouvre la possibilité pour les plateformes de signer une « charte sociale » avec leurs travailleurs, le texte stipule et rigidifie de facto le statut d’indépendant des travailleurs, qui ne pourront plus dès lors demander leur requalification en tant que salariés.
  • D’une part, l’entreprise délègue les investissements et la prise de risque aux travailleurs, tout en déléguant l’évaluation du travail aux consommateurs. D’autre part, elle se désengage de toutes les responsabilités associées à la fonction employeur (paiement des cotisations sociales, procédures de recrutement et de licenciement, etc.).
  • repenser un rapport salarial habituellement défini par un échange protection-subordination.
juliebaudrillard

Dernières nouvelles de Planet Labor - 0 views

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    Deux infos intéressantes : L'Ontario va lancer une réforme de la législation du travail. Les recommandations du rapport préalable préconise l'extension des droits aux "contractants dépendants" et que soit permise la négociation collective pour les franchisés d'un franchiseur. La CJUE a été saisie d'une action intentée contre Uber par une association de taxis barcelonais. L'avocat général, dans ses conclusions, s'appuie sur les relations entre les chauffeurs et la plateforme pour qualifier Uber d'entreprise de transport, et non comme simple intermédiaire entre les chauffeurs et les passagers. Les syndicats saluent ces conclusions, et espèrent que les chauffeurs seront reconnus comme salariés.
juliebaudrillard

Les livreurs à vélo de Deliveroo organisent leur colère - La cgt - 0 views

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    "Le CDI n'est pas la revendication phare de ces jeunes travailleurs qui réclament avant tout des droits et des garanties. En ce sens le Nouveau Statut du Travail Salarié que propose la CGT a particulièrement séduit les créateurs du syndicat CGT de Bordeaux. Ce statut doit permettre à chaque salarié, de la sortie du système scolaire à la fin de sa carrière professionnelle, de disposer d'un certain nombre de droits cumulatifs et progressifs, transférables d'une entreprise à l'autre, d'une branche à l'autre, opposables à tout employeur."
Christophe Gauthier

Les travailleurs ubérisés commencent à s'organiser face à « l'économie des petits boulots » et à sa précarité - Basta ! - 1 views

  • Michelle Miller, co-fondatrice de CoWorker, une plateforme pour les travailleurs qui cherchent à lancer des campagnes de revendication. Les usagers types de CoWorker sont des employés de grandes entreprises ou de chaînes qui, comme les turkers, sont isolés à la fois de leurs employeurs et les uns des autres. Ils ne sont généralement pas syndiqués. Et même lorsqu’ils disposent de syndicats, ils ne peuvent pas mener toutes les batailles
  • Turkopticon se veut une réponse à ce problème. Le service, mis en place par Lilly Irania, professeure assistante à l’université de Californie à San Diego, et Six Silberman, un chercheur et développeur, permet collectivement aux turkers de suivre à la trace les demandeurs. Parfaitement articulée à l’interface de MTurk, elle permet aux travailleurs de savoir si leurs pairs ont signalé un demandeur ayant rejeté un travail valide. Les turkers peuvent ainsi créer un frein à leur propre précarité : le déni de salaire et les abus à leur égard ne restent pas sans conséquences. Ils agissent sans passer par les propriétaires de la plateforme, et sans attendre que les autorités décident d’intervenir. Avec Turkopticon, beaucoup de turkers ont réalisé leur capacité à se défendre.
  • « Dynamo est un lieu pour se réunir », explique Kristy Milland. Cet autre forum permet aux turkers de choisir des actions à mener collectivement. J’ai rencontré Niloufar Salehi, la cheville ouvrière de Dynamo. C’est une étudiante en troisième année de thèse d’informatique à l’université de Stanford. Au cœur de la Silicon Valley, au milieu de ses pairs qui développent les algorithmes permettant de faire fonctionner les plateformes de services générant la précarité, Niloufar Salehi cultive sa singularité. Pour elle, traiter les personnes comme des algorithmes étouffe la plus grande part de notre humanité. Niloufar Salehi a visité des forums de turkers pour comprendre leurs besoins. Les propositions d’action de Dynamo sont ainsi limitées à un seul message de la longueur d’un « tweet », et la participation peut se limiter à un simple vote, pour ou contre.
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    ressources travaillant à rééquilibrer l'AMZN Mech Turk
juliebaudrillard

https://www.cfdt.fr/upload/docs/application/pdf/2017-01/mode_demploi_plateforme_participative_-sh3578_-pour_imprimante_2017-01-25_15-07-22_95.pdf - 2 views

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    Mise en place d'une plateforme numérique participative par la CFDT, pour recueillir en amont les avis et propositions des militants, qui pourront également voter sur les propositions de la centrale.
guillaume_heintz

Trade unions, digitalisation and the self-employed - inclusion or exclusion? - 0 views

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    "The aim of this contribution is to encourage unions to stop thinking in their historical box and to do more than just spotlight shortcomings and call for political action. It calls on them to set up their own alternative union structures for the self-employed and crowdworkers, and to enter into a dialogue with these 'new' workers."
juliebaudrillard

CFDT - [Vidéo] VTC : L'urgence d'une prise de conscience citoyenne - 2 views

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    La CFDT VTC-Loti, devant le refus d'Uber d'augmenter ses tarifs, appelle les usagers de l'application au boycott, et lance une campagne sur le thème "Un travail décent pour tous les chauffeurs".
juliebaudrillard

The Freelance Contract Gives Gig Workers Fair Working Terms - Shareable - 1 views

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    Freelancers Union et AND CO viennent de mettre en place un "contrat de freelance" standard pour permettre aux freelance et à leur client de bâtir des relations solides et justes, notamment en termes de copyright et de paiement.
juliebaudrillard

Affirmer de nouveaux droits pour les télétravailleurs : une nécessité - Force Ouvrière - 0 views

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    En l'absence de négociation interprofessionnelle sur le télétravail, Force ouvrière va adresser un guide pratique à ses représentants sur le sujet.
juliebaudrillard

Travailleurs individualisés, précarisés ou isolés : quelles coopérations ? quels collectifs ? - GESTES | GESTES - 0 views

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    Colloque sur le thème ; "Travailleurs individualisés, précarisés ou isolés : quelles coopérations ? quels collectifs", le 22 et 23 juin à la MSH Paris Nord.
juliebaudrillard

European Trade Union Institute (ETUI) - Rebuilding trade union power in the age of austerity / News / Home - 0 views

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    Un séminaire "Labour Market: Trends, Power, Actors" a eu lieu à Lisbonne le 7 juin, pour discuter de l'avenir des relations de travail en Europe.
juliebaudrillard

La numérisation du monde du travail, un sujet qui fait peur - Force Ouvrière - 1 views

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    Interview de Serge Legagnia, secrétaire général de le FEC-FO, sur les conséquences de la digitalisation de l'économie et l'IA sur l'emploi et le travail, et la nécessité d'instaurer un dialogue sur cette question.
juliebaudrillard

Comment utiliser la transformation numérique pour changer le travail ? - La cgt - 2 views

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    "L'Ugict-CGT met à disposition des équipes syndicales un nouveau Guide pour promouvoir transformation numérique et qualité de vie au travail."
juliebaudrillard

Questionnement sur le Numérique : pistes de réflexion pour une appropriation syndicale des enjeux - La cgt - 2 views

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    Document qui pose la réflexion de la CGT sur le numérique, et sur la réappropriation syndicale de ses enjeux.
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https://www.metallurgie-cfecgc.com/sites/default/files/ckeditor_files/14_fiche_numerique_ex_tic_mai_2015.pdf - 0 views

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    Pour mieux anticiper la révolution numérique, la Fédération Métallurgie de la CFE-CGC souhaite, entre autres, favoriser l'investissement (sécurisation des investisseurs, R&D, infrastructures...), l'éducation (formation des acteurs), et encourager les initiatives favorisant les échanges sur l'innovation. Par ailleurs, elle compte engager des discussions en vue de la conclusion d'accords de responsabilité sociale des entreprises.
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