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hubert guillaud

Que signifient les poussées tarifaires d'Uber ? - NYTimes.com - 1 views

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    Annie Lowreyjan revient sur les poussées tarifaires d'Uber, la société de taxi nouvelle génération. Pour un même trajet, la veille du jour de l'an, un taxi normal coûtait 13$ (pourboire compris), quand un voyage avec Uber était proposé à 47 dollars. Le même service. La même quantité de temps. Le même voyage. Et pourtant un différentiel de 3,5 fois le prix. Face aux critiques sur ces poussées tarifaires au moment où les gens font le plus appel à ses services, Uber s'est montré clair, voire cynique : si vous ne voulez pas payer le prix, ne nous utilisez pas. En ayant accès à des données en temps réel sur la demande et l'offre ce qui lui permet d'adapter en permanence ses tarifs. Uber est haut de gamme et coûte généralement environ 50% de plus que la concurrence locale. Les voitures sont commandées en 15 minutes, vous payez via votre application et Uber garde 20% du prix de la course pour lui. Lors de la tempête ou des fêtes de fin d'années, nombreux sont ceux qui ont râlé sur les prix pratiqués par Uber. Mais c'est le logiciel qui est programmé ainsi, explique le patron d'Uber. La hausse des prix reflète l'état de la demande et de la disponibilité de celles-ci. Pour Kalanick, la tarification algorithmique bénéficie aux passagers : ils payent plus mais n'attendent pas. Les tarifs des taxis eux sont régulés pour protéger les consommateurs, qu'importe si c'est parfois au détriment du service et du temps d'attente. L'algorithme de Uber tente de maximiser le nombre de voyages, pas les revenus des chauffeurs. Reste que l'opacité de la tarification dynamique, du point de vue du client génère forcément de la frustration et du mécontentement. Uber fini par prendre un risque avec un tel algorithme qui génère de la grogne, et pourrait s'aliéner des clients à long terme. "L'efficacité du marché n'est pas toujours la même chose que le bénéfice des consommateurs". Il existe désormais des formes sournoises de discrimination p
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    Annie Lowreyjan revient sur les poussées tarifaires d'Uber, la société de taxi nouvelle génération. Pour un même trajet, la veille du jour de l'an, un taxi normal coûtait 13$ (pourboire compris), quand un voyage avec Uber était proposé à 47 dollars. Le même service. La même quantité de temps. Le même voyage. Et pourtant un différentiel de 3,5 fois le prix. Face aux critiques sur ces poussées tarifaires au moment où les gens font le plus appel à ses services, Uber s'est montré clair, voire cynique : si vous ne voulez pas payer le prix, ne nous utilisez pas. En ayant accès à des données en temps réel sur la demande et l'offre ce qui lui permet d'adapter en permanence ses tarifs. Uber est haut de gamme et coûte généralement environ 50% de plus que la concurrence locale. Les voitures sont commandées en 15 minutes, vous payez via votre application et Uber garde 20% du prix de la course pour lui. Lors de la tempête ou des fêtes de fin d'années, nombreux sont ceux qui ont râlé sur les prix pratiqués par Uber. Mais c'est le logiciel qui est programmé ainsi, explique le patron d'Uber. La hausse des prix reflète l'état de la demande et de la disponibilité de celles-ci. Pour Kalanick, la tarification algorithmique bénéficie aux passagers : ils payent plus mais n'attendent pas. Les tarifs des taxis eux sont régulés pour protéger les consommateurs, qu'importe si c'est parfois au détriment du service et du temps d'attente. L'algorithme de Uber tente de maximiser le nombre de voyages, pas les revenus des chauffeurs. Reste que l'opacité de la tarification dynamique, du point de vue du client génère forcément de la frustration et du mécontentement. Uber fini par prendre un risque avec un tel algorithme qui génère de la grogne, et pourrait s'aliéner des clients à long terme. "L'efficacité du marché n'est pas toujours la même chose que le bénéfice des consommateurs". Il existe désormais des formes sournoises de discrimination p
abrugiere

Silke HELFRICH : pour une société des communs - Millenaire3 - 2 views

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    La reconnaissance et la préservation de ce monde commun qui fonde la vie en société (le vivant, les ressources naturelles ou encore le patrimoine immatériel de l'humanité) est au cœur de la réflexion et de l'engagement de SilkeHelfrich. Prenant acte des difficultés rencontrées par le marché et le politique pour apporter de véritables réponses à l'enjeu des communs, elle a pris le parti d'explorer, de partager et de promouvoir les solutions développées par les communautés locales elles-mêmes. Reposant sur une attention et une implication de chacun, ces initiatives témoignent de la capacité de ces communautés à se donner des normes et des règles, et parviennent non seulement à protéger durablement leurs ressources mais également à renforcer les liens sociaux qui les animent. Pour SilkeHelfrich, chacun est appelé à prendre conscience de ses responsabilités en tant que copossesseur des « choses qui nous sont communes », afin d'en tirer davantage de liberté et de communauté.
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    Le terme « communs » décrit les relations particulières qui se nouent entre des ressources d'usage commun (ou biens communs) et un groupe d'individus, la communauté. Ces relations particulières ne sont pas des relations de propriété mais plutôt de possession collective et de responsabilité. Ce dont il est question n'est pas l'eau, l'atmosphère, ou les connaissances partagées sur Wikipédia, mais plutôt des humains, de leurs relations sociales et des décisions qu'ils prennent par rapport à ces bien partagés.  Le processus des communs est un processus réflexif qui fait qu'un individu qui s'engage dans la communauté contribue à transformer le monde mais se transforme lui-même en même temps. Et pour faciliter cette bascule d'une société de l'argent à une société des liens, la logique des communs est particulièrement intéressante. Plutôt que de se focaliser sur « de quoi avons-nous besoin ? », nous devrions nous demander « qu'est-ce que nous avons ? », « sur quoi pouvons-nous compter ? », et surtout « quelles ressources pouvons-nous mettre en commun ? ». En effet, c'est en mettant nos ressources en commun que nous pouvons produire de la nourriture, se loger et résoudre toutes sortes de problèmes auxquels nous sommes confrontés. Cette logique de mise en commun de ressources nous permet aussi de reprendre confiance en nous et du coup de se sentir capable de se prendre en main et gérer ces ressources ensembles.
abrugiere

The Rise of Anti-Capitalism - NYTimes.com - 3 views

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    Article de J Rifkin  vrai paradoxe du capitalisme : la dynamique de compétitivité des marchés qui tend à réduire toujours plus les coûts, associée à une révolution technologique, est en train de produire des biens et des services en abondance : à coût nul ou marginal.  Aujourd'hui, avec l'internet des objets, cela va s'étendre à l'économie entière. L'internet des objets, c'est en 2020, 50 bilions de capteurs connectés.  rattachés à des ressources naturelles, des lignes de production, des smart gris, des réseaux de logistiques, dans les maison, les bureaux, les magasins...  Les individus pourront connecter leur réseau et exploiter les données par des big data, des algorithmes, et par là accélérer l'efficience des objets, des réseaux, et donc diminuer toujours plus les coûts d'utilisation. Cisco prévoit que vers 2022 les gains de productivité du secteur privé engendrés par l'internet des objets excédera les 14 trillion de dollars.  La question est de donc de savoir ce que deviendra l' économie quand des millions d'individus pourront produire et partager des biens et des services gratuitement ?  L'internet des objets est une plateforme en train de changer la donne, car capable de faire émerger des biens communs collaboratifs à côté du marché capitaliste.  L'enjeu = partager l'accès plutôt que privatiser la propriété
abrugiere

Altercarto.fr - Blog - 0 views

  • définition des biens communs et de son rapport à la question de la propriété intellectuelle
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     les formes dominantes actuelles de propriété et de rapport à la production ont une histoire courte à l'aune de l'ensemble de l'histoire humaine. Ce qui apparaît comme la seule modalité de propriété et de modes de production, actuellement, ne serait donc qu'une modalité dans l'histoire humaine, et non la seule possibilité de fonctionner. L'opensource a ouvert un champ très large de biens communs dans le domaine du software, en biologie, l'approche des biens communs ouvre également à de nouvelles formes de production et de nouvelles approches des enjeux (en lien avec les questions de souveraineté naturelle notamment). dans la théorie capitaliste, un bien s'use, et voit ainsi sa valeur baisser dans le temps. A l'inverse, une création intellectuelle voit sa valeur croître dans le temps. Plus on l'utilise, plus cette création a de la valeur. Plus qu'une création, c'est une source continue de contributions. l'Opendata comme bien commun culturel, élément fondamental pour la construction au sein de la société civile d'une capacité d'interprétation des données statistiques publiques, de leur usage et de leur mobilisation dans des discussions et des critiques des politiques publiques. L'enjeu est ici d'obtenir la mise en délibération des données et conclusions qui en sont tirées par les experts ou les gouvernants, qui se traduisent par des politiques publiques envers la population. Il s'agit donc bien de construire une capacité à demander le droit à la délibération sur les bases qui fondent les politiques publiques.
pierremallet

Quelles stratégies de développement pour l'économie circulaire ? - - L'Hubser... - 0 views

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    "Hub : Pourquoi cette approche masquée ?   FJSA : Parce que quand on parlait d'économie circulaire et que l'on essayait tout de suite de partager le concept avec notre interlocuteur, il y avait beaucoup d'incompréhensions et cela nous empêchait soit de travailler, soit nous ne pouvions garantir un retour rapide sur investissement. Dans les deux cas, notre démarche était déceptive. Comme pour le covoiturage, il y a un effet seuil pour qu'un tel système fonctionne. Si l'on est dix sur la plateforme, il ne se passe pas grand-chose. Dans les premiers temps on demandait beaucoup de temps à l'entreprise pour discuter avec elle, observer ses flux, faire une comptabilité de ses coûts produits, nous abordions plein de sujets, sans l'assurance d'une réponse à court terme.  "
  • ...2 more comments...
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    "Hub : Une démarche comme la vôtre serait-elle automatisable et partageable entre d'autres acteurs ? FJSA : Oui nous avons développé un logiciel à ces fins et plus particulièrement pour capitaliser la donnée, la géolocaliser et la rendre « parlante ». Cet outil, est une application de gestion des flux, permettant l'échange et la mutualisation de matière, d'énergie, d'eau et de services entre entreprises d'un territoire dans une perspective d'économie circulaire. Conçu pour potentialiser l'action d'un conseiller de terrain, il lui fournit les moyens de construire au fur et à mesure de son travail une cartographie du métabolisme de son territoire d'action. Cette cartographie fait ainsi apparaître les liens pouvant être tissés entre les acteurs économiques existants et les chaînons manquants dans les chaînes de valeurs du territoire."
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    "Nous avons mis l'outil de production d'échange en second niveau de nos relations mais cette démarche est maintenant ventilée dans la mission de tous les collaborateurs de la CCI. Ce temps de collecte d'information est partagé et génère des pratiques plus mutualisées entre les collaborateurs. Plus que de viser un résultat court terme, nous construisons maintenant, avec cet outil, une solution d'intelligence partagée."
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    "Ce produit nous a appris la transversalité et nous en mesurons l'intérêt. La multiplication des regards sur nos actions nous permet, sur le terrain, d'être beaucoup plus performants. Personnellement, je m'autorise aujourd'hui à travailler sur des questions de co-investissement, de partage de salariés, sujets bien loin de ma spécialité, mais jugée essentielle auprès des entrepreneurs. Les premiers à avoir créer de la synergie, c'est nous même."
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    "Retenir les données donne un certain pouvoir à court terme mais à moyen / long terme cela va à l'encontre de l'effort de la dynamique de transversalité et d'échange que nous visons. Notre légitimité c'est notre capacité à analyser les données, à les partager, à animer ce réseau d'acteurs qui participe à l'alimentation de l'outil. Cette approche de médiation territoriale est dans le sens de l'histoire."
julien camacho

Le mirage de l'offre "légale" et ce qu'il nous coûte | :: S.I.Lex :: - 1 views

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    Posséder, ce n'est pas dépassé pour tout le monde. A la veille de la remise du rapport de la mission Lescure, dont on attend aucune proposition nouvelle, il peut être instructif de consulter en premier lieu un autre rapport, celui de la mission d'emploi dans les milieux artistiques, qui critique assez vivement le concept "d'offre légale". L'idée d'une licence globale est rejetée en bloc par la mission Lescure au prétexte qu'elle ne saurait permettre de rémunérer la création, et qu'elle s'assimilerait par conséquent à de la gratuité. L'auteur de l'article nous montre que les formules d'abonnements illimités qui sont proposées par certains acteurs du numériques s'y apparentent déjà, mais se retrouvent dans un contexte de quasi-monopole vertical qui peut prêter aux dérives sur l'utilisation des données personnelles par exemple. Par ailleurs, il existe des propositions probantes, tel le modèle de la contribution créative ou celui d'une licence globale "publique" et non plus "déguisée", qui sont pour l'instant évincées des débats. Sous couvert de maintenir la rémunération des artistes, on entretient un état de dépendance de la création vis à vis des diffuseurs et des distributeurs.
hubert guillaud

Le piège de la consommation collaborative - Medium - 0 views

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    Le piège de la consommation collaborative : que se passera-t-il quand nous partagerons tous nos vêtements pour de revenus tout juste suffisants ? Le risque de dépendance de ces services et plateformes pour un revenu tout juste suffisant, une des principales tensions de la consommation collaborative?
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    Qu'advient-il de notre sécurité financière quand nous louons nos canapés, nos voitures ou nos maisons ? interroge Mark Egerman. Dans "Le piège du double revenu", Elizabeth Warren et Amelia Tyagi, décrivent comment les familles de la classe moyenne deviennent plus vulnérables financièrement quand les deux parents travaillent. Certes, ils ont plus de revenus, mais ils demeurent en concurrence sur les mêmes ressources limitées (maisons, garde des enfants...) ce qui fait monter les prix, les coûts jusqu'à finir par consommer le revenu supplémentaire généré. Au final les familles avec deux revenus avec moins de revenus de garde dans les années 2000, que les familles où un seul parent travaillait dans les années 70. Enfin, les familles où un seul parent travaillait avaient un filet de sécurité possible. N'est-ce pas ce qui risque de se passer avec l'économie collaborative ? Certaines personnes ne peuvent payer leur loyer si elle ne loue pas un canapé chez elles. Les gens qui en sont à louer les vêtements de leurs placards ne sont pas dans une position de négociation. Est-ce que l'économie du partage est vraiment un avantage, à terme ?
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    Qu'advient-il de notre sécurité financière quand nous louons nos canapés, nos voitures ou nos maisons ? interroge Mark Egerman. Dans "Le piège du double revenu", Elizabeth Warren et Amelia Tyagi, décrivent comment les familles de la classe moyenne deviennent plus vulnérables financièrement quand les deux parents travaillent. Certes, ils ont plus de revenus, mais ils demeurent en concurrence sur les mêmes ressources limitées (maisons, garde des enfants...) ce qui fait monter les prix, les coûts jusqu'à finir par consommer le revenu supplémentaire généré. Au final les familles avec deux revenus avec moins de revenus de garde dans les années 2000, que les familles où un seul parent travaillait dans les années 70. Enfin, les familles où un seul parent travaillait avaient un filet de sécurité possible. N'est-ce pas ce qui risque de se passer avec l'économie collaborative ? Certaines personnes ne peuvent payer leur loyer si elle ne loue pas un canapé chez elles. Les gens qui en sont à louer les vêtements de leurs placards ne sont pas dans une position de négociation. Est-ce que l'économie du partage est vraiment un avantage, à terme ?
pierremallet

Economie collaborative : entre promesses d'avenir et fragilisation des modèle... - 0 views

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    "La quatrième promesse de l'économie collaborative est celle de la résilience du territoire. Dans sa capacité transformative, le collaboratif reprend la notion de circuit court et d'adaptation aux ressources locales. L'effet d'échelle qui justifiait l'uniformisation des produits et services est en partie remplacé par le jugaad, un bricolage "modeste et génial" dirait D.Mermet... Et connecté par la galaxie Internet au milliard de sites où trouver le système D qui lui manque. Dans un territoire frappé par le manque d'emploi, d'argent, de ressources, le collaboratif entend faire baisser le coût de la vie local et favoriser le vivre ensemble par la solidarité, la minga comme disent en quechua les expérimentateurs andins. C'est aussi cela l'économie collaborative, les concepts qui s'assemblent dans un globish dont la langue-origine n'est plus seulement l'anglais.   Résistance d'une communauté locale face à un malheur inéluctable, réappropriation des ressources et des moyens, construction de réseaux d'échanges mondiaux, de Séoul à Barcelone, de Naples à Nairobi, les sharing cities affichent un dynamisme opposé au fatalisme de l'austérité proposé par les Etats-nations. Alors oui, par angélisme ou par cynisme, l'économie collaborative détruit des emplois, fragilise les modèles économiques et industriels du copyright et du brevet. Dans le même temps, c'est une proposition radicalement nouvelle pour de nombreux territoires de la Catalogne au Nord Pas-de-Calais."
Aurialie Jublin

[Dossier] Le barter, nouvel enjeu de l'économie collaborative entre professio... - 2 views

  • Version moderne du ‘troc” dépoussiéré et remis au goût du jour par des plateforme online type réseaux sociaux BtoB, ce mode de commerce peu connu et pratiqué en hexagone à l’instar des pays anglosaxons n’en est pas moins efficace dans le contexte économique actuel… Il permet aux entreprises d’utiliser leurs actifs inutilisés, leurs stocks ou capacités disponibles comme mode de paiement.
  • Le Barter a pour vocation de rester un mode de commerce alternatif qui arrive en complément des rapports commerciaux classiques permettant des rentrées d’argent pour financer les postes de dépenses difficilement échangeables (principalement loyers et salaires) dans l’entreprise. Une des règles aux USA et Canada, pays dans lesquels les échanges se comptabilisent en milliards chaque année entre les acteurs économiques, est de dire qu’une entreprise ne doit pas dépasser 20% de son CA en Barter. En France, l’échange est voué à jouer un rôle de plus en plus important car il soulage les entreprises sur des besoins ponctuels (séminaires, mobilier de bureau ou matériel informatique, cabinet de recrutement, appli mobile ) comme structurels (expertise comptable, publicité, transport, nettoyage… ) tout en permettant à celles-ci la conquête de nouveaux clients.
    • Aurialie Jublin
       
      Les 8 règles d'or des échanges interentreprises :  - adopter un esprit coopératif - analyser ses besoins autant que ses offres - échanger à titre complémentaire et non principal - ne pas devenir dépendant des échanges pour le processus de création de valeur de l'entreprise - éviter de créer sa propre concurrence - préserver les actifs stratégiques - compenser pour revenir à l'équilibre rapidement - échanger au bon prix
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    "Créée en 2010, b2b EN-TRADE, est la 1ère Bourse aux échanges inter-entreprises online avec aujourd'hui plus de 1800 entreprises référencées de manière confidentielle et qui publient leurs offres (geolocalisées) et leurs besoins. Des algorithmes de "matching" et un service de courtage assurent les mises en relation et leurs suivis."
hubert guillaud

Arrêtons avec l'«économie du partage» | Slate.fr - 4 views

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    Bien que j'aime beaucoup des entreprises qui tombent sous cette appellation, je suis de plus en plus agacé par le terme d' «économie du partage» [«sharing economy» ], qui est utilisé comme raccourci pour catégoriser un éventail assez divers d'entreprises, dont pratiquement aucune n'implique sérieusement le partage. Dans ces circonstances, j'ai été heureux de voir la présentation de Rachel Botsman sur le fait que l'économie du partage manque d'une définition partagée , dans laquelle elle tente de sauver le concept en adoptant une typologie plus fine.
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    L'économie du partage manque d'une définition partagée, expliquait déjà Rachel Botsman, en tantant de préciser la définition : http://www.fastcoexist.com/3022028/the-sharing-economy-lacks-a-shared-definition . Pour Matthew Yglesias, cela ne sert à rien. On ne devrait pas parler d'une économie de partage, quand, pour l'essentiel, elle propose surtout des location de court-terme ou de la vente ou de la location de biens usagés. "Mon voisin et moi partageons une pelle à neige parce que nous partageons des escaliers qui doivent être déblayés quand il neige, et nous partageons la responsabilité du travail à faire. Si j'étais propriétaire des escaliers et que je lui facturais une petite somme à chaque fois qu'il entre ou sort de la maison, ce serait l'inverse du partage."
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    L'économie du partage manque d'une définition partagée, expliquait déjà Rachel Botsman, en tantant de préciser la définition : http://www.fastcoexist.com/3022028/the-sharing-economy-lacks-a-shared-definition . Pour Matthew Yglesias, cela ne sert à rien. On ne devrait pas parler d'une économie de partage, quand, pour l'essentiel, elle propose surtout des location de court-terme ou de la vente ou de la location de biens usagés. "Mon voisin et moi partageons une pelle à neige parce que nous partageons des escaliers qui doivent être déblayés quand il neige, et nous partageons la responsabilité du travail à faire. Si j'étais propriétaire des escaliers et que je lui facturais une petite somme à chaque fois qu'il entre ou sort de la maison, ce serait l'inverse du partage."
hubert guillaud

Drôle de monnaies, une ethnographie des monnaies locales - Ethnography Matters - 3 views

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    L'ethnographe Mario Campana s'est intéressé aux monnaies complémentaires, et notamment à celle de Brixton en Grande-Bretagne. Si la plupart des travaux mettent en avant l'impact positif de ces systèmes sur la communauté locale (favorisant la résilience, la cohésion sociale...), le chercheur pointe les différences de perception de cette monnaie. Alors que les émetteurs, les initiateurs de cette monnaie la voit avec une forte composante idéologique, les utilisateurs sont plus pragmatiques. Ceux-ci sont surtout de jeunes professionnels de la classe moyenne bien éduqués et disposant de bons revenus et l'utilisent pour son côté pratique et économique (la monnaie de Brixton est disponible au format électronique et payer avec permet d'avoir une réduction de 10%), donc assez hédoniste. Quant aux entreprises qui acceptent cette monnaie, on se rend compte qu'elle marche mieux dans les pubs et restaurants que pour acheter de la viande ou des légumes locaux, mais montre un certain engagement idéologique avec les créateurs. Enfin, la plupart de la communauté locale rejette cette monnaie considérée comme un gadget qui appartient à la nouvelle communauté gentrifiée de Brixton. Pour Campana, la monnaie locale reproduit un discours de pouvoir local.
marinealbarede

Why Airbnb wants you to know how much its users are spending - Washington Post - 2 views

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    La plupart des startups ne sont pas autant préoccupées qu'AirBnb a montrer ses résultats : des utilisateurs qui restent deux fois plus longtemps que des touristes normaux et qui dépensent 300$ de plus en moyenne par voyage... Parce que les startups de l'économie collaborative doivent montrer qu'elles favorisent la consommation et l'activité économique pour justifier leur place dans le bouleversement qu'elles instaurent et limiter les effets de la réglementation qui les menace. Pour répondre à la critique que les locations d'AirBnb auraient un impact à la hausse sur les loyers, la startup a commandé une étude à Ken Rosen, président du Centre Fisher pour la recherche en économie urbaine de Berkeley. Pour Rosen, à San Francisco, le nombre de propriété offert à la location sur AirBnb est trop faible pour que le site ait un impact sur la hausse des loyers. Sans compter que 82% des offreurs de biens sur AirBnb partagent la maison qu'ils habitent.
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    Airbnb enquête auprès de ses usagers, afin de savoir combien ils dépensent lors d'un séjour... afin de démontrer comment les villes en bénéficient d'un point de vue économique. La startup en a même fait un véritable argument de promotion (comment ses utilisateurs consomment plus, consomment différemment, comment les retombées économiques se font dans des quartiers moins touristiques que ceux concernés habituellement par l'hôtellerie, etc.)
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    Il existe déjà des formes de coopération dans le vieux monde. Les impôts, les taxes, les aides, notamment les aides au logement en France. Prenons un exemple: le coût élevé du logement social (loyer modéré, ou programmes types Duflot), en particulier dans Paris, est un effort positif auquel consent la société pour permettre de réduire la charge incombant au bénéficiaire à la partie congrue. Cet effort sera complètement dévoyé lorqu'il serva à démultiplier la rentabilité d'une location de ce logement en chambre d'hôte. Hors qu'est ce qui empêche fondamentalement que le marché ne se développe dans ce sens, dans une ville touristique où nombre de logement à faible loyer sont indiscernables de logement classiques en terme de standing? Tout business qui va dans le sens d'une déconcentration et d'une collaboration de pair à pair comporte sans doute en lui une vertue. Mais la valeur d'une innovation ne peut pas se fonder uniquement sur la suppression pure et simple de mécanismes de régulation ou de redistribution sociale. Sans quoi la société s'y opposera, et malheureusement elle aura toute légitimité à le faire.
marinealbarede

Shared City - Medium - 1 views

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    AirBnb, par la voix de son fondateur Brian Chesky, vient d'annoncer Shared City, son initiative pour contribuer à une ville agréable à vivre, qui redevient elle-même plateforme de partage, qui recrée du lien, etc. Au-delà de ce manifeste, cette initiative s'incarne à travers des partenariats concrets avec des villes, dont la première est Portland. Quelles actions précise derrière ce premier partenariat ? Collecte de taxe reversée à la ville, facilitation de la sécurisation des appartements, préparation aux situations de crise et de catastrophes naturelles, rencontres diverses, encouragement de la philanthropie du côté des hôtes qui sont invités à reverser une part de leur revenu à des associations locales... En bref, un nouveau positionnement pour la startup qui faisait jusqu'alors face à des réactions plutôt défensives de la part des villes.
abrugiere

Qui sont les travailleurs de l'"Uber economy" ? - JDN - 0 views

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    Revenu à 18 dollars par heure aux Etats-Unis. Il est plus élevé dans le secteur du "revenu passif" (location sur Airbnb) et dans les transports (VTC) : 25 dollars en moyenne par heure. 38,3% des travailleurs de l'économie on-demand se disent étudiants tandis que 35,3% font des plateformes de services leur activité principale. Preuve de l'explosion du modèle, 62,6% des répondants ont rejoint une société de services à la demande pendant les douze derniers mois, contre 16,2% seulement il y a plus de trois ans. Les chercheurs ont demandé aux travailleurs d'indiquer dans quel secteur les sociétés de services à la demande pour lesquels ils travaillent se situent. Les "travaux manuels", comme les services de plomberie ou de ménage, par exemple, arrivent en tête. Suivent les sociétés de transports comme les VTC, puis la livraison, et enfin les plateformes qui permettent aux utilisateurs d'engranger un "revenu passivement", comme Airbnb en louant son appartement. 49,4% des travailleurs indépendants inscrits sur des plateformes sont titulaires d'un diplôme universitaire.- Selon l'étude menée par Requests for Startups, les travailleurs de l'économie à la demande sont plutôt des hommes (72,7%), jeunes (70% ont entre 18 et 34 ans), célibataires (65,7%). 
pierremallet

[Exclusif] Parkadom, une plate-forme de location de places de parking, lève 3... - 1 views

shared by pierremallet on 03 Nov 14 - No Cached
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    "Comment rentabiliser une place de parking vacante ponctuellement ? C'est à ce besoin que répond Parkadom, start-up parisienne fondée en 2012 par Alexandre Poisson et Benjamin Pozzi. Elle vient de boucler un tour de table pour un montant de 350 000 euros auprès d'investisseurs privés dont l'identité reste confidentielle. Le concept: une plate-forme de location d'emplacements de parking privés. A l'origine, il s'agissait uniquement de consommation collaborative entre particuliers. Grâce à ce tour de table, Parkadom entend étendre son activité aux locations de places de parking détenues par des entreprises. Le modèle économique est celui généralement observé concernant les places de marchés: une commission de 20% est prélevée sur chaque transaction. Alexandre Poisson précise: « Une dizaine de transactions sont réalisées chaque jour."
abrugiere

Économie circulaire : les nouveaux "business models" - 3 views

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    La forte croissance de la population et sa concentration dans les zones urbaines va entraîner une très forte augmentation de la demande en matières premières. L'accès aux ressources naturelles dont les réserves sont limitées va devenir de plus en plus difficile et concurrentiel Les industriels vont devoir adopter de nouveaux business models, des business models qui gèrent les ressources en boucle grâce à la réutilisation, à la réparation, à la refabrication ou au recyclage : les business models de l'économie circulaire (voir figure). Avec un schéma sur plusieurs modes d'économie circulaire :  - recyclage des matières 1e en boucle longue - recyclage des matières 1e en boucle courte - prolongement de la durée de vie des produits - mise en place des symbioses industrielles (écologie industrielle) - vente de l'usage d'un produit (économie de la fonctionnalité) - partage de l'utilisation d'un produit (économie collaborative)
pierremallet

Consommation collaborative : trois profils de clients se distinguent - 2 views

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    "Trois profils de consommateurs collaboratifs se distinguent. Les "contraints" (18%), qui connaissent de fortes contraintes budgétaires et qui "acceptent de rogner sur la qualité (achat d'occasion) ou la quantité de certains produits (ex : viande) afin d'acheter neuf sur d'autres secteurs (ex : habillement)". Les "utilisateurs" (19%), pour lesquels seul l'usage compte, "empruntent, louent et covoiturent"; ils considèrent la consommation comme un plaisir et "la consommation collaborative comme un moyen de l'assouvir économiquement tout en rencontrant des personnes". Une catégorie constituée en grande partie de "jeunes, de femmes et d'urbains, de classes moyennes +, et de hauts diplômés". Ils sont aussi décrits comme "plus engagés dans le tissu associatif". Enfin, les "redistributeurs" (10%) "qui achètent des produits neufs qu'ils revendent ou troquent selon les modes. On y trouve beaucoup d'hommes, de jeunes et de résidents de grandes villes"."
hubert guillaud

La montée de l'anti-capitalisme - NYTimes.com - 3 views

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    Nous commençons a assister à un paradoxe au coeur du capitalisme, estime Jeremy Rifkin, le dynamisme inhérent aux marchés concurrentiels fait que de nombreux biens et services parviennent à un coût si bas, qu'ils n'y sont plus soumis. Si les économistes ont toujours évoqué la réduction du coût marginal, ils n'ont jamais envisagé qu'une révolution technologique pourrait les faire tomber à zéro. Depuis Napster, le numérique est venu considérablement perturber les industries culturelles et s'attaque désormais à l'énergie, la fabrication, l'éducation... Le phénomène est sur le point d'affecter l'ensemble de l'économie estime Rifkin. Que se passera-t-il quand nous pourrons produire des biens et des services pour presque rien ? Les biens communs, la collaboration, l'accès, la participation de tous inaugure une nouvelle économie de partage et l'internet des objets est la plateforme qui permet au bien commun de se développer aux côté du marché capitaliste, estime Rifkin. De nombreux économistes estiment que le secteur sans but lucratif n'est pas une force économique autonome, mais un parasite. Reste qu'il est aujourd'hui un moteur puissant de nos économies et qu'il dessine un avenir pour le partage des biens communs mondiaux.
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    Le système capitaliste (à part dans le titre, il ne parle finalement pas de capital'isme') comme simple « aggrégateur de service »; j'avoue n'être pas sûre qu'il s'agisse, au premier degré, d'une prospective, ou bien d'un stratagème argumentaire destiné à neutraliser la dimension idéologique du sujet (exacerbée dans le titre). On retrouve souvent ce type de décentrement rhétorique chez Rifkin. Il joue avec habileté de sa double posture d'augure, volontiers sybillin, et de protagoniste actif, disposant d'une influence sur les hauts cercles de la décision. Je parle en simple lecteur, il y a sans doute bien plus spécialistes aux alentours!
marinealbarede

Le Monde - Les collectivités locales doivent soutenir l'économie collaborative - 1 views

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    "Si la crise est régulièrement commentée et analysée, les solutions peinent à émerger. Comme souvent, la théorie est en retard sur les usages. Pourtant, nous commençons à percevoir des tendances fortes, annonciatrices de nouvelles formes de réponses. Parmi celles-ci, il en est une qui nous semble plus particulièrement remarquable, impliquant des notions de partage et de confiance, de nouvelles manières d'appréhender nos façons de vivre, de consommer et de travailler, et qui répond aux attentes unanimes de plus en plus fortes d'un nouveau modèle économique, d'une « économie autrement »." La CUB et le Conseil Général de la Gironde ont récemment décidé de s'intéresser à cette économie, en lançant début juillet le premier forum de l'Economie collaborative en France.
julien camacho

Le supermarché collaboratif débarque à Paris - 2 views

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    L'expérience des magasins coopératifs new-yorkais et londoniens pourrait servir de modèle à la création prochaine d'une succursale associative francilienne. S'ils sont connus une recrudescence d'adhésions depuis les prémisses de la crise de 2008, ces initiatives existent depuis les années 70 sous leur forme actuelle, mais leur origine remonte à l'Angleterre du XIXème siècle, et aux conséquences de la paupérisation massive de la population dans l'industrie naissante (Robert Owen). En France aussi les premières associations ouvrières sont des associations de consommation...
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    ..La perspective de s'alimenter à moindre coût représente un élément de motivation fort dans la structuration de ces initiatives. Mais comme toute entreprise collective qui fonctionne sur le principe de libre adhésion (au sens coopératif d'adhésion motivée, voire passionnée), elles sont également portées et traversées par des représentations et des valeurs communes qui donnent un sens à l'action collective. On peut citer le réseau coopératif BIOCOOP comme exemple français éprouvé. Il est né à la sortie des années 70 de mouvements émergents de la société civile, porté par les premiers militant écologistes, et s'est déployé en une trentaine d'années sur l'échelle nationale. Aujourd'hui, nombreux sont les acteurs du monde militant agricole qui critiquent l'isomorphisme entre le réseau et les pratiques de la grande distribution. On peut émettre l'hypothèse que c'est en trouvant un modèle économique évacuant le bénévolat que BIOCOOP s'est progressivement éloignée de sa posture politique d'origine. Cela souligne aussi le flou juridique qui entoure les modèles d'entreprises coopératives qui fonctionnent sur les principes associatifs, ou inversement. Dans leur rapport au marché libre et concurrentiel, le législateur a échoué à proposer un statut clair dont les initiatives populaires puissent se saisir, en témoigne l'aménagement du statut coopératif le plus récent, la Société Coopérative d'Intérêt Collectif.
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