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Aurialie Jublin

L'économie collaborative ne partage que les restes - Influencia - 0 views

  • Ceci est le point culminant logique d’un processus qui a commencé il y a trente ans lorsque les entreprises ont commencé à sacrifier des emplois à temps plein pour des travailleurs temporaires, indépendants ou freelancers et consultants. C’était un moyen de déplacer les risques et inconnues sur le travailleur et une façon de contourner les lois du travail imposant des standards minimums de salaire, du nombre d’heures et des conditions de travail. Celles là mêmes qui permettent aux employés de se mettre ensemble pour négocier des salaires et bénéfices plus intéressants.
  • Les partisans de l’économie collaborative soulignent également que comme le travail à la demande continue de grandir, les travailleurs assemblent leur force pour acheter une assurance et d’autres bénéfices en groupe. Mais, clairement, ils ne se rassemblent pas pour négocier une part plus importante du revenu ou des horaires plus fixes. Cela s’appellerait un syndicat – quelque chose dont Uber, Amazon et les autres entreprises à la demandent ne veulent pas entendre parler.   Certains économistes font l’éloge du travail à la demande car c’est une façon plus efficace d’utiliser une force de travail. Mais le plus gros challenge économique auquel nous faisons face n’est pas l’efficacité. C’est la distribution du travail et une redistribution plus équitable de ses gains. Sur ce dernier sujet, l’économie de partage (des restes), sur certains points, nous renvoie encore bien en arrière...
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    "Et si l'économie collaborative en plus de ne pas profiter à tout le monde tuait le rêve du partage équitable et nous renvoyait à une époque où les droits et la protection des employés étaient inexistants ? La thèse de Robert Reich, l'ancien ministre du travail de Bill Clinton, méritait bien une traduction."
marinealbarede

The sharing economy must share the risks - FT.com - 0 views

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    Dans un contexte de transformations du travail, d'augmentation du nombre des indépendants ou du travail "à la tâche", les garantes sociales du XXe siècle, ne semblent plus totalement adaptées. Comment faire en sorte que les sociétés qui font travailler ces nouveaux indépendants (Uber, etc.) ne profitent pas de ces derniers en transférant sur eux toute la responsabilité, mais aussi les risques ? Comment la société peut-elle s'adapter à ces évolutions, en offrant de nouvelles formes de garanties ?
pierremallet

Quelles stratégies de développement pour l'économie circulaire ? - - L'Hubser... - 0 views

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    "Hub : Pourquoi cette approche masquée ?   FJSA : Parce que quand on parlait d'économie circulaire et que l'on essayait tout de suite de partager le concept avec notre interlocuteur, il y avait beaucoup d'incompréhensions et cela nous empêchait soit de travailler, soit nous ne pouvions garantir un retour rapide sur investissement. Dans les deux cas, notre démarche était déceptive. Comme pour le covoiturage, il y a un effet seuil pour qu'un tel système fonctionne. Si l'on est dix sur la plateforme, il ne se passe pas grand-chose. Dans les premiers temps on demandait beaucoup de temps à l'entreprise pour discuter avec elle, observer ses flux, faire une comptabilité de ses coûts produits, nous abordions plein de sujets, sans l'assurance d'une réponse à court terme.  "
  • ...2 more comments...
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    "Hub : Une démarche comme la vôtre serait-elle automatisable et partageable entre d'autres acteurs ? FJSA : Oui nous avons développé un logiciel à ces fins et plus particulièrement pour capitaliser la donnée, la géolocaliser et la rendre « parlante ». Cet outil, est une application de gestion des flux, permettant l'échange et la mutualisation de matière, d'énergie, d'eau et de services entre entreprises d'un territoire dans une perspective d'économie circulaire. Conçu pour potentialiser l'action d'un conseiller de terrain, il lui fournit les moyens de construire au fur et à mesure de son travail une cartographie du métabolisme de son territoire d'action. Cette cartographie fait ainsi apparaître les liens pouvant être tissés entre les acteurs économiques existants et les chaînons manquants dans les chaînes de valeurs du territoire."
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    "Nous avons mis l'outil de production d'échange en second niveau de nos relations mais cette démarche est maintenant ventilée dans la mission de tous les collaborateurs de la CCI. Ce temps de collecte d'information est partagé et génère des pratiques plus mutualisées entre les collaborateurs. Plus que de viser un résultat court terme, nous construisons maintenant, avec cet outil, une solution d'intelligence partagée."
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    "Ce produit nous a appris la transversalité et nous en mesurons l'intérêt. La multiplication des regards sur nos actions nous permet, sur le terrain, d'être beaucoup plus performants. Personnellement, je m'autorise aujourd'hui à travailler sur des questions de co-investissement, de partage de salariés, sujets bien loin de ma spécialité, mais jugée essentielle auprès des entrepreneurs. Les premiers à avoir créer de la synergie, c'est nous même."
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    "Retenir les données donne un certain pouvoir à court terme mais à moyen / long terme cela va à l'encontre de l'effort de la dynamique de transversalité et d'échange que nous visons. Notre légitimité c'est notre capacité à analyser les données, à les partager, à animer ce réseau d'acteurs qui participe à l'alimentation de l'outil. Cette approche de médiation territoriale est dans le sens de l'histoire."
Veronique Routin

Ne prenons pas (tous) les scouts numériques de l'économie collaborative pour ... - 3 views

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    Interrogation autour du partage, sharing dans économie collaborative : - s'appuie sur les utilisateurs : la multitude (Colln Verdier,) le travail du consommateur (Marie-Anne Dujarier), la pollinisation de l'économie (Yann Moulier-Boutang), - se fonde sur une désintermédiation là où ces sociétés via des plateformes sont de nouveaux intermédiaires - s'inspire du mode de travail open source -
pierremallet

Economie collaborative : entre promesses d'avenir et fragilisation des modèle... - 0 views

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    "La quatrième promesse de l'économie collaborative est celle de la résilience du territoire. Dans sa capacité transformative, le collaboratif reprend la notion de circuit court et d'adaptation aux ressources locales. L'effet d'échelle qui justifiait l'uniformisation des produits et services est en partie remplacé par le jugaad, un bricolage "modeste et génial" dirait D.Mermet... Et connecté par la galaxie Internet au milliard de sites où trouver le système D qui lui manque. Dans un territoire frappé par le manque d'emploi, d'argent, de ressources, le collaboratif entend faire baisser le coût de la vie local et favoriser le vivre ensemble par la solidarité, la minga comme disent en quechua les expérimentateurs andins. C'est aussi cela l'économie collaborative, les concepts qui s'assemblent dans un globish dont la langue-origine n'est plus seulement l'anglais.   Résistance d'une communauté locale face à un malheur inéluctable, réappropriation des ressources et des moyens, construction de réseaux d'échanges mondiaux, de Séoul à Barcelone, de Naples à Nairobi, les sharing cities affichent un dynamisme opposé au fatalisme de l'austérité proposé par les Etats-nations. Alors oui, par angélisme ou par cynisme, l'économie collaborative détruit des emplois, fragilise les modèles économiques et industriels du copyright et du brevet. Dans le même temps, c'est une proposition radicalement nouvelle pour de nombreux territoires de la Catalogne au Nord Pas-de-Calais."
hubert guillaud

Le piège de la consommation collaborative - Medium - 0 views

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    Le piège de la consommation collaborative : que se passera-t-il quand nous partagerons tous nos vêtements pour de revenus tout juste suffisants ? Le risque de dépendance de ces services et plateformes pour un revenu tout juste suffisant, une des principales tensions de la consommation collaborative?
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    Qu'advient-il de notre sécurité financière quand nous louons nos canapés, nos voitures ou nos maisons ? interroge Mark Egerman. Dans "Le piège du double revenu", Elizabeth Warren et Amelia Tyagi, décrivent comment les familles de la classe moyenne deviennent plus vulnérables financièrement quand les deux parents travaillent. Certes, ils ont plus de revenus, mais ils demeurent en concurrence sur les mêmes ressources limitées (maisons, garde des enfants...) ce qui fait monter les prix, les coûts jusqu'à finir par consommer le revenu supplémentaire généré. Au final les familles avec deux revenus avec moins de revenus de garde dans les années 2000, que les familles où un seul parent travaillait dans les années 70. Enfin, les familles où un seul parent travaillait avaient un filet de sécurité possible. N'est-ce pas ce qui risque de se passer avec l'économie collaborative ? Certaines personnes ne peuvent payer leur loyer si elle ne loue pas un canapé chez elles. Les gens qui en sont à louer les vêtements de leurs placards ne sont pas dans une position de négociation. Est-ce que l'économie du partage est vraiment un avantage, à terme ?
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    Qu'advient-il de notre sécurité financière quand nous louons nos canapés, nos voitures ou nos maisons ? interroge Mark Egerman. Dans "Le piège du double revenu", Elizabeth Warren et Amelia Tyagi, décrivent comment les familles de la classe moyenne deviennent plus vulnérables financièrement quand les deux parents travaillent. Certes, ils ont plus de revenus, mais ils demeurent en concurrence sur les mêmes ressources limitées (maisons, garde des enfants...) ce qui fait monter les prix, les coûts jusqu'à finir par consommer le revenu supplémentaire généré. Au final les familles avec deux revenus avec moins de revenus de garde dans les années 2000, que les familles où un seul parent travaillait dans les années 70. Enfin, les familles où un seul parent travaillait avaient un filet de sécurité possible. N'est-ce pas ce qui risque de se passer avec l'économie collaborative ? Certaines personnes ne peuvent payer leur loyer si elle ne loue pas un canapé chez elles. Les gens qui en sont à louer les vêtements de leurs placards ne sont pas dans une position de négociation. Est-ce que l'économie du partage est vraiment un avantage, à terme ?
Aurialie Jublin

Breather, Like Zipcar For Workspaces, Launches In NYC | Fast Company - 0 views

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    FIND A QUIET ROOM TO KICK BACK, RELAX, OR GET SOME WORK DONE WHEN YOU'RE OUT AND ABOUT.
marinealbarede

Les chauffeurs d'Uber râlent : la VTC, ce n'est plus ce que c'était - Le nouv... - 4 views

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    Les conducteurs de VTC d'Uber, l'un des leaders du marché des applications, sont la cible des critiques des des taxis ; mais certains chauffeurs de la société estiment désormais que leur sort n'est pas plus enviable. Ils affirment que leurs conditions de travail se sont dégradées.
hubert guillaud

Arrêtons avec l'«économie du partage» | Slate.fr - 4 views

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    Bien que j'aime beaucoup des entreprises qui tombent sous cette appellation, je suis de plus en plus agacé par le terme d' «économie du partage» [«sharing economy» ], qui est utilisé comme raccourci pour catégoriser un éventail assez divers d'entreprises, dont pratiquement aucune n'implique sérieusement le partage. Dans ces circonstances, j'ai été heureux de voir la présentation de Rachel Botsman sur le fait que l'économie du partage manque d'une définition partagée , dans laquelle elle tente de sauver le concept en adoptant une typologie plus fine.
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    L'économie du partage manque d'une définition partagée, expliquait déjà Rachel Botsman, en tantant de préciser la définition : http://www.fastcoexist.com/3022028/the-sharing-economy-lacks-a-shared-definition . Pour Matthew Yglesias, cela ne sert à rien. On ne devrait pas parler d'une économie de partage, quand, pour l'essentiel, elle propose surtout des location de court-terme ou de la vente ou de la location de biens usagés. "Mon voisin et moi partageons une pelle à neige parce que nous partageons des escaliers qui doivent être déblayés quand il neige, et nous partageons la responsabilité du travail à faire. Si j'étais propriétaire des escaliers et que je lui facturais une petite somme à chaque fois qu'il entre ou sort de la maison, ce serait l'inverse du partage."
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    L'économie du partage manque d'une définition partagée, expliquait déjà Rachel Botsman, en tantant de préciser la définition : http://www.fastcoexist.com/3022028/the-sharing-economy-lacks-a-shared-definition . Pour Matthew Yglesias, cela ne sert à rien. On ne devrait pas parler d'une économie de partage, quand, pour l'essentiel, elle propose surtout des location de court-terme ou de la vente ou de la location de biens usagés. "Mon voisin et moi partageons une pelle à neige parce que nous partageons des escaliers qui doivent être déblayés quand il neige, et nous partageons la responsabilité du travail à faire. Si j'étais propriétaire des escaliers et que je lui facturais une petite somme à chaque fois qu'il entre ou sort de la maison, ce serait l'inverse du partage."
marinealbarede

Peers - The new Peers: making the sharing economy work for... - 1 views

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    Un switch dans les termes employés ? On savait que Peers s'était engagé à soutenir l'économie du partage ; c'est désormais un soutien des "travailleurs de l'économie du partage" qui est affirmé, via de l'information, des outils, etc.. Peers ne parle plus d'activité, mais bien d'un nouveau type de travail.
marinealbarede

Le Monde - Les collectivités locales doivent soutenir l'économie collaborative - 1 views

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    "Si la crise est régulièrement commentée et analysée, les solutions peinent à émerger. Comme souvent, la théorie est en retard sur les usages. Pourtant, nous commençons à percevoir des tendances fortes, annonciatrices de nouvelles formes de réponses. Parmi celles-ci, il en est une qui nous semble plus particulièrement remarquable, impliquant des notions de partage et de confiance, de nouvelles manières d'appréhender nos façons de vivre, de consommer et de travailler, et qui répond aux attentes unanimes de plus en plus fortes d'un nouveau modèle économique, d'une « économie autrement »." La CUB et le Conseil Général de la Gironde ont récemment décidé de s'intéresser à cette économie, en lançant début juillet le premier forum de l'Economie collaborative en France.
marinealbarede

The Sharing Economy Just Got Real - Shareable - 1 views

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    "On résoudra pas les problèmes de l'économie actuelle en reproduisant les structures économiques qui sont à l'origine des problèmes" : un article à la fois profond et concret de la part d'une juriste américaine spécialisée dans l'économie du partage.
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    Un article nuancé sur l'économie du partage, cette "sharing economy" que l'on met à toutes les sauces et dont on commence à bien se rendre compte que ce qu'on met derrière n'est pas vraiment du partage ; en s'appuyant sur quelques ambiguités de cette économie (travail gratuit, risque de croissance des inégalités...), l'auteur prône une transformation des AirBnB, Uber et autres vers des modèles coopératifs, vraiment plus proches du partage.
marinealbarede

In the Sharing Economy, Workers Find Both Freedom and Uncertainty - NYTimes.com - 1 views

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    L'économie collaborative promet aux individus de nouvelles perspectives d'activité voire d'entrepreneuriat... dans les faits, ceux-ci y trouvent parfois plus de liberté que dans l'emploi salarié. Mais est-ce pour autant pour eux une situation tenable ? Temps de travail à rallonge, conciliation d'activités multiples pour assurer un minimum de revenus, précarité de la situation, absence d'assurance ou de garanties quelconque...
abrugiere

Qui sont les travailleurs de l'"Uber economy" ? - JDN - 0 views

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    Revenu à 18 dollars par heure aux Etats-Unis. Il est plus élevé dans le secteur du "revenu passif" (location sur Airbnb) et dans les transports (VTC) : 25 dollars en moyenne par heure. 38,3% des travailleurs de l'économie on-demand se disent étudiants tandis que 35,3% font des plateformes de services leur activité principale. Preuve de l'explosion du modèle, 62,6% des répondants ont rejoint une société de services à la demande pendant les douze derniers mois, contre 16,2% seulement il y a plus de trois ans. Les chercheurs ont demandé aux travailleurs d'indiquer dans quel secteur les sociétés de services à la demande pour lesquels ils travaillent se situent. Les "travaux manuels", comme les services de plomberie ou de ménage, par exemple, arrivent en tête. Suivent les sociétés de transports comme les VTC, puis la livraison, et enfin les plateformes qui permettent aux utilisateurs d'engranger un "revenu passivement", comme Airbnb en louant son appartement. 49,4% des travailleurs indépendants inscrits sur des plateformes sont titulaires d'un diplôme universitaire.- Selon l'étude menée par Requests for Startups, les travailleurs de l'économie à la demande sont plutôt des hommes (72,7%), jeunes (70% ont entre 18 et 34 ans), célibataires (65,7%). 
marinealbarede

Le Monde.fr - Actualité à la Une - 0 views

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    "Ancien chef d'entreprise, Michel Bauwens étudie depuis une dizaine d'années l'économie collaborative et ses réseaux qui s'organisent pour créer des outils partagés et mutualiser les savoirs et le travail. Auteur de « Sauver le monde, vers une société post-capitaliste avec le peer-to-peer » (Les Liens qui libèrent), il est l'un des théoriciens des « communs », un modèle économique et politique d'avenir selon lui, et une réponse à la crise écologique et de civilisation liée à la raréfaction des ressources. A condition que l'Etat joue pleinement son rôle de régulateur. "
Aurialie Jublin

Michel Bauwens : « Uber et Airbnb n'ont rien à voir avec l'économie de partag... - 0 views

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    Extrait: A Séoul, en Corée du Sud, la municipalité de gauche a choisi d'interdire Uber, non pas pour protéger les taxis mais pour développer des applications locales, parce qu'il n'y a aucune raison qu'une société américaine gère les trajets d'une ville asiatique. Cela peut se faire avec une coopérative d'usagers ou une coopérative municipale qui permet de stimuler l'économie locale, et où la valeur reste équitablement répartie. Il faut développer l'imaginaire social et juridique ! Il existe des groupes de juristes en France comme Share Lex qui travaillent à transformer les lois en faveur de l'économie du partage, à créer une jurisprudence du commun. Les chartes sociales telles que celle de Wikipedia, l'encyclopédie collaborative par exemple, sont déjà de bons exemples de chartes du commun.
pierremallet

Collaborer entre acteurs de la consoCo : ils l'ont fait ! | - 2 views

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    "Ces entreprises travaillent toutes les trois sur des secteurs d'activités différents mais elles ont toutes la même ambition: satisfaire leurs clients et répondre à un besoin croissant. En effet, les consommateurs veulent consommer mieux et malin ! L'objectif est donc simple : proposer un complément de service à leurs utilisateurs. En s'alliant, Samboat et JeLoueMonCampingCar proposent désormais une solution d'hivernage aux propriétaires inscrits sur leur plateforme, grâce aux services de JeStocke. "
marinealbarede

Découvrez Local Motion, la startup qui rend les voitures intelligentes - 15ma... - 2 views

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    "Connaissez-vous Local Motion ? Cette startup californienne fournit des solutions pour connecter et partager n'importe quelle voiture. En pleine croissance, elle s'est installée à Paris il y a un an. Louis Chatriot, son directeur général Europe, nous livre sa vision sur le futur de la mobilité, les qualités attendues pour travailler dans une startup de haut niveau, et le quotidien d'une entreprise en plein développement. Bienvenue dans la vraie vie des startups."
pierremallet

Bat flyer web - 2 views

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    "Le Département des Côtes d'Armor lance un projet d'autopartage organisé, pour faciliter la mobilité dans les milieux ruraux. Le dispositif consiste à mutualiser un véhicule pour les trajets domicile- travail, et qui sera ensuite utilisé pour des déplacements professionnels et personnels."
marinealbarede

Algorithms Are Replacing Unions As The Champions of Workers | TechCrunch - 0 views

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    Les algorithmes remplaceraient les syndicats pour assurer droits et libertés des travailleurs... c'est la thèse de cet article particulièrement optimiste quand à la capacité des marchés "on-demand" à assurer une adéquation entre l'offre et la demande, et aux bénéfices qui pourraient en résulter pour les travailleurs, ... dans un monde dans lequel les syndicats n'ont pas su s'adapter aux évolutions du monde du travail et de l'économie ces dernières années. Le besoin de régulation est mentionné en passant, pour assurer la réussite de ce modèle.
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