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abrugiere

Qui sont les travailleurs de l'"Uber economy" ? - JDN - 0 views

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    Revenu à 18 dollars par heure aux Etats-Unis. Il est plus élevé dans le secteur du "revenu passif" (location sur Airbnb) et dans les transports (VTC) : 25 dollars en moyenne par heure. 38,3% des travailleurs de l'économie on-demand se disent étudiants tandis que 35,3% font des plateformes de services leur activité principale. Preuve de l'explosion du modèle, 62,6% des répondants ont rejoint une société de services à la demande pendant les douze derniers mois, contre 16,2% seulement il y a plus de trois ans. Les chercheurs ont demandé aux travailleurs d'indiquer dans quel secteur les sociétés de services à la demande pour lesquels ils travaillent se situent. Les "travaux manuels", comme les services de plomberie ou de ménage, par exemple, arrivent en tête. Suivent les sociétés de transports comme les VTC, puis la livraison, et enfin les plateformes qui permettent aux utilisateurs d'engranger un "revenu passivement", comme Airbnb en louant son appartement. 49,4% des travailleurs indépendants inscrits sur des plateformes sont titulaires d'un diplôme universitaire.- Selon l'étude menée par Requests for Startups, les travailleurs de l'économie à la demande sont plutôt des hommes (72,7%), jeunes (70% ont entre 18 et 34 ans), célibataires (65,7%). 
marinealbarede

Algorithms Are Replacing Unions As The Champions of Workers | TechCrunch - 0 views

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    Les algorithmes remplaceraient les syndicats pour assurer droits et libertés des travailleurs... c'est la thèse de cet article particulièrement optimiste quand à la capacité des marchés "on-demand" à assurer une adéquation entre l'offre et la demande, et aux bénéfices qui pourraient en résulter pour les travailleurs, ... dans un monde dans lequel les syndicats n'ont pas su s'adapter aux évolutions du monde du travail et de l'économie ces dernières années. Le besoin de régulation est mentionné en passant, pour assurer la réussite de ce modèle.
Aurialie Jublin

L'économie collaborative ne partage que les restes - Influencia - 0 views

  • Ceci est le point culminant logique d’un processus qui a commencé il y a trente ans lorsque les entreprises ont commencé à sacrifier des emplois à temps plein pour des travailleurs temporaires, indépendants ou freelancers et consultants. C’était un moyen de déplacer les risques et inconnues sur le travailleur et une façon de contourner les lois du travail imposant des standards minimums de salaire, du nombre d’heures et des conditions de travail. Celles là mêmes qui permettent aux employés de se mettre ensemble pour négocier des salaires et bénéfices plus intéressants.
  • Les partisans de l’économie collaborative soulignent également que comme le travail à la demande continue de grandir, les travailleurs assemblent leur force pour acheter une assurance et d’autres bénéfices en groupe. Mais, clairement, ils ne se rassemblent pas pour négocier une part plus importante du revenu ou des horaires plus fixes. Cela s’appellerait un syndicat – quelque chose dont Uber, Amazon et les autres entreprises à la demandent ne veulent pas entendre parler.   Certains économistes font l’éloge du travail à la demande car c’est une façon plus efficace d’utiliser une force de travail. Mais le plus gros challenge économique auquel nous faisons face n’est pas l’efficacité. C’est la distribution du travail et une redistribution plus équitable de ses gains. Sur ce dernier sujet, l’économie de partage (des restes), sur certains points, nous renvoie encore bien en arrière...
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    "Et si l'économie collaborative en plus de ne pas profiter à tout le monde tuait le rêve du partage équitable et nous renvoyait à une époque où les droits et la protection des employés étaient inexistants ? La thèse de Robert Reich, l'ancien ministre du travail de Bill Clinton, méritait bien une traduction."
marinealbarede

Le monde - 1,6 million de Français vivent en communauté - 1 views

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    Par choix ou par nécessité, de façon provisoire ou durable, plus de 1,6 million de personnes vivent "en communauté" : foyer de travailleurs, internat, prison ou maison de retraite, selon une étude de l'Insee parue mercredi 6 février.
marinealbarede

Peers - The new Peers: making the sharing economy work for... - 1 views

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    Un switch dans les termes employés ? On savait que Peers s'était engagé à soutenir l'économie du partage ; c'est désormais un soutien des "travailleurs de l'économie du partage" qui est affirmé, via de l'information, des outils, etc.. Peers ne parle plus d'activité, mais bien d'un nouveau type de travail.
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