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julien camacho

Et si nos entreprises se mettaient aussi à partager ? - 1 views

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    Les ressources déjà détenues ou produites par les entreprises sont considérables et souvent peu partagées. Pourquoi ? Freins culturels ? Questions logistiques ? Il semble pourtant que tout converge pour que ces nouvelles pratiques s'immiscent également dans nos entreprises. En effet, les bénéfices de l'économie collaborative : l'optimisation financière, les synergies et la collaboration, sont en totale adéquation avec les objectifs fondamentaux d'une entreprise.
Aurialie Jublin

[Dossier] Le barter, nouvel enjeu de l'économie collaborative entre professio... - 2 views

  • Version moderne du ‘troc” dépoussiéré et remis au goût du jour par des plateforme online type réseaux sociaux BtoB, ce mode de commerce peu connu et pratiqué en hexagone à l’instar des pays anglosaxons n’en est pas moins efficace dans le contexte économique actuel… Il permet aux entreprises d’utiliser leurs actifs inutilisés, leurs stocks ou capacités disponibles comme mode de paiement.
  • Le Barter a pour vocation de rester un mode de commerce alternatif qui arrive en complément des rapports commerciaux classiques permettant des rentrées d’argent pour financer les postes de dépenses difficilement échangeables (principalement loyers et salaires) dans l’entreprise. Une des règles aux USA et Canada, pays dans lesquels les échanges se comptabilisent en milliards chaque année entre les acteurs économiques, est de dire qu’une entreprise ne doit pas dépasser 20% de son CA en Barter. En France, l’échange est voué à jouer un rôle de plus en plus important car il soulage les entreprises sur des besoins ponctuels (séminaires, mobilier de bureau ou matériel informatique, cabinet de recrutement, appli mobile ) comme structurels (expertise comptable, publicité, transport, nettoyage… ) tout en permettant à celles-ci la conquête de nouveaux clients.
    • Aurialie Jublin
       
      Les 8 règles d'or des échanges interentreprises :  - adopter un esprit coopératif - analyser ses besoins autant que ses offres - échanger à titre complémentaire et non principal - ne pas devenir dépendant des échanges pour le processus de création de valeur de l'entreprise - éviter de créer sa propre concurrence - préserver les actifs stratégiques - compenser pour revenir à l'équilibre rapidement - échanger au bon prix
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    "Créée en 2010, b2b EN-TRADE, est la 1ère Bourse aux échanges inter-entreprises online avec aujourd'hui plus de 1800 entreprises référencées de manière confidentielle et qui publient leurs offres (geolocalisées) et leurs besoins. Des algorithmes de "matching" et un service de courtage assurent les mises en relation et leurs suivis."
julien camacho

Financement des entreprises : la nécessaire réforme du crowdfunding, Actualit... - 1 views

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    Les réglementations bancaire et financière constituent un frein au développement du financement participatif en France. Le législateur, mais aussi l'AMF, réfléchissent au moyen de le favoriser tout en protégeant investisseurs et entrepreneurs.
marinealbarede

Transports, hôtellerie, banque : quand les grands groupes se mettent au « par... - 2 views

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    "Echaudées par le virage manqué du low-cost, les grandes entreprises sont bien décidées aujourd'hui à ne pas rater celui du collaboratif. Il était temps, car les sites de « sharing economy » leur mordent déjà les jarrets. Une enquête Enjeux Les Echos, Février 2014."
julien camacho

Futuribles - 1 views

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    Le 21 mai, le PNUE (Programme des Nations unies pour l'environnement) a annoncé le lancement du Portail mondial pour la consommation et la production durables. L'objectif de ce portail est de rassembler en un lieu unique les informations existantes sur la consommation et la production durables, afin d'encourager la communication et la coopération entre les nombreux acteurs impliqués. Le site s'adresse donc aussi bien aux gouvernements, aux entreprises et aux chercheurs qu'à la société civile.
julien camacho

Crowdfunding : et si on parlait des risques ? - 2 views

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    Le financement participatif est maintenant reconnu comme un moyen efficace de lever des fonds, tant pour les start-ups que pour les entreprises bien établies. Mais la croissance de cette activité l'amène à changer de nature : petit à petit, on passe de la donation à une forme d'investissement. Cela pose des défis nouveaux, notamment juridiques, et soulève aussi des questions quant aux risques encourus par les particuliers lorsqu'ils jouent les capital-risqueurs.
julien camacho

Octopousse & Ulule: un mariage stratégique, oui mais la communauté ? - 1 views

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    Il y a quelques jours, Ulule, l'un des leaders européens du crowdfunding, annonçait le rachat d'Octopousse, plateforme bretonne née il y a deux ans. Un rapprochement plutôt sensé dans un paysage du crowdfunding très éclaté mais qui pose une question : les plateformes collaboratives ne sont-elles pas des entreprises différentes dans la mesure où les communautés co-construisent la valeur économique de celles-ci ?
marinealbarede

Comment ça marche ? - 0 views

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    Une plateforme d'échange BtoB permettant à des entreprises d'obtenir ce dont elles ont ont besoin contre ce qu'elles vendent via l'échange multilatéral.
julien camacho

Consommation collaborative : L'heure du virage pour les marques ? | L'Atelier Du Numerique - 0 views

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    La consommation collaborative émerge dans tous les secteurs. Elle repose sur le partage d'un bien ou d'un service afin de réduire les coûts d'utilisation de celui-ci. Le mode de pensée de ce type de transaction repose donc sur une économie plus responsable qui bénéficie à la planète et au portefeuille. Pour les marques il s'agit d'un virage très compliqué à gérer, si par exemple un véhicule est partagé entre plusieurs personnes. Comment une entreprise doit-elle appréhender ses objectifs marketing et de vente ?
hubert guillaud

Drôle de monnaies, une ethnographie des monnaies locales - Ethnography Matters - 3 views

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    L'ethnographe Mario Campana s'est intéressé aux monnaies complémentaires, et notamment à celle de Brixton en Grande-Bretagne. Si la plupart des travaux mettent en avant l'impact positif de ces systèmes sur la communauté locale (favorisant la résilience, la cohésion sociale...), le chercheur pointe les différences de perception de cette monnaie. Alors que les émetteurs, les initiateurs de cette monnaie la voit avec une forte composante idéologique, les utilisateurs sont plus pragmatiques. Ceux-ci sont surtout de jeunes professionnels de la classe moyenne bien éduqués et disposant de bons revenus et l'utilisent pour son côté pratique et économique (la monnaie de Brixton est disponible au format électronique et payer avec permet d'avoir une réduction de 10%), donc assez hédoniste. Quant aux entreprises qui acceptent cette monnaie, on se rend compte qu'elle marche mieux dans les pubs et restaurants que pour acheter de la viande ou des légumes locaux, mais montre un certain engagement idéologique avec les créateurs. Enfin, la plupart de la communauté locale rejette cette monnaie considérée comme un gadget qui appartient à la nouvelle communauté gentrifiée de Brixton. Pour Campana, la monnaie locale reproduit un discours de pouvoir local.
marinealbarede

Founders of FoodCloud have broken new ground in the redistribution of surplus food - Bu... - 1 views

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    FoodCloud est une startup irlandaise récemment créée, qui vise à mettre en relation les entreprises de la grande distribution et les associations afin que celles-ci puissent récupérer les surplus de nourriture afin de les redistribuer.
marinealbarede

L'économie collaborative est-elle solidaire? - YOUPHIL - 1 views

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    Cette économie, basée sur le partage, représente aussi un business juteux… qui ne profite pas forcément à tous, et pourrait simplement consister à remplacer les anciens patrons/grosses entreprises par des nouveaux, selon un modèle semblable. "
marinealbarede

Sharing's Not Just for Start-Ups - Harvard Business Review - 2 views

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    Le "partage" n'est pas que pour les startups, nous dit Rachel Botsman dans cet article ; il concerne aussi des grosses entreprises, qui de plus en plus se lancent dans ce secteur, via des rachats, des partenariats, etc.
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    Dans cet article, Rachel se positionne comme théoricienne du mouvement mais surtout comme consultante ....et met ses clients à l'honneur..Qu'en pensez vous ?
dkaplan

New Research: The Number of Sharers to Double Next Year - Shareable - 1 views

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    Par Crowd Companies, un rassemblement de très grandes entreprises américaines qui s'interrogent sur l'avenir de leurs modèles, une vaste étude aux Etats-Unis et au Canada sur les perspectives de la consommation collaborative. Conclusions : le marché pourrait doubler l'an prochain ; le partage d'objets est le chemin d'accès vers d'autres formes de partage ; la composition démographique des "partageurs" est en voie de banalisation...
marinealbarede

L'économie du partage est-elle durable ?, Editos & Analyses - 3 views

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    "Revente d'objets de seconde main sur Leboncoin ou don sur Donnons.org, location d'objets entre particuliers sur Zilok ou de voitures sur Drivy, prêt gratuit sur ShareWizz : Internet réinvente nos pratiques de « partage » et notre rapport aux biens matériels. Les possibilités ouvertes et l'apparition de nouveaux modèles économiques en pair-à-pair favorisent l'émergence de pratiques de consommation qui suscitent l'enthousiasme des entreprises, médias et acteurs politiques."
marinealbarede

Uber et AirBnB s'attaquent au marché des entreprises, High tech - 1 views

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    "Dédiés essentiellement au marché des particuliers jusqu'à présent, les deux groupes américains sont en train d'étoffer leur offre pour se faire une place dans le secteur de l'hébergement et du déplacement professionnels."
marinealbarede

The collaborative economy in Europe & why non-profits and big brands will win [part 2 o... - 0 views

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    Un panorama des spécificités du paysage de l'économie collaborative en Europe par rapport aux Etats-Unis, qui amène l'auteur à adresser deux recommandations aux acteurs qui souhaiteraient se lancer : aux startups, entrepreneurs, etc, ne pas nécessairement aller vers un modèle "croissantiste" de startups, et aux grosses entreprises de l'économie traditionnelles, de s'allier avec des asso, coopératives, startups, lieux de l'économie collaborative.
marinealbarede

http://www.entreprises.gouv.fr/files/files/directions_services/etudes-et-statistiques/p... - 1 views

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    "Enjeux et perspectives de la consommation collaborative" - Rapport final de l'étude économique commandée par le Pipame, la DGE et le PICOM et menée par TNS-Sofres et Nomadeis. Elle fait un état des lieux du marché existant, étudie les freins et leviers au développement de la consommation collaborative, analyse les perspectives d'évolutions des marchés et se termine avec quelques recommandations aux acteurs publics.
pierremallet

[Exclusif] Parkadom, une plate-forme de location de places de parking, lève 3... - 1 views

shared by pierremallet on 03 Nov 14 - No Cached
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    "Comment rentabiliser une place de parking vacante ponctuellement ? C'est à ce besoin que répond Parkadom, start-up parisienne fondée en 2012 par Alexandre Poisson et Benjamin Pozzi. Elle vient de boucler un tour de table pour un montant de 350 000 euros auprès d'investisseurs privés dont l'identité reste confidentielle. Le concept: une plate-forme de location d'emplacements de parking privés. A l'origine, il s'agissait uniquement de consommation collaborative entre particuliers. Grâce à ce tour de table, Parkadom entend étendre son activité aux locations de places de parking détenues par des entreprises. Le modèle économique est celui généralement observé concernant les places de marchés: une commission de 20% est prélevée sur chaque transaction. Alexandre Poisson précise: « Une dizaine de transactions sont réalisées chaque jour."
pierremallet

les AMAP disent NON à la Ruche qui dit oui | Aquitaine décroissance - 2 views

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    "Un apiculteur à 90% en vente directe, distribuant dans 10 lieux d'AMAP  a dit « NON » aux sollicitations d'une « ruche qui dit oui » (1) près de chez lui ! Pourquoi ? Tout d'abord par tromperie pour le consommateur, qui pense acheter un produit en vente directe, alors qu'il s'agit de manière très subtile d'une vente par 2 intermédiaires : le propriétaire de la ruche qui prend 10% TTC sur le CA réalisé et 10% TTC pour une start-up parisienne qui grossit à vue d'œil (40 salariés, dont les créateurs sont tous diplômés de hautes écoles de commerce). Ensuite par éthique, car rémunérer en dividendes  les actionnaires de cette entreprise commerciale de plus de 500 ruches qui sont ni plus ni moins que Xavier Niel (Président de Free), Marc Simoncini (co-fondateur du site de rencontres meetic.fr), Christophe Duhamel (co-fondateur du site marmitton.org). Les grandes enseignes de la distribution l'ont compris avec les « drive » les consommateurs cliquent sur internet pour commander leur alimentation industrielle. Ils répondent à une réelle demande : de plus pousser le caddie, ne plus perdre de temps à faire ses courses."
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